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Sims 4 : fumez du cannabis grâce au mod « Basemental Drugs »
Par mrpolo,

De nombreux mods sont disponibles sur les Sims 4 mais « Basemental Drugs » est celui qui fait le plus parler de lui. Grâce au mod de Filip, les joueurs peuvent faire pousser du cannabis et organiser des soirées enfumées.
 
Sur les Sims 4, nombreux sont les joueurs qui commencent tranquillement leur vie avant de semer le chaos notamment grâce aux mods qui permettent aux gamers de dépasser les limites du jeu pour plus de fun. Le développeur Filip n’a eu besoin que de quelques mois pour mettre en place un mod permettant aux utilisateurs de se défoncer en fumant notamment du cannabis.
 
Basemental Drugs : devenez un junkie dans les Sims 4 !
Alors que Filip et sa femme cherchaient un logiciel d’architecture pour concevoir leur cuisine, ils se sont finalement tournés vers les Sims 4. Très vite, le développeur de ce mod a remarqué qu’il était possible de faire du jeu de Maxis un théâtre de débauche hallucinatoire. En s’inspirant des tutos trouvés aux quatre coins du web, Filip a conçu Basemental Drugs, un mod permettant au joueur de consommer du cannabis, de la cocaïne, des amphétamines et de la MDMA dans les Sims 4. En plus d’être un consommateur de drogues, votre personnage peut dealer dans la rue. Le mod ne s’arrête pas là puisque votre Sim pourra finir complètement défoncé jusqu’à l’overdose.
 

 
Le mod de Filip pour les Sims 4 est disponible gratuitement sur son site. C’est un véritable succès puisque le développeur gagne au moins 6 000 dollars par mois grâce aux dons sur Patreon. Nul doute qu’il va continuer d’être amélioré dans les jours qui suivent puisque de nombreux utilisateurs seraient déjà en train de le traduire en plusieurs langues.
 
Source: erenumerique.fr
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Par mrpolo,
Les rodenticides, utilisés dans les plantations illégales de cannabis en Californie, menacent les chouettes tachetées du Nord et les chouettes rayées.
La légalisation de l'usage récréatif du cannabis en Californie (Etats-Unis) depuis le 1er janvier 2018 ne fait pas que des heureux. En effet, cette légalisation devrait voir fleurir le nombre de plantations illégales. Or dans une étude publiée dans la revue Avian Conservation & Ecology, seulement quelques jours après l'autorisation, des chercheurs américains révèlent que des traces de rodenticides (produits utilisés contre les rongeurs), utilisés dans les plantations illégales de cannabis de cet Etat, se retrouvent dans l'organisme des chouettes tachetées du Nord (Strix occidentalis caurina), une sous-espèce menacée selon l'Endangered Species Act et quasi-menacée selon l'UICN.
70% des chouettes tachetées du Nord ont été au contact de biocides
En faisant des analyses sur des cadavres de chouettes trouvés à proximité de ces plantations, les scientifiques ont découvert que 7 chouettes sur 10 avaient été en contact avec des rodenticides. En analysant des échantillons provenant de 84 chouettes rayées (Strix varia), là encore les chercheurs ont trouvé des traces de biocides sur 40% d'entre elles. Les anticoagulants contenus dans ces produits empêchent l'organisme des mammifères et des oiseaux de renouveler la vitamine K, composé chimique nécessaire à la coagulation. Ces derniers sont alors susceptibles de mourir d'une hémorragie interne. Les auteurs de l'étude pensent que les chouettes tachetées du Nord et les chouettes rayées sont exposées à ces produits de part les proies qu'elles consomment.
Les menaces se multiplient à l'encontre des chouettes tachetées du Nord
Avec la légalisation du cannabis récréatif, les spécialistes craignent que la conversion de surfaces boisées privées en plantations de cannabis n'augmente et qu'ainsi, l'utilisation des rodenticides s'accentue. A terme, l'impact sur les chouettes tachetées du Nord pourrait être catastrophique alors qu'une étude révélait en 2015 que leur nombre avait baissé de 55% en Californie depuis 2009. Cette chute est d'ailleurs grandement liée à l'autre espèce étudiée : la chouette rayée. Cette dernière vivait autrefois dans les forêts de l'est de l'Amérique du Nord. Elle colonise aujourd'hui peu à peu le territoire des chouettes tachetées du Nord. Cette cohabitation conflictuelle entraîne une compétition pour les ressources et l'habitat. Mais le combat est inégal : la chouette tachetée du Nord est bien plus petite que la chouette rayée. Elle fuit donc les zones qu'elle occupait auparavant même si celles-ci se montrent moins propices à la reproduction. 
 
Cette autre espèce de chouette et les plantations de cannabis ne sont pas les seules menaces qui pèsent sur Strix occidentalis caurina. Les chercheurs ont observé que les changements climatiques ont aussi un rôle dans leur disparition. D'abord par le truchement des nombreux feux de forêt causés par des températures plus élevées : ils détruisent l'habitat des chouettes tachetées du Nord. Ensuite ce sont les hivers, plus humides et plus froids, qui entraînent une diminution des naissances.
 
Par Anne-Sophie Tassart
relayé  par Etranje
Source: sciences et avenir
 
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Par mrpolo,
Un Montréalais souhaite devenir rouleur de joints professionnel, un métier qui pourrait voir le jour selon lui avec la légalisation du cannabis prévue cet été.
Photo Antoine Lacroix
 
Danny Curadeau ne parle pas de façonner les traditionnels joints cylindriques à longueur de journée. Il vise plutôt le marché des joints créatifs, un «art» qu’il maîtrise depuis plus d’un an.
«Dinosaure, bague, rose, figurine. Je peux presque tout faire avec du papier à rouler, a affirmé l’homme de 29 ans. Peu importe la demande du client, je vais réussir.»
 
D’après M. Curadeau, la légalisation du pot va créer une forte demande pour des pétards tels qu’il les propose, et les grandes entreprises auraient avantage à engager des personnes comme lui.
«Je reçois facilement une demande par jour pour des joints. J’en ai eu des centaines. C’est évident que ça pognerait. Ça pourrait devenir de beaux cadeaux que l’on offre à un ami, à sa blonde, pour une occasion spéciale», a affirmé le travailleur de la construction.
 
Respect de la loi
En se donnant comme défi de réaliser des pétards sous plusieurs formes, Danny Curadeau y a finalement trouvé une passion qu’il voudrait transformer en métier.
«Je pourrais me faire engager par une entreprise ou je pourrais travailler par contrat. Ce serait plus facile que je me tourne vers quelqu’un qui a tous les permis nécessaires plutôt que me créer une entreprise», estime-t-il.
 
D’ici la légalisation du cannabis au Canada, le résident de l’arrondissement de Lachine souhaite respecter la loi en ne vendant pas tout de suite ses créations.
«Je ne veux pas être vu comme un vendeur de drogue. Mon art va plus loin que le simple joint. Mais c’est important que ce soit bien encadré et c’est bien de mettre des balises précises. Il ne faut pas que ça devienne incontrôlable. Mais j’ai hâte en maudit que ce soit légal!», a-t-il ajouté.
Sa page Instagram, intitulée «Weed smoker», compte des milliers d’abonnés.
 
Le 20 avril dernier, il s’était fait de la publicité en roulant un énorme joint et en le partageant avec plusieurs personnes lors du rassemblement pro-cannabis surnommé «420» sur le mont Royal.
«Je partage mes créations, je fais des vidéos où je fume du pot. Ça m’aide à me faire connaître de plus en plus. C’est un monde à faire découvrir aux gens. C’est une nouvelle avenue qui aurait avantage à être exploitée», a-t-il ajouté.
 
 
Source: tvanouvelles.ca
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Par mrpolo,
"Iron" Mike Tyson semble être le prochain people qui veut profiter de la récente légalisation de l'herbe récréative par la Californie.

Le boxeur devenu acteur est en train d'ouvrir son propre ranch de marijuana en Californie, une initiative que l'ancien champion des poids lourds a annoncée lundi, suite au lancement en Californie, le 1er janvier, de l'herbe légale.
 
Mike Tyson et son One Stop Weed Boutique
 
Tyson, qui est arrivé sur le terrain le 20 décembre, a finalement révélé lundi qu'il avait acheté le terrain de 40 acres dans la ville de Californie, un endroit désertique à environ deux heures au nord de Los Angeles, avec des plans pour convertir le terrain en un magasin de cannabis et un parc d'attractions.

L'ancien champion poids lourd incontesté et ses partenaires d'affaires, Robert Hickman et Jay Strommen, ont officieusement surnommé l'installation "Tyson Ranch", bien qu'il reste à voir si elle restera sous cette apparence lors de son inauguration, qui doit encore être annoncé. La société formée par le trio est intitulée Tyson Holistics, et le terme "Iron Mike Genetics" a été déposé à des fins de marquage.
 
Selon Robert Hickman, le complexe consacrera la moitié de ses terres (20 acres) à la culture de variétés de cannabis de haute qualité.
 
"[Tyson Ranch] permettra aux maîtres cultivateurs d'avoir le maximum de contrôle sur leur environnement", a déclaré M. Hickman à The Blast.

Outre la culture de souches THC et CBD haut de gamme, le complexe comprendra également un amphithéâtre pour des spectacles et des présentations, une usine d'alimentation en eau et un magasin d'alimentation, une usine de produits comestibles, un jardin avec un plan d'eau unique, une installation d'extraction de semences et une "école de culture Tyson" visant à enseigner aux cultivateurs de l'établissement les dernières techniques et astuces dans la culture de la marijuana.
 
Mike Tyson révèle les avantages de "Tyson's Ranch"

Tyson a également révélé que son entreprise sera principalement composée d'anciens combattants et a déclaré que la prise en charge des hommes et des femmes qui ont servi dans les forces armées sera une priorité pour l'avenir. Pour faire bonne mesure, le ranch sera situé près de la base aérienne d'Edwards et la compagnie espère créer une vaste gamme d'emplois pour les anciens combattants.

Tyson, qui a longtemps été un fervent partisan de la marijuana médicale à des fins thérapeutiques, a également déclaré que son établissement visera à améliorer la recherche médicale et le traitement des maladies à l'aide du cannabis, en dépit de servir principalement d'installations récréatives. Le CBD, le composé du cannabis qui ne contient pratiquement pas de propriétés psychoactives, devrait être cultivé, extrait et étudié intensivement au ranch. Il a été prouvé que le CBD est un médicament anti-inflammatoire, un anticonvulsivant, un traitement du PTSD et un antidépresseur viables, parmi une multitude d'autres utilisations potentielles.
 
Source: hightimes.com
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Par mrpolo,
"The Worlds biggest Space Cake", ou le plus grand space cake du monde: un gâteau géant au cannabis a été distribué gratuitement au marché de Noël de Zurich, ce dimanche.
 
 
 
Les passants ont tous pu recevoir une part de ce gâteau, mesurant 15 mètres de long et dont la préparation a nécessité selon le site du Matin un kilo de chanvre, 160 œufs, 40 kilos de sucre, 40 litres de lait, 32 kilos de farine, 8 kilos de chocolat et 6 kilos de beurre.
 
Selon les organisateurs, le taux de THC (tétrahydrocannabinol), la molécule psycho active que l'on peut retrouver dans le cannabis, n'atteignait que 0,2% dans la pâtisserie.
 
Depuis 2011, le cannabis peut être vendu en Suisse si son taux de THC est inférieur à 1%. 
 
Source : RTBF.be
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Par mrpolo,
Les ventes de sapins canadiens vers les États-Unis ont bondi de 40% depuis 2015. Et ce, grâce au cannabis.
 
 
Photo:Huit états américains ont légalisé le cannabis. Sébastien SORIANO/Le Figaro
 
C'est Noël avant l'heure pour les exportateurs de sapins québécois. Le Père Noël s'appelle l'Oncle Sam. Il achète à prix fous les sapins de la Belle Province, qui exporte 55 % de ses conifères. Ses exportations ont bondi de plus de 40 % depuis 2015. La raison? La pénurie de sapins aux États-Unis, due à une diminution du nombre d'arbres plantés, à une augmentation des incendies, mais surtout au succès de la marijuana dans l'Ouest américain!
L'Oregon, longtemps l'un des grands producteurs de sapins, s'est tourné depuis peu vers la culture du cannabis, beaucoup plus lucrative. Résultat, la production de sapins de Noël ne cesse de chuter dans ce petit État de 4 millions d'habitants. De 6,4 millions en 2013, elle devrait passer sous les 5 millions cette année. Le nombre de producteurs aurait, selon le département de l'Agriculture de l'Oregon, diminué de 30 % entre 2010 et 2015.
 
15 dollars le gramme de cannabis
 
L'Oregon a décriminalisé la consommation de cannabis en 1973 et, depuis deux ans, l'industrie de la marijuana complètement libérée de contraintes réglementaires a pris son envol. Il y aurait déjà 685 cultivateurs de cannabis et plus de 800 autres qui attendent des licences pour vendre leur cannabis à 15 dollars le gramme.
Les producteurs de conifères québécois ont donc de beaux jours devant eux, même si avec un million d'arbres exportés vers les États-Unis et des recettes de 24,3 millions de dollars, l'affaire demeure un marché de niche. «On prévoit de belles années à venir si Trump n'impose pas de barrières», confie Jimmy Downey, le président de l'Association des producteurs d'arbres de Noël du Québec au Journal de Québec.
 
Source: lefigaro.fr
 
En réponse aux USA:
Des supermarchés américains vendent un sapin de Noël en feuilles de cannabis
 
 

 
Pour ceux qui trouvent le sapin de noël has been, la puissante chaîne de supermarchés Walmart a la solution : le « Weed Christmas Tree ». De quoi « illuminer la pièce et mettre son esprit dans les bonnes conditions pour célébrer les fêtes » promet le vendeur, qui voit sa création décorée de fausses feuilles de weed « trôner dans votre salon ou dans les locaux d’un dispensaire médical ».


Bon, en revanche, il vous faudra débourser 250 dollars (212 euros) pour acquérir le fameux arbuste. S’il est une preuve supplémentaire de l’essor éclair du marché légal du cannabis aux USA – imaginez trouver ça chez Carrefour –, à ce prix-là mieux investir dans des cadeaux, non ?
 
Source: ulyces.co
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Par mrpolo,
«2 cafés de votre choix, un joint pré-roulé 0,7 g et 2 viennoiseries».
L’entreprise montréalaise Mtl420 semble prête: si la nouvelle loi canadienne le permet, elle proposera dès le 1er juillet 2018 des forfaits touristiques pour découvrir Montréal sous la thématique de la marijuana.
 


Instagram @mtl420tours


 

Le trio Wake’n’Bake (décrit ci-haut) est déjà annoncé sur le site de l’entreprise au coût de 18 $.
Pour 45 $, les voyageurs pourront plutôt opter pour une visite de Montréal en autobus comprenant la présence d’un «guide certifié» et du matériel à fumer «propre» et «varié». C’est le forfait «Tour Ville Mari».
 
Et tout ça est bien sérieux. Mtl420 se décrit comme «une entreprise en démarrage qui souhaite fournir des prestations touristiques complètes à des "cannatouristes" dès que ces activités seront légales»
 



 
Ses cofondateurs viennent d’ailleurs de lancer une vidéo promotionnelle où des amis découvrent les tam-tams du mont Royal, le quartier des spectacles et plusieurs autres recoins de la ville tout en consommant de la mari.
 




 
«C’est dans l’ADN de Montréal d’être une ville artistique, dynamique et ouverte, explique le cofondateur Alexis Turcotte Noël dans un communiqué. Il est dans l’intérêt de toutel’industrie touristique montréalaise de maintenir cette réputation et de se positionner rapidement comme une ville qui accueille les consommateurs responsables de cannabis.»
 



 
Source: journaldemontreal.com
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Par mrpolo,
Le « Tinder » de la weed made in USA !
 
 
 

T’es un putain de fumeur de weed? On a un truc fait pour toi ! Monte à bord, la weed t’attend!


 
Un bus pour fumeur de weed, ça te dit ? La ville de Denver est certes connue pour sa bière, mais les fumeurs y trouveront leurs comptes aussi !
 
Pour ça, l’entreprise My 420 aux Etats-Unis te fait un deux en un, te proposant de voyager d’une brasserie houblonnée à l’autre, et également admirant les plantations qui te font rêver, un gros pétard entre les doigts. Fais ressortir le petit fumeur qui sommeille en toi et monte à bord du bus magique !
 
Accueillant des fumeurs de beuh de monde entier, l’Etat du Colorado te propose le circuit du siècle : le « Denver Cannabis Tour », qui remporte un vif succès. Pas étonnant, la weed c’est culturelle !

 
En Janvier 2014, le tourisme dans le Colorado était sage : des parcs nationaux, des montagnes sublimes et des stations de ski.
 
Depuis, changement de registre ! On te présente alors le Tinder de la weed, qui t’aidera à fumer autant que tu veux et faire des rencontres entre partenaires de bedos ! On sort l’artillerie lourde : gros joint, la marijuana circulera à donf dans tes veines. Un bus entier de personnes, pipes à eau et feuille à rouler, ça promet d’être du lourd !


 




 
Source: opnminded.com
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Par mrpolo,
Selon une étude, les enseignes de fast-food profiteraient à plein de la législation de certains Etats. La marijuana ouvrirait l’appétit de ses consommateurs.

 


La législation sur le cannabis aux Etats-Unis a permis l’émergence d’une



véritable filière, qui pèse plusieurs milliards de dollars - Saul Loeb/AFP




La légalisation du cannabis dans plusieurs Etats américains a des conséquences économiques inattendues. Selon un rapport du très sérieux cabinet « Consumer Research around Cannabis », qui vise à fournir le marché en données fiables sur les opportunités du secteur, les enseignes de restauration rapide pourraient bien profiter du boom de « l'or vert » aux Etats-Unis. Dans les Etats où la consommation a été légalisée, McDonald's, Burger King et autres KFC auraient ainsi vu leurs ventes augmenter.

L'un des effets connus de la consommation de cannabis est en effet de stimuler l'appétit. Les enseignes de fast-food, aux horaires d'ouverture amples et à la commande rapide, seraient alors les plus à même de répondre aux petites faims intempestives des fumeurs de joint.

Vidéo : MacDonald's, grand vainqueur de la légalisation du cannabis ?





 
En hausse à Wall Street

Le « Consumer Research around Cannabis » a même réalisé un sondage auprès des consommateurs, pour savoir quelles étaient leurs enseignes préférées. Sans surprise, c'est McDonald's qui devrait le mieux tirer son épingle du jeu : 43% des consommateurs de cannabis déclarent être allés dans l'un de ses restaurants au cours des quatre dernières semaines.
 
Leur deuxième chaîne préférée serait Taco Bell (18%), suivie de Wendy's (17,8%), Burger King, KFC, Jack in the Box et Carl's Jr. Les chiffres seraient sensiblement plus élevés que dans le reste de la population.
Est-ce l'impact de cette étude ? Les enseignes citées et cotées à la Bourse de New York ont toutes fini au-dessus des performances du Dow Jones mercredi, McDonald's gagnant 0,46%, Wendy's 1,86% et Jack in the Box 2,32%, alors que la tendance était plutôt à la baisse pour elles ces dernières semaines.
 
Un marché en plein essor

Ce n'est pas la première fois que ces marques se retrouvent, volontairement ou non, associées à la marijuana. Il y a quelques mois, un franchisé McDonald's s'était offert une publicité sur le bord d'une route reliant le Nouveau-Mexique (où l'usage est interdit, sauf pour raison médicale) au Colorado (où l'usage est totalement légalisé). Sur la gigantesque affiche figurait un burrito.
 
Le slogan : « Normalement, quand vous roulez quelque chose d'aussi bon, c'est illégal. » McDonald's s'était désolidarisé de l'initiative en faisant retirer la publicité, mais celle-ci avait été particulièrement partagée sur les réseaux sociaux.


Taco Bell, de son côté, a récemment effectué un test en partenariat avec Lyft, le concurrent d'Uber . Il s'agissait de commander un véhicule incluant un passage par l'un de ses restaurants, entre 21 heures et 2 heures du matin. Le test a été mené... dans le comté d'Orange, l'un des plus libéraux en matière de cannabis.
Filière cannabis

La législation de plus en plus ouverte sur cette question aux Etats-Unis a permis l'émergence d'une véritable filière, qui pèse plusieurs milliards de dollars. Le marché légal représentait l'an dernier en Amérique du Nord 6,7 milliards de dollars (+34%). Et c'est sans compter les accessoires et autres produits dérivés.
Les start-up de la « weedtech » , qui développent des comparateurs de prix, des plates-formes d'information, des réseaux sociaux ou vendent en ligne des produits, continuent, elles, de séduire les investisseurs. Aux acteurs traditionnels d'en profiter, désormais !

Nicolas Rauline
Bureau de New York
@nrauline
 

Source: lesechos.fr
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Par mrpolo,
Trop de marijuana pousserait – légalement – en Californie. C’est ce qu’a affirmé mercredi un dirigeant de l’industrie cannabique locale… Que va-t-on faire des excédents ?
 
 
 

La production de l’année serait huit fois plus élevée que les besoins de cet État, où le cannabis récréatif est légalisé depuis novembre 2016 (l’usage thérapeutique étant autorisé depuis plus de vingt ans). Une nouvelle loi, en vigueur en janvier 2018, interdit les exportations vers les autres États. Alors, que vont devenir les excédents ? On a quelques idées pour écouler la weed…
Faire comme avec les produits laitiers (nos amis pour la vie)
 
Les jeunes Américains sont de grands consommateurs de lait de vache. Le résultat de décennies de lobbying : des campagnes de grande ampleur vantent régulièrement les vertus miraculeuses du breuvage. Les écoles en distribuent aux enfants et reçoivent des fonds fédéraux en échange. Pourquoi ne pas imaginer un système équivalent pour le cannabis ? Pas dans les écoles, bien sûr, le THC étant toxique pour le cerveau des jeunes, mais dans les entreprises et dans les services publics ? De quoi détendre les relations interpersonnelles et faciliter la communication. Éviter néanmoins d’en donner aux conducteurs de véhicules et de machines, aux aiguilleurs du ciel, aux chirurgiens et aux traders.
Larguer des doses de survie dans les zones de conflit
 
Pour aider les populations coincées dans les pays en guerre (Syrie, Irak…), les États-Unis pourraient imaginer des missions humanitaires leur larguant, dans des colis, de quoi s’évader un peu pour tenir le coup. Ces gens ayant souvent faim, des space cakes auront l’avantage supplémentaire de les caler un peu. Prévoir de monter un partenariat avec la Floride, pour envoyer aussi des oranges.
Fournir gratuitement tous les hôpitaux du pays
 
Réduction de la douleur, des nausées et des vomissements, amélioration de l’appétit, de l’humeur, du sommeil … Le cannabis peut améliorer la vie des personnes atteintes de cancer en réduisant les symptômes de la maladie et les effets secondaires des chimiothérapies. Il peut aussi soulager les personnes souffrant du sida, d’Alzheimer… mais aussi d’arthrose ou de douleurs handicapantes chroniques. Dans la lignée de l’Obamacare, que Trump n’a pas réussi à démolir, les Américains pauvres et malades apprécieraient un petit cadeau de l’État le plus riche du pays.
Battre le record du plus gros joint du monde
 
Celui qui réalisera cet exploit n’est pas sûr d’intégrer le Guiness Book, mais il fera le tour du Web. Sur YouTube, les vidéos fleurissent… En 2013, la police avait saisi un joint d’un kilo et de 1,20 de long sur un festival à Santa Cruz. Un pétard qui contenait environ 35 fois la dose légale autorisée par l’usage thérapeutique. La réglementation actuelle n’autorise pas les usagers californiens à détenir plus de 30 g : pas sûr que ça suffise.
 




Rendre leur appétit aux mannequins anorexiques
 
À force de se voir accuser d’être trop grosses pour faire de parfaits porte-manteaux, certaines top-modèles développent de vrais troubles psychiatriques autour de leur alimentation. Pourquoi ne pas les aider à retrouver l’appétit ? Double avantage, le produit ayant des propriétés anti-émétiques, elles auront plus de mal à se faire vomir… Évidemment, on évitera de leur servir des gâteaux au shit ou du beurre de Marrakech.
Balancer des chemtrails pour réfréner les révoltes
 
Certains complotistes l’affirment : les traînées de fumée s’échappant des avions contiendraient des substances chimiques douteuses, destinées à manipuler le climat et/ou les habitants de la terre. Dans l’idée, on pourrait arroser le monde avec des vapeurs cannabiques. Peace and love…
Détendre Donald Trump
 
L’agité de la Maison-Blanche gagnerait à se détendre un peu. Un petit cadeau de la Californie, et… cool, man. De quoi faire remonter sa cote de popularité ? A l’heure actuelle, seul un Californien sur quatre pense que le locataire du bureau ovale assure (Public Policy Institute of California).
 
Source: vsd.fr
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Par Indi-Punky,
Gordon Ramsay’s Hotel hell
 




 
Il ne fait aucun doute que vous allez reconnaître le célèbre chef qu'est Gordon Ramsay, la vedette de nombreuses émissions de télé réalité, ou il perd régulièrement son flegme et qui l'a fait jurer sur le chemin des cuisines du monde.
 
Son émission actuelle est l'Hôtel Hell, où Ramsay visite des entreprises familial pour aider à transformer leurs perspectives et faire de leur affaire un succès.
 
Dans un épisode particulier, Ramsay visite un hôtel en Oregon, qui est dirigé par un homme amateur de cannabis du nom de Richard, mais qui préfère être appelé "Pa Butt". Comme il le dit dans le clip, "Nous sommes juste Butt".
 
Bien sûr, en ce qui concerne les médias traditionnels, un tel personnage est considéré comme le stéréotype même du stoner - et cette fois-ci n'est pas différente. Dès le moment où Ramsay entre dans la place, la production met en lumière ce stéréotype, en commençant par l'absence de personnel pour accueillir "Sweary Poppins". Cela continue lorsque le célèbre chef appuie sur un bouton "buzz pour appeler un humain avec des réponses", qui coupe vers Pa Butt assis en arrière, fumant un joint avec un chien à ses côtés et ne venant pas voir qui sonne.
 
C'est sans aucun risque que nous pouvons dires que tout l'extrait est joué pour amuser à pas chers, avec Ramsay en train de jouer, disant qu'il aime les herbes fraîches (et agissant comme s'il ne savait pas à quoi l'herbe ressemble). Juste pour mettre un coté négatif sur tout cela, Ramsey dit également que le propriétaire est, évidemment, "haut comme un cerf-volant".
 
Source: http://herb.co/2017/06/26/gordon-ramsay-meets-stoner/
 
 
 
Une seconde vidéo, ne faisant pas partie de l'article original:

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Par terpéne,
Chuck Lorre, créateur des très bonnes séries The Big Bang Theory et Mon Oncle Charlie, est de retour avec Disjointed. Cette série diffusée par Netflix sortira le 25 août. Kathy Bates incarnera Ruth, la gérante du dispensaire de cannabis médical « Ruth’s Alternative Caring » à Los Angeles.
 

Accompagnée par son fils, joué par Aaron Clifton Moten, l’héroïne tentera de gérer correctement ses affaires fumeuses durant 20 épisodes de 30 minutes.
 
Le trailer est sorti la semaine dernière, comme par hasard, pour le 4/20.
 

 

A contrario des Breaking Bad ou Weeds, la série Disjointed couvrira le côté légal de la vente de drogue. On y retrouvera toutes les petites mains qui font actuellement fonctionner les dispensaires de cannabis, du producteur à l’agent de sécurité souvent ex-militaire reconverti dans le privé.
 
On retrouve au casting : Elizabeth Elderfer , Tone Bell , Dougie Baldwin et Elizabeth Ho. Au Scénario, l’homme aux 13 Emmy Awards et scénariste du Daily Show, David JaverBaum.
 
Au vu de ce premier trailer, la gérante ne respecte pas totalement l’interdiction de consommer dans les dispensaires.
 
Pour ceux qui aiment bien la petite bande son » I’m so High, I’m so dry » derrière, voici l’originale de Trixie Smith.
 

 
Netflix and Chill !
 
source : newsweed.fr/
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Par mrpolo,
Quand le groupe post-rock islandais s’associe avec la marque californienne spécialiste des produits infusés au cannabis Lord Jones, cela donne une édition limitée de bonbons "wild sigurberry" hautement addictive.
 

Ces bonbons sont uniques en leur genre. La raison ? Nées de la collaboration du groupe pop rock Sigur Rós et du le label californien de denrées ultra-luxes infusés au cannabidiol (CBD) Lord Jones, ces pâtes de fruits à la saveur inspirée des baies sauvages d’Islande - framboises, mûres et myrtilles – pays d’origine du trio musical, sont infusées à l’extrait de cannabis riche en CBD.
 
Disponibles en 10mg et 20mg, chaque dose individuelle promet "une sensation apaisante de bien-être inspirée par la musique de Sigur Rós". Proposés par neuf dans une boîte illustrée par l’artiste londonien Andrew Rae, voici autant de shoots de bonheur à glisser sous la langue.
 
 
 




Lord Jones + Sigur Rós, boîte de bonbons Sigurberry en Edition Limitée, 40 dollars.

 
Par Maud Charmoy
 
Source: vogue.fr
 




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Par mrpolo,
Faut-il consommer du cannabis pour profiter au mieux d’une expérience de réalité virtuelle ? L’usage de drogues déjà répandu dans le secteur du jeu vidéo s’est transposé peu à peu à l’univers virtuel. Ses utilisateurs défendent une pratique rendue plus intense grâce à l’usage de stupéfiants. Une tendance qui se transpose aussi à la vente avec l’ouverture prochaine d’un véritable supermarché virtuel du cannabis. Quels sont les véritables avantages et les limites de cette tendance ? On fait le point avec vous.
 

Drogue et jeux vidéo, une longue histoire d’amour
Lorsque l’on mélange dans une même phrase, les termes drogue et jeux vidéo, ce n’est en général pas pour parler des usages. Psychologues, associations et parents inquiets, désignent plutôt les jeux vidéo comme une drogue. Pourtant c’est bien s’arrêter là en surface et méconnaître tant les bienfaits des jeux vidéo que les usages de drogues récréatives dans l’univers ludique.
 
Dès 2011, la revue Culture Magazine a analysé l’impact de la marijuana sur les joueurs de jeux vidéo. Selon cette publication (pro-marijuana, il faut le préciser), l’usage des drogues récréatives permet aux joueurs de s’améliorer et de devenir sensiblement supérieurs à leurs adversaires. Cette tendance se retrouve aussi dans l’univers de l’e-sport professionnel.
 
Au point que en août 2015, l’Electronic Sports League, l’une des plus grandes fédérations a mis au point des tests anti-dopages aléatoire durant les compétitions. Ils y cherchent les dopants habituels (les modulateurs hormonaux, les agents masquants, les diurétiques, les anabolisants…) mais aussi des drogues. Le cannabis, le haschisch, la marijuana ou le tetrahydrocannabinol synthétique (THC) sont alors devenus interdits pendant les compétitions. A noter que l’usage récréatif est lui toléré avant les épreuves.
 
Sans doute pour contrebalancer cette décision, un tournoi alternatif a vu le jour. « The Stoned Gamer » est un tournoi organisé chaque année à Los Angeles, réservé aux joueurs ayant consommé du cannabis. Les récompenses sont bien entendus liés aussi au cannabis : substance, vapoteuse…
 
Le cannabis permet une expérience plus intense
 

 
Du côté des joueurs, c’est la même raison qui est mise en avant tant dans un jeu classique que dans la réalité virtuelle. L’usage du cannabis ou d’une autre drogue permettrait une expérience plus intense et surtout plus immersive. L’aspect « psychédélique » permet de tromper le cerveau en lui faisant croire qu’il s’agit du monde réel et non pas d’une expérience virtuelle.
 
En novembre 2015, Vice est allé à la rencontre de ces « psychonautes ». Ces utilisateurs de la réalité virtuelle font un usage intensif de drogue pendant leurs expériences avec l’objectif d’atteindre le « Saint Graal » : la présence. L’impression de pouvoir sentir le vent sur son visage, de se sentir réellement au cœur de l’expérience. « J’avais l’impression d’avoir réellement été transporté dans un autre monde. Cela m’a même inquiété. J’avais peur d’oublier que j’étais dans un jeu alors je n’arrêtais pas de retirer mon casque pour me rappeler que ce n’était pas réel » explique l’un d’entre eux.
Une opportunité économique…
Mais l’intérêt a aussi été bien saisi par les entreprises. Dan Braunstein fait partie des entrepreneurs qui a su anticiper le phénomène. . Il a lancé GrassFeed, une entreprise mêlant gastronomie et cannabis. Le 7 avril dernier il a organisé un événement intitulé « Expérience de réalité virtuelle et cannabis ». Les personnes présentes pouvaient déguster différents types de cannabis, faire un bon repas, écouter de la bonne musique et enfiler un casque de réalité virtuelle et se laisser porter par l’expérience. Près de 150 scénarios différents étaient proposés aux personnes présentes. « Le cannabis et les jeux ont toujours été de bons amis, si vous voulez », explique Dan Braunstein. « Je connais beaucoup de mes amis qui adorent les jeux et adorent le cannabis, et qui adorent les combiner ».
 

 
Le mélange des genres entre réalité virtuelle et cannabis ne s’arrête pas simplement à améliorer l’expérience. Certaines marques de cannabis, utilisent la réalité virtuelle pour faire comprendre les effets que pourrait avoir sur les clients leur produit. Certaines entreprises vont même plus loin.
 
Alors que l’on commence à parler sérieusement de réalité virtuelle pour présenter des produits dans la grande distribution, les entreprises de cannabis ont déjà sauté le pas. Si vous souhaitez découvrir de l’intérieur la chaîne de production du cannabis c’est possible pour l’entreprise Dawg Star Cannabis, de Seattle. Il suffit de vous rendre sur le site de Kush Tourism pour vous retrouver face aux plants. Il ne manque plus que l’odeur…
 
… mais aussi de décrocher de l’usage du cannabis
 
De façon paradoxale, les chercheurs considèrent que la réalité virtuelle pourrait aussi être utilisée pour lutter contre les addictions y compris celle au cannabis. Des chercheurs de l’université de Macquarie, à Sydney ont ainsi mené une expérience dans ce sens l’an dernier. Leur idée était d’exposer les utilisateurs à des situations qui les incitent à consommer de l’herbe pour les faire décrocher.
 
Si la plupart des chercheurs considèrent que le cannabis est loin d’être la drogue la plus active, elle peut toutefois générer des troubles dans la vie quotidienne et des difficultés à arrêter. Dans cette expérience, les utilisateurs se retrouvent donc confrontés aux signaux qui les poussent habituellement à consommer du cannabis mais sans pouvoir le faire. S’entraîner à résister à ces signaux à l’intérieur de la réalité virtuelle pourrait alors permettre de rompre la dépendance.
 

 
Si aucun chiffre n’a toutefois encore été communiqué sur les résultats de cette expérience, on peut supposer que les résultats seront semblables aux tentatives menées pour le sevrage tabacologique à Marseille. Dans cette étude, plus de 50% des participants n’ont pas repris la cigarette après cette thérapie.
 
« La thérapie cognito-comportementale prépare le patient à gérer les situations qui activent le circuit de récompense responsable des bouffées de manque mettant la volonté à l’épreuve », expliquait alors le Dr Eric Malbos, spécialiste du traitement en réalité virtuelle, dans une interview au journal Les Echos.
Bientôt un supermarché du cannabis en réalité virtuelle
La prochaine étape du mariage entre cannabis et réalité virtuelle est sur le point de se lancer. « Weed Vr » qui devrait bientôt être officiellement disponible sera le premier « supermarché » virtuel de cannabis. Les utilisateurs pourront inspecter différents types de cannabis et ensuite passer commande. Ils seront alors livrés par des partenaires qui sont eux bien réels. « Pas de fil d’attente, pas de problèmes et passez autant de temps que vous le souhaitez à comparer les produits » explique l’entreprise sur son site.
 

 
Weed VR devrait bien entendu uniquement proposer des marques autorisées légalement. Reste à voir si les consommateurs seront vraiment intéressés par le concept, le contact physique et l’odeur étant encore deux critères qu’on ne peut imiter avec la réalité virtuelle.
 
Mais on peut déjà imaginer, avec les services de livraisons rapide, le commander et pouvoir le fumer quelques heures plus tard, sans même être sorti de la réalité virtuelle à part pour recevoir le produit. L’application sera bientôt disponible sur Oculus Rift et HTC Vive.
 
La problématique de la législation
 
Comme vous l’aurez noté à travers les différents exemples, ces usages du cannabis dans l’univers de la réalité virtuelle ont surtout lieu aux Etats-Unis. Une situation qui s’explique par deux raisons. Tout d’abord, c’est dans ce pays que les utilisateurs de réalité virtuelle sont les plus nombreux. L’écosystème s’y développe de façon parallèle en terme d’applications et d’événements, créant un terreau fertile à des pratiques innovantes.
 
Mais, c’est le second élément qui joue le rôle le plus important. Fin 2016, le cannabis était autorisé complètement ou partiellement dans 30 états sur 50 et concernait plus de la moitié de la population américaine. Elle représentait l’an dernier un business estimé à 5,4 milliards de dollars !
 
De notre côté de l’Atlantique, la situation est quelque peu différente. S’il s’agit du stupéfiant le plus consommé en France (1,2 million de consommateurs réguliers), la loi condamne toujours la production, la détention, la vente, l’achat et l’usage de cannabis. Le simple usage peut être condamné d’1 an d’emprisonnement et de 3750 € d’amende. Un peu cher pour avoir une expérience augmentée en réalité virtuelle. La situation pourrait toutefois évoluer dans les prochaines années puisque des voix s’élèvent pour la dépénalisation du cannabis dans le pays.
 
Par Pierrick LABBE
 
Source: realite-virtuelle.com
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Par mrpolo,
Le duo de rappeurs JeanJass et Caballero s’apprêtent à sortir une émission d’un genre nouveau dans le paysage belge : une série de tutoriels de cuisine, saupoudré de pas mal d’humour et de cannabis.
 



 
4/20. Le 20 avril. Si pour beaucoup, la date n’évoque rien de spécial, si ce n’est l’anniversaire d’une vieille tante qu’on doit absolument appeler, pour tous les amateurs de ganja, de weed, de Marie-Jeanne, de spliffs, de beuh – et tous les autres petits noms qu’on donne au cannabis –, aujourd’hui est un jour spécial. À l’occasion du « quatre-vingt », on célèbre à travers le monde la petite plante narcotique à feuilles vertes. C’est aussi le jour qu’ont choisi les acolytes du rap belge JeanJass et Caballero pour sortir le premier épisode de leur nouvelle émission YouTube « High & Fines Herbes », qui sera dévoilé à 18h.
 

Fast-food revisité
 

Plus «
» – la série du cuistot et rappeur américain Action Bronson – que « Top Chef », le concept sous influence des Laurel et Hardy du hip hop bruxellois est néanmoins né de la rencontre avec un vrai chef, JB. Le cuisinier les a approchés, après une demi-douzaine d’années à avoir tâté l’inox de grands établissements étoilés français. Amateur de recettes à base d’herbe magique, JB s’est spécialisé en « junk food de luxe » et rêvait d’une série du genre. Avec JeanJass et Caballero, la mayonnaise a tout de suite pris, et le duo s’est improvisé chefs à domicile, dans votre écran. 
À l’image, on retrouve la clique copieusement affalée dans un salon, décrivant avec détails une herbe choisie pour sa qualité et sa rareté. Sans complexe, elle est partagée et fumée, passant de mains en mains au rythme des blagues, parfois graveleuses, d’un Caballero particulièrement remonté. « Tout est bio », assure-t-il, en parlant tant de la tête duveteuse de la weed que des aromates qui sont ensuite présentés, avec les autres ingrédients, dans une petite cuisine. Le menu du jour ? Pizza à l’huile infusée au THC et milkshake arrangé. Et après le cours, vient la dégustation. « Une réussite totale », lâche l’un des rappeurs, la bouche pleine de grillz et de mozzarella.
 
« Chef, je veux le plat le plus cher sur la carte / (…) Le plat est fini, j’ai le fumant / Dis-moi chef, je veux la beuh la plus chère sur la carte », égrène le duo dans le clip de leur morceau « Yessaï », entre un sommelier et un foodtruck. Si le titre n’est pas la bande son officielle de « High et Fines Herbes », elle en laisse deviner l’ambition. « On a eu la chance de rencontrer quelqu’un qui fait passer ça du côté gastronomique de la chose : pas juste des space cakes ou des space cookies, mais des plats plus élaborés », raconte JeanJass, à propos de JB.
 
« Je suis quelqu’un qui regarde beaucoup d’émissions culinaires, depuis que je suis tout petit. Je me rappelle, je regardais Joël Robuchon le midi. La weed et la bouffe, ce sont vraiment deux passions communes à Caballero et moi – peut-être plus la weed pour lui et la bouffe pour moi », poursuit le rappeur.
 




 

Apologie ou pédagogie ?
 
Même si le programme est hébergé sur YouTube, qui compte d’autres émissions du genre – « Eat your green » sur Vice ou la néerlandaise «
», pour ne citer qu’elles -, JeanJass et Caballero savent qu’ils risquent d’être rapidement accusés de faire l’apologie de la drogue – notamment auprès des plus jeunes, grand consommateurs de vidéos en ligne. 
Ils s’en défendent, culinairement d’abord : « On ne veut pas que l’émission soit un tuto pour apprendre des recettes à la weed, parce que c’est trop fort. On a voulu la jouer plus calme de ce côté-là, en disant ‘c’est une belle émission de divertissement pour te faire rire, si vraiment tu veux faire cette recette-là, renseigne-toi plus d’abord’ », assure Anthony Consiglio de Back in the Dayz, label qui entoure le groupe. « La drogue est une donnée qui existe dans la vie des jeunes », poursuit-il. « Moi, ça ne me dérange pas d’en parler. C’est comme quand on ne parlait pas de sexe avec ses parents, c’est un peu ridicule, il faut parler de ces choses-là pour éviter les surprises le jour où ça arrive ».
 
Du côté d’Infordrogues, association subventionnée d’information et d’aide autour de la consommation de drogues, le discours est étonnamment similaire.
 
Pour Jean-Michel De Herde, psychologue chargé de consultations, « qu’il y ait un discours alternatif autour du cannabis, qui est par ailleurs original, puisqu’on parle de l’aspect culinaire, c’est une bonne chose ». Selon le spécialiste, il s’agit de désenclaver le consommateur, jusque-là tenu entre le marteau et l’enclume d’une criminalisation de la drogue et des stigmats liés au toxicomane.
 

©High & Fines Herbes – Avant la cuisine, la phase de dégustation. Celle de l’herbe du jour.
« On marche toujours sur des œufs, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut renoncer. On peut avoir une crainte d’un effet d’incitation, comme si ça allait donner le mode d’emploi d’une consommation de produits. Mais il y a quand même peu de chances que ça se passe comme ça », assume Jean-Michel De Herde.
 
« Et dans ce cas-là, il y a aussi toute la question de l’éducation à l’image qui peut se poser. Se dire que parce qu’un jeune aurait vu une telle émission où quelqu’un consomme du cannabis, il puisse devenir dépendant au cannabis, c’est beaucoup trop court comme raisonnement ». L’expert salue également le côté informatif de telles émissions, « rapide, visuel et facilement accessible ».
 

L’herbe gastronomique
 

« On s’adresse clairement à un public adulte », rappelle aussi JeanJass, qui est certain que son public sera réceptif au concept, habitué à ses rimes univoques. « Le but, c’est vraiment de faire rire et de divertir. On ne pousse absolument pas à la consommation. Toutes les recettes sont absolument faisables sans herbe. On a mis des doses mainstream, dans le sens que le but, au niveau de la cuisine, est de bien manger et de goûter cette weed, plutôt qu’être défoncé ».
 
 
 

C’est de la weed très rare, qui coûte très cher, le double d’une beuh moyenne. C’est comparable à une bouteille de vin qu’on paierait une centaine d’euros – Anthony Consiglio de Back in the Dayz
Une démarche que soutient le psychologue d’Infordrogues : « En Belgique, on a combien de recettes de cuisson de viandes à la bières ? », questionne-t-il. « On associe les mets avec du whisky, avec de la vodka ». Selon lui, une série culinaire comme « High & Fines Herbes » « permet de démultiplier l’esthétique du bien-manger. On entre dans quelque chose qui n’est plus seulement une drogue, un truc sec, brutal, qui abîme, mais on développe un savoir-faire, un savoir-consommer ».
 





©High & Fines Herbes – La série empreinte également aux codes d’émissions culinaires plus classiques, comme « Tasty ».


 
 
 
Vers l’Amérique, et au-delà
 

« Ça peut aussi servir à débattre : la dépénalisation est un débat qui a pris de la place dans la présidentielle française, par exemple. Je pense qu’on se dirige vers une dépénalisation et donc on suit un peu le courant, on anticipe », analyse le rappeur, pointant également une culture de la consommation de la marijuana plus épanouie, aux États-Unis. « Du côté américain, c’est quelque chose qui est tout à fait accepté. Si on prend le rappeur Wiz Khalifa, sur ses réseaux sociaux, il peut poster une photo avec son fils que tout le monde trouve mignonne et la suivante, où il roule un joint énorme – ça ne gène personne ».
 
 
 

En Francophonie, on est peut-être encore trop politiquement corrects – JeanJass
« On va chaque année à Montréal, qui est pour nous le parfait mélange entre scène américaine et francophonie« , raconte à ce propos Anthony Consiglio. « Comme dans la musique, on ne veut pas forcément retranscrire le mode de consommation excessif, mais plutôt voir les choses en grand avec des petits moyens. On a tourné ça dans un petit appartement avec peu de moyens, mais on voulait que ça brille tout autant qu’une production Golden Moustache. Entre nous, on se dit ‘il faut que ce soit l’Amérique’ ». Et ce, même si « High & Fines Herbes » a quand même de jolis accents sauce andalouse.
 
Par la Rédaction Paris Match Belgique
 
Source: parismatch.be
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Par mrpolo,
À l'occasion du 20 avril, la journée internationale de la weed, Tealer a misé sur une stratégie de communication assez décalée : murs placardés d'images de cannabis, libre distribution de chocolat ressemblant à de la marijuana... La marque de vêtements n'a pas manqué d'inventivité.
 
 
 
"Four-twenty" est une expression utilisée en Amérique du Nord pour désigner de manière discrète la consommation de cannabis. C'est aussi 16 heures 20, moment propice à la fumette. Le terme désigne également le Weed Day – la journée internationale de l'herbe ayant lieu chaque année le 20 avril – qui célèbre la consommation du cannabis ainsi que la contre-culture qui s'y rattache. À cette occasion, la marque de vêtements et accessoires Tealer a organisé une chasse au(x) trésor(s) ainsi que des livraisons pas comme les autres.
 
Des murs des rues des 20 arrondissements parisiens ont ainsi été recouverts de photos de cannabis, tandis que des boîtes rouges renfermant des pochons remplis de "beuh" ont été installées un peu partout. Du cannabis en libre-service dans tous Paris ? C'est ce que la marque appelle des "kush box emergency", sorte de kit d'urgence spécial. Dans ces pochons ce sont en fait des chocolats OG Kush, ressemblant en tout point à de la weed. Une sorte de deuxième fête de Pâques en quelque sorte.
 
Bon, c'est rigolo, mais si l'initiative de distribuer du chocolat est bienvenue, il est important de rappeler que le cannabis peut être néfaste.
 

(© Tearler)

(© Tealer)

(© Tealer)
 




 

(© Tealer)


 





 

(© Tealer)


par Chayma Mehenna
 
Source: konbini.com
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Par mrpolo,
De nombreux chrétiens conservateurs demandent à obtenir l’autorisation de donner de la marijuana à leurs enfants autistes.
 
 
 
 
 
Seuls les parents d’enfants autistes connaissent les souffrances engendrées par ce trouble encore largement méconnu. Certains enfants sont parfois sujets aux angoisses, ou à des explosions de violence qui peuvent mettre en danger l’enfant et son entourage.
 
Aux États-Unis, des parents considèrent qu’ils n’ont plus rien à perdre, et se tournent désormais vers la prise de cannabis thérapeutique. Il ne s’agit pas de faire fumer l’enfant, mais plutôt d’en administrer sous forme de patchs par exemple. La chrétienne Amy Lou Fawell, co-fondatrice et directrice de l’organisation MAMMA, Mothers Advocating Medical Marijuana for Autism, plaide pour la légalisation de l’usage thérapeutique de marijuana pour les enfants autistes.
 

“Nous sommes les personnes les moins prédisposées à faire cette démarche”


 
Il y a plus de 3 ans, désespérée par les difficultés de comportement de son fils, Amy Lou a fait le choix de lui administrer de la marijuana. Contre toute attente, le comportement du garçon s’est amélioré. C’est ainsi qu’est né le premier groupe MAMMA à Austin, au Texas.
 


“Si Dieu l’a fait, et que notre corps en a besoin, alors l’argument est chrétien.”


 
Il existe des groupes de ce type dans 12 états des États-Unis. Les parents réclament le droit d’utiliser le cannabis pour apaiser leurs enfants. Matthew J.Cox, ministre au Texas a déclaré que son parti pris résolument anti-marijuana commençait à s’adoucir.
 


“Il y a peut-être une utilisation de la marijuana, un plan pour cela… Je ne peux pas croire que ce serait pire que les médicaments psychotropes donnés sur ordonnance, aujourd’hui aux enfants.”


 
Car ses parents militent effectivement pour une utilisation thérapeutique, et non pour une utilisation récréative. Il est avéré que la consommation de cannabis provoque des dommages irréversibles sur le cerveau, et peut déclencher l’apparition ou aggraver des troubles psychiatriques majeurs.
 
 
 
L’utilisation de la marijuana est ici mise en balance avec l’utilisation de psychotropes aux effets secondaires dévastateurs.
 
L’efficacité de tels traitements n’a pas été vérifiée selon un protocole scientifique. Certains parents y ont recours de manière empirique, et prennent ensuite le risque de faire connaître les histoires de succès sur Internet. Orrin Devinsky, neurologue à l’Université de New York s’exprime ainsi :
 


« Nous en tant que société politique, médicale et scientifique, nous devrions nous déplacer pour obtenir des données scientifiques de haute qualité. Si c’est sûr et efficace, les gens devraient être en mesure d’utiliser leurs prescriptions et d’en obtenir. Si elle est dangereuse ou si elle est inefficace, personne ne devrait y avoir accès. »


 
Source: infochretienne.com
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Par Indi-Punky,
Cincinnati «Il suffit d'arrêter», dit Nathan Mowdry, porte-parole de Gorilla Glue au quartier général de Cincinnati, surplombant la rivière Ohio. "Nous demandons aux cultivateurs de cesser de se référer à leurs produits comme de la Gorilla Glue. C'est assez simple ici - nous possédons le nom, vous non, alors s'il vous plaît cesser de l'appeler comme ça. "
 
Mowdry affirme que Gorilla Glue Corp veut que sa reconnaissance de nom durement gagnée lui reviennes et dit qu'il en a marre du flot d'emails et d'appels téléphoniques de personnes à la recherche de graines de marijuana et de «clones super dank».
 
La variété populaire de cannabis - nommée en raison de la colle Gorilla pour sa production de résine incroyablement collante - a frappé le marché de l'herbe cet été en devenant la souche "it" de 2016. Le succès du rallye variétal a vu des itérations ultérieures (Gorilla Glue # 3, # 4) catapultant la souche dans le statut d'icône aux côtés des Girl Scout Cookies et Blue Dream.
 
Le marchand de colle, établi il y a une décennie après que le super-adhésif ait d'abord été découvert et utilisé sur des meubles en teck en Indonésie, a apparemment lancé une injonction sur tous les producteurs d' "arrêter et d'abandonner la culture de la souche Gorilla Glue", dit le cabinet d'avocats Dunn & Dunn, "ou faire face à des amendes et / ou à un certain emprisonnement."
 
Morrie Dunn, "nous avons été mandatés par notre client, en particulier après le succès énorme de la Gorilla Glue # 4, afin de récupérer les dommages et intérêts pour l'usage du nom Gorilla Glue en conjonction avec la production de marijuana. Nous avons été mandatés par Gorilla Glue Corp afin de placer un «recours collectif » sur tous les cultivateurs de la souche.
 
Le nombre de plantes de gorilla glue en Californie cet automne sont estimés à plus de 2 millions d'unités. La dernière version, la Gorilla Glue # 5 - a l'odeur d'une boîte de balles de tennis fraîchement ouverte - est sûre de faire un tabac une fois qu'elle commencera à apparaître dans les points de vente en Octobre partout aux États-Unis.
 
«Il est difficile ces jours-ci de trouver un cultivateur de cannabis qui ne cultive pas la gorilla glue ou recherchant des clones ou des graines pour leur prochaine culture,» dit le spécialiste de dispensaire Mitchel Colbret du centre de santé de harbourside à Oakland. "Nous sommes en rupture de clones Gorilla Glue avant 10h tous les jours!"
 
Mowdry dit que la compagnie a l'intention de regagner les revenus volés de sa propriété intellectuelle. Il déclare également que Gorilla Glue Corp émettra sa propre souche de cannabis l'année prochaine.
 
"Elle sera appelé Gorilla Glue # 100," dit Mowdry. "Nous prévoyons de la faire avec 100% de THC. Elle sera incroyablement forte, tout comme notre colle. et nous pouvons même y mettre de la colle! "
 

Source: https://www.cannabizoo.com/business/gorilla-glue-corp-files-lawsuit-stop-growing-gorilla-glue-strain/
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Par mrpolo,
C’est bien connu dans "Touche pas à mon poste", les chroniqueurs n’ont ni secret ni vie privé. Ce vendredi 24 mars, c’est Thierry Moreau qui a créé la polémique sur le plateau. Le chroniqueur a reconnu fumé un joint de temps en temps. Ce qui n’est pas du tout au goût de Baba. Non Stop Zapping vous dévoile les images.
 
 
 
 
 
 
 
Après huit années de "Touche pas à mon Poste", on continue à en apprendre tous les jours sur les chroniqueurs. Si ce n’est pas Matthieu Delormeau qui se oconfie sur son enfance compliquée au collège ou encore Benjamin Castaldi qui avoue avoir uriné dans un bouteille d’alcool destiné au compagnon de son ex, c’est Thierry Moreau qui fait une révélation surprenante. Alors que les chroniqueurs débattaient sur la séquence de Bernard de la Villardière qui fume un joint dans le nouvel épisode de "Dossier Tabou" qui sera diffusé ce lundi 27 mars sur M6 consacré au cannabis, le rédacteur en chef de "Télé 7 jours", a choqué l’ensemble des chroniqueurs en avouant fumer un joint de temps en temps.
Cyril Hanouna choqué, il désapprouve son chroniqueur
 
"Ça m’arrive de temps en temps. Je pense qu’il ne faut pas conduire et ne rien faire quand on fume un joint parce qu’on est très dangereux quand on conduit", explique-t-il. "Quoi ?! Vous fumez un oinj, vous Thierry Moreau ?"
 
Ce qu’on peut dire, c’est que Cyril Hanouna ne s’attendait pas à celle-là. "Ne faites pas ce que fait Thierry Moreau. Moi, je ne suis pas pour du tout", conseille le présentateur aux téléspectateurs, très sérieux à ce sujet. Tout comme Valérie Bénaïm qui a été très virulente à l'égard de son camarade "Ne dédramatise pas la chose Thierry je suis désolé !"
 




 
Par Emilie Roze
 
Source: non-stop-zapping.com
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Par mrpolo,
La marijuana serait-elle la solution pour installer la paix entre toutes les religions? Un rabbin, un prêtre et un athée se rejoignent autour d'un bang pour discuter spiritualité, tolérance et, il faut le dire, pour bien se défoncer.
 
 
 
Le nouveau film de WatchCut Video, qui a récolté plus de 406.000 vues sur YouTube, s'ouvre sur l'image d'un homme d'église s'allumant un joint au son d'un joyeux "Alleluia". Le ton est donné.
 
"Je suis là pour expérimenter une des créations de Dieu. J'ai déjà fumé de la marijuana il y a quelques années, mais je n'ai pas réessayé depuis", entame Jim Morel, le rabbin. Le prêtre anglican, Chris Schuler, renchérit: "Je n'ai jamais fumé tant que ça, le plus souvent c'était au lycée". De quoi casser les préjugés.
 
Le troisième intervenant, quant à lui, se décrit comme un "homosexuel athée". Et lorsqu'on lui demande quand est-ce qu'il a fumé pour la dernière fois, Carlos Diller répond en regardant sa montre: "Il y a peut-être une heure".
 
L'objectif de cette rencontre ? Fumer une bonne quantité de marijuana afin de discuter du point de vue de chacun sur la religion. Si ce genre de scénario est possible, c'est grâce à l'État de Washington qui a légalisé la consommation de cannabis en 2015.
 




 
Les minutes filent et les langues se délient
 
Au bout de 15 minutes, après quelques toux et de premiers rires, une conversation plus sérieuse commence. Carlos Diller, qui a été adopté par une famille catholique, explique comment il s'est détourné de la religion. "J'avais 14 ans et le prêtre a refusé de célébrer ma confirmation, commence-t-il. En fait il m'a dit que le diocèse m'excommuniait parce que j'avais commis des actes sexuels gay dans notre école".
 
Le jeune homme, qui vit aujourd'hui librement son homosexualité, raconte alors aux deux figures religieuses à ses côtés ce que cela a entraîné chez lui. "Je me suis dit qu'il fallait que je fasse plus de recherches sur Dieu et sur ce qu'était Dieu. Personne ne peut nier qu'il y a quelqu'un de brillant derrière tout ça (ndlr: le monde). Mais je ne sais pas de qui il s'agit". Carlos Diller conclut qu'il ne peut pas "dépendre d'une personne comme ça. Ce genre de Dieu semble insensé".
 
"La véracité, la beauté et le caractère palpable de Dieu sont les choses les plus fortes dans ma vie. Ça semble banal mais tous les récits disent la même chose", rétorque le prêtre anglican entre deux barres de joint. Face à cette intervention Carlos Diller se raidit: "La science a révoqué toutes ces histoires. Je crois en une religion originelle qui est l'astrologie. Et c'est un moyen pour les humains de comprendre ce qui les entourent. Et c'est exactement ce que vous faites avec vos religions". "Vous essayez de justifier un moyen de comprendre notre monde", continue-t-il.
 
La tolérance comme socle d'une nouvelle amitié
 
35 minutes se sont écoulées et le jeune athée revient sur ses précédents propos: "Je suis vraiment défoncé, désolé. C'est vraiment fort, j'ai tiré une trop grosse barre". "Tu n'es pas la seul", rétorque en rigolant Chris Schuler.
 
Après l'avoir observé d'un œil bienveillant, Jim Morel, le rabbin, s'adresse à son plus jeune voisin: "Tout ce que tu nous dis à propos de qui tu es, à quoi ressemble ta vie, ce que tu fais, ce que tu penses, pour moi c'est le discours d'une personne de foi. (...) Je viens juste de te rencontrer mais je peux t'aimer, tu sais pourquoi ? Parce que je te vois et la Bible dit 'quand je regarde ton visage je vois celui de Dieu'".
 
Et parce que l'un des effets de la marijuana est de désinhiber les personnes, les trois hommes se déclarent leur affection en s'attrapant par les épaules. "Je vous aime bien, c'est peut-être le début d'une nouvelle amitié", déclare Jim Morel.
Pour sceller cette belle rencontre, ils se bénissent mutuellement. Le rabbin fait une prière en hébreu, le prêtre, lui, trace une croix sur leur front. Même Carlos Diller partage ses bonnes ondes et ses messages de paix avec les autres.
 
La drogue, une affaire de religion?
 
La vidéo a de quoi étonner. Voir des religieux fumer du cannabis restent assez inhabituel, mais comme le soulignent les deux concernés: la foi et la drogue ne sont pas incompatibles.
"Les huiles d'onction trouvées dans le livre d'Exodus ont certaines qualités qui permettent d'élever les personnes. Et il y a une théorie qui dit qu'une d'entre elles provient d'une plante de chanvre (qui donne le cannabis)", affirme le rabbin avant de poursuivre: "Historiquement, beaucoup de personnes ont eu des expériences mystiques. Et je pense que cela s'est produit alors qu'ils étaient sous l'influence de ce genre de substances".
 
Pas d'opposition du côté de l'Église non plus. "Il n'y a rien à ce sujet dans la Bible et, je dois dire qu'il y a des milliers d'anglicans qui cultivent et fument de la weed", signale Chris Schuler. "La dépénalisation du cannabis devrait être en vigueur dans tous les États, c'est exactement la même chose que de la bière ou de la liqueur".
 
Un avis partagé par le rabbin qui voit en cette substance un moyen de trouver, peut-être, plus de paix: "Si cela t'aide à devenir une meilleure personne, à t'élever et, à te donner une nouvelle vision de la vie, alors c'est une chose vraiment positive".
Une chose est certaine, ce n'est pas tous les jours que l'on voit un prêtre et un rabbin consommer de la drogue durant plus de 70 minutes. "Ce moment cool où tu fumes de la weed en compagnie d'un prêtre et d'un rabbin. Je vais le cocher dans ma check-list", s'émerveille Carlos Diller. Et il y a de quoi!
 
Source: huffingtonpost.fr
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Par mrpolo,
VIDÉO. L'écrivain poursuit sa série sur les aventuriers de la liberté et nous emmène dans l'État du Colorado, qui a légalisé l'usage de la marijuana.
 





 

À Denver, la vente de cannabis à des fins "récréatives" est désormais autorisée.
 
Dans le salon professionnel agricole, cultivateurs, vendeurs, sous-traitants et ingénieurs agronomes se bousculent pour évaluer les dernières récoltes, découvrir les innovations techniques et anticiper les attentes des consommateurs. Les visiteurs, qui ont payé le droit d'entrée plusieurs centaines de dollars, s'agglutinent devant les machines dernier cri venues d'Allemagne ou les ustensiles en plastique importés de Chine. Les discussions vont bon train autour des stands qui présentent engrais, sécurisation des entrepôts, marketing, communication, irrigation, packaging, et même espaces...
 
Par Gaspard Koenig*
 
Source: lepoint.fr
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Par mrpolo,
Plusieurs surfeurs comme Bruce Irons ou Mason Ho sont sponsorisés par WeedMaps, une application très connue aux Etats-Unis, consacrée à la géolocalisation pour l'achat... d'herbe légale.
 
 
 




Being amongst family, friends, eating good food, surfing and having fun is what it's all about. Weedmaps Hawaii Pipe House experience article and video dropping March 10th
@stab @bruceirons @barcalive @nathanfletcher @weedmaps #wmsurfing #legends #lifestyle
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Par mrpolo,
Pour la Saint-Valentin, ils se sont offert des bouquets... de cannabis
 
Il y a ceux qui s'offrent des bouquets de roses...
Et les Californiens pour qui les bouquets de weed ou de cannabis ont été l'une des idées cadeaux inattendues à l'occasion de la Saint-Valentin.
 

Photo @
weddbook.com

 
Dans cet Etat, l'herbe est légal et se commercialise déjà sous bien des manières. Une supplémentaire a donc fleuri cette année. Et visiblement, l'idée ravi... même si de notre côté de l'Atlantique, elle est évidemment à associer à un message de prévention.
 


vidéo BFMTV

 
Source: BFMTV
 
 
 
 
Une grosse bise à toutes nos weedeuses... Polo
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Par mrpolo,
Une drôle d'hostie : Dans toutes les paroisses, il y a des personnes qui interprètent différemment les principes de "communion" de "partage" et d'"élévation spirituelle". C'était sans doute le cas de Brian Jones, un vénérable homme âgé de 74 ans, qui distribuait des cookies à la marijuana aux fidèles qui étaient rassemblés pour la messe !
 
 
Grâce à lui, une demi-douzaine d'innocents paroissiens ont connu l'expérience magique de se rendre à la messe du Dimanche et de rentrer chez eux complètement défoncés au cannabis.
 
Mangez : ceci est mon corps
 
Six personnes qui s'étaient rendues à la messe dans l'église de St John the Apostle à Bloomington (Indiana) se sont rendues paniquées chez le docteur, avec d'étranges symptômes : nausées, sensation de léthargie et d'étourdissement, difficultés à suivre le fil cohérent de leurs pensées.
 
Après analyse, il fut découvert que ces malheureux n'étaient pas atteints d'un mal étrange, d'une folie passagère, ni même d'une possession démoniaque : ils avaient simplement consommé du cannabis en grandes quantités — et sans le savoir. En effet, il s'avère que ces six fidèles avaient tous en commun le fait d'avoir consommé ces petits biscuits que le bon Brian Jones avait apportés et qu'il leur avait si gentiment proposé. Biscuits qui avaient été agrémentés d'huile de cannabis par le vieillard.

 
Lorsque le pot aux roses fut découvert, la police a interrogé Brian Jones, qui a affirmé avoir préparé ces biscuits le samedi soir en prévision de la messe dominicale... Bien entendu, il n'avait jamais entendu parler d'une quelconque substance illicite...
 
Finalement, les policiers ont découvert une boite qui contenait des capsules huileuses, de couleur marron, qui révélèrent contenir de l'huile de cannabis après avoir été analysées en laboratoire.

 
Le vieil homme s'est livré de lui-même à la police. Il fait désormais face à des charges pour félonie et utilisation d'huile de cannabis à des fins non-médicales.
 
Mais on ne sait toujours pas le fin mot de l'histoire : avait-il accompli ce geste à des fins spirituelles, pour élever l'esprit et apporter une vague de paix et d'amour à ses voisins...Ou ce vieux farceur voulait-il simplement leur faire une blague ?
 
Par Nathan Weber
 
Source: demotivateur.fr
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Par Etranje,
Podcast du 20 janvier 2017
 
Bien-être ensemble
Depuis que la société existe, les philosophes et Politiques réfléchissent au sujet de l'éducation tandis que les parents, face à la réalité, dansent un coup sur un pied, un coup sur l'autre, et déchantent souvent.
 
La famille, première société dans laquelle nous vivons, est aussi le lieu des premières éducations. Mais en soi-même, n’existe-t-il pas une société primordiale, où plusieurs rôles cohabitent ? Si l’éducation est garante de la liberté humaine, ne doit-on pas commencer par nous éduquer nous-mêmes ?
 
Dans notre magazine « Bien-être ensemble », nous évoquerons aussi bien l’éducation institutionnelle, que familiale et personnelle. Pendant une heure de direct, nous donnerons la parole aux théoriciens comme aux « pratiquants » de l’éducation, aux experts comme aux auditeurs, l’idée étant d’ouvrir notre table ronde à tous par la magie de la radio.
 
Parce que l’éducation est un éternel recommencement, entrez avec nous dans la danse…
 


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Source: radiomedecinedouce.com
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