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Planer En Toute Légalité Dans Le Monde Entier Avec Un Joint Électronique Néerlandais
Par kyu,

Planer en toute légalité dans le monde entier avec un joint électronique néerlandais
 
La société néerlandaise E-njoint a récemment lancé un nouveau produit de vapotage pour son célèbre joint électronique, infusé avec un goût et une odeur authentiques de cannabis. Ce joint électronique aromatisé au cannabis est totalement légal et fait planer légèrement les fumeurs du monde entier ne pouvant fumer légalement du cannabis là où ils vivent.
 

 
Lorsque la société E-njoint BV a introduit le premier joint électronique en 2014, il ne contenait que des saveurs naturelles de fruits. La société a développé secrètement l'an passé une formule unique et authentique de cannabis, en travaillant avec des laboratoires de recherche de pointe en Europe et aux États-Unis. Grâce à ces recherches, la société à découvert que les composants organiques donnant au cannabis son goût et sa saveur, appelés terpènes, aident aussi à orienter et augmenter les différents niveaux d'intoxication associés aux différentes variétés de cannabis. La société espère provoquer une petite révolution dans l'univers des fumeurs avec le lancement récent de cette nouvelle formule. « Ce joint électronique va faire certainement réagir de nombreux gouvernements et autorités puritains », a déclaré la direction de la société E-njoint.
 
Un joint qui donne la sensation de planer
Comme le joint électronique ne contient pas de THC, de CBD, de nicotine, de goudron ni de toxines, il est totalement légal mais apporte néanmoins aux fumeurs la sensation de planer. Les terpènes utilisés pour créer l'arôme de cannabis du joint électronique ont été personnalisés pour provoquer une gamme d'effets sur l'utilisateur, tels que la relaxation musculaire, l'amélioration de l'humeur, la vivacité et autres. Tous les ingrédients sont naturels et largement utilisés dans le secteur de l'alimentation et de la boisson. Les ingrédients sont non-toxiques et parfaitement légaux dans le monde entier.
 
L'effet du vrai cannabis accru
L'E-njoint aromatisé au cannabis peut aussi augmenter les effets du vrai cannabis tout en diminuant la dose utilisée. Des études ont montré que lorsque des terpènes sont consommés en conjonction avec du vrai cannabis, les effets de ce dernier sont accrus de façon importante, diminuant ainsi la dose de cannabis dont le fumeur a besoin pour obtenir l'effet qu'il souhaite. Pour les clients qui ne consomment pas de cannabis, l'arôme de cannabis du joint électronique offre une alternative sûre et légale continuant de garantir des moments agréables.
 
Source: mcetv.fr
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Par kyu,
Les fondateurs de Ben & Jerry's ont révélé que si la marijuana venait à être légalisée partout aux Etats-Unis, ils ne seraient pas contre proposer une glace saveur cannabis. Alors à quand une BJ's saveur Stoner's Delight .
 

 
meltyFood n'a pas besoin de vous rappeler que Ben & Jerry's est l'une des marques de glace les plus excitantes du marché. Elle parvient à proposer des produits combinant gourmandise et humour. On est ainsi très fan des packaging et des saveurs originales que proposent la marque. Dernièrement c'est Jimmy Fallon qui bénéficiait de sa propre Ben & Jerry's intitulée "The Tonight Dough". Les américains les plus chanceux ont ainsi pu goûter une glace caramel, chocolat, pépite de chocolat et beurre de cacahuète venant célébrer le présentateur élu "humoriste de l'année". Invités du Huffington Post Live, les fondateurs de la marque , Ben Cohen & Jerry Greenfield, ont expliqué qu'ils ne seraient pas contre lancer une Ben & Jerry's saveur cannabis. On vous en dit plus juste après la vidéo.
 

 
Ben Cohen & Jerry Greenfield sont, comme vous avez pu le voir ci-dessus, fermement en faveur de la légalisation de la marijuana aux Etats-Unis. Il est d'ailleurs déjà possible de consommer du cannabis dans 5 Etats-Américains (Alaska, Colorada, Oregon, Washington et Washington DC). Après lesupermarché américain Whole Foods qui s'est dit prêt à vendre du cannabis, on n'est pas étonné que Ben & Jerry's se prononce en faveur d'un produit contenant de la marijuana. Aux Etats-Unis, la food s'est emparée depuis quelques années du phénomène, on trouve ainsi des livres de cuisine pour cuisiner le cannabis, y compris dans des Etats où celui-ci n'a pas (encore) été légalisé. Les amateurs de fumette n'ont plus qu'à surveiller les congélateurs pour voir apparaître dans le futur une Ben & Jerry's saveur Stoner's Delight...
 
Source:meltyfood.fr
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Par kyu,
Bientôt des jeunes qui fument du cannabis à la télé française ?
 

 
Scandale ! Après l’alcool, le cannabis. La Nouvelle Edition de Canal+ du 23 février annonce que l’addictologue Philippe Batel a tourné un pilote dans lequel des jeunes fument de la drogue.
 
Dans Alcootest l’année dernière sur France 4, des jeunes gens ingurgitaient de l’alcool sous l’œil des caméras. La pilule a eu du mal à passer et, avant comme après sa diffusion, le programme animé par OlivierDelacroix a fait quelques remous.
 
Dans le même Alcootest, diffusé en octobre 2014 et qui avait pour objectif de mettre en lumière l’incidence de l’alcool sur le cerveau, le corps et les relations sociales, intervenait le Dr Philippe Batel, spécialiste des addictions. Interrogé le 23 février dans La Nouvelle Edition sur Canal+, l’addictologue a expliqué : « Montrer à la télévision par des expériences bordées par des scientifiques pointus sur le sujet comment le cannabis va fonctionner sur le cerveau et le paralyser, je trouve que c’est très parlant pour les adolescents. J’ai le projet de montrer comment des ados qui ont une chose très simple à faire comme choisir dans une après-midi entre un restaurant et un ciné sont incapables de le faire après avoir consommé du cannabis. »
 
Que va en penser le CSA ? Quelle chaîne va se risquer à diffuser un tel programme ? Réponse bientôt.
 
Source: programme.tv
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Par kyu,
Dispositif de détection de cannabis arrive en 2015

 
Les savants fous de la prohibition de la marijuana sont mordicus à sucer tout le plaisir de se faire lapider dans leschambres d'hôtel et les propriétés de location avec l'invention d'un nouveau détecteur de fumée qui détecte les composés de marijuana. Conçu principalement comme un mécanisme pour vous balancer aux propriétaires et a l'industrie hôteliere, AirGuard fonctionne quasiment comme un détecteur de fumée, mais plutôt que de faire sonner une alarme désagréable, ce rat mécanique envoie un message en wifi à un tiers en expliquant que leur locataire s’éclate un joint.
 
Ce qui rend la création de ce détecteur intrusive si effrayant, c’est qu'il détecte notamment les fumés imprégné, ce qui signifie qu'il peut alerter, même si les vêtements d'une personne ayant des relent de cannabis. Bien que la majorité des propriétaires et gérants de l'hôtelerie ne se préoccupera pas d’une douce bien forte, l’aspect du dispositif considéré comme particulier sera utilisé pour révéler des traces de fumée dans les tapis et les meubles - une fonctionnalité qui pourrait forcer les locataires à renoncer à des dépôts de garantie pour avoir omis de se conformer à aucune politique anti cannabinophile.
 
AirGuard sera disponible en deux modèles détournés: un détecteur de plug-in qui s’insère dans la prise électrique typique et une unité portable qui tient dans la paume de votre main. Le modèle de sortie se connecte à un réseau via wifi, tandis que la version de poche s’active en utilisant une application Android via Bluetooth.
 
Fresh Air Sensor Corporation, la société responsable du développement de ce produit, les demandes des hôtels, des complexes multi-unités et même des dortoirs de collèges auront la possibilité d'envoyer le signal de fumée directement au propriétaire de la propriété, ou même la police, ce qui pourrait poser un certain questions juridiques graves pour ceux qui résident dans les états d'interdiction.
 
Et vous pouvez oublier tous ces anciennes méthodes scolaires utilisés pour déjouer les systèmes de détection de fumée traditionnelle - AirGuard prétend être inviolable et imperméable à cannabinophile ingénieux .
 
Le dispositif sera disponible au printemps 2015.
 
Source: hightimes.com
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Par Indi-Punky,
L’erreur est à peine croyable !
 
Alors qu’ils étaient chargés de planter du gazon pour le printemps, des jardiniers municipaux russes se sont totalement trompés dans le choix des graines.
Quelques mois après la plantation, ce n’est pas de la pelouse qui a poussé mais des plants de cannabis…
 
Amusés, les habitants de la ville de Krasnoïarsk ont posté des photos sur les réseaux sociaux.
 
 
 
 
 
 
 
 
 



 



 



 
 
Source: https://www.quoidenews.fr/2014/06/23/russie-des-jardiniers-municipaux-se-trompent-de-graine-et-plantent-du-cannabis-a-la-place-du-gazon/
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Par Invité,
Avec un nombre croissant de dealers – dont la plupart n'ont pas de visa et aucun autre moyen de subsistance –, le parc est devenu le théâtre d'agressions fréquentes et attire de plus en plus l'attention des médias. L'an dernier, Monika Hermann, maire de Kreuzberg, a proposé l'ouverture d'un coffee shop afin que les autorités reprennent la situation en main. Le Sénat a rejeté sa proposition alors que la situation ne cessait de se dégrader.
 
Ces derniers jours, une vidéo YouTube est apparue sur les réseaux sociaux allemands. Face à un van hippie garé au milieu du désert du Sahara, un type annonce qu'il ouvrira un coffee shop à Görlitzer Park le 21 juin prochain. Il prétend que son entreprise est déjà enregistrée et dit détenir une autorisation à vendre du haschisch marocain. Il présente ensuite les différentes variétés de cannabis qu'il compte vendre, avant de crier « Venez à Görlitzer Park ! J'aurai des tonnes de cannabis avec moi ! »
 
Ce type s'appelle Oliver Becker et se présente comme « militant pro-cannabis de la première heure ». Je l'ai appelé afin d'en savoir plus sur son projet.
 
VICE : Bonjour Oliver. Je viens de regarder votre vidéo sur YouTube. Vous êtes sérieux ?
Oliver Becker : Bien sûr que je suis sérieux ! Ce n'est pas une blague. Je suis membre de l'Association du Chanvre en Allemagne depuis très longtemps. Pour moi, le 21 juin est le jour idéal – l'Allemagne affrontera le Ghana à la Coupe du monde – et le Görlitzer Park est l'endroit parfait pour débuter. L'inauguration d'un coffee shop est le signal qu'il faut, et je suis la personne nécessaire à ça. J'aimerais beaucoup que ça devienne un gros truc, une sorte de Woodstock berlinois.
 
Quel est votre plan ?
Je vais me pointer en camping-car au parc et installer une pancarte sur laquelle sera écrit « coffee shop itinérant ». J'ai aussi un sound system. On verra ce qui va se passer.
 
Donc, vous avez une autorisation ?
Je suis allé à la Chambre de commerce. Je savais que le mec qui s'en occupait était assez jeune, alors j'en ai profité pour y aller franco. Ça se voyait qu'il avait fait la fête la veille. Je lui ai annoncé que je voulais ouvrir une entreprise d'import/export de cannabis marocain. Il m'a dit que c'était illégal, ce à quoi j'ai répondu du tac au tac : « Nan, il faut juste une autorisation ». Et il m'a donné une licence.
 
Pas mal.
Oui, mais 45 minutes plus tard, après vérification, il m'a rappelé et m'a demandé de revenir afin d'annuler ma licence – ce que j'ai fait.
 
Vous y êtes retourné ?
Oui, je n'ai pas voulu lui causer du tort. Cette licence m'a coûté 45€. Mais même annulé, ce certificat me donne une grande liberté d'action avec les autorités marocaines. J'ai désormais quelque chose qui prouve que l'import de haschisch marocain en Allemagne est mon activité principale. En parallèle, j'ai aussi décidé d'écrire au roi du Maroc afin de le rencontrer.
 
Vous n'avez pas peur des autorités marocaines ?
Pas du tout. Je n'ai jamais le moindre gramme sur moi. Si je me trimballais avec plusieurs kilos de cannabis, il est évident que je pourrais avoir des problèmes. Mais ils ne trouveront rien sur moi. J'ai même arrêté de fumer. Ils pourraient me faire une analyse sanguine, ils ne trouveraient rien.
 
Comment comptez-vous vous y prendre pour importer du cannabis en Allemagne ?
Importer la came personnellement est un autre problème. Je fais partie du milieu pro-cannabis depuis longtemps, j'ai quelques contacts en Allemagne qui dealent de grandes quantités, donc je me tournerai vers eux.
 
Vous ne prendrez pas l'avion avec une valise remplie de cannabis ?
Non. Et même si je compte installer mon camion dans le parc, ça ne veut pas dire que j'aurai quoi que ce soit sur moi ou à bord. Je pense plutôt travailler avec quelqu'un d'extérieur qui me livrerait ce qu'il faut. Il y a plein d'options.
 

 
Le camping-car d'Oliver dans le désert du Sahara
 
Que se passera-t-il si la police veut vous arrêter ? Désormais, tout le monde est au courant de vos intentions.
Si on m'arrête, je ferais une grève de la faim. Je refuse que cette histoire prenne une tournure violente ; je ne veux pas que des gauchistes radicaux viennent jeter des pierres. Je me rendrais sans faire d'histoires. Si ça arrive, j'espère que je recevrais assez de soutien pour tenir jusqu'au 9 août, date de la marche annuelle pour la légalisation du cannabis à Berlin.
 
Vous feriez donc une grève de la faim de 50 jours ?
Oui, et je vais m'y tenir, même si je suis diabétique.
 
Espérons que vous n'aurez pas besoin d'en arriver là.
Oui. Je ne pense pas que les choses prendront une telle tournure. Je compte tenir la police au courant de ce qui se passe. J'ai d'ailleurs écrit au maire et au député de Kreuzberg en leur demandant de discuter de mon projet avec le préfet de police. Je compte invoquer la Constitution en cas d'interpellation.
 
C'est donc un acte de résistance avant tout ?
Totalement. C'est de la résistance au sens de l'article 20 de la Constitution : « Tout Allemand a le droit de résister quand les autres moyens sont hors de sa portée ». Selon moi, tout individu emprisonné pour une histoire de cannabis est un prisonnier politique. Il faut savoir qu'en parallèle, Marlen Mörtele, notre commissaire aux drogues, fait la promotion de l'alcool. Ça me paraît inacceptable. Je souhaite m'élever contre ça.
 
Quand 120 spécialistes du droit conseillent au Parlement de légaliser le cannabis et que rien ne change, la parole revient aux citoyens. C'est la raison pour laquelle je compte agir. Je veux une révolution – ou une évolution. Je veux que les choses changent.
 
Vous avez aussi écrit un livre ?
Oui, il s'appelle Autobiographie d'un légalisateur. Je gravite dans ce milieu depuis le début des années 1990. En Allemagne, j'ai été un des premiers à distribuer des graines de cannabis. Malheureusement, j'ai aussi ma part de responsabilité dans la hausse des ventes de dispositifs d'éclairage artificiel. Pour moi, ce n'est pas un quelque chose de sain. Je privilégie un retour à des méthodes plus naturelles.
 
Comment ça ?
Pour produire du THC dans des conditions naturelles, le mieux, c'est l'altitude. Toutes les régions réputées pour faire pousser du chanvre sont situées dans des montagnes : dans le Rif au Maroc, dans l'Himalaya, ou encore dans les Montagnes Bleues jamaïquaines. Cela permet au THC d'atteindre un niveau inégalable. Mais maintenant, il est devenu difficile de faire pousser dans ces régions.
 
Toutes les graines qui se trouvent sur le marché ont été produites sous éclairage artificiel. Ça ne me convient pas. Je ne fume plus du tout, parce que maintenant l'herbe rend beaucoup plus léthargique. Il faudrait encourager un débat sur les drogues pour régler ce problème.
 
Votre livre a l'air intéressant.
J'ai plein d'histoires à raconter. Je révèle aussi des choses qui ne feront pas forcément plaisir à tout le monde. Mais je défends mes idées – je ne suis pas un criminel parce que j'ai déjà acheté ou vendu de l'herbe. Je pense qu'un caissier qui laisse un mineur acheter une bouteille de whisky fait quelque chose d'aussi grave qu'un dealer de cannabis
 
source:https://www.vice.com/fr/read/oliver-becker-veut-ouvrir-le-premier-camion-a-cannabis
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Par Indi-Punky,
Il est vrai que depuis quelques années, les aliments bio ne cessent de connaître un réel intérêt auprès de nombreux consommateurs. Et pourtant, malgré les labels organiques imposés par la législation mais aussi les produits en provenance des producteurs locaux, il n'est pas toujours évident de connaître exactement les éventuels traitements qui ont pu être effectués sur les fruits et les légumes.
 
Devant ce manque de transparence, une startup californienne vient de mettre au point une nouvelle gamme de dispositifs de poche qui ont pour but de tester la composition et la pureté de nombreux aliments. Baptisé MyDx, cet analyseur portable et connecté offre l'opportunité de faire le bilan sur le taux d'éléments solides, liquides et gazeux contenus dans différents types d'aliments tels que les fruits et les légumes.
 
Plus surprenant encore, ce scanner connecté de la firme CDx permet de contrôler la qualité du cannabis ainsi que le taux de THC, de terpenoïdes, de cannabidiol et de cannabinol.
En effet, CDx Life offre aux utilisateurs de MyDx la possibilité d'utiliser quatre capteurs interchangeables qui s'appliquent sur chaque catégorie de produits de consommation.
Ainsi, pour les fruits et légumes, le capteur « Organa » permet de détecter les composants dont les pesticides sur ces aliments. Alors que le capteur « Aero » permet de contrôler la qualité de l'air, le capteur « Organa » est, quant à lui, destiné à évaluer les échantillons d'eau. Enfin, pour permettre aux utilisateurs de surfer sur la dépénalisation ou la légalisation du cannabis, le MyDx propose le capteur CannaDx Sensor qui permet de tester la qualité de ce produit.
 
Toutefois, force est de préciser que ce dernier cas est surtout recommandé pour certaines catégories de personnes qui sont autorisées à consommer du cannabis pour des raisons médicales.
 
Accessible à partir d'une application mobile pour Android et iOS, cet analyseur permet d'afficher les mesures effectuées à partir de chaque capteur. Ainsi, pour pouvoir analyser un produit, il suffit d'utiliser le capteur adéquat et MyDx dévoile ses propriétés. A cet effet, il est tout simplement demandé à son utilisateur de placer un échantillon du produit dans le plateau coulissant qui détecte les molécules sous la forme de vapeur et de visualiser les résultats sur le smartphone.
 
La startup CDx Life souhaite essentiellement se positionner dans le secteur du voyage où son outil permettra de prévenir les mauvaises surprises mais aussi éviter les éventuelles formes d'intoxications alimentaires. Le MyDx a également pour but de permettre aux voyageurs de s'assurer de leur santé durant leur séjour à l'étranger.
 
Après une première campagne de financement réussie sur la plateforme de crowdfunding Indiegogo où la firme a levé 40 000 dollars au lieu des 20 000 dollars prévus, la première commercialisation de MyDx serait prévu dès les premiers mois de l'année prochaine. Cependant, il faudra tout de même prévoir la coquette somme de 500 euros pour pouvoir se procurer l'analyseur accompagné d'un des capteurs au choix.
 

https://www.youtube.com/watch?v=G3P5nbQV7cU


 
 
Source: https://www.capcampus.com/high-tech-1437/mydx-un-laboratoire-d-analyses-de-poche-a30635.htm
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Par Felix_Da_Craft,
La police du West Yorkshire a déjà procédé à 14 arrestations et un grand nombre de pièces de voitures volées ont été récupérées. Les Land Rover et les Range Rover seraient particulièrement ciblées parce que les voleurs expérimentés peuvent retirer leurs phares en 60 secondes seulement.
Par ailleurs, d'autres parties de ces voitures de luxe font l'objet d'un trafic, comme les portes, capots, rétroviseurs, roues ou les grilles. Les voleurs utiliseraient ces pièces pour améliorer leur propre véhicule ou les réparer en cas d'accident.
"Ça va tellement vite"
Le problème est devenu si important que la police du West Yorkshire a lancé l'opération Emporia pour lutter contre ce problème qui a émergé notamment à Bradford, Halifax ou Huddersfield.
Les agents ont arrêté les conducteurs de Land Rover et de Range Rover afin de s'assurer qu'ils avaient les phares appropriés pour leur véhicule. "Si nous arrêtons un véhicule que l'on soupçonne d'être équipé de pièces volées, elles seront retirées et le propriétaire peut faire face à des poursuites judiciaires", explique le commissaire Steve Thomas.
Michael Roper, 53 ans, a été victime d'un tel vol. "C'est monnaie courante, déclare-t-il. Mais c'est un crime tellement facile - ça va tellement vite. Ils utilisent un pied-de-biche entre l'aile avant et les phares. Ils ont ruiné l'aile. Il n'y a eu aucun bruit. Ils savent comment désactiver l'alarme".
Le quotidien rappelle que plusieurs marques de voitures ont déjà été frappées d'une frénésie de vols par le passé. Par exemple, dans les années 1980, les jeunes volaient les insignes des Volkswagen pour les porter autour du cou.
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Sources : https://tempsreel.nouvelobs.com/l-histoire-du-soir/20140514.OBS7097/ils-volent-les-lumieres-led-des-range-rover-pour-cultiver-du-cannabis.html
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Par Invité,
Bien que le Colorado vienne tout juste de légaliser l’usage personnel de cannabis, une autre loi a également vu le jour: les consommateurs peuvent écoper d’une amende de 2000 dollars, soit environ 1.500 euros, si l’odeur de leur chanvre sent trop fort.
 
Une émanation qui pourrait déranger le voisinage et avoir des répercussions environnementales.
 
Grâce au «Nasal Ranger», un olfactomètre capable de mesurer la présence d’une odeur dans l’air, les policiers peuvent déterminer les zones de production et de consommation abusive de cannabis.
 
Si les Ricains sont encore une fois les premiers à utiliser ce genre d’outil, sachez que le «Nasal Ranger» sera mis officiellement en vente dès le premier janvier 2014, peut-on lire sur le Daily Mirror.
 
 
 
Source: https://www.cannabis-...tilise-par.html
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Par Invité,
Miley Cyrus continue de jouer la carte de la provocation. La jeune chanteuse pop américaine est apparue fumant un joint de cannabis sur la scène des MTV European Music Awards dimanche. La cérémonie se déroulait à Amsterdam. Cérémonie lors de laquelle elle a reçu le prix de la meilleure vidéo, pour le clip "Wrecking Ball".
L'ancienne actrice connue pour le rôle titre dans la série de Disney "Hannah Montana", simplement habillée d'un body blanc ultra-moulant, a déclaré : "Je n'ai pas de place dans mon sac pour le trophée mais j'ai trouvé ça...". L'ex-enfant star, âgée de 20 ans, a alors sorti de son sac Chanel un joint en partie consommé sur la scène du Ziggo Dome d'Amsterdam, qui possèdent de nombreux coffe shops où elle a été photographiée ces jours derniers en compagnie du DJ néerlandais Afrojack.
Deux Awards pour Eminem
Le plus grand vainqueur de la soirée a malgré tout été l'icône planétaire du hip-hop Eminem qui a remporté deux Awards, mais à qui Miley Cyrus a quelque peu volé la vedette en "twerkant" sur scène avec Little Britney, une naine dans une tenue en latex.
 
Miley Syrus avait suscité sa première grande controverse en août aux MTV Video Music Awards à New York. En duo avec le chanteur Robin Thicke, elle avait offert, en bikini couleur chair, une interprétation provocante de "Blurred Lines", frottant ses fesses contre l'entrejambe du chanteur, la langue sortie, et jouant de façon suggestive avec un énorme gant de mousse au doigt pointé.
 
La vidéo:
 
https://lci.tf1.fr/pe...am-8308874.html
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Par Indi-Punky,
Les agriculteurs de la Jamaïque cherchent à tirer profit des visites de plantations de cannabis de l'île.
 
Napa et Sonoma ont leurs visites de vignobles, et les voyageurs affluent vers l'Ecosse pour déguster des whiskies single malt. Mais en Jamaïque, les agriculteurs offrent un autre type de voyage pour un autre type de connaisseur.
 
Appelez-les ganja Tours: fumeux, mystique - et techniquement illégale - des voyages vers certaines des plantations de cannabis cachés de l'île, où les touristes peuvent goûter ces souches comme la "purple kush" et "Pineapple skunk "
 
Le tours passent par des endroits comme Nine Mile, la petite ville natale de la légende du reggae, et célèbre pot-lover, Bob Marley. Ici, dans les verdoyantes montagnes du centre de la Jamaïque des hommes coiffés de dreadlocks escortent les visiteurs curieux vers une ferme où des plants de marijuana vert profond poussent hors de la terre rougeâtre. Des excursions similaires sont offerts à l'extérieur de la station balnéaire ouest de Negril, où une mystique de la marijuana a attiré les vacanciers fumeurs de weed depuis des décennies.
 
"Celui-ci c'est la sinsemilla original, favori de Bob Marley. Et celui-là est la chocolate skunk. C'est spécial pour les dames», a déclaré à un journaliste d'Associated Press un agriculteur de pot surnommé "Breezy", en même temps qu'il a dévoilé plusieurs variétés sur sa parcelle un récent matin.
 
Alors que la légalisation a marqué des victoires importantes ces derniers mois dans des endroits comme le Colorado et l'État de Washington et le gouvernement de la nation sud-américaine de l'Uruguay se dirige vers une entrer dans la fabrication de cannabis lui-même, la plante est encore illégal en Jamaïque, où elle est connue populairement comme "ganja".
 
Certains voudraient que les choses changent, avec de plus en plus de défenseurs indiquant que là Jamaïque pourrait donner à son économie en difficulté un coup de pouce en tirant profit du fait que l'île est presque aussi célèbre pour sa marijuana que pour les plages, la musique reggae et dans le monde des sprinters.
 
Le ministre de la justice Mark Golding a déclaré à l'Associated Press que le gouvernement est conscient des efforts de légalisation dans le monde et demande un traitement de la question de manière «dynamique et en évolution rapide."
 
«Nous allons examiner la question à la lumière des développements récents dans cet hémisphère», a déclaré M. Golding dans un courriel au sujet de la dépénalisation.
 
La Coalition pour la réforme du droit Ganja, un groupe d'îles qui appelle le gouvernement à dépénaliser et à réglementer le cannabis, se prépare à accueillir une conférence internationale dans la capitale de Kingston plus tard ce mois-ci, où les sujets incluront les perspectives de commercialisation du cannabis.
 
En dépit de son image internationale décontractée, la Jamaïque est un endroit conservateur, religieux et beaucoup de gens se hérissent à la réputation de Rasta du pays.
 
La marijuana a été omniprésente mais interdite sur l'île depuis 1913. La récolte de marijuana illicite a diminué depuis les années soixante-dix en raison de la concurrence mondiale et la guerre menée contre la drogue. Pourtant, la Jamaïque est le premier fournisseur de cannabis pour les Etats-Unis et les touristes des Caraïbes n'ont souvent pas besoin de chercher plus loin que leur hall de l'hôtel pour acheter du cannabis.
 
«Il y a déjà un degré élevé de tourisme de marijuana en Jamaïque, ils n'ont tout simplement pas à l'appeler ainsi," a déclaré Chris Simunek, rédacteur en chef du magazine High Times, basé à New York.
 
Dans Nine Mile, Breezy dit que les Américains, Allemands et Russes sont de plus en plus nombreux à faire la visite de sa petite ferme et a gouter sa récolte. Il n'a pas trouvé preneur pour la tournée de 50 $ ce matin chez un cars de touristes débarquant d'un bateaux de croisière qui arrivent à la maison d'enfance de Bob Marley, bien que plus d'une douzaine d'entre eux soit aligné avec enthousiasme et achète des baggies de ganja aux amis de Breezy, vendu à travers un trou dans le mur de l'enceinte du musée.
 
"Je peux avoir des trucs plus fort à la maison, mais il y a quelque chose de vraiment spécial avec la consommation de marijuana en Jamaïque. Je veux dire, c'est la marijuana qui a inspiré Bob Marley», a déclaré une touriste de 26 ans originaire du Minnesota qui s'est identifiée comme Angie pendant qu'elle émiettée de la ganja dans un papier à rouler.
 
Un guide de vacances en ligne appelé Jamaicamax promet d'organiser des visites ganja dans la région de Negril. Mais il y a une mise en garde: Il faut d'abord fumer un "spliff"de marijuana avec votre guide, sans doute pour montrer que vous n'êtes pas un membre des forces de l'ordre.
 
"Une fois que vous fumez un spliff avec nous, nous apprendrons à vous connaître alors nous allons vous emmener sur les meilleurs circuits de ganja en Jamaïque et vous allez fumer (et manger si vous voulez) tant de ganja que vous allez parler à Bob Marley lui-même ", dit le site de voyage.
 
Plus d'une décennie après qu'une commission du gouvernement ai déclaré que la marijuana était «culturellement ancrée» et a recommandé la décriminalisation de l'usage personnel des adultes, des hommes politiques et hommes d'affaires influents font pression pour la Jamaïque pour rabattre les vieilles craintes de mécontenter Washington et assouplir les lois.
 
Henry Lowe, un éminent scientifique Jamaïcain qui a aidé à développer un médicament dérivé du cannabis pour traiter le glaucome dans les années 1980, a déclaré que l'île pourrait rapidement devenir une plaque tournante du tourisme de la marijuana et de la recherche. "Les gens pourraient descendre à la Jamaïque pour le traitement par le canabis medical et le tourisme de la marijuana parce que cela a été notre tradition, notre culture."
 
Les serviteurs de l'Inde sont considérés comme ayant amené la plante à la Jamaïque au 19ème siècle. Son utilisation comme une herbe médicinale se répandit rapidement, avec quelques personnes utilisant le thé de ganja pour soulager les douleurs et d'autres utilisant le fameux rhum marijuana comme un remède contre le rhume.. Dans les années 1970, la marijuana est devenue encore plus populaire en raison des stars rastafari du reggae comme Marley et Peter Tosh.
 
Pour l'instant, les gangs criminels dominent le commerce de la marijuana de l'île, et les guerres intestines alimentée en partie par les bénéfices du cannabis ont longtemps souffert de rudes régions de la Jamaïque. Mais les avocats disent que la décriminalisation ou la légalisation pourraient transférer les bénéfices loin des gangs, ce qui libèrerera de l'argent qui sert actuellement à arrêter et emprisonner les utilisateurs de cannabis.
 
Pour Breezy et ses amis, les réformes ne pouvaient pas venir assez vite.
 
"Le gouvernement doit libérer la marijuana bientôt, man, parce que c'est une chose naturelle, une chose spirituelle", a déclaré Breezy avant de coller son nez dans une touffe de plantes de cannabis et de prendre un sniff reconnaissants. «Et les touristes adorent ça."
 
Source: Telegraph.co.uk (en anglais)
 
On en parle sur le forum....
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Par mrpolo,
Péché mignon des plus petits comme des plus grands, il vaudrait cependant ne pas abuser de ce Nutella un peu spécial. En effet le Nugtella, composé de la fameuse pâte aux noisettes, contient également de l'huile de haschisch.
 
Au risque de tomber dans l'illégalité, meltyFood ne peut passer à côté de cette information et se doit de vous parler de cette "incroyable nouveauté culinaire": le Nugtella.
 
Une invention fabriquée par Organicares. Elle combine de l'huile de haschisch à la fameuse pâte à tartiner mondialement connue, le Nutella. En somme, une lettre en trop suffit pour créer une mauvaise herbe.
 
Mais aussi fondus de la célèbre pâte au goût noisette que vous êtes, vous ne pourrez-vous régaler de cette délicieuse mixture que si vous parvenez à obtenir un certificat médical Californien, attestant que vous avez réellement besoin de marijuana.
 



 
Le Nugtella ne sera donc pas disponible en grand surface pour satisfaire vous plus grosses fringales mais vous pouvez toujours déguster le produit mythique dans la Nutelleria, le fast-food Nutella ! Certes, beaucoup moins planant que le Nug', mais toujours aussi bon !
 
Source: meltyfood.fr
 
On en parle sur le forum....
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Par mrpolo,
Tous les ans, des jeunes du monde entier débarquent dans le nord des Etats-Unis pour participer à la récolte de cannabis.
 
Melty.fr vous parle de ce job saisonnier étonnant !
 
 
Le "club des tailleurs de feuilles" attire de nombreux jeunes venus du monde entier. Français, Australiens, Canadiens et bien d'autres filent dans le nord de l'Etat de la Californie durant trois mois, de septembre à novembre, rejoindre la bulle du "Marijuanaland". Récemment, le magazine Les Inrocks a publié le récit d'une jeune étudiante française. Plutôt que d'aller faire les vendanges près de Bordeaux, Elsa a préféré s'aventurer dans les champs de cannabis du territoire américain.
 
Au programme : nourriture bio et soleil culminant, une immersion dépaysante et la "perspective de vivre pieds nus dans la forêt". Un job saisonnier qui rapporte environ 200 dollars par jour, un bon plan pour financer ses études. Seulement, si les lois californiennes autorisent les collectifs de patients à cultiver de la marijuana pour un usage strictement médical, le gouvernement fédéral, quant à lui, estime illégales toutes les formes de production et d'usage de cannabis. Elsa l'avait bien compris :
"Quand tu lis les journaux locaux, tu vois que des gens se font arrêter tous les jours. Mais en général, il s'agit de cartels mexicains qui produisent d'autres drogues et possèdent des armes". Cette activité n'est pas sans risques. Si elle ne trompe personne ni même les autorités locales, qui ferment les yeux la plupart du temps, il arrive parfois qu'il y ait de gros raid où sont arrêtés plusieurs saisonniers étrangers. Le cannabis pour travailler est-il le nouveau fléau étudiant qui s'ajoute à cette nouvelle "ruée vers l'or" ?



 
Comment faire pour aller travailler au pays du cannabis ? Il arrive que les producteurs et les tailleurs se contactent par l'intermédiaire d'Internet, sur des sites tel que Craiglist. Seulement, comment faire lorsque l'on est débutant que l'on a pas de réseau ? De là débute le périple. Courageux vous devrez-être, et quelque-peu malins !
 
Les employeurs ont des profils divers et variés : du bon vieux hippie au criminel sacrément louche. L'expérience semble parfois périlleuse. Tous les saisonniers n'ont pas la chance de tomber dans un dispensaire globalement licite, où ils ont accès à Internet et où ils dorment dans de grandes et confortables maisons.
 
Camper au milieu de nul part, tente et sac à dos pour seule compagnie n'est pas toujours très excitant. Sans parler du boss pas très sympa, arme en main, qui vous guette du coin de l'oeil ! melty.fr vous suggère aussi d'aller lire notre article sur le cannabis, moins dangereux que l’alcool pour les français.
 
Source: melty.fr
 
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Par mrpolo,
En Catalogne, Juan (le prénom a été changé), ouvrier sur un domaine viticole, est également propriétaire de quelques pieds de vigne. Il produit ainsi, à son compte, environ 600 bouteilles de vin par an. De quoi régaler la famille, les amis, et approvisionner un restaurant des environs de son village.
 
Depuis 2007, en accord avec la législation espagnole qui permet de cultiver du cannabis pour un usage personnel, il s’est mis à élever une partie de son vin en y immergeant des sachets remplis de cannabis...
Un vigneron français, qui préfère rester anonyme, a eu l’occasion de le rencontrer lors d’un séjour en Catalogne, et de goûter le résultat de ces vinifications inédites, aux effets parfois inattendus. Il nous a parlé de ce vin qui fait rire.
 
8 grammes de cannabis pour 20 litres de vin
 
En Espagne, la culture et la consommation de cannabis sont autorisées à certaines conditions. Cette expérience n’est donc pas illégale :

« En Espagne, ils ont droit de cultiver le cannabis à condition de ne pas le vendre. Et vu que dans son village ils en produisent, mon copain s’est dit : “Tiens je vais essayer”. Sa première expérimentation, c’était en 2007, avec 8 grammes de cannabis pour un contenant de 20 litres, et il a recommencé ensuite chaque année, pour sa conso perso. » Concrètement, le vigneron catalan plonge des têtes de plants de cannabis dans le vin durant l’élevage :

« Il met le cannabis dans des sachets comme on en trouve pour le thé, parce qu’il ne veut pas avoir de débris, et il laisse infuser ça dans le vin pendant tout l’élevage, qui dure de 8 à 9 mois. » Et le résultat semble plutôt savoureux :

« Déjà, il travaille à partir de vieilles vignes, des carignans de 90 ans, plantées sur un sol de schistes. Là-dessus, le cannabis apporte une fine touche végétale au vin. C’est super bon. »  
Le cannabis comme substitut aux sulfites ?
 
Mais l’expérience a révélé un autre effet, plutôt inattendu, du cannabis sur le vin :
 

« Il s’est aussi rendu compte que ça remplaçait le soufre. Pendant les 8-9 mois que dure l’élevage, il n’en ajoute pas. Le vin est protégé. Du coup, c’est du vin au THC [tétrahydrocannabinol, principal constituant psychoactif du cannabis], mais sans soufre. »  
Le vigneron français a d’ailleurs prolongé l’expérience :

« Je suis rentré en France avec l’une de ses bouteilles, et on l’a bue par tout petits verres, pour voir comment ça évoluait. On s’est dit tant que ça tient, on va la garder, et la goûter régulièrement. Et ça a tenu une année entière, c’était bon de bout en bout...
Je ne sais pas si le THC a une fonction équivalente au soufre, peut-être aussi que d’autres substances présentes dans la plante [parmi les 483 composés connus – ndlr] ont fait une différence. Et le vin à la base a une grosse structure tannique, ça aide un peu. Mais une bouteille entamée qui tient la route toute une année, c’est vraiment long... »  
Et l’effet du cannabis à la dégustation ?

« Sur un verre, tu ne ressens aucune différence. C’est comme si tu tirais une ou deux lattes sur un joint... Si tu t’enfiles la bouteille, c’est une autre histoire. » Ce vin catalan infusé au cannabis est introuvable, et bien sûr illégal en France.
 
Par:Antonin Iommi-Amunategui
Blogueur, auteur
 
Source:Rue 89
 
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Par ashrek,
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Rebondissant sur la légalisation de la marijuana dans l’état de Washington, une chaine de télé locale a réuni trois volontaires pour leur faire fumer de l’herbe puis les mettre au volant sous la surveillance d’un instructeur. Du pur journalisme wtf.
 
Plusieurs mois après avoir voté la proposition de loi instaurant la légalisation de la marijuana, l’état de Washington cherche toujours à affiner la limite au-delà de laquelle un consommateur est trop stone pour conduire une voiture. Actuellement, cette limite est de 5 nanogrammes de THC par millilitre de sang. Si on peut considérer que les fumeurs récréatifs n’ont qu’à rester chez eux, cette mesure pose problème pour ceux qui consomment du cannabis à but médical et ont besoin de se déplacer (ne serait-ce que pour aller chercher leur prescription au dispensaire).
 
Dans un post publié en 2011, le blogueur William Breathes expliquait ainsi qu’il dépassait encore de trois fois cette limite légale 15h après avoir consommé de la marijuana. Autrement dit, un fumeur est systématiquement hors la loi quand il prend le volant.
La chaine de télé locale Kiro TV (affiliée à CBS) a décidé de prendre les devants en menant un test instructif à défaut d’être scientifiquement rigoureux. Elle a fait appel à trois consommateurs aux profils très différents (une jeune fille qui fume quotidiennement, un trentenaire qui fume le week-end et un quinqua qui fume occasionnellement) pour tenter d’évaluer à partir de quelle quantité d’herbe ils devenaient dangereux sur la route.
 
Bien sûr, le test se déroulait sur un parcours délimité par des plots, dans une voiture d’auto-école et en compagnie d’un moniteur chargé de prendre le contrôle du véhicule en cas de pépin. Un policier était également présent pour évaluer si la conduite des testeurs était suspecte ou non.
Pour faire planer les trois cobayes, l’équipe de télé n’y est pas allé de main morte, leur fournissant de la Blueberry trainwreck à fumer en pipe (et donc pure, à l’américaine) par portion de 0,3 gramme, avant de les mettre au volant. Expérience renouvelée deux fois, et même une troisième fois pour Addy, 27, présentée comme une consommatrice médicale et qui avait déjà fumé avant le test. Elle a pris de bon cœur une nouvelle dose, atteignant un total de 1,4 grammes. Evidemment, elle finit défoncée et commence à conduire n’importe comment en balançant des "it's awesome !".
 
Si ce test est un brin absurde (fumez un gramme de skunk dans un laps de temps aussi court, rien n’y personne ne vous fera décoller de votre canapé), il semble démontrer que la limite actuelle est bien trop sévère (plus en tout cas que pour l’alcool,selon certaines études). Il a fallu que nos trois patients la dépassent de 5 fois avant que leur capacité à conduire soit endommagée (selon le moniteur et le policier), et Addy assurait encore à 7 fois. Un argument en faveur de ceux qui militent pour un assouplissement de la législation.
 
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dw1HavgoK9E
 
Conduire sous l’effet d’une substance demeure quoiqu’il arrive dangereux. Selon uneétude épidémiologique menée en France en 2005, la consommation de cannabis augmenterait de 1,8 fois le risque d’accident, chiffre qui grimpe à 8,5 fois pour l’alcool et 15 fois lorsqu’on combine les deux.
Par Edouard OrozcoFollow @edouard_orozco
 
Source: fluctuat
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Par Invité,
À la suite de la dépénalisation du cannabis, les autorités locales sont à l'affût d'un spécialiste pouvant les conseiller. Cent mille dollars sont à la clef.
 
Amateur de joints au chômage, voilà une annonce qui pourrait vous intéresser. Pour y postuler, il faut se rendre de l'autre côté de l'Atlantique, dans l'État de Washington (États-Unis). L'administration locale y recherche son consultant en cannabis avec expérience obligatoire.
 
Salaire ? Cent mille dollars, tout rond.
 
Et il ne s'agit pas d'un piège tendu par la brigade des stups, mais d'une annonce bien réelle. L'État vient en effet d'autoriser la consommation de cannabis pour le plaisir de ses administrés et non pas seulement pour un usage médical. Cette loi prévoit, en outre, une importante taxe sur la vente des feuilles afin de financer un programme de santé publique destiné aux plus jeunes. Un référendum, à la participation record (81 % des inscrits), a permis l'adoption de ce texte. Et il n'autorise que la consommation des feuilles (la marijuana).
 
Expérience nécessaire
 
Depuis la publication de la petite annonce, les réponses affluent. Chacun se trouve des talents dans la chose et les recruteurs de la Washington State Liquor Control Board (LCB) en voient défiler de toutes les couleurs. Mikhail Carpenter, l'un des agents de l'organisation, en a témoigné à la chaîne King 5 : "Nous avons vu des gens qui font pousser du cannabis dans leur sous-sol jusqu'à ceux qui l'ont étudié dans des termes académiques." Le profil idéal pour la "LCB" ? Un individu capable de les conseiller sur la culture, la vente, la sécurité et le contrôle de la qualité de la plante. Un casier judiciaire n'est pas éliminatoire s'il se limite toutefois à des faits de consommation de cannabis, évidemment.
 
Du côté des candidats, cette démarche sonne la fin de la partie de cache-cache avec les autorités. Ben Carpenter, l'un de ces enthousiastes, a déclaré, toujours à King 5 : "J'ai le sentiment que la guerre est terminée et maintenant ils nous invitent à leur donner des conseils pour savoir faire pousser l'herbe !" De son côté, Aunt Mary a fait part au Weekly Volcano de sa "connaissance absolue de tout ce qui touche au cannabis". Elle avoue même fumer de la marijuana tous les soirs, et en farcir ses tourtes à la dinde. Attention, pour tous les intéressés : date limite du dépôt des candidatures le 15 février.
 
Source : le point
 
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Par XL05,
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Photo L'alligator surnommé « M. Dents » Photo : AP Photo/Alameda County Sheriffs
 
Lorsqu'ils se sont présentés chez Assif Mayar pour contrôler ses conditions de probation, les policiers du comté d'Alameda, en banlieue de San Francisco, ont découvert une cache de 34 livres de marijuana, dont la valeur est estimée à 100 000 $ US.
Mais les stupéfiants étaient situés dans un contenant de plexiglas, en compagnie d'un alligator de 1,5 mètre.
Les policiers sont habitués de faire face à des chiens de garde lorsqu'ils effectuent des fouilles, mais les alligators sont beaucoup plus rares, a expliqué le sergent J.D. Nelson.




Assif Mayar Photo : AP Photo/Alameda County Sheriffs Office


 
Mayar, âgé de 32 ans, est en probation depuis qu'il a plaidé coupable l'an dernier à une accusation d'avoir troublé l'ordre public. Après la découverte de l'alligator, il a été transporté à la prison du comté pour possession présumée de marijuana dans le but d'en faire la vente. Il pourrait aussi être cité à comparaître devant la commission de chasse et pêche de la Californie pour possession d'un animal exotique sans permis.
 
Les agents du contrôle animalier du comté d'Alameda ont saisi M. Dents et l'ont transporté au zoo d'Oakland. Des responsables de l'établissement ont indiqué que l'alligator était très malade et qu'il était soigné à l'hôpital vétérinaire du zoo.
 
Source: radio-canada.ca
 
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Par mrpolo,
Amsterdam veut garder son tourisme lié au cannabis
 


Vidéo

Amsterdam pourra-t-elle vraiment déroger à la “carte cannabis” ? Le maire de la ville refuse de fermer les 220 coffee shops de la capitale des Pays-Bas aux touristes étrangers le 1er janvier prochain, exploitant une disposition introduite dans le texte de loi par le nouveau gouvernement.
“Pas si simple”, répond le ministre de la Justice. Le débat est donc relancé, de quoi redonner le sourire aux patrons de coffee shops.
 
“90% de mes revenus seront perdus si je ne peux plus accueillir d‘étrangers et cela vaut pour tous les coffee shops de la zone”, estime Michael Veling, leur représentant.
 
Car sur les sept millions de touristes qui visitent Amsterdam chaque année, un million et demi achèterait du cannabis.
 
“Viendriez-vous toujours ici si vous ne pouviez plus acheter d’herbe?”, demande cette journaliste.
Réponse de ce jeune homme :
“Non. Je ne crois pas qu’ils devraient appliquer cette loi parce que c’est votre principale attraction touristique”.
 
La “carte cannabis” est entrée en vigueur le 1er mai dans le sud du pays. Elle aurait créé des problèmes de drogue dans la rue, c’est le principal argument avancé par le maire d’Amsterdam, qui semble déterminé à empêcher les coffee shops de tourner à vide dans la capitale néerlandaise.
Plus d'actualités sur : Amsterdam, Consommation de drogue, Pays-bas
Source : Euronews
 
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Par mrpolo,
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On entend dire tout et n'importe quoi sur la marijuana. Tour à tour responsable des plus grands maux du Monde ou solution universelle à la dégénérescence de l'Humanité, le débat est d'un manichéisme saisissant. Pour que vous ayez aussi votre mot à dire, il serait utile que vous lisiez ce petit paquet d'infos inutiles sur le sujet dont vous ne soupçonniez certainement pas l'existence. Et qui, du coup, se révéleront absolument indispensables pour briller en société quand le sujet du pétard arrivera sur la table dans votre prochain dîner.
 

La marijuana était utilisée comme sérum de vérité par l'armée américaine pendant la 2ème Guerre Mondiale Du coup, le prochain ex-prisonnier de guerre qu'on entend se plaindre de ses conditions de détention, on lui en colle une. La soudaine montée d'appétit qui suit traditionnellement la consommation de marijuana est scientifiquement expliquée La leptine est l'hormone qui contrôle la sensation de satiété. Or le THC, ce fourbe, vient squatter ses récepteurs et l'empêche d'accomplir sa besogne, d'où une gigantesque dalle persistante. Sûrement un coup des vendeurs de chips... George Washington et Thomas Jefferson étaient de grands producteurs de marijuana: Ou plus exactement de chanvre, une culture extrêmement populaire à l'époque. La première version de la Déclaration d'Indépendance des Etats-Unis fut d'ailleurs rédigée sur du papier de chanvre. Mais le lobby des producteurs de coton utilisa l'argument psychotrope pour mettre à mal la concurrence : la production de chanvre fut réglementée, voire prohibée dans certains états dès la fin du 19ème siècle. Pour un peu, on fumait du coton. La consommation de marijuana était régulièrement prescrite contre les douleurs liées à l'accouchement, et ce jusqu'en 1942 Futurs pères de tous les pays, au lieu de vous faire bêtement broyer la main par votre compagne pendant qu'elle essaye de pondre votre descendance, roulez lui un joint ! Le Paraguay serait le plus gros producteur de marijuana au Monde. Être numéro 1 dans le transport de personnes en aller simple vers les nuages et avoir pour capitale Asunción, ça ne s'invente pas... Le lait maternel contient des cannabinoïde A votre avis, d'où vient cet air vaguement inerte que vous distinguez sur le visage béat de votre nouveau-né une fois sa tétée achevée ? Et bien oui : le lait maternel agit comme le THC sur l'organisme de votre nourrisson en lui octroyant, en plus de la sensation de satiété, un bon gros coup de barre derrière la nuque et un sentiment de plénitude. L'histoire ne dit pas si lui mettre du reggae dans les oreilles pendant son repas augmente les chances de l'endormir en 2 minutes chrono : un volontaire pour tester ? Toutes les horloges (ou presque) du film Pulp Fiction sont réglées sur 4h20 Quel est le rapport, me direz-vous ? Il s'agit d'un clin d'oeil malicieux, 4:20 (four-twenty) étant une des expressions utilisées couramment aux Etats-Unis pour décrire la consommation de cannabis. Le code date du début des années 70 et fut inventé par un groupe de lycéens qui se donnait chaque jour rendez-vous à 4h20 au même endroit pour rechercher un champ de marijuana abandonné dont on leur avait conté l'existence. Rapidement découragés, ils finirent par ne plus rien chercher et se contenter de fumer quelques joints, tout en continuant à respecter scrupuleusement l'horaire. C'est pas parce qu'on est défoncé qu'on ne peut pas être ponctuel, que diable. L'huile de chanvre est l'aliment le plus riche en Oméga 3 connu à ce jour Remballez vos saumons, jetez vos blancs de poulet, débarrassez-vous de votre huile de foie de morue et boycottez Isio 4 : la voilà, LA solution contre le cholestérol ! Consommer une mangue bien mure 20 minutes avant un joint décuple les effets Etrange, n'est-ce pas ? Et pourtant, il est démontré que le myrcène, un principe actif d'origine végétale, aide les molécules de THC à circuler dans le sang, leur facilitant un accès rapide et efficace à votre petit cerveau vulnérable. Et quel fruit rimant avec Bang présente une concentration démentielle en myrcène quand il est bien mûr ? Bingo... Il faudrait consommer environ 800 joints en 20 minutes pour faire une overdose Et encore, le patient décéderait d'une intoxication au monoxyde de carbone plutôt que d'une réelle overdose de THC. Pour info, la solanine, substance présente dans la peau de la pomme de terre, est beaucoup plus toxique : vous avez donc beaucoup plus de chance de faire une overdose en consommant des patates qu'en fumant des joints. Sources : Hailmaryjane, Oddee, OMG facts et Random facts
 
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Par mrpolo,
Le secrétaire général de l'UMP souhaite mettre en place des tests salivaires et sanguins "anonymes" et "aléatoires".
 
 
 
Invité de l’émission C Politique, ce dimanche 21 octobre, Jean-François Copé a fait du cannabis un véritable combat. En s’inspirant du Royaume-Uni, de la Belgique ou encore de certains pays nordiques (Norvège, Suède, Finlande…), l’actuel secrétaire général de l’UMP veut endiguer la consommation de cette drogue dès le collège.
 
Pour cela, il souhaite mettre en place des tests salivaires ou des prises de sang, "aléatoires" et "anonymes", afin d’informer les parents et donner lieu à "un échange, une discussion, une sensibilisation" avec leurs enfants consommateurs.
 
D’après le rapport ESPAD 2011, 39% des Français âgés de 15 et 16 ans disent avoir déjà fumé au moins un joint. Ce qui fait de ces adolescents les plus gros fumeurs de cannabis d'Europe.
 
 
 
 
https://www.dailymotion.com/video/xuii96_cannabis-cope-veut-des-depistages-a-l-ecole_news
 
 
 
Source: le Nouvel Obs
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Par mrpolo,
Ce petit pays enclavé dans l'Afrique du Sud est décimé par la pauvreté et le sida. Les grands-mères se retrouvent à cultiver de la drogue pour subvenir aux besoins de leurs petit-fils orphelins.
 
Après la mort de ses filles, Khathazile n’a pas hésité à recueillir ses 11 petits-enfants orphelins.
 
C’est ce que font toutes les gogo (grands-mères) au Swaziland, un pays où le taux de prévalence du sida - le plus élevé au monde - a laissé une myriade d’enfants sans mère. "Dieu nous viendra en aide", prophétise-t-elle. Peut-être. Mais Khathazile a une assurance pour le cas où l’intervention divine échouerait : Swazi Gold, une souche de cannabis aux effets puissants, très prisée sur le florissant marché des stupéfiants de l’Afrique du Sud toute proche.
 
Pour pouvoir nourrir, habiller et scolariser sa ribambelle de petits-enfants, la vieille dame en cultive sur un lopin de terre situé en pleine forêt, au sommet d’une colline éloignée. “Sans cela, on mourrait de faim”, confie-t-elle en demandant à être désignée sous son second prénom. Khathazile fait partie des milliers de paysans de ce petit royaume d’Afrique australe qui, selon des organisations humanitaires, parviennent tout juste à survivre en produisant du cannabis, une plante relativement robuste et facile à cultiver.
 
Difficile de trouver un emploi
 
Elle-même ne se considère pas comme un maillon de la vaste chaîne mondiale des producteurs de drogue, comme les cultivateurs de pavot en Afghanistan ou de coca en Amérique latine. Elle doit simplement penser à ses petits-enfants et elle ne s’est lancée dans cette culture qu’après avoir échoué dans d’autres. “Si vous faites pousser du maïs ou du chou, les babouins les mangent”, explique-t-elle.
 
Officiellement, le Swaziland, dernière monarchie absolue d’Afrique, est un pays à revenu intermédiaire, mais une profonde pauvreté continue de régner dans les campagnes environnant Piggs Peak, une ville poussiéreuse située dans le nord-ouest montagneux du pays. Il ne pousse pas grand-chose sur le sol rocheux de la région et il est difficile d’y trouver un emploi. De nombreux jeunes migrent vers les deux grandes villes du pays, Mbabane [capitale] et Manzini, ou vers l’Afrique du Sud voisine pour y chercher du travail. Ils laissent derrière eux un grand nombre de femmes âgées et d’enfants.
 
La mise au point de traitements de choc a certes permis d’infléchir la courbe de la mortalité due au sida, mais la maladie a touché pratiquement toutes les familles, obligeant les aînés des fratries à s’occuper des cadets et de frêles grands-mères à se lancer à nouveau dans l’éducation de jeunes enfants. C’est ce qui s’est produit pour Khathazile. En 2007, sa fille Tensile est morte à l’âge de 24 ans, en laissant derrière elle quatre orphelins. Deux ans plus tard, une autre de ses filles, Spiwe, a succombé, ce qui a lui a valu trois bouches de plus à nourrir. Puis, en juillet, c’est sa fille Nomsa qui s’est éteinte, en lui confiant ses quatre enfants. Khathazile n’a pas eu d’autre choix que d’accueillir tout ce petit monde dans l’unique pièce dont se compose sa hutte. “Je ne pouvais pas les abandonner”, dit-elle.
 
Toutes les familles comme la sienne luttent pour joindre les deux bouts. “La majeure partie des gens sont tributaires de la pluie pour leurs cultures”, commente Tshepiso Mthimkhulu, un responsable de la Croix-Rouge du Swaziland, basée à Piggs Peak. “Beaucoup d’orphelins et de veuves parviennent tout juste à survivre.” Il y a donc un marché pour des sources de revenus alternatives. Selon les Nations unies, l’Afrique du Sud fait état d’un accroissement de la consommation de marijuana et le Swaziland apparaît comme un enthousiaste fournisseur.
 
En 2010, ce pays d’à peine 1,4 million d’habitants possédait davantage de superficies consacrées à la culture du cannabis que l’Inde, un pays 180 fois plus grand. Sibongile Nkosi, 70 ans, a commencé à cultiver du cannabis avant même que sa fille ne meure en laissant deux orphelins à sa charge. Elle avait entendu dire par d’autres femmes de son village, situé non loin de Piggs Peak, que cette plante rapportait pas mal d’argent. “J’ai mis les semences dans le sol, je les ai arrosées et elles ont poussé”, raconte-t-elle à propos de sa première récolte. “Ça m’a permis de nourrir mes enfants.”
Un travail épuisant
 
Cependant, même si la culture du cannabis représente une certaine garantie, les grands-mères de Piggs Peak sont loin d’être des barons de la drogue. D’abord, elles doivent trouver un endroit secret au milieu de la forêt, à des heures de marche de leur village. Puis il leur faut défricher une parcelle, ce qui est épuisant même pour des femmes habituées à travailler dur. Elles doivent aussi acheter des semences et de l’engrais. Enfin, elles doivent tailler soigneusement les plantes pour qu’elles produisent des fleurs et surveiller les mauvaises herbes. Il y a aussi la police.
 
En mars et en avril, juste avant la récolte, des agents cherchent les champs de cannabis pour y mettre le feu et les grands-mères se retrouvent les mains vides. Une bonne récolte peut représenter 12 kilos de cannabis. Mais les grands-mères vendent leur production à des intermédiaires qui sillonnent la région à la saison des récoltes. Comme elles ne sont pas en position de négocier, la plupart en retirent moins de 400 dollars [309 euros].
Besoin d'argent tout de suite
 
“Des hommes viennent d’Afrique du Sud pour acheter nos récoltes, mais ils nous escroquent”, raconte Mme Nkosi. “Que faire ? Si on garde notre cannabis, la police peut venir nous arrêter.” Les cultivateurs les plus entreprenants enterrent une partie de leur production dans des barils étanches au fond des bois et les conservent jusqu’au mois de décembre, quand les stocks s’épuisent et que les prix montent. Mais la plupart des grands-mères ont besoin d’argent tout de suite et pas dans six mois.
 
Mme Nkosi dit n’avoir jamais été tentée de goûter au cannabis. “Ça saoule !”, s’exclame-t-elle. “Si j’essayais, je tomberais par terre.” Bien que sa famille en vive, elle se demande si le jeu en vaut la chandelle. “Je ne veux plus en cultiver”, dit-elle. “On gagne trop peu d’argent.” Mais alors que la saison de la plantation commence, elle se prépare pour une autre récolte. Les frais de scolarité pour ses deux petits-enfants vont approcher les 400 dollars l’an prochain et elle n’a pas d’autre moyen de subsistance. “Quand on est pauvre, on doit faire ce qu’on peut pour vivre”, explique-elle. “Si je gagne un tant soit peu, je serai contente.”
 
The New York Times | Lydia Polgreen
 
Source: Courrier International
 
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Par mrpolo,
Pour tenter de faire avancer un débat fumeux,
 
Le blogueur enquête
 
en Espagne, où les "cannabis social clubs" réunissent des milliers d'amateurs soucieux de liberté, de légalité et de qualité ;
 
en Tchéquie, où les autorités ont choisi de réguler la fumette généralisée par de simples amendes ;
 
et en France, où l'interdit sur les drogues englobe même le cannabis thérapeutique...
 
https://www.youtube.com/watch?v=7GdlPa29UgE
 
Source: Arte
 
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Par mrpolo,
Voici une interview de Farid Ghehiouèche de "Cannabis sans frontières".
Elle porte sur la situation française, et l' élaboration de clubs sociaux.
a bientôt.
 
https://www.youtube.com/watch?v=pJQVawEZLEI&feature=plcp
 
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Par mrpolo,
A l'Université du Colorado, Daniel Rees professeur d'économie est le co-auteur d'une étude, publiée tout récemment par l'Institut pour l'étude du travail à Bonn, en Allemagne, qui conclut que le taux de suicide chez les jeunes hommes baisser de façon marquée après les États légaliser la marijuana médicale. Professeurs à la Montana State University et San Diego State University ont également participé à l'étude. L'étude est intitulée «High on Life:. lois sur la marijuana médicale et le suicide"
 
 
CU professeur d'économie Daniel Rees est co-auteur d'une étude qui conclut que l'adoption de lois sur la marijuana médicale conduit à une diminution du nombre de suicides chez les jeunes hommes.
 
CU Denver professeur Daniel Rees et ses co-auteurs ne disent pas concluante pourquoi les taux de suicides. Ils offrent des preuves que la marijuana agit comme un antidépresseur lorsqu'il est utilisé avec modération, mais aussi noter que l'utilisation de la marijuana en quantité plus importante peut effectivement conduire à la dépression.
 
Ils notent également que la vente d'alcool aux jeunes hommes des baisses dans les États qui ont légalisé la marijuana médicale et note que l'alcool est un dépresseur connu dont l'utilisation peut conduire à des pensées suicidaires. Rees n'a pas retourné un appel téléphonique demandant des commentaires.
 
De l'étude:
 
Utilisation de l'état des données au niveau de la période 1990 à 2007, nous estimons l'effet de légaliser la marijuana médicale sur les taux de suicide.
Nos résultats suggèrent que le passage d'une loi sur la marijuana médicale est associée à une réduction de près de 5 pour cent dans le taux de suicide au total, une réduction de 11 pour cent dans le taux de suicide de 20 - à 29 ans, les hommes, et une réduction de 9 pour cent en le taux de suicide de 30 - à 39 ans chez les hommes.
 
...
 
Nous concluons que la légalisation de la marijuana médicale conduit à une amélioration du bien-être psychologique des jeunes hommes adultes, une amélioration qui se traduit par moins de suicides.
 
...
 
Dans un article souvent cité, Hamermesh et Soss (1974) a fait valoir que les chocs négatifs au bonheur peut réduire l'espérance d'utilité durée de vie au point où une personne décide de prendre sa propre vie. La relation négative entre la légalisation et le suicide chez les jeunes hommes adultes est compatible avec l'argument que la marijuana peut être utilisé pour faire face à de tels chocs.
 
Toutefois, les estimations fournies par Anderson et al. (2011) fournissent une autre explication. Ces auteurs ont constaté que le passage de MMLs (lois sur la marijuana médicale) a conduit à une forte diminution des accidents de la route liés à l'alcool, la consommation autodéclarée d'alcool, et les ventes par habitant de bière. La forte association entre la consommation d'alcool et les résultats connexes suicide trouvé par les chercheurs précédents (Markowitz et al, 2003;. Carpenter 2004; Sullivan et al 2004;. Andres Rodriguez 2005; Carpenter et Dobkin 2009) soulève la possibilité que les lois de la marijuana médicale puissent réduire le risque de suicide en diminuant la consommation d'alcool.
 
S'exprimant récemment à l'Université de Denver, Amanda Reiman, Ph.D, directeur de la recherche au sein du Groupe Les patients Berkeley et chargé de cours à l'Université de Californie, Berkeley, a déclaré que la marijuana a une valeur médicale, même pour les personnes ne souffrant pas de l'un des maux que les lois de la marijuana médicale en général permettent aux gens de consommer de la marijuana.
 
«Nous croyons que déontologiquement consommation de drogues est intrinsèquement mauvais, c'est pourquoi il est difficile pour nous de croire qu'il y a des utilisateurs responsables. Avez-vous vraiment besoin d'être malade pour bénéficier de cannabis ? »At-elle demandé rhétoriquement.
 
Elle a dit que lorsque vous demandez aux gens pourquoi ils fument de la marijuana, la réponse la plus commune est que cela leur permet de se détendre. «Le médecin mot est redondant quand on parle de cannabis. Détente lui-même est médicinal. "
 
Reiman mots ont été repris sur le panneau DU par l'Université de Californie, professeur de droit Marsha Cohen, qui a dit que lorsqu'on lui a demandé pourquoi ils fument de la marijuana, les gens réponse, «Il me fait me sentir mieux. C'est pourquoi il est usage médicinal », a-t-elle dit.
 
Mason Tvert, directeur exécutif de la SAFER (alternative plus sûre pour le plaisir de loisirs) et l'un des organisateurs d'une initiative de vote pour réglementer la marijuana comme l'alcool, qui sera probablement sur ​​le bulletin Colorado en Novembre, a déclaré qu'il n'était pas surpris par les conclusions de l'étude.
 
«Nous savons que la marijuana a des vertus médicinales, et nous savons que les personnes vivant avec la douleur parfois se tuer», a déclaré Tvert.
Il a ajouté que le lien avec la consommation d'alcool était fascinant. "Toutes les études crédibles jamais fait prouve que la marijuana est plus sûre que l'alcool", a-t-il dit.
 
The Independent Colorado a contacté de nombreuses organisations de prévention en santé mentale / suicide, mais n'a pas trouvé quelqu'un prêt à laisser un commentaire pour cet article.
 
Inutile de dire, d'autres études ont abouti à d'autres conclusions concernant l' effet de la marijuana sur la santé mentale.
 
Source : The American Independent
 
Photo: Daniel Rees (Image: CU Denver)
 
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Par mrpolo,
Saint-Martin-de-Ré (17) : des pieds de cannabis cultivés... dans la cour de la prison
 
La procureure de la République de la Rochelle confirme qu'une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie afin de déterminer dans quelles circonstances des pieds de cannabis ont poussé dans la cour de promenade du quartier Caserne, une des deux entités de la maison centrale de Saint-Martin-de-Ré. L'hypothèse que des prisonniers aient apporté les soins nécessaires aux plants afin de bénéficier d'une récolte de bon niveau est retenue sans que ces jardiniers attentionnés, à l'instar de ceux qui ont procédés à la plantation, soient encore identifiés.
 
Le syndicat Force ouvrière, de l'union interrégionale des syndicats pénitentiaires qui a fait écho de la culture illicite, indique que mardi, une quinzaine de pieds de cannabis de 80 centimètres de haut a été récoltée. Tout en rappelant qu'il dénonce depuis des années l'existence de ces jardins illicites, il demande "de faire raser les jardins dans les plus brefs délais".
 
 
source sud ouest
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