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LEAF, LE PLACARD CONNECTÉ POUR FAIRE POUSSER DU CANNABIS
Par mrpolo,

La société Leaf surfe sur la légalisation du cannabis à usage récréatif dans certains états américains en proposant le premier appareil connecté qui permet de contrôler la pousse de plants de cannabis avec son smartphone.
 
 
 
 
Selon le cabinet d'études IDC, le marché des objets connectés pourrait représenter 1700 milliards de dollars en 2020. Nous allons donc voir encore fleurir une bonne tonne d'appareils sensés améliorer notre quotidien grâce à une connexion quasi permanente avec notre smartphone et autres appareils technologiques. Si certains passeront leur chemin comme ils sont venus, d'autres attirent d'ores et déjà notre attention.
 
Comme le Leaf. Créé par la société du même nom, il se présente comme le premier système de culture de cannabis connecté à la maison. En gros, Leaf, cette petite armoire ressemblant à frigo, nous promet la possibilité de faire pousser de la weed chez nous, tranquillement, sans avoir besoin d'une serre énorme et de spots "hyper wattés". Tout cela grâce à l'hydrophonie, une culture des plantes sans besoin de terre ni des conditions liées à la pousse en extérieur.
 

 
Comme vous pouvez le voir sur le GIF ci-dessus, il faut charger le terreau comme vous le feriez avec une bonne vieille feuille A4 dans une imprimante, et la machine fait le reste. Leaf surveille en effet l'état des plantes, la lumière, le taux de pH, la ventilation, la température à l'intérieur, les nutriments dans le terreau... Un dosage que vous pouvez ajuster à loisirs depuis votre smartphone puisque toutes ces données sont consultables dessus et donc modifiables.
 



 
Mieux, vous pouvez suivre ensuite en direct depuis votre téléphone la pousse de vos plants grâce à la caméra intégrée au Leaf. Au total, avec les deux plants, vous pourrez récolter jusqu'à 140 grammes. Bref, rater la pousse de sa marijuana devient désormais impossible. Il faudra tout de même attendre 2016 et débourser 1350€ pour poser Leaf dans son salon ou dans sa cuisine. Et habiter dans l'un des quatre états américains qui autorisent aujourd'hui l'usage du cannabis à usage récréatif : Alaska, Colorado, Washington, Orégon. 14 devraient suivre d'ici 2020 selon le cabinet d’études ArcView.
Nous voilà rassurés.
 
Source: gqmagazine.fr
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Par kyu,
Du THC sans cannabis grâce à des levures génétiquement modifiées
 
 
 
SCIENCE - Dans les années 50, on imaginait un futur où l'homme mangerait des levures. Isaac Asimov dans ses Cavernes d'acier parlait ainsi de fermes à levure produisant toutes sortes d'aliments de synthèse. 50 ans après, les scientifiques ne misent plus vraiment sur la levure comme source de nourriture (plutôt les algues, en fait). Par contre, elle pourrait remplacer le cannabis. Et plus exactement le THC, la substance active la plus connue de cette plante.
 
Dans une étude publiée en septembre, des chercheurs de l'université de Dortmund en Allemagne affirment en effet avoir réussi à modifier génétiquement un type de levure bien particulier pour lui faire produire du THC. Ils auraient même réussi (mais ces résultats n'ont pas encore été vérifiés) à produire un autre composant de la marijuana, le cannabidiol.
 
Si du THC de synthèse existe déjà, rappelle le New York Times, le fait d'arriver à en produire avec une levure pourrait considérablement faire baisser le coût de production. Cela permettrait aussi aux chercheurs de mieux isoler les effets des différents composants du cannabis. "Cela pourrait littéralement changer la vie de millions de personnes", affirme au quotidien Kevin Chen, PDG d'une des quelques start-up travaillant au développement, entre autres, de THC à base de levure, Hyasynth Bio.
 
Difficile de rivaliser avec la plante naturelle
Enfin, ça, c'est dans l'idéal. Car pour l'instant, les levures ne sont capables que de produire de très petites quantités de THC et de cannabidiol. Les chercheurs auteurs de l'étude se sont ainsi alliés à THC Pharm, une société allemande spécialisée dans la production de dronabinol, le fameux THC de synthèse existant actuellement. Objectif: trouver un moyen de produire le THC à partir de levure à un rythme industriel.
Oliver Kayser, l'un des chercheurs, estime que l'Europe serait particulièrement intéressée par une telle technologie. Actuellement, la production de cannabis médical se fait via la plante naturelle, la même qui est utilisée à usage récréatif. L'Union Européenne a peur que ces cultures puissent "aider" indirectement des plantations illégales, selon le chercheur.
 
Mais l'objectif n'est pas simple à atteindre. En effet, la marijuana est une plante très performante. Certaines espèces, après maints croisements, arrivent à contenir plus de 30% de THC. "Cette plante est en quelque sorte la 'Ferrari des plantes' dès que l'on parle de produire une molécule", explique ainsi Jonathan Page, professeur à l'université de la Colombie-Britannique, au New York Times.
 
Source: huffingtonpost.fr
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Par mrpolo,
Snoop Dogg est connu en tant qu’artiste, mais aussi en tant qu’investisseur dans l’industrie du cannabis, notamment dans la start-up Eaze. Mais aujourd’hui, double G rentre d’une toute autre manière dans le game : il lance sa plateforme appelée Merry Jane.
 
 
Merry Jane sera un site media lifestyle centré autour du cannabis. Enrichi de contenus vidéo et éditorial, le site servira de centre d’informations pour toutes les personnes intéressées par le cannabis, du débutant au fumeur confirmé.
 
Snoop a fait cette annonce ce soir pendant le TechCrunch Disrupt, un événement autour de la technologie qui se tient à San Francisco du 21 au 23 septembre. Il assure que sa plateforme contiendra « tout ce qu’il faut savoir » sur le cannabis et sera l’encyclopédie mondiale du cannabis.
 
Le site aura ses propres séries, de l’émission culinaire où les internautes apprendront à cuisiner de la nourriture avec du cannabis, à « Deflowered », un show qui se concentre sur les premières fois, en passant par des interviews exclusives de stars. Snoop précise d’ailleurs que le site fera participer des people proches du projet comme Seth Rogan et Miley Cirus.
Au-delà de ça, Merry Jane tournera son regard vers le business et les avancées politiques de l’industrie du cannabis, les différentes légalisations et la croissance de l’industrie. Ca nous fait un point commun avec Snoop Dogg !
 
Merry Jane sera surtout un gros concurrent d’entreprises déjà existantes aux Etats-Unis. Elle contiendra par exemple un moteur de recherche des variétés de cannabis (coucou Leafly !), et une carte des dispensaires sélectionnés par Snoop et Ted Chung, son manager et associé (coucou Weedmaps !). A terme, les dispensaires pourront se créer une fiche sur le site et uploader leurs menus ou mettre à jour leur vitrine digitale.
 
Le business plan de Ted Chung est assez clair : attirer les annonceurs du cannabis pour leur vendre de la pub à diffuser sur le site. Chung compte dépasser l’audience de ses concurrents d’ici 6 mois.
 
Snoop a également déclaré que Merry Jane sera l’occasion pour les fumeurs de « sortir du placard » : « Il y a beaucoup de personnes dans leur placard, et nous leur donnons l’opportunité d’en sortir et d’admettre qu’ils aiment fumer. Je suis un fumeur, mon nom est Snoop Dogg, et je suis un stoner ».
Merry Jane ouvrira tout d’abord en beta sur invitations, pour s’ouvrir progressivement dans les semaines qui suivent.
 
Une belle annonce pendant un événement d’envergure mondiale, une star de cet acabit en tant que porte-parole, un réseau de potes dans le divertissement, on n’a aucun doute sur le fait que Merry Jane va cartonner ! Affaire à suivre.
 
Bonus : on comprend mieux la vidéo soutien à la journée sans taxe sur la weed au Colorado que Snoop a lâché sur la chaîne Youtube Merry Jane, une chaîne toute fraîche avec une seule vidéo il y a 7 jours. Pas si innocent que ça ! On vous propose de retrouver la vidéo ci-dessous.
 




 
Source: newsweed.fr
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Par kyu,
Apple, qui faisait la fine bouche en refusant les simples applis cannabis, il y a encore peu, ouvre enfin son OS au cannabis thérapeutique. Au Diable la morale : les temps changent, les mentalités aussi et il ne faut pas oublier que les créateurs d’Apple (Mac) fumaient (de la Weed) comme des pompiers ! Enfin, surtout, Apple a pris conscience que ce marché était porteur, important, compassionnel et destiné à toujours plus se développer. La marque à la pomme croquée est fière de son image d’avant-gardisme atypique, elle ne veut pas la changer contre une autre de ringardise !
 
 
Apple approuve le Cannabis
 
Tout le monde sait que dans de nombreux pays et pour traiter certaines maladies, les médecins recommandent le cannabis médical car il est beaucoup moins agressif que certains médicaments et les médecins sachant cela recommandent de plus en plus des remèdes naturels.
Pour tout cela, l’entreprise Media Technics Corporation (MEDT), avec Jeremy Carr en tant que directeur du projet, a développé BlazeNow pour iOS, une application qui est offert comme une clinique médicale dans laquelle est également inclus un « système de suivi de l’inventaire et suivi des ventes effectuées« .

« Les utilisateurs peuvent localiser et évaluer les dispensaires à travers des cartes inclus dans l’application, écrire des idées et partager les aspects des installations publiés dans les réseaux sociaux« , a déclaré Jeremy Carr, propriétaire d’une pharmacie avec plus d´audience sur Yelp ! à Los Angeles et un bon investissement de plusieurs applications sur l’utilisation de la marijuana.
Jeremy a déclaré que les résultats de l’application pour Apple lui ont laissé très impressionné et ils attendent de la lancer dans un proche avenir. MEDT a également travaillé dans une version web de BlazeNow qui complète l’application et aussi sur le web, vous pouvez garder une trace de comptes d’utilisateurs, publicité interne, dispensaire, etc … .Le site est déjà optimisé pour une utilisation depuis votre ordinateur ou depuis un téléphone mobile.

Quoi qu’il en soit, tout est uniquement pour les États-Unis, en Espagne la marijuana médicale n´est toujours pas légalisée ce qui n’ouvre pas encore d’intérêt d’obtenir l’application, mais que cette importante société dispose d’une application est certainement utile et donne un petit pas de plus dans la lutte pour les droits de l’auto-culture et la légalisation et la consommation responsable à laquelle nous nous joignons et nous y croyons.
 

Par Piensa en Verde, publié le 03 septembre 2015
https://www.grainesmarijuana.eu/appl...
 
Source : applelizados
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Par Ch0c0,
Petite vidéo assez sympathique sur le débat de la libération du cannabis en France.
 
 
https://www.dailymotion.com/video/x2udhwt_cannabis-fais-tourner-le-debat-28-minutes-arte-2015-fr_webcam
 

 
 
Bonne semaine a tous !
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Par mrpolo,
Avec «Cannabis», Arte cherche «The Wire»
 
SÉRIE En préparation, la nouvelle fiction française sur la ganja s'inspire comme il se doit des séries américaines.
 
Sept ans après la fin de sa diffusion sur HBO, on s’arrache encore la dépouille de Sur écoute (The Wire, en v.o.), épopée policière de David Simon dans la ville sinistrée de Baltimore. De ce côté-ci de l’Atlantique, la chaîne franco-allemande Arte prépare actuellement la série Cannabis, avec aux manettes Lucie Borleteau, cinéaste de 34 ans de Fidelio, l’odyssée d’Alice (sorti en décembre). Le projet d’environ 6 millions d’euros, composé de six épisodes de cinquante-deux minutes,suivra la route de la drogue du Maroc aux cités hexagonales en passant par Marbella.
 
Au casting, des têtes inconnues entourées de plusieurs noms du cinéma d’auteur français, Christophe Paou (l’Inconnu du lac), Kate Moran (les Rencontres d’après minuit) et l’Espagnol Pedro Casablanc, vu en juillet sur scène chez Olivier Py en Avignon.
 
 
 
Contactée par la société de production Tabo Tabo, Lucie Borleteau reconnaît avoir été surprise par la commande d’Arte, ayant «très peu» la culture des séries télé (Mad Men et Twin Peaks exceptés). Cette diplômée de la Femis s’est surtout nourrie de références cinématographiques, de M le maudit de Fritz Lang à David Lynch. Maître étalon pour l’équipe de trois scénaristes, Hamid Hlioua, Clara Bourreau et Virginie Brac, Sur écoute (plus que Weeds, autre série ganjaphile) «ne va pas être transposée telle quelle, il s’agit d’une référence majeure à l’écriture au début, qui a évolué depuis», détaille à Libération la cinéaste, en pleins repérages.
Caïds et barons
Une large place devrait être accordée dans le scénario aux caïds et barons de la drogue plutôt qu’à la police, ménageant la place à des scènes chocs. «Des choses que dans ma carrière de cinéaste indépendante, je n’aurais peut-être pas osé écrire avant quinze ans, bref, un cadeau de Noël», résume-t-elle. Tournée par la jeune chef opératrice de Mercuriales, Jordane Chouzenoux, de septembre à décembre entre la France, l’Espagne et le Maroc, Cannabis est conçue comme une série européenne plus que strictement française : «Les problématiques n’ont rien à voir avec les Etats-Unis : on se demande comment parler des cités aujourd’hui, des trafics parallèles. Montrer comment tous ces gens sont au travail», détaille Lucie Borleteau.
 
Alors que les chaînes annoncent tambour battant des fictions originales à l’américaine avec showrunner (personne qui supervise le respect et la cohérence des scripts) et writers’room (réunion de cogitation des scénaristes), de son côté, le diffuseur Netflix tourne à la rentrée Marseille (diffusée en 2016), fiction politique qui lorgne du côté de House of Cards, avec Gérard Depardieu en maire de la cité phocéenne, sous la direction de trois réalisateurs, Florent Emilio-Siri (Cloclo), Gérard Krawczyk (Taxi 2, Taxi 3 et Taxi 4) et Samuel Benchetrit (J’ai toujours rêvé d’être un gangster).
 
Par Clémentine GALLOT
 
Source: liberation.fr
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Par Indi-Punky,
Carl Hart, neuroscientifique et professeur à l'Université de Columbia, a donné une conférence TED puissante plaidant pour la dépénalisation de toutes les drogues, défiant les stéréotypes racistes et classicistes à propos de l'usage des drogues et appelant à une nouvelle approche de la consommation des substances psychoactives.
 
Hart souligne que les usagers de drogues ne doivent pas être diabolisés et tous regroupés dans la même catégorie avec quelques puissants exemples:
 
- "J'ai grandi dans la hotte à Miami dans un quartier pauvre. Je viens d'une communauté dans laquelle l'usage de drogues prévalait. Je gardais un pistolet dans ma voiture. Je me suis engagé dans la petite criminalité. Je utilisé et vendu des médicaments. Mais dit-il, je me tiens devant vous aujourd'hui, mettant l'accent sur le fait qu'il est également professeur à l'Université de Columbia et étudie la toxicomanie ".
 
-"80 à 90 pour cent des personnes qui utilisent des drogues illégales ne sont pas toxicomanes. Ils n'ont pas de problématique de drogues. La plupart sont des membres responsables de notre société. Ils travaillent. Ils paient leurs impôts. Ils prennent soin de leurs familles. Et dans certains cas, ils sont même devenu président des États-Unis ".
 
Ce serait même le président des États-Unis qui aurait récemment dit que nous devions "suivre la science, et non l'idéologie" en ce qui concerne la législation sur la drogue.
 




 
Le discours de Hart dure 19 minutes, mais vaut bien ce temps, le voyant mettre en avant des modèles pour traiter les infractions relatives aux drogues de bas niveau, comme des amendes de trafic et en soulignant la spirale descendante auto-entretenue d'incarcération qui vient avec une approche punitive de l'usage de drogues.
 
Quelques citations clés:
"Les gens vont toujours consommer des drogues. Ils ont toujours utilisé des drogues. Nous devons apprendre à vivre avec cet état de fait."

"Ce que je sais c'est que les drogues proprement dites ne sont pas le problème."

"Chaque année, nous arrêtons 1,5 million de personnes dans ce pays pour des violations du droit de la drogue, et 80% de ceux-ci le sont pour simple possession de drogue. La dépénalisation de la possession aurait un impact énorme."

"Je pense que nous devrions dépénaliser toutes les drogues."

[Référence à une étude] "Quand $ 20 était l'alternative, les utilisateurs de méthamphétamine n'ont presque jamais pris le médicament."

Source: https://www.independent.co.uk/news/world/americas/neuroscientist-carl-hart-people-will-always-use-drugs-we-must-learn-to-live-with-this-fact-10435621.html
 
vu Dad
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Par Indi-Punky,
Sensi Seeds a réalisé une interview de Tommy Chong, acteur, comédien, auteur, musicien et activiste dédié, durant son « Weed & Greet » aux Pays-Bas, qui était sponsorisé par Futurola et RollingStoned.
 
Notre conversation a vite montré que ses connaissances et son dévouement à la plante de cannabis vont au-delà de ses talents humoristiques. Il nous le prouve dans cet épisode en expliquant comment la DEA (Drug Enforcement Administration) opère partout dans le monde.
 
SensiBilisation est une série de Sensi Seeds mettant en valeur une variété de personnalités de l’industrie du cannabis. Il nous reste une vidéo en compagnie de Tommy Chong à vous dévoiler. Puis, nous nous pencherons sur notre rencontre avec l’ancien Secrétaire General du Comité National des Drogues en Uruguay, Julio Calzada.
 

http://vimeo.com/133453062

 
Cliquez sur « CC » pour afficher les sous-titres en anglais, français, espagnol, allemand ou néerlandais.
 
Source: sensiseeds.com
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Par ivrognestein,
Comme vous l'avez peut-être déjà constaté, le cannabis et la bière vont très bien ensemble. Mais leur connexion va au-delà du goût : le houblon et le cannabis sont plus proches que ce que vous pourriez penser.
Comme le définit le reinheitsgebot – la loi allemande de pureté de la bière – les seuls ingrédients pouvant être utilisés pour faire de la bière sont de l'eau, l'orge et le houblon. Le houblon, utilisé pour ajouter de l'arôme et de la stabilité à la bière, est particulièrement intéressant pour nous. En effet, aussi surprenant que ce soit, les houblons sont un membre de la famille des plants de cannabis : cannabaceae.
 
LA CONNEXION CANNABIS-HOUBLON
Même si le houblon partage la même famille botanique que le cannabis, il ne contient pas les mêmes composés psychoactifs que le cannabis. De plus, le houblon n'est pas le composant de la bière qui provoque l'ivresse : c'est l'alcool produit par le procédé de fermentation qui la provoque. Le houblon donne de l'acidité et des huiles qui affectent le goût et l'odeur de la bière, les bières très houblonnées ayant un goût très amer. Le houblon empêche également la croissance de certains types de bactéries, ce qui en fait une addition importante pour la stabilité du mélange.
Mais, et c'est plus important, le houblon a des effets psychoactifs par lui-même. Même si léger par nature, le houblon contribue aux effets relaxants et sédatifs de la bière. En fait, le houblon est utilisé comme remède naturel depuis très longtemps. La plante a été utilisée pour traiter les troubles du sommeil, les symptômes d'anxiété, les troubles menstruels et une variété d'autres troubles du système nerveux.
Deux idées viennent naturellement à l'esprit quand on pense à la relation cannabis-houblon. La première : est-il possible de croiser du houblon avec du cannabis pour faire pousser un hybride de houblon avec du THC ? Malheureusement non, l'expérience a été tentée de nombreuses fois et elle ne marche pas. Mais l'autre idée évidente est de simplement infuser du cannabis dans de la bière. Et oui, c'est possible, et ça a déjà été fait avec succès.
 
COMMENT FAIRE DE LA BIÈRE AU CANNABIS
La bière au cannabis est quelque chose qui a été produit depuis longtemps par plusieurs brasseurs amateurs discrets. Cependant, trouver une bonne recette peut s'avérer frustrant, car les brasseurs expérimentés sont peu bavards sur le sujet, et les forums spécialisés sont vagues et peu précis dans les instructions données. Voilà pourquoi il peut être assez difficile d'avoir une bonne recette.
Heureusement, avec le vent des réformes et la légalisation de la consommation à but récréatif dans les États de Washington et du Colorado, la bière au cannabis vit une seconde naissance. Il est à présent possible de trouver des instructions en ligne bien plus précises et utiles, et certaines brasseries au Colorado en produisent même. Un bon exemple de ce genre de brasserie est la Redhook Ale Brewery, qui distribue sa nouvelle bière “Joint Effort Hemp Ale” dans l’État de Washington. Une telle distribution les met à l'abri d'une intervention fédérale, car le gouvernement fédéral ne peut intervenir que dans le commerce inter-États. Même le levier de la pression pour verser les bières dans les bars sait de quoi il s'agit : c'est un bang en état de marche !
 

Alors, vous êtes tenté d'ajouter du cannabis dans votre bière faite maison ? Les étapes suivantes vous donneront une bonne idée de ce qu'il faut faire pour le faire correctement, si toutefois vous êtes déjà familier avec le processus du brassage. De plus, n'hésitez pas à faire des expériences : ce ne sont que des instructions générales.
Avant d'être utilisé dans le brassage, le cannabis doit être correctement séché. Ensuite, trempez les matières végétales dans de l'eau froide pendant quelques heures. Ceci aide à éliminer la chlorophylle en excédent associée au goût désagréable rencontré parfois avec des têtes dont le séchage/curing n'a pas été bien effectué. Il faut également noter que si utiliser les plus belles têtes pour brasser peut être bénéfique, c'est considéré par beaucoup comme étant du gaspillage., Les résidus de taille, les feuilles et les tiges peuvent être utilisés car ils contiennent aussi des cannabinoïdes. Vous n'avez pas besoin d'utiliser votre meilleure herbe.
En essence, pour ajouter du cannabis lors d'un brassage maison, ajoutez-le en même temps que le houblon, et laissez-le autant de temps que le houblon. Les cannabinoïdes sont solubles dans l'alcool et les graisses et ils se dissoudrons dans le mélange lors de la fermentation. Il est préférable de le faire avec un filet en nylon, qui sert de « sachet de thé », tout comme beaucoup de personnes le font pour le houblon. Ces filets peuvent être achetés dans la plupart des magasins de brassage.
Pour ce qui est de la quantité de cannabis à utiliser, certains utilisent environ 30 grammes pour 5 litres de liquide. La force du produit fini dépend largement de la puissance du cannabis utilisé. Il est préférable d'utiliser ce ration comme point de départ et d'adapter ensuite les quantités utilisés au cours des brassages suivants jusqu'à trouver le point d'équilibre. Ceci ne devrait pas être un problème pour la plupart des brasseurs expérimentés, car le brassage change souvent et évolue d'une fois sur l'autre.
 
Source: zamnesia.fr
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Par Indi-Punky,
Dans CRIMINELS 2.0, sur 13e Rue le comédien Philippe Bas endosse pour la première fois le rôle d’animateur et retrace les destins hors du commun d’hommes et de femmes dont la réalité a dépassé la fiction. Des personnages aux talents exceptionnels mais aux égos surdimensionnés, qui ont tous, un jour, basculé dans l’illégalité.
 
Le 21 juillet à 22h30, numéro consacré à Arjan Roskam.
 
Ce Hollandais à l’origine vendeur dans un petit coffee shop d’Amsterdam a bâti, en quelques années, un empire financier pour le moins insolite. Celui qui se surnomme lui-même « le roi du cannabis » est à la tête de la « Green House Seed Company », la plus grosse entreprise de vente de graines de cannabis en Hollande. En renouvelant le concept du coffee shop,
 
Arjan Roskam a su attirer les célébrités du monde entier. Ce génie du marketing ne s’arrête pas là. Il crée en 2008 sa propre série de télé-réalité sur Internet, « Chasseurs de souches », où les téléspectateurs peuvent suivre sa quête du cannabis parfait et ses expériences les plus folles. Avec des pointes à 2 millions de vues pour certains épisodes, Arjan Roskam a su mettre en scène son incroyable parcours. Mais autour de sa fortune et de sa personnalité règne toujours un parfum de mystère absolu...
 
CRIMINELS 2.0 est produit par Let’s Pix. Rédacteur en chef : Yoan Zerbit.
 
Source: https://www.leblogtvn...-13eme-rue.html
 
La vidéo sur dailymotion, Merci a Cannabis info
 
https://www.dailymotion.com/video/x2z3sns_criminels-2-0-arjan-roskam-le-roi-du-cannabis_webcam
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Par mrpolo,
Des chiffres du ministère de l'Intérieur indiquent que la détention et la consommation de cannabis est en hausse chez nous. Entre petits producteurs locaux et grosses filières de trafiquants, de plus en plus jeunes sont adeptes du cannabis.



Pour le RTLINFO 13H, Vincent Jamoulle et Julien Rawet ont rencontré deux consommateurs, l’un deux fait pousser du cannabis au fond de son jardin.
 
L"émission en vidéo
 
Mélanger l’herbe au tabac, rouler un joint, fumer: depuis plus de 20 ans, le cannabis fait partie de la vie de Paul. "Je suis très nerveux, c’est un calmant naturel, on va dire. Moi j’aime fumer, je n’arrêterai pas. Tout le monde peut en faire pousser très facilement, il n’y a pas besoin d’être un ingénieur ou quoi que ce soit".
 
 
"Je préfère cultiver moi-même dans mon jardin"
 
Et c’est justement ce qu’a fait Emile, discrètement au fond de son jardin. Une dizaine de plants y poussent sous serre: "C’est complètement naturel, chaque année je récupère des graines, je les mets dans le sol, et chaque année, ça continue comme ça, donc ça ne me coûte rien, et je ne vais pas enrichir quelqu’un de malhonnête, je préfère cultiver moi-même dans mon jardin, c’est plus facile".
 
 
"Ca n'arrêtera jamais"
 
Par rapport à la détention et à l’usage du cannabis, la loi belge est floue et son application très variable selon les arrondissements judiciaires. De très nombreux jeunes fument sans avoir le moindre sentiment d’être dans l’illégalité. Autant de clients potentiels pour les trafiquants. Résine de cannabis venue d’Afrique du Nord ou du Moyen-Orient ou filières de culture sur le sol belge: grâce au matériel et au savoir-faire hollandais, le cannabis est à tous les coins de rue. "On en trouve partout, facilement, y’a énormément de gens qui en produisent. C’est un marché, donc tous les gens qui sont un peu malins, il y a de l’offre et de la demande, donc ça n’arrêtera jamais", commente Paul.
 
 
Une filière rentable et moins risquée?
 
Entre 2012 et 2014, le nombre de dossiers judiciaires ouverts en Belgique pour détention est passé de 21.000 à 30.000, soit une augmentation de 40%. Les dossiers concernant la vente ont augmenté de 20%. En parallèle, le nombre de braquages et de vols avec violence est en diminution, une partie du milieu du grand banditisme a peut-être choisi de prendre moins de risques en s’orientant vers la filière, au moins aussi rentable, du cannabis.
 
 
Quand la consommation pose problème
 
Ces dernières années, le centre Nadja a fait beaucoup d’efforts pour se faire connaître auprès des fumeurs de joints qui rencontreraient des problèmes. Peu de jeunes poussent la porte, ce sont les parents, inquiets, qui appellent. "Plein de jeunes fument du cannabis de façon très récréative, gèrent très bien leur consommation, et n’ont pas de difficultés avec le cannabis. Mais c’est vrai que quand ce produit-là est associé à d’autres problématiques, on va dire que c’est un produit qui facilite les choses", explique Dominique Humblet, psychothérapeute au centre. Et dans ce cas, le cannabis a tendance à favoriser le repli sur soi, l’inactivité et le décrochage scolaire.
 
Source: rtl.be
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Par mrpolo,
La mode des box se porte plutôt bien. Elle se décline même à l’infini : aux États-Unis, il est désormais possible de souscrire à une box qui vous livrera chaque mois un petit stock de weed.
Des rasoirs, des produits de beauté, des sous-vêtements, et maintenant, de l’herbe ! Reprenant le système d’abonnement mensuel si cher aux box, la Potbox se réclame comme la première de sa catégorie à vous fournir de la weed à chaque début de mois, dans votre boîte aux lettres. Et pas n’importe laquelle : il est ici question d’herbe de qualité.
 
Mais attention : le service, pour le moment réservé à l’état de Californie, se destine uniquement à ceux autorisés à utiliser la marijuana à des fins médicinales. A terme, la Potbox pourrait envahir les états où est autorisée la consommation de cannabis à des fins récréatives. En attendant, il faudra débourser 149,95 dollars pour cette box, contenant deux fois 7g de weed, et deux joints déjà roulés.



 
Source: leshommesmodernes.com
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Par mrpolo,
C’est l’une des conséquences inattendues de la loi très controversée sur la restauration de la liberté religieuse promulguée par l’état de l’Indiana (nord des États-Unis). « L’église du Canabis », reconnue comme corporation religieuse, va ouvrir ses portes ce 1er juillet.
 
Même si l’usage du cannabis pour une consommation personnelle ou à des fins médicales reste interdit en Indiana, le « Religious freedom restauration act » affirme, lui, qu’il est désormais illégal pour l’État « d’entraver substantiellement la liberté religieuse d’un individu ».
 
« Si quelqu’un fume dans notre Église, que Dieu le bénisse »
Bill Levin, le fondateur peroxydé de l’Église, a donc foncé sur l’occasion pour créer sa congrégation dédiée à la plante aux vertus médicinales. Et comme le souligne le Washington Post, la secrétaire d’État de l’Indiana Connie Lawson, n’a pu faire autrement qu’approuver sa requête en précisant toutefois que l’Église devrait être « basée sur l’amour, la compréhension et la compassion pour tous ».
 



 
Celui que certains médias surnomment déjà le « pape de la Weed » ne l’entend pas autrement. « Nous projetons de faire toutes les bonnes choses que les autres églises font. Célébrer la vie, l’amour, la compassion, et la santé. Tout le monde vivra de façon heureuse, spirituelle, et en bonne santé. », a répondu Bill Levin… avant de préciser que l’église pourrait faire pousser ses propres plants de cannabis et que la plante serait utilisée comme sacrement. Et de lâcher : « Si quelqu’un fume dans notre Église, que Dieu le bénisse ».
 

 
Et ce n’est plus qu’un toit qui manque à celui qui porte haut feuille de cannabis et Bible. Ben Levin, par ailleurs dirigeant d’une entreprise de marketing et de consulting et militant pour l’usage médical de la marijuana, a donc créé une page Facebook. Ses quelque 40.000 « likers » fidèles lui ont déjà fait don de plus de 2.000 dollars. Quant au projet de financement participatif lancé sur le site « Go Fund Me », il a, lui, déjà permis de rassembler plus de 15.000 dollars sur les 20.000 requis.
 
Bill Levin a annoncé, ce mercredi sur sa page Facebook, que la première messe, « pétard en bouche », devrait donc bel et bien être célébrée, avec ses ouailles appelées les « cannibiterians », le 1er juillet.
 
Source: 20minutes.fr
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Par Indi-Punky,
Alors qu'est ce que le Hash art ou le Spliffagami?
Le hash art est simplement de l'art fait a base de concentré (hash, dab etc)
 
Le spliffagami, vous connaissez l'origami? Ben là c'est pareil mais avec des spliffs (pétard)
Le premier concours d'art fumable de Denver, Colorado a eu lieu au 710 Social Club en Février.
 
 
 
 
Plusieurs catégories, sculpture sur "hash", Spliffogami etc
 
Voici quelques exemples de cet art nouveau.
 
Spliffogami:
 



 



 
Hash Art:
 












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Par mrpolo,
Installé à Denver (dans le Colorado, où l’usage récréatif de marijuana est désormais autorisé), le Rosenberg’s Bagels & Delicatessen a fait du saumon fumé au cannabis sa spécialité.
Un met aussi planant qu’il en à l’air ?
 
Le Smokers Club a fait le déplacement jusqu’à Denver pour goûter ce saumon infusé au THC, nouvelle attraction du Rosenberg’s Bagels & Delicatessen, un restaurant visiblement adepte de la tradition du 4/20. D’ailleurs, il semblerait que la recette soit tellement réussie que ses créateurs ambitionnent déjà de la distribuer dans toute la ville.
 
Vous faites partie de ceux ayant déjà goûté un « space cake » et vous n’avez pas été convaincu ? Sachez que ce saumon infusé n’a rien à voir, de l’avis du directeur du restaurant : « Le goût est excellent, ça n’a rien à voir avec ces brownies à la weed que vous tentez de noyer de chocolat pour noyer le goût. » Curieux.
 

 
Source: les hommes modernes
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Par Xtof06,
Des objets précieux vieux de 2.400 ans et pouvant donner lieu à une utilisation proche de celle des bongs ont été découverts à l’été 2013 dans les montagnes du Caucase, au sud de la Russie.
 
Cette découverte, gardée secrète jusqu’à présent pour protéger le site des pillards, se compose, selon le National Geographic, de plus de trois kilos d’or, à raison de deux récipients, trois coupes et des bijoux. «C’est le genre de découverte qu’on fait une fois par siècle», a expliqué au National Geographic Anton Gass, de la Prussian Cultural Heritage Foundation à Berlin.
 
Une analyse de résidus noirs laissés dans les récipients a permis de prouver la présence de traces d’opium et de cannabis, montrant que les récipients étaient a priori utilisés pour boire une concoction d’opium pendant que du cannabis brûlait à proximité.
 
«Le fait que les deux drogues aient été utilisées simultanément ne fait aucun doute», explique Anton Gass.
 
Le site Ancient Origins, dans une histoire du cannabis, soulignait récemment son usage par les Scythes, un peuple nomade présent dans la région:
 
On trouve des traces de leurs rites chez Hérodote :
 
«La marijuana a été introduite au Moyen-Orient entre 2.000 avant J.C. et 1.400 avant J.C., où elle était probablement utilisée par les Scythes, un groupe nomade indo-européen. […] Les Scythes ont introduit le cannabis en Europe par les monts de l'Altaï jusqu’en Allemagne il y a environ 2.800 ans.»
 
 
 
«Les Scythes plaçaient alors les plantes sur des pierres rougeoyantes; cela produisait une fumée telle qu’aucun bain grec ne pouvait la surpasser. Les Scythes, transportés par cette vapeur, criaient.»
 
Il y a déjà vingt ans, le site Cannabis Culture consacrait un long article à l’usage du cannabis chez les Scythes, qui soulignait notamment que l’épisode rapporté chez Hérodote avait été prouvé par la découverte, en 1929, d’une tombe scythe à Pazyryk, dans les monts de l'Altaï, par l'archéologue S. I. Rudenko. Cette découverte avait été suivie de l'excavation d'autres tombes en 1949, donnant lieu notamment à la popularisation du terme kurgan pour désigner ces sépultures.
 
 
https://www.youtube.com/watch?v=0Lr09EDK-Dk&feature=youtu.be
 
Source: slate.fr
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Par mrpolo,
A Seattle, où la légalisation du cannabis a été adopté, le magasin Uncle Ike’s Pot Shop vend désormais des dosettes de café infusées à la marijuana. De quoi « prendre une bonne dose d’énergie tout en restant calme » assure-t-on du côté des gérants.
 
 
Il est aussi bon qu’un café lambda assure-t-on à la direction de Uncle Ike’s Pot Shop, cette boutique spécialisée dans la vente de produits à base de marijuana, située à Seattle dans l’Etat de Washington, l’un des premiers à avoir adopté la légalisation de petites quantités de cannabis, en 2012. Leur nouveau produit, des dosettes de café infusées au cannabis est déjà un best-seler.
 
A priori, entre l’excitant café et le relaxant cannabis, on ne voit pas bien le rapport. Et pourtant, à en croire les gérants de la boutique, le mélange des deux produits permettrait à son consommateur d’avoir une bonne dose d’énergie, tout en restant calme. Ces dosettes de café comprennent 10 mg de THC, l’ingrédient actif du cannabis, soit le maximum autorisé par l’Etat de Washington en ce qui concerne les produits comestibles à base de marijuana.
 



« Au goût, rien ne change »
Quant au goût, rien ne change assure-t-on encore du côté de la boutique de Seattle. Le café au cannabis serait aussi bon qu’un café lambda. Le prix en revanche, n’est pas le même que celui d’un petit caoua au comptoir. Les dosettes de café à la marijuana sont vendue 10 dollars pièce (environ 9 euros). « Les gens peuvent rire du prix, mais quand on pense qu’une tasse de café au Starbucks est vendue entre 4 et 5 dollars, et que là vous profitez des effets sympathiques de la THC, ce n’est pas du tout un prix élevé » assure, au Daily News, Jennifer Lanzador, la responsable des ventes chez Uncle Ike’s Pot Shop.
 
Selon le journal, le café au cannabis n’est pas le seul produit étonnant commercialisé par Uncle Ike’s. On y trouve également des barres de chocolat, des sodas ou des cookies infusés au cannabis, et même un lubrifiant à la marijuana supposé augmenter le plaisir sexuel en relaxant les muscles du corps.
 
Source: cannabis-infos.com
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Par mrpolo,
Brunet & Neumann : Faut-il légaliser le cannabis en France ?
 
Eric Brunet, animateur radio sur RMC (Carrément Brunet), chroniqueur et essayiste français, et Laurent Neumann, précédemment Directeur de la Rédaction de Marianne, ont débattu sur les conséquences de la légalisation ou la dépénalisation du cannabis en France. Ils ont également proposé des solutions pour renforcer la lutte contre la consommation de cette drogue
 

 
La nouvelle prohibition ... toutefois, lorsque Neumann affirme qu’on n’en connaît pas les conséquences à long terme (de la consommation de cannabis), c’est très spectaculaire dit avec les "gros-yeux" et les sourcils froncés, ... mais c’est faux !
 
Et deux fois faux ! D’une part, la prohibition dure depuis 45 ans en France et les premières observations et études médicales datent du siècle 1800. S’il y avait eu un grave problème de santé publique, outre les problèmes imaginaires et/ou exagérés des paranos de la prohibition, ne vous en faites pas qu’ils ne l’auraient pas loupé ! Ensuite, la situation du Colorado et autres états US qui ont légalisés le cannabis récréatif, en font des laboratoires d’études. Ces gens ne se sont pas mis à fumer du jour au lendemain ... pour certains d’entre eux, cela fait des années ou des décennies que leur consommation perdure ! Et dans un cadre légal, ils n’ont plus de raisons de se cacher ou de mentir.
 
On peut déjà tester sur eux leurs poumons, leur sang, leur cerveau, leur trou de balle ... qu’on ne me dise pas le contraire. C’est bien beau de dire qu’on manque d’études et de recul et de tout faire à coté pour que telles études ne voient jamais le jour ! A propos, les amerlocs ne semblent pas se priver d’étudier et de breveter à tout va dans le domaine très vaste du cannabis. En France : Nada, rien ! On se contente de dire que cela fait pousser des oreilles aux fesses ou des trucs très improbables du même genre ! Comme le font Costentin et Gallibert !
 
Source : chanvre-info.ch/info
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Par kyu,
USA : La commercialisation de croquettes pour chien enrichies au cannabis fait débat
 
Aux Etats-Unis, l’usage du cannabis à visées thérapeutiques est en train de s’étendre aux animaux de compagnie. Il faut dire que l’année dernière, le marché légal du cannabis a rapporté 2,7 milliards de dollars de revenus. Certaines firmes pharmaceutiques ont décidé de surfer sur l’énorme potentiel de croissance de ce nouveau marché légal en proposant des produits destinés aux animaux domestiques malades.
 
La légalisation de la marijuana à usage vétérinaire n’a pas encore été votée. Pourtant, plusieurs Etats commercialisent déjà des produits dérivés au cannabis pour les chiens, notamment des croquettes à base de THC. Mais l’usage de cannabis à usage vétérinaire divise. Pour certains professionnels, ces produits dérivés ont de réels bienfaits sur les animaux. Mais pour d’autres, il manque encore de preuves scientifiques.
 



Le docteur Doug Kramer milite depuis plusieurs années pour la légalisation. Il applique lui-même de l’huile de cannabis sur la peau de son chien et il est convaincu des bienfaits de la substance sur les animaux. La proposition de loi n’en est qu’à ses débuts et il devrait encore falloir du temps avant qu’elle ne soit promulguée. Néanmoins, dans certains Etats comme le Colorado, la commercialisation d’aliments « santé » pour chiens enrichis au cannabis a d’ores et déjà commencé, même si le sujet continue de faire débat dans le milieu vétérinaire.
 



 



 
Source: cannabis-infos.com
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Par Indi-Punky,
Entretien avec Farid Ghehioueche de CSF (Cannabis sans frontière) suite à la Marche Mondiale du Cannabis.
 

 
 
Débat avec Jacques Boutault, maire EELV du IIème arr. de Paris ; Thierry Solère, député UMP (oups ! Les Républicains)
 

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Par kyu,
La nouvelle batterie Tesla pourrait devenir un atout pour les cultivateurs
 
Quiconque a déjà cultivé du cannabis à l'intérieur sait que cela prend beaucoup d'énergie. Comme les lampes qui sont gourmandes en energie ainsi que les ventilateurs et pompes et d'autres choses qui vont avec, et la facture d'électricité en prend un sacré coup.
 
j'ai entendu dire que les cultures intérieures utilisent environ 1% de l'électricité du pays ( suivant sa densité de population). L'appétit croissant pour l'énergie de l'industrie du cannabis est quelque chose qui inquiète les services publics des pays ou il est légalisé. Voilà pourquoi la nouvelle batterie Tesla pourrait être importante à l'industrie du cannabis dans un proche avenir.
 
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec la batterie Tesla, ci-dessous est une brève description par l'intermédiaire GizModo.Com :
Dévoilé hier soir, la nouvelle batterie Tesla donne aux propriétaires de maisons et aux entreprises une façon abordable et facile de stocker de l'électricité. La batterie de 10 kWh coûte $ 3500 et peut être "empilées" dans des boxes jusqu'à neuf unités.

Des batteries dont la capacité infiniment évolutive seront disponibles pour les grandes entreprises et les gouvernements. Il y a trois cas d'utilisation générales pour la batterie:
1/ stockage de l'électricité achetée , hors des heures de pointe de la consommation durant les périodes de forte demande
2/ stockage de l'électricité produite par l'énergie solaire ou d'autres sources d'énergie renouvelables
3/ et en tant que source d'alimentation de secours pour les services publics..lorsqu'une panne d'électricité se produit.

Quand un panneau solaire convertit la lumière en énergie, ou une éolienne , ou une autre forme d'énergie renouvelable est générée, il doit soit être utilisé , ou il doit être stocké. Sinon cela est perdu à jamais. Une éolienne peut tourner comme un folle, et générer beaucoup d'électricité, mais sans un moyen de stocker ou de l'utiliser immédiatement, elle pourrait tout aussi bien être un ornement sur-dimensionné dans votre jardin. Voilà une raison majeure pour laquelle la nouvelle batterie Tesla pourrait se révéler être d'une grande utilité , pour l'industrie du cannabis et au-delà.
 
Source: cannabis-infos.com
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Par kyu,
La légalisation du cannabis risque de mettre les chiens policiers au chômage
 
Ils sont dressés pour détecter la substance, désormais légale dans certains Etats des Etats-Unis, ce qui peut poser de nombreux problèmes juridiques et financiers.
 
Le 1er juillet, le cannabis deviendra officiellement légal en Oregon, un Etat de la côte ouest des Etats-Unis. C'est une bonne nouvelle pour les amateurs de joints, mais pas pour les chiens renifleurs employés par la police locale.
 
 

Chien policier à Arlington, en Virginie | Elvert Barnes via FlickrCC License by


 
 
En effet, les brigades canines spécialisées dans la détection de drogue sont dressées pour repérer aussi bien de l'héroïne et de la cocaïne que du cannabis, mais lorsqu'ils aboient ou s'immobilisent pour dire qu'ils ont trouvé quelque chose, ils ne sont pas en mesure de préciser s'il s'agit d'un kilo de méthamphétamines ou de quelques grammes de haschich. En bref, si les chiens continuent de signaler une substance désormais légale, ils pourraient faire perdre beaucoup de temps aux policiers locaux, rapporte le Seattle Times.
 
Cela pose aussi des problèmes juridiques. En effet, pour fouiller légalement une personne ou un lieu, un policier doit avoir une raison suffisante, et la détection par un chien d'une odeur de drogue est considérée comme une raison suffisante. Or, si les chiens continuent de signaler la marijuana, une susbtance légale, cela pourrait mener à des fouilles considérées comme illégales.
 
Comme il est difficile de modifier les réflexes d'un chien en matière de détection de drogues, une soixantaine de membres de la brigade canine seront probablement au chômage dans l'Oregon, même si les policiers préfèrent parler de retraite anticipée.
 
Le Seattle Times rapporte que la police de la ville de Medford a demandé 24.000 dollars à la municipalité pour embaucher de nouveaux chiens qui ne signaleront plus que les drogues dures.
 
Le même problème s'était posé dans le Colorado et l'Etat de Washington, où la légalisation est en place depuis 2013. La police de Seattle a par exemple commencé à essayer de désensibiliser les chiens au cannabis, mais les experts ne sont pas sûrs de l'efficacité de ce processus.
 
Certains chiens pourraient se retrouver à travailler en prison, où la possession de cannabis continue d'être illégale.
 
Source: slate.fr
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Par kyu,
"Du cannabis sur ordonnance ?" par X:enius (ARTE)
 
 
 
ARTE - X:enius Diffusé le mardi 28 Avril à 8h25
Programme TV Xenius et info ; https://programme-tv.francetv.fr/emi...
Du cannabis sur ordonnance ?
Durée : 25 min
Genre : Magazine
Présentateurs : Emilie Langlade ; Adrian Pflug
Tous publics / 16:9 / VOST / Diffusion HD
 
Sommaire :
Certaines substances actives du cannabis ont des vertus thérapeutiques. Aux États-Unis, certains États ont légalisé sa consommation. En France, la législation est répressive, tandis qu’en Allemagne, cette substance peut être prescrite dans certaines conditions. Comment agit le cannabis ? Quels sont les arguments pour ou contre son utilisation médicale ?

Cliquez sur l'image pour voir l'émission.
Merci a chanvre info pour cette découverte.
 
Source: chanvre-info.ch
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Par kyu,
Cannabis : un marché florissant
Documentaire Intelligence économique - France24
Aux États-Unis, le marché du cannabis rapporte déjà des milliards de dollars. Dans le Colorado, cette planante industrie est en plein essor : des entreprises se créent, les emplois fleurissent par milliers et l’État encaisse des dizaines de millions de dollars. Mais qu'en est-il de l'Europe ?
L'Europe a encore peu d'expérience sur le marché du cannabis. À Amsterdam, il suffit de se promener dans les rues pour constater que cet or vert rapporte, même si ce commerce n'est pas totalement assumé par les autorités néerlandaises.
 
=> voir l'émission "Cannabis : un marché florissant"
 
Source: france24.com
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Par kyu,
"Il fait des œuvres d’art avec du cannabis... Et le résultat est franchement réussi !" par Mélanie Bonvard (le Demotivateur)
 
 
Cannabis ... et feuilles de tabac ! Les objets d’arts sont "fourrés" à 100 % de Weed et la déco est en hasch, en huile ou en BHO (et teinture mère pour les pièces assombries) !
 
Il fait des œuvres d’art avec du cannabis... Et le résultat est franchement réussi !
 
Le cannabis, ce n’est pas seulement fait pour être fumé... Un homme a réussi à en faire bon usage en créant des œuvres d’art avec.
A première vue, on peut trouver le concept quelque peu étrange. Mais croyez-le ou non, le résultat est franchement impressionnant !
Comme quoi, on peut faire de l’art, et de qualité, avec tout. La créativité n’a pas de limites ! Jugez par vous-même :
 
1. Le petit homme en cannabis.
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2. Un avion.
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3. Love on top.
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4. Arme de guerre.
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5. Une poule.
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6. Le cannabis version couteau.
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7. Finie la cigarette... Retour à la pipe !
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8. Petite pieuvre faite maison.
 

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9. Une partie de rugby ça vous dit ?
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10. Le monde des sorciers revisité.
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11. Faire une feuille de cannabis... Avec du cannabis.

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12. Conception florale.

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13. Snake.
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Source : Matterdome.com

 
 
Par Mélanie Bonvard https://www.demotivateur.fr/article-...
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