(le suppositoire) moyen de consommation?


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yep les mecs touchez pas a vincent je l'ai reserver :-D

Bah alors jerrytats tu te debine franchement aucune parole bon aller si vous me les frabriquez et que vous me les envoyez on va essayer avec vincent :-D

 

Ps ; ça vous dit un suppo de satan ... :-D

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  • 4 mois après ...

Yop !

 

Bon petit détérage :lol:

 

Bon allé j'en rajoute une couche...

avec les suppos pas de thc dans la salive ! Donc le test salivaire tu passe au travers ! Lol

Ca dépend si tu le suce un peut pour que sa glisse mieux.. tes repéré... ;-)

 

Roro que c'est gore --->[]

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Invité CharlieChaplin
les probleme de santé...tu toussais tu toussaras plus...

tu savais pas rouler , t as plus besoin, tu voulais pas etre griller par tes parents au taf ou dans la rue ? fini les yeux rouges. ta femme savai pas ? peu etre elle meme en prennais pas ? elle aimeras !! c est un medicament mec !!!

je le dit tout net je suis volontaire !!! qui c est qui m envois un suppo ?

 

Sympa les soirée entre potes.

 

Ou les retours de soirée... Vos papiers s'il vous plait ... Souffler dans ce ballon... Petez dans celui la

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  • 1 an après ...

Je n'avais jamais vu ce topic,

et je me doigt d'y ajouter ma touche...

 

(...) tu toussais tu tousseras plus...(...)

 

En effet, il vaut mieux ne pas tousser,

ça fait ressortir le suppositoire.

 

 

(...)

 

Quant au shoot c'est de la pure invention!

J'ai jamais entendu parler de ça

On doit galérer grave à vouloir diluer de la weed pour se l'injecter:-)

 

(...)

 

 

Malheureusement' date='

le weedeurs qui citait Flash de Charles Duchaussois a retenu sa lecture.

On y fait référence à l'injection de cannabis,

mais c'est un autre lieu (Inde et Népal), et une autre époque (entre 1968 et 1974).

 

Plus proche de nous,

la littérature médicale anglophone relate quelques cas (25),

tous avant 1983, d'un "Intravenous Marijuana Syndrome".

 

Les symptômes dus à une injection de cannabis filtré par un coton étaient :

myalgie, nausée, vomissement, diarrhées, douleurs abdominales et faiblesse.

Tous les patients ont retrouvé un état normal

après une hospitalisation d'une durée moyenne de 9 jours.

 

Source (en Anglais).

 

 

 

Bien entendu, c'est une très mauvaise idée...

 

 

 

 

P.S. Ce post contient volontairement une faute d'orthographe.

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  • 7 mois après ...

Hello xD

 

2.2.1.3 THC par voie rectale

 

Des données limitées suggèrent une biodisponobilité plus élevée du THC par la voie rectale que par la voie orale (Mattes, et al., 1993 p 745-747; Brenneisen, et al., 1996).

 

Merci à Breizh qui s'est documenté sur le sujet pour cette référencexD

++

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  • 4 ans après ...

salut !!! bon 6ans après je tombe sur ce topic hahaha bon je consomme du cannabis thérapeutique en suisse, je me bat chaque jour pour me soigner correctement.

 

la semaine passer jai vu mon neurologue (un vieux de la vieille) qui ma parler des suppo il ma donner une marche a suivre ma fait l'ordonnance pour un melange glycerine et beurre de cacao les moules etc.

 

 

pour ce qui est du matos je prend une indica riche en CBD pour le moment je teste le soir depuis 4 jours

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  • 2 ans après ...

Salut,

 

je déterre ce topic histoire de communiquer un article trouvé sur le sujet :

 

Usage rectal de cannabis récréatif (ou, ce que j’ai fait au nom de la science)

 

Les données scientifiques ou anecdotiques sur l’usage rectal de cannabis sont un peu contradictoires. Parfois, la meilleure façon de se documenter est de faire ses propres essais. Pour la science, pour Sensi Seeds, et en conformité avec l’intégrité journalistique, j’ai fait l’essai d’un suppositoire de cannabis et j’ai documenté par écrit mes résultats.


Je n’ai jamais entendu quiconque discuter de l’usage rectal de cannabis à des fins récréatives. Tous s’expriment au sujet des différentes méthodes d’ingestion – sur les forums internet, lors d’événements cannabiques internationaux, dans les coffeeshops, entre amis dans le salon un vendredi soir. Personne n’a encore fait l’éloge de la satisfaction d’insérer un suppositoire de cannabis particulièrement puissant (du moins, pas à ma connaissance). L’usage rectal de cannabis est-il le dernier tabou dans le domaine de la consommation récréative ? Cette méthode est-elle efficace ? Il n’y avait qu’un moyen de le déterminer.

Je n’avais jusqu’alors jamais introduit de cannabis, ou toute autre drogue, dans mon orifice inférieur. Je savais que ça se faisait, mais jamais encore je n’avais été séduit par l’idée. Quand je fumais, j’adorais le rituel de rouler des joints coniques parfaits qui brulaient en douceur et se laissaient savourer. J’imagine que l’usage rectal fréquent de cannabis peut aussi faire l’objet d’un rituel, mais je doute qu’on puisse l’étirer durant 20 minutes, en buvant une tasse de thé en compagnie d’amis. Néanmoins, certains amis nous sont plus chers, et lors de mon incursion en terres inconnues, j’ai trouvé un partenaire consentant.

 

Première étape : se procurer des suppositoires pour un usage récréatif

Voilà un produit qui ne se trouve pas en pharmacie ou dans les coffeeshops, même pas à Amsterdam. J’ai eu la chance de m’en procurer auprès d’un individu (qui préfère demeurer anonyme). Ils étaient faits d’un concentré de plante entière extrait au butane et dilué dans l’huile de noix de coco, ce qui leur donnait un arôme plaisant et chocolaté rappelant les spacecakes. Ces suppositoires pèsent 2 grammes chacun. Je les ai fait tester et ils se sont avérés assez puissants pour causer des effets psychoactifs, toutes méthodes de consommation confondues : 16 % THC et 1 % CBD.

 

Maintenant en possession de nos suppositoires, notre préparation avait deux volets : le classique « set and setting ». D’abord, il fallait s’informer. Des conseils pratiques suggéraient de se « coucher sur le côté et de replier une jambe pour faciliter l’introduction » et de ne pas « émettre un vent durant les quinze prochaines minutes ». J’ai trouvé des rapports anecdotiques : « moi, j’entends de la musique dans ma tête une minute après ma dose » ; « en quelques minutes, j’ai ressenti une sensation plaisante de chaleur envahir ma région pelvienne ». J’ai aussi trouvé des données scientifiques selon lesquelles les suppositoires n’ont aucun effet.

 

Quelles données scientifiques appuient l’usage rectal de cannabis ?

Selon le médecin Allan Frankel qui a fait des recherches et écrit au sujet de l’absorption rectale du cannabis, les suppositoires d’huile de cannabis diluée dans le beurre de cacao n’ont eu aucun effet sur ses patients. Les analyses de plasma sanguin n’ont révélé que de faibles taux de THC et de CBD. Dans le livre Practical Pharmaceutics: An International Guideline for the Preparation, Care and Use of Medicinal Products, on peut lire que le rectum n’absorbe pas les gras de manière efficace. Tout principe actif doit d’abord se dissoudre dans le mucus aqueux qui recouvre les parois du rectum pour ensuite passer dans la circulation sanguine ; aucune absorption n’est possible sans la dilution dans la muqueuse. Ainsi, les substances lipophiles contenant des principes actifs (comme les cannabinoïdes) ne devraient pas être combinées à un excipient huileux ou gras au risque de diminuer leur absorption. La plupart des suppositoires trouvés en ligne étant à base de gras (comme ceux que j’ai achetés), leur efficacité devait en être affectée.

 

En supposant que quelques cannabinoïdes parviennent à traverser la muqueuse, ils se retrouvent alors dans la circulation des veines rectales inférieures et moyennes pour parvenir à la veine cave inférieure, contournant ainsi le foie ; ou encore, ils empruntent la veine rectale supérieure et se retrouvent dans le foie où ils subissent une métabolisation de premier passage. On pensait d’abord que l’absence d’effets psychoactifs était due au fait que le THC ne passait pas par le foie, donc, qu’il n’était pas converti en 11 hydroxy delta-9 THC (11-OH-THC), composé plus puissant qui reste plus longtemps dans le système (fait intéressant, les effets de plusieurs drogues sont estompés après la métabolisation de premier passage, mais non le THC !). L’ingestion de cannabis résulte en une grande concentration de 11-OH-THC, ainsi, ce mécanisme métabolique influence la puissance d’une même dose consommée de manières différentes.

L’étude scientifique la plus récente à s’être penchée sur l’absorption rectale du THC a été publiée en 1991, et portait sur des macaques crabiers (les gens à qui j’ai partagé cette découverte n’ont pu s’empêcher d’avoir pitié des pauvres bêtes, à quoi j’ai répondu que comparativement aux autres traitements qu’on leur impose, ces singes ont eu de la chance). Les résultats n’ont montré aucune biodisponibilité rectale de THC, mais lorsque le cannabinoïde a subi un processus d’estérification pour être converti en delta-9-thc hemisuccinate (THC-HS), sa biodisponibilité a monté en pointe à 13,5 % avec un temps moyen de persistance dans le sang de 5,8 heures. Puisque le THC-HS est soluble dans l’eau, il peut se dissoudre dans le mucus aqueux.

 

Pour en revenir à ma propre expérience rectale cannabique

J’ai déduit de toute cette recherche théorique que finalement, « les rapports anecdotiques montrent que les suppositoires ont un certain effet, alors que la science ne confirme rien ». Ainsi se conclut le volet « set ». Je passe maintenant au volet « setting ». Pour créer l’environnement parfait, nous avions disposé des matelas sur le plancher du salon et avions sous la main suffisamment de liquides et de nourriture en cas de fringales. Nous avions aussi de la musique, des films et des livres imagés intéressants pour nous stimuler en cas de besoin. J’avais pensé aussi allumer quelques chandelles pour détendre mon partenaire à qui je venais de décrire les expériences animales et le mucus aqueux rectal, mais jugeant qu’il n’était pas judicieux de jouer avec le feu dans un état d’esprit alterné, j’ai abandonné l’idée. Pour décrire l’expérience de manière fidèle, nous nous sommes abstenus de prendre toute autre drogue (incluant les substances légales), et j’ai réglé mon téléphone pour qu’il sonne toutes les trente minutes afin de bien rendre compte des effets ressentis.

 « Pour la science ! », et sur ce, nous avons levé au-dessus de notre tête le volumineux suppositoire vert foncé et huileux. Première constatation : introduire le suppositoire aussitôt que vous le sortez du réfrigérateur, les doigts sont suffisamment chauds pour le faire fondre rapidement. Cela étant dit, vous n’aurez pas besoin d’un quelconque lubrifiant, ce qui est une bonne chose. Nous nous sommes couchés, moi sur le dos et mon complice sur le côté, et avons attendu.

Après une demi-heure, j’ai commencé à ricaner. Cette hilarité était peut-être due au fait que je trouvais incongru de documenter en direct sur Twitter cette expérience rectale dans le cadre de mon travail. Pour répondre à un tweet me demandant comment ça allait, j’ai tenté d’analyser les effets. Je ressentais un léger picotement, plaisant, exactement là où reposait le suppositoire. Je ne pouvais toutefois être certain qu’il s’agissait d’effets psychoactifs. Quant à mon partenaire, il s’était endormi, fatigué d’avoir fait le voyage de nuit Londres-Amsterdam. Aucune donnée concluante à ce stade.

 

Une heure plus tard : nous sommes high

Mon partenaire était encore profondément endormi pendant que j’expliquais aux gens sur Twitter que je ne souffrais pas d’une maladie inflammatoire de l’intestin, que j’effectuais mon expérience à des fins de recherche. J’ai ensuite commencé à ressentir un profond sentiment de relaxation, particulièrement dans les jambes et la région pelvienne. J’imagine que l’usage de tels suppositoires pour apaiser les crampes menstruelles doit être très efficace. Je ne sentais aucune somnolence, juste une grande tranquillité, et je me suis rendu à la cuisine pour me changer les idées et voir si de quelconques effets psychoactifs se manifestaient.

Ce qui était le cas. Une fois dans la cuisine, les fringales m’ont assailli avec force, et les couleurs autour de moi avaient plus d’intensité. J’ai fait chauffer de la soupe ; les saveurs étaient aussi plus intenses. J’ai ri en pensant au grand Dr Lester Grinspoon lorsqu’il a pour la première fois fait l’expérience du cannabis, trouvant la pizza qu’il mangeait la meilleure au monde.

J’étais indéniablement high, pourtant, les effets n’étaient pas les mêmes que ceux ressentis lorsqu’on fume, vaporise ou ingère du cannabis. J’avais l’esprit clair, et je me sentais serein, mais alerte ; un high de sativa, sans l’euphorie cérébrale planante qui peut parfois déboussoler. C’était très agréable, loin d’être écrasant ; j’étais sans contredit dans un état d’esprit altéré. Les dragonniers dans mon salon me paraissaient fascinants. J’étais ravi de retourner sous le duvet, n’ayant aucune envie de divertissement supplémentaire : je baignais dans une béatitude presque opioïde (sans nausées ou sentiment de dissociation).

 

Une heure et demie plus tard : absolument high

J’étais dans le même contentement, les effets ne s’étant pas estompés ni intensifiés : j’avais atteint un plateau. Mon partenaire enfin réveillé n’était pas certain s’il ressentait autre chose qu’une grande relaxation, et une faim atroce. Il ne savait pas trop ce qu’il ressentait (a posteriori, c’est évident qu’il était high). Nous avons eu la conversation suivante :

« C’est du chocolat ? »

« Non. »

« Des galettes d’avoine avec du fromage à la crème vegan ? »

« Non. »

« Est-ce que c’est… (J’ai des difficultés à me rappeler tout ce qu’il y a à manger)… des tomates ? »

« Je ne pense pas. »

« Oh, du yogourt de soya aux ananas ? »

« OUI, Oui, c’est ça. Oh oui. »

« Nous sommes clairement high. »

Nous avons englouti un litre dudit yogourt en moins de trois minutes. Il goûtait incroyablement bon. Nous avons ensuite regagné les matelas pour discuter du high. Les effets étaient puissants, mais non psychédéliques. Ils procuraient une grande relaxation physique, comme celle que l’on ressent dans un bain chaud duquel on ne veut pas sortir. Toute tension musculaire avait disparu, et du bas du corps jusqu’au cou, nous nous sentions lourds, au chaud, mais pas somnolents – comme lorsqu’on repose dans la baignoire et que seule la tête émerge de l’eau. Rien à voir non plus avec le stone qui cloue au sofa. Nous étions alertes et bavards. Les effets étaient puissants, mais absolument pas excessifs ou perturbants.

(Un autre effet inattendu s’est manifesté. Mes heures de recherche ne m’ont jamais appris cet effet secondaire. Cher lecteur, je vous en fais part. Une fois les fringales assouvies, le système digestif s’enclenche, ce qui peut occasionner des flatulences. Si vous avez fait un usage rectal de cannabis, vous trouverez que vos gaz ont la même odeur que celle qui s’échappe d’une chambre de culture pleine de sativa prêtes à être récoltées. Je vous en prie.)

 

Le jour suivant : encore high

Les effets ont duré très, très longtemps. Ni un ni l’autre ne consommons de cannabis régulièrement, notre niveau de tolérance étant très bas ; je ne m’attendais toutefois pas à être encore high le lendemain. Je suis parti au travail et mon ami s’est fait un énorme déjeuner pour ensuite se recoucher. Lorsque, vers 15 h, il s’est réveillé et m’a texté pour me demander d’apporter plus de yogourt aux ananas, de mon côté, je sentais finalement que les effets avaient disparu. Pour sa part, il lui a fallu quelques heures encore avant que les choses reviennent à la normale. L’usage rectal de cannabis est de loin la façon la plus économique que je connaisse.

 

Plus de recherche doit être effectuée sur l’usage rectal de cannabis

Quelles conclusions peut-on tirer de mon expérience ? D’abord, il est impossible que nous ayons ressenti un quelconque effet placebo. J’ai consommé assez de cannabis dans ma vie pour reconnaître les effets. Ensuite, même si je n’avais aucun moyen de mesurer le taux de THC sanguin, je peux vous assurer que notre système endocannabinoïde fonctionnait à pleine vapeur. Comment le THC s’y est-il rendu ? On peut présumer raisonnablement qu’une certaine quantité de THC a passé par la veine rectale supérieure pour subir une métabolisation de premier passage, se convertissant en 11-OH-THC. C’est ce que je voulais qu’il se produise, et j’ai visé conséquemment (contrairement aux utilisateurs médicaux qui insèrent le suppositoire plus bas dans le rectum pour éviter de ressentir des effets psychoactifs).

Il se peut aussi que l’extrême durée des effets soit due au fait que le THC qui n’a pas été métabolisé dès son entrée dans la circulation sanguine des veines rectales inférieures et moyennes se soit éventuellement rendu au foie qui l’aurait converti en 11-OH-THC, bien longtemps plus tard, créant une seconde vague d’effets.

Pourtant, afin d’entrer dans la circulation sanguine des veines rectales, le THC doit d’abord traverser le mucus aqueux. Comme je l’ai mentionné plus tôt, cette absorption est impossible sans la présence d’hemisuccinate. Peut-être que l’extraction au butane pour obtenir un concentré convertit une partie du THC en THC-HS, ou en un ester similaire, ce qui permettrait l’absorption ? L’expérience effectuée sur les singes a utilisé du THC seulement, et non un extrait de la plante entière. La différence fondamentale résiderait-elle dans la présence d’autres cannabinoïdes (l’effet entourage) ? Cependant, le Dr Frankel a utilisé dans ses études de l’huile de cannabis dans du beurre de cacao, et les résultats sont demeurés non concluants. Il a lui-même conclu que plus de recherches étaient nécessaires afin d’optimiser le rendement de cette méthode.

 

Avantages de l’usage rectal de cannabis

Maintenant que j’en ai fait l’expérience, je peux nommer divers avantages à l’usage rectal de cannabis, autant à des fins médicinales que récréatives. D’abord, cette profonde relaxation qui soulage sans contredit les tensions musculaires et la douleur. Les fringales intenses qui s’ensuivent peuvent être très bénéfiques à quiconque voulant prendre du poids (sans prendre le risque de vomir les substances apéritives). De petites doses, facilement dosables, peuvent procurer un effet efficace. Enfin, il n’y a aucun danger de faire un usage accidentel d’un suppositoire, ce qui ne peut être dit des gâteaux au cannabis que l’on peut dévorer en ignorant qu’ils auront un effet puissant. En effet, rares sont les personnes qui trouvent un suppositoire sur le comptoir et se l’insèrent, pour aucune raison en particulier.

Ma journée au travail le lendemain était un peu plus ardue, mais amplement réalisable. Je n’aurais pas voulu manœuvrer de la machinerie ou un véhicule, mais la clarté d’esprit que je ressentais était parfaite pour écrire, interagir avec mes collègues, faire les emplettes et cuisiner. Il s’agit de la meilleure méthode de consommation pour soulager efficacement la douleur sans se retrouver frappé d’incapacité.

 

auteure : Scarlet Palmer

source : https://sensiseeds.com/fr/blog/usage-rectal-de-cannabis-recreatif-ou-ce-que-jai-fait-au-nom-de-la-science/

 

Après, chacun est libre de consommer comme il l'entend.

 

P.S. : j'ai édité pour mettre l'article directement dans le post

 

++

Modifié par Baron Vert
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  • 4 mois après ...

Salut, 

 

Comment commencer... :lol:

Je vous demanderais de laisser vos a priori et vos jugements de coter 

 

Avec deux amis, on a tenté les space suppositoire,

Je vais pas vous refaire le pourquoi du comment on en est arrivée a faire l’expérience mais on s'est bien marrer !

 

On a utilisé 7.5g de manucure et 3g de "zaptar" (résidu de vaporisation)

Et de l'huile de coco (??gr)

Pour un produit final de 35g environ, 

 

Un ptit tour au conge/frigo pour solidifier le tout 

On partager ca en 3 donc a peu pres 11.5g par personne

 

On a prit un morceau de cellophane chacun et on a rouler notre suppo dedans ^^

Apres l'avoir fair rouler dans nos mains il restait a peu pres 9gr

C'etait tout vert et un peu gros :blink:

 

On est passé chacun notre tour au toilette, et franchement, ça rentre tout seul, on sent presque rien XD

 

On a attendu 1h30 et on s'est dit que finalement l’expérience était un échec.. Seulement un petit effet de légèreté, comparable a un fumage passif 
Du coup on a fait chauffer le vapo pour se consoler  :ptdr:

Pendant la soirée aucun inconvénient liée a l'introduction du corps gras dans nos anus,

Mais le lendemain mes potes me réveille en me disant d'aller au toilettes..

Une fois sur le trônes, on a relâcher de l'huile verte  :dtc: 
Le suppo aurait fondu mais pas été absorbé ? 

 

On pense que le problème vient soi de la phase de décarboxylation, le four étant peu précis ça devait être trop fort,
soit du corps gras donc l'huile de coco qui ne serait pas assimilable par les muqueuse anale 

 

Malgré cet échec et la perchitude de l’expérience, on a quand même passé une super soirée :lol:  

Et on ne rejette pas l’idée de retenter l’expérience avec un autre excipient ^^

 

:yepah:  :yepah:  :yepah:  :yepah:

A+

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