Ballade en Chine - Jardin de Bonsaïs (2)


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Au Nord-Ouest de Beijing (Pékin) se situe le Palais d’Eté. Cet immense parc dominé par la Colline de la Longévité est principalement constitué d’un lac central, le lac de Kunming. Autour de ce lac, 70,000m2 de surface sont consacrés aux bâtiments. On trouvera également ce report dans le topic de mes trip reports.

 

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Le palais d'Été (pinyin: Yíhéyuán, 颐和园 : « jardin de l'harmonie préservée ») est un palais à Pékin, Chine.

 

Description

 

Le palais d'Été est principalement dominé par la colline de la Longévité (万寿山) et le Lac de Kunming (昆明湖). Il couvre une surface de 2,9 km², dont trois quarts sont occupés par le plan d'eau. Dans ses 70 000 m² de surface construite, on trouve une grande diversité de palais, de jardins et autres édifices de style classique chinois.

Le lac de Kunming (pinyin : Kunminghu), qui couvre les trois-quarts de la superficie du domaine, est traversé par le pont aux Dix-sept arches (pinyin: Shiqikong Qiao, 十七孔桥).

D'autres sites remarquables du palais d'Été sont entre autres la rue Suzhou (苏州街) et le Long corridor (长廊).

 

Histoire

 

L'empereur Qianlong aménagea l'ancien palais d'Été, destiné à être la résidence de sa mère, en 1750 (15e année de son règne) dans le nord-ouest de Pékin, où se situaient déjà d'autres palais impériaux depuis le xiie siècle. Des artisans reproduisirent les styles architecturaux des jardins de différents palais de Chine. Le lac de Kunming fut agrandi en imitation du lac de l'Ouest à Hangzhou.

Le palais fut pillé et détruit à deux reprises (lors de l'invasion des troupes anglo-françaises en 1860, puis durant la Révolte des Boxers en 1900) ; mais l'impératrice Cixi le reconstruisit en 1886 et 1902 non loin de l'ancien site. En 1888, elle dépensa des sommes considérables pour rebâtir et agrandir le Yiheyuan (Jardin où l'on cultive la concorde). On lui reprocha vivement d'avoir utilisé des fonds originellement destinés à la marine de guerre chinoise.

En décembre 1998, l'UNESCO inclut le palais d'Été dans sa Liste du patrimoine mondial. Elle le qualifie d'« expression exceptionnelle de l'art créatif du jardin paysager chinois, intégrant réalisations humaines et nature en un tout harmonieux ».

Ce palais a été mentionné par erreur lors de la vente par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé en 2009 de têtes de statues provenant de l'ancien palais d'Été1.

 

 

Ce palais est relativement récent (début 20e), construit après la destruction de l’Ancien Palais d’été (construit au 17e), et détruit pendant les guerres de l’opium et la révolte des boxers. Ci-dessous l’histoire en détail, elle est particulièrement intéressante pour comprendre un volet de la vision locale de l’occident – qui a par exemple pillé et ravagé le pays pour y vendre son opium… :roll:

 

 

L’ancien palais d’Été (en sinogrammes simplifiés : 圆明园 ; en sinogrammes traditionnels : 圓明園 ; en pinyin : Yuánmíng Yuán ; littéralement « jardin de la clarté parfaite ») est un ancien palais impérial édifié au xviie siècle et au début du xviiie siècle à 8 kilomètres au nord-ouest des murs de la Cité interdite à Pékin, par les empereurs Qing Yongzheng et Qianlong. Les empereurs de la dynastie Qing y résidaient et y menaient les affaires d'État (la Cité interdite étant destinée aux cérémonies formelles).

Reconnus pour leur vaste collection de jardins, d'architecture et d'autres œuvres d'art (un nom populaire en Chine était le « jardin des jardins », en sinogrammes simplifiés : 万园之园 ; en sinogrammes traditionnels : 万园之园 ; en pinyin : wàn yuán zhī yuán), les jardins impériaux ont été détruits par les troupes britanniques et françaises en 1860 lors de la Seconde guerre de l'opium. Aujourd'hui, la destruction l’ancien palais d’Été est encore considérée comme un symbole de l'agression et de l'humiliation des étrangers en Chine.

L'ancien palais d'été est situé juste en dehors de la porte ouest de l'Université de Tsinghua, au nord de l'Université de Pékin, et à l'est du Palais d'été.

 

Histoire

 

La construction initiale du palais commence en 1707, sous le règne de l'empereur Kangxi et est beaucoup moins vaste que sa superficie finale. Le jardin est conçu comme cadeau au quatrième fils de l'empereur, qui deviendra plus tard l'empereur Yongzheng. En 1725, sous le règne de Yongzheng, les jardins impériaux sont grandement agrandis. Yongzheng y introduit des ouvrages d'eau en créant des lacs, ruisseaux et étangs qui complètent les collines et les plaines. Yongzheng nomme également 28 sites pittoresques du jardin.

Sous le règne de l'empereur Qianlong, la seconde expansion est bien engagée. L'empereur dirige personnellement les travaux d'expansion. Il augmente ainsi le nombre de sites pittoresques du jardin pour atteindre le nombre de 50. Jusqu'au milieu du xixe siècle, les jardins connaissent de nombreux aménagements et extensions sous différentes formes.

L'ancien palais d'été était une merveille de l'art chinois, considéré par les Chinois comme le palais des palais. En Occident, les pavillons et les jardins avec fontaines et jeux d'eau, réalisés sous la direction de deux pères Jésuites, Giuseppe Castiglione et Michel Benoist et terminés en 1760, sont connus sous le surnom de Versailles Chinois. En 1860, lors de la seconde guerre de l'opium, sous le règne de l'empereur Xianfeng, tout le site du Yuanmingyuan est pillé, saccagé et incendié par les troupes franco-britanniques. Aujourd'hui, la destruction de l'ancien palais d'été est considérée comme un symbole de l'agression étrangère et de l'humiliation de la Chine.

Victor Hugo écrit dans sa lettre au capitaine Butler : « Cette merveille a disparu. Un jour, deux bandits sont entrés dans le palais d’Été. L’un a pillé, l’autre a incendié. L’un des deux vainqueurs a empli ses poches, ce que voyant, l’autre a empli ses coffres ; et l’on est revenu en Europe, bras dessus, bras dessous, en riant. Telle est l’histoire des deux bandits. Nous, Européens, nous sommes les civilisés, et pour nous, les Chinois sont les barbares. Voilà ce que la civilisation a fait à la barbarie. Devant l’histoire, l’un des deux bandits s’appellera la France, l’autre s’appellera l’Angleterre »1.

Le texte intégral de la lettre est disponible sur Wikisource : Actes et paroles/Pendant l’exil/1861.

Cette lettre n'empêchera finalement pas l'écrivain français de compléter la décoration de sa maison de Guernesey avec quelques somptueuses soieries obtenues auprès d'un officier anglais qui a participé au pillage2. Ces soieries serviront notamment à la confection d'un dais festonné au-dessus de la cheminée du salon rouge d'Hauteville House.

 

Vue d'ensemble du site

 

Les jardins impériaux étaient composés de trois jardins, sur une superficie totale de 3,5 km2 :


    -
  • le jardin de la clarté parfaite (en sinogrammes simplifiés : 圆明园 ; en sinogrammes traditionnels : 圓明園 ; en pinyin : Yuánmíng Yuán) proprement dit,
    -
  • le jardin du printemps éternel (en sinogrammes simplifiés : 长春园 ; en sinogrammes traditionnels : 長春園 ; en pinyin : Chángchūn Yuán),
    -
  • le jardin élégant de l'été (en sinogrammes simplifiés : 绮春园 ; en sinogrammes traditionnels : 綺春園 ; en pinyin : Qǐchūn Yuán).

Ils étaient 5 fois plus vastes que la taille de la Cité interdite et représentaient 8 fois la taille de la ville du Vatican. On pouvait y trouver des centaines de sites, tels que des halls, pavillons, temples, galeries, jardins, lacs, etc... Certains paysages connus du sud ouest de la Chine ont été reproduits dans les jardins impériaux, des centaines d'œuvres d'art et de pièces d'antiquité chinoise étaient conservées dans les halls, faisant ainsi des jardins impériaux une des plus grande collection du monde. Certaines copies uniques de la littérature et des compilations étaient également conservées dans ces jardins.

 

L'ancien palais d'été est souvent associé avec les palaces de style européen (Xi Yang Lou) construits en pierres. Les concepteurs de ces structures, les Jésuites Giuseppe Castiglione et Michel Benoist, ont été employés par l'empereur Qianlong pour satisfaire son goût prononcé pour les bâtiments et objets exotiques. Parfois, les visiteurs peu familiers avec la présentation de l'ancien palais d'été sont induits en erreur en croyant qu'il se composait essentiellement de palais de style européen. En fait, la zone des jardins impériaux à l'arrière du jardin du printemps éternel où les édifices de style européen se trouvaient était marginale par rapport à la surface totale des jardins. Plus de 95 % des jardins impériaux étaient constitués de bâtiments de style essentiellement chinois. Il y avait aussi quelques bâtiments dans les styles tibétain et mongol, reflétant la diversité de l'Empire Qing.

 

Destruction du palais d'été

 

En 1860, durant la seconde guerre de l'opium, les forces britanniques et françaises, ayant marché de la côte vers l'intérieur des terres, atteignent Pékin. Dans la nuit du 6 octobre, les unités françaises sont détournées de la force d'attaque principale pour faire route vers l'ancien palais d'été.

Bien que le commandant français Cousin-Montauban, assure au commandant britannique Grant que « rien n'a été touché », le pillage généralisé, également par des Chinois, a bien eu lieu3. L'ancien palais d'été est occupé par seulement quelques eunuques ; l'empereur Xianfeng ayant fui. Il n'y a pas de véritable résistance face au pillage, même si des soldats impériaux sont postés dans la campagne environnante.

Le 18 octobre 1860, le Haut Commissaire britannique en Chine, Lord Elgin, en représailles à la torture et l'exécution d'une vingtaine de prisonniers européens et indiens (incluant deux envoyés et un journaliste britannique du journal The Times), ordonne la destruction du palais4.

Les envoyés, Henry Loch et Harry Parkes, prennent les devants de la principale force d'attaque sous le pavillon de la trêve afin de négocier avec le Prince I à Tongzhou. Après une journée de pourparlers, ils sont soudainement capturés et emprisonnés avec leur petite escorte de soldats britanniques et indiens. Ils sont conduits au Conseil des Peines, à Pékin, où ils sont enfermés et torturés. Parkes et Loch sont relâchés environ deux semaines plus tard avec 14 autres survivants. Une vingtaine de captifs britanniques, français et indiens meurent. Leurs corps sont à peine reconnaissables. Le traitement qui leur a été réservé provoque une répulsion dans l'armée européenne.

L'idée de détruire la Cité interdite est alors émise pour décourager l'empire chinois d'utiliser le rapt comme outil de négociation et pour exacte revanche des mauvais traitements subis par les prisonniers7 .

Il faut 3 500 soldats britanniques pour mettre le feu à l'ensemble du site, qui brûle pendant trois jours. Le palais est pillé et brûlé à deux reprises : la première fois en 1860 par les forces franco-britanniques, où seulement 13 bâtiments royaux restent intacts, la plupart d'entre eux étant situés dans les régions reculées ou au bord du lac ; la deuxième fois en 1900 pendant l'invasion de l'Alliance des huit nations, il ne resta rien de ce second assaut.

Charles Gordon, un capitaine de 27 ans dans les Royal Engineers écrit :

« We went out, and, after pillaging it, burned the whole place, destroying in a vandal-like manner most valuable property which [could] not be replaced for four millions. We got upward of £48 apiece prize money...I have done well. The [local] people are very civil, but I think the grandees hate us, as they must after what we did the Palace. You can scarcely imagine the beauty and magnificence of the places we burnt. It made one’s heart sore to burn them; in fact, these places were so large, and we were so pressed for time, that we could not plunder them carefully. Quantities of gold ornaments were burnt, considered as brass. It was wretchedly demoralising work for an army. »

Ce que l'on pourrait traduire par :

« Nous sommes sortis, et, après l'avoir pillé, avons entièrement brûlé le lieu, détruisant comme des vandales des biens des plus précieux qui ne [pourraient] pas être remplacés pour quatre millions. Nous avons reçu en récompense une pièce en argent de £48 chacun ... J'ai bien fait. Les populations [locales] sont très courtoises, mais je pense que les nobles nous haïssent, comme ils le doivent après ce que nous avons fait au Palais. Vous pouvez à peine imaginer la beauté et la magnificence des lieux que nous avons brûlés. Ça brisait le cœur de les brûler; en fait, ces lieux étaient si grands, et nous étions tellement pressés par le temps, que nous ne pouvions pas les dépouiller avec soin. Quantités de bijoux en or ont été brûlés, considérés comme étant en laiton. C'était un travail misérablement démoralisant pour une armée. »

 

Une consolation pour les Chinois vient du fait que les pilleurs britanniques et français préfèrent la porcelaine (dont une grande partie se trouve toujours dans les maisons de campagne britanniques et françaises) tout en négligeant les vaisselles en bronze, très prisées localement pour cuisiner et enterrer dans les tombes. Beaucoup de ces trésors datent des dynasties Shang, Zhou et Han et sont âgés de 3 600 ans. Une exception cependant est le pillage de la fontaine du zodiaque située devant le Haiyan Tang (海晏堂, « Hall de la paix nationale ») avec ses douze têtes d'animaux en bronze9. Deux de ces têtes créent une polémique en France en 2009, lors de la vente aux enchères de la collection d'Yves Saint Laurent et Pierre Bergé (voir ci-après).

Une fois le palais d'été réduit en cendres, une inscription en Chinois est érigée : « Ceci est la récompense de la perfidie et de la cruauté ». L'incendie du palais est le dernier épisode de la seconde guerre de l'opium.

Comme pour la Cité interdite, les citoyens ordinaires n'avaient pas le droit d'entrer dans l'ancien palais d'été, qui était exclusivement réservé à la famille impériale. Mais l'incendie du palais d'été est encore aujourd'hui un problème très sensible en Chine.

Selon le professeur Wang Dou Cheng de l'Université de Pékin, tout Yuanming Yuan ne périt pas entièrement dans l'incendie original. Au fil des ans, cependant, les ruines sont encore pillées par des chasseurs de trésors chinois, y compris pendant la Révolution culturelle.

 

Critiques

 

Pour la plupart des Chinois, l'incendie du palais est perçu comme étant barbare et criminel. Certains contemporains Français, tels que Victor Hugo, désapprouvent cette action. Dans sa lettre au capitaine Butler (Actes et paroles/Pendant l’exil/1861), l'écrivain espère que la France se sentira un jour coupable et retournera ce qui a été dérobé à la Chine.

Les évènements ont fait l'objet de nombreux films sur le sujet en Chine. Le plus célèbre de tous est Huo shao yuan ming yuan (火燒圓明園; également connu sous le nom de Incendie du Palais Impérial, ou L'incendie de Yuan Ming Yuan), réalisé par Li Han-hsiang (李翰祥) en 1983. Il s'agit une co-production entre la Chine continentale et Hong Kong qui est encore sous l'emprise britannique à cette époque. Le film est distribué en Allemagne en 1990 sous le titre Das Imperium brennt.

George MacDonald Fraser a écrit un roman (Flashman and the Dragon) publié en 1985 qui aborde à la fois la destruction du palais d'été et la Révolte des Taiping. Il s'agit d'un des romans historiques le plus densément documenté de l'auteur, appartenant à la saga des Archives Flashman. Il présente le point de vue européen avec certaines critiques.

 

Conséquences

 

À la suite de cette catastrophe culturelle, la cour impériale déménage vers la plus austère Cité interdite, où elle restera jusqu'en 1924, quand le dernier empereur chinois Puyi sera chassé par l'armée républicaine. L'impératrice douairière Cixi construit le Palais d'été (頤和園 - « le jardin de l'harmonie préservée ») près de l'ancien palais d'été, mais à une plus petite échelle que l'ancien palais d'été.

Seuls les palais de style européen ont survécu grâce à leur conception en pierre, contrairement aux édifices en bois de style chinois. Certaines ruines en pierre se trouvent toujours sur le site. Ceci induit en erreur de nombreux visiteurs qui pensent ainsi à tort que l'ancien palais d'été était seulement constitué de bâtiments de style européen.

Quelques bâtiments de style chinois dans le jardin du printemps élégant ont survécu au feu. La cour impériale tenta de restaurer ces bâtiments et essaya de reconstruire l'ensemble du complexe des jardins impériaux, mais il fut impossible de lever suffisamment de fonds et de ressources pour cela à cause de la situation difficile de la Chine à cette époque. En 1900, les structures préservées et restaurées ont été de nouveau incendiées par les forces venues étouffer la révolte des Boxers.

La plupart du site est ensuite laissé à l'abandon et utilisée par les fermiers locaux comme terre agricole. Il faudra attendre les années 1980 pour que le gouvernement chinois se réapproprie le site et le transforme en site historique.

 

 

 

Parmi les bâtiments de ce Palais, à l’arrière de la Colline de la Longévité, se trouve le Jardin des Plaisirs Harmonieux, qui se dessine autour d’un plan d’eau ourlé de nénuphars. C’est là que je suis tombé par hasard – oui pour la seconde fois en 8 jours – sur un musée présentant de superbes bonsaïs, particulièrement académiques. On y reconnait notamment de nombreux mini-bonsaïs – ou Mame, quelques Han-Kengai (semi-cascade où la plante tombe plus bas que le substrat), et beaucoup d’autres, je vous renvoie au lien Wiki plus bas pour avoir une bonne liste des différents types de bonsaïs.

 

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Pas d’étiquette pour déterminer les plantes – un peu répétitives peut-être - et une luminosité pas toujours parfaite pour réaliser des clichés impeccables. Malgré tout, j’ai entièrement suivi le parcours, vous ne manquerez pas une plante. Je vous laisse pour la visite.

 

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Le pot n’est pas plus haut qu’un paquet de cigarette.

 

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En espérant que cela vous ait plu malgré la qualité photo très moyenne,

A bientôt,

dawi

 

Sources annexes:

  • Like 1
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Invité Tabac.Haschich.Coca

Salut Dawi,

 

Magnifique ces bonsais, la diversité des tailles observables ici est hallucinante.

 

Merci pour toutes photos.

Han-Kengai (semi-cascade où la plante tombe plus bas que le substrat)
:wub:

 

J'adore cela et les formes de type Fukinagashi. Je trouvait que le derniers jardin que tu avait fait en manquait.

 

Bonne semaine.

 

La bise

 

T.H.C.

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Merci Dawi pour cette 2 ème partie !

 

L'architecture de ce lieu doit être un vrai bonheur ...

Tes photos sont magnifiques !

Quelques pieds de canna au milieu du parc ... :fumette: Si on imagine bien ,ça le fait ! :group:

La partie historique fait froid dans le dos ;

c'est un héritage dont on se passerait bien . ;-)

Y 'aurait beaucoup à dire !

J'espère que peu à peu les objets dispersés pourront revenir sur place ....

 

Bonne semaine à Tous .

A+ :supair:

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