Ce que nous avons retenu...

Planter Outdoor : les risques sont toujours possible.
Par Invité,

Le tribunal de Mulhouse jugeait hier deux quadragénaires qui, le 28 août 2003, avaient été surpris par la police en train d'arroser des plants de cannabis, derrière l'ancien couvent du Schoenensteinbach, à Wittenheim. Une vingtaine de plants étaient ainsi soigneusement cultivés par les deux prévenus pour leur usage personnel. A la question du tribunal demandant pourquoi ils n'achetaient par leur drogue une fois conditionnée, l'un des prévenus a eu cette singulière réponse : « Si je plantais du cannabis, c'était pour éviter d'entrer en contact avec le milieu de la drogue, avec les dealers. » Le parquet a tancé vertement le duo : « Ce n'est pas une banale histoire de jardinage. Il n'y a aucune tolérance : à l'instar des drogues dures, le cannabis est strictement interdit par la loi. » Les prévenus ont écopé chacun de trois mois avec sursis et devront payer solidairement 300€ aux douanes. Quant aux plants de cannabis, ils ont été détruits.
 
Source : DNA
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Interpellé pour incitation à l'usage de stupéfiants
Par Invité,
Voila, tout est dans le titre et dans cet article.
Cela se passe dans le Var.
 

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Cannabis: les jeunes Français en tête de la consommation européenne
Par Invité,
PARIS (AP) - Malgré une des législations les plus répressives d'Europe, la France est le pays du vieux continent où la consommation de cannabis des jeunes est la plus importante, selon les conclusions d'une enquête que publie mardi le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH).
Mise en place par l'Observatoire français des drogues et toxicomanies, cette enquête sur la santé et les consommations est réalisée chaque année depuis 2000 auprès de l'ensemble des adolescents et des adolescentes qui passent leur journée d'appel de préparation à la défense.
Selon les résultats 2002, à la fin de l'adolescence, environ la moitié des jeunes déclare avoir déjà essayé au moins une fois le cannabis (45,7% des filles et 54,6% des garçons de 17 ans, respectivement 50,9% et 61,2% à 18 ans).
Le BEH insiste par ailleurs sur la différence de comportements selon le sexe. S'il y a autant de filles que de garçons pour les faibles consommations, souligne le bulletin, l'usage «au moins répété» (au moins dix fois par an) concerne deux fois plus de garçons (31,6% contre 16% à 17-18 ans).
Cet écart augmente avec l'intensité de la consommation, les garçons étant trois fois plus nombreux (21,2% contre 8%) à déclarer un usage «au moins régulier» (dix fois et plus au cours du mois) ou quotidien (9,2% contre 3,3%).
En moyenne, l'expérimentation de cannabis a lieu à 15,2 ans pour les garçons et 15,3 ans pour les filles. Les usages de cannabis en solitaire et surtout avant midi concernent une proportion importante des expérimentateurs: 48,2% des filles et 65,1% des garçons qui ont déjà fumé du cannabis déclarent en avoir déjà fumé avant midi, et 28,6% des filles et 48,4% des garçons en avoir déjà fumé seul.
En terme d'évolution, entre 1993 et 2002, cinq enquêtes comparables ont été réalisées auprès de jeunes de 17 ans, ce qui, selon le BEH, permet, à âge constant, d'observer la hausse du niveau d'expérimentation de cannabis sur cette décennie. Celui-ci a doublé entre 1993 et 1999, l'évolution n'ayant pas connu d'inflexion notable entre 1999 et 2002. Sur la même période, l'usage «répété» du cannabis (au moins 10 fois par an), progresse encore plus vite: il a triplé parmi les garçons (de 10% à 28%), comme parmi les filles (de 4% à 14%).
Concernant l'alcool, la consommation quotidienne concerne 1% des jeunes de 17 ans, la consommation «régulière» (10 fois et plus au cours du mois) 6,1% des filles et 18,8% des garçons. En revanche, les ivresses sont plus nombreuses: 55,8% des garçons et 38,2% des filles ont été ivres au cours de l'année; 10,1% des garçons et 2,5% des filles l'ont été 10 fois ou plus. AP
 
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Sanctionnée pour une feuille de cannabis en pendentif
Par Invité,
Marjorie, 15 ans, élève de 3e au collège Voltaire de Tarbes, a été exclue des cours, jeudi et vendredi, pour s'être présentée dans l'établissement avec un pendentif représentant une feuille de cannabis.
 
 
«Le port d'un tel signe ostentatoire, considère Muriel Vrignon, principale adjointe, fait l'apologie de la drogue même si l'enfant n'en est pas forcément conscient». Pour l'éducatrice, «permettre ces comportements ne va pas dans le sens du travail de prévention que mène le collège».
 
 
En début d'année, Mme Vrignon était passée dans toutes les classes pour faire savoir aux élèves que ce genre de signe était «proscrit».
 
 
Bien qu'il comprenne la nécessaire sensibilisation aux dangers de la drogue, le père de la collégienne n'a pas du tout apprécié la sanction : «Cette exclusion est disproportionnée. Lorsque ma fille a voulu ce collier, j'ai saisi l'occasion pour lui parler des risques de la drogue. Là, elle a été punie, montrée du doigt comme si elle en avait consommé. Si elle avait porté une feuille de vigne, aurait-on dit que c'est une incitation à sombrer dans l'alcoolisme ?»
 
 
Marjorie a été interdite d'établissement jeudi. Vendredi, elle a été invitée à réaliser, avec l'aide de la documentaliste du collège, un travail sur les méfaits des stupéfiants.
 
 
Depuis le début de l'année, c'est la troisième élève de l'établissement à être sanctionnée pour apologie du haschisch. L'une l'avait été pour avoir placardé sur son sac une feuille de cannabis et une deuxième pour avoir porté une paire de boucles d'oreilles représentant cette même plante.
 
 
Source : Le figaro
Tarbes : Guillaume Atchouel
[08 mars 2004]
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[Suisse] Dépénalisation du cannabis: les Etats votent l'entrée en matière
Par Invité,
BERNE - Le Conseil des Etats a accepté d'entrer en matière sur la dépénalisation de la consommation de cannabis. Par 28 voix contre 12, il a pris le contre-pied du Conseil national dans la révision de la loi sur les stupéfiants.
En pleine fièvre électorale, le National avait refusé d'entrer en matière sur cette révision à une courte majorité en septembre. Pourtant réputé plus conservateur, le Conseil des Etats, qui avait adopté le projet sans aucune opposition en décembre 2001, a réitéré sa volonté de légiférer. Cette fois, il n'a pas pu se prononcer sur le détail, seule l'entrée en matière étant en discussion en attendant le nouveau vote de la Chambre du peuple. Néanmoins, les sénateurs ont tenu à mener un véritable débat, au cours duquel un vent d'opposition s'est fait jour en particulier chez les démocrates-chrétiens et du centre.
Pour Urs Schwaller (PDC/FR), la consommation de drogues dites douces mène aux drogues dures. Et de fustiger l'»Etat dealer» qui instaurerait des taxes sur le cannabis.
Hans Hofmann (UDC/ZH) a mis en garde contre les dangers de l'usage du cannabis, à l'heure où la teneur en THC (substance active) ne cesse d'augmenter. Jean Studer (PS/NE) a lui aussi fait part de ses doutes face à un projet trop libéral à ses yeux.
Mais la majorité de la Chambre des cantons n'a pas plié face à ces arguments. La révision de la loi ne concerne pas seulement la libéralisation du chanvre, mais contient des principes importants comme la politique des quatre piliers en matière de drogue (prévention, thérapie, réduction des risques, répression), ont relevé ses partisans.
 
 
Source : ATS
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Pays-Bas la joint-venture
Par Invité,
Quand je suis rentrée en Hollande après quinze ans en Inde, je trouvais le hasch dégueulasse, alors j'ai décidé de le faire moi-même. J'avais appris la technique en Afghanistan en 1968.» La femme qui raconte cette histoire a 59 ans et pas vraiment le look d'une sauvageonne attardée. «Un soir, en regardant tourner mon séchoir électrique, je me suis dit qu'avec la force centrifuge, on pourrait récupérer la résine......des feuilles de cannabis pour faire du hasch.» Après diverses tentatives infructueuses, Mila met au point le Polinator, probablement le premier appareil électrique à faire du hasch au monde. L'histoire aurait pu s'arrêter là si, en 1994 et en bonne Néerlandaise, cette mère au foyer n'avait pas décidé de commercialiser son invention (pour laquelle elle a obtenu des subventions du ministère des Nouvelles Technologies). Si l'on fabrique aujourd'hui du hasch à Amsterdam, c'est à Mila qu'on le doit. Son Polinator se vend jusqu'en Amérique. Et si elle prend toujours soin de ses enfants, c'est que trois d'entre eux sont salariés de sa PME.
 
En ce dernier vendredi de janvier, Mila affiche un grand sourire : un hasch de sa composition vient de remporter un prix à la septième Highlife Hemp Fair, la foire internationale du chanvre d'Utrecht. Au cours de ce salon, qui sur trois jours a attiré cette année 15 000 visiteurs venus de toute l'Europe, 15 juges triés sur le volet (qui ont reçu les échantillons deux mois auparavant) départagent les 164 herbes et haschisch néerlandais en compétition. Comme ils le feraient pour des grands crus de vin. Et comme pour les médailles agricoles, pour les vainqueurs de la Cannabis Cup, chaque prix signifie l'ouverture de nouveaux marchés potentiels.
 
Car depuis le début des années 90, ce secteur est devenu une industrie à part entière. Un phénomène qu'Adrian Jansen, ancien professeur d'économie à l'université d'Amsterdam et spécialiste du marché des drogues, qualifie d'«avalanche verte». En dix ans, les Néerlandais, qui importaient tout le cannabis qu'ils consommaient, sont devenus non seulement autosuffisants, mais également exportateurs. Selon l'économiste, les 40 000 cultivateurs locaux auraient une production avoisinant le demi-milliard d'euros. L'essentiel serait assuré par des amateurs éclairés récoltant moins de 10 kilos par an. «Les petites exploitations domestiques de cannabis placent les autorités face à un dilemme, reconnaissait, dès 1995, le ministère de la Santé dans un document officiel. D'un côté, il y a une tendance positive qui fait que les coffee shops s'approvisionnent chez des petits producteurs, hors de tout circuit criminel. De l'autre, il y a un risque que certains de ces petits producteurs soient rattrapés par des organisations criminelles. Ce qui est déjà arrivé.»
 
Depuis cette époque, le marché a explosé. En incluant toutes les activités de la «filière cannabis» néerlandaise (engrais, coffee shops, marchands de machines électriques à rouler les joints, etc.), le chiffre d'affaires global du secteur se situe, selon les estimations, entre cinq et dix milliards d'euros par an. Soit entre 1 et 2 % du PIB hollandais... Une partie de ce business est légale et rapporte des taxes au gouvernement, l'autre pas. A titre de comparaison, le hasch marocain générerait un chiffre d'affaires, entièrement clandestin, de dix milliards d'euros. Ou, dans un autre registre, la valeur totale de la production de fleurs coupées en Hollande, leader mondial, était en 2002 de 3,45 milliards d'euros...
 
De plus, explique Adrian Jansen, «le secteur étant très rentable, il est propice à l'innovation technologique. Qui se répand ensuite dans le reste de l'économie». Un fabricant de ventilateurs qui avait monté sa société pour la culture de cannabis en intérieur équipe ainsi aujourd'hui l'aéroport d'Istanbul. Stade ultime de la normalisation, un fabricant de placard à culture de cannabis propose d'acheter son invention à crédit, tandis qu'un marchand de joints vides préroulés (pour les coffee shops) avoue délocaliser sa production en Indonésie. Ici, on est à des années-lumière de la culture hippie.
 
A Utrecht, tout se passe sur fond de techno, bière gratuite et vendeuses aux seins nus. Une ambiance à mi-chemin entre salon du bricolage et saloon du racolage, au milieu d'une futuriste ruée vers l'or vert. Au coin d'une allée, une bonne soeur en porte-jarretelles distribue des pousses d'herbe, tandis qu'un plant de cannabis sur pattes vante les mérites d'un marchand de lampes. Et inutile d'allumer un pétard, ici même l'air ambiant serait testé positif. «Les Pays-Bas ont depuis longtemps obtenu le libre accès à l'herbe, explique l'écrivaine Michka, spécialiste française du chanvre et l'un des deux seuls non-néerlandais du jury de la Cannabis Cup. Le côté revendicatif a disparu au profit de l'aspect technico-commercial. En France, on fait comme si les fumeurs n'existaient pas. Ici, c'est une école de réalité.» Et la réalité, ce sont aussi les nouveaux acteurs de ce milieu. «La première génération était constituée de personnes que l'on qualifierait en France d'activistes. Désormais, on trouve des gens mus par une stricte volonté commerciale.»
 
Marié, deux enfants, costume rayé et talkie-walkie en permanence à la main, Boy Ramsahai est le type même de cette nouvelle génération d'entrepreneurs. L'organisateur de ce salon, c'est lui. Lui qui accepte en toute modestie la qualification de «millionnaire du cannabis» et vendait, il y a quinze ans à peine, des livres et des CD en porte-à-porte. Il est aujourd'hui à la tête d'un véritable empire commercial. Son secret ? Dans ce milieu, les profits des uns sont aussi un peu les siens. Il y a treize ans, il avait alors 25 ans, Boy Ramsahai a créé Highlife, le premier magazine hollandais spécialisé dans le chanvre. Non pas qu'il se soit découvert la fibre journalistique, ou qu'il se soit pris de passion pour cette plante ­ il ne fumait pas de pétards et en fume toujours très peu ­, mais il avait «senti un marché à prendre». Son magazine truste aujourd'hui la publicité d'une part importante des 800 coffee shops et 400 growshops (pour le matériel de culture). Quelques années plus tard, il crée un bimensuel gratuit, Soft Secrets, dont il existera très vite une version anglaise, puis française, puis espagnole... Au total, plus de 150 000 exemplaires diffusés dans toute l'Europe.
 
La foire du chanvre et sa Cannabis Cup offrent à ses annonceurs un autre vecteur pour se faire connaître. Cerise sur le gâteau, cette année, Boy Ramsahai sera largement bénéficiaire. «De toute façon, c'est une bonne opération de relations publiques. Ce business est de plus en plus professionnel et moi, j'ai l'intention d'être un acteur de poids sur ce marché.» Pour cela, son meilleur atout, le plus rentable en tout cas, est probablement son commerce de graines de cannabis, monté il y a quatre ans. Car les graines, c'est le nerf de la guerre. A la fois élément déclencheur de l'«avalanche verte» et révélateur du «paradoxe néerlandais».
 
Le déclencheur, car c'est par elles que, dans les années 80, toute cette saga industrielle a commencé. Chassés par la guerre à la drogue de Reagan, des spécialistes californiens viennent trouver refuge aux Pays-Bas. Dans leurs valises, des techniques de culture donnant des variétés d'herbe au rendement alors inimaginable. Le cannabis ainsi obtenu, appelé sensimilla, «est à la base de l'économie moderne du cannabis», rappelle Adrian Jansen. L'environnement favorable fera le reste : les Pays-Bas sont alors le seul pays occidental à autoriser la production de semences de cannabis et sont déjà l'un des leaders mondiaux de la culture maraîchère sous serres. En 1985, la sensimilla est pour la première fois produite en intérieur : la fameuse skunk est née. Il s'en vend aujourd'hui dans le monde entier : 75 % des graines viendraient des Pays-Bas. Entre 1 et 10 euros l'unité, le marché est énorme. Le mastodonte du secteur, la Sensi Seed Bank (qui a raflé un tiers des récompenses à la Cannabis Cup), salarie plus de 100 personnes dans ses différentes filiales.
 
C'est là qu'intervient le «paradoxe». Il y a six ans, sous pression des gouvernements étrangers, La Haye a interdit la production de graines. Tout en continuant à en autoriser la vente. «Les Néerlandais sont des commerçants, et la prohibition, ce n'est pas bon pour le commerce», avance Jansen. Officiellement, les marchands de graines prétendent donc aujourd'hui s'approvisionner à l'étranger. Selon un Français bon connaisseur du secteur, ces derniers créeraient en fait des sociétés dans des paradis fiscaux pour se procurer les factures de graines... qui sont toujours produites sur le territoire néerlandais.
 
Aujourd'hui, saturé par une concurrence acharnée, le marché national est arrivé à maturité, mais, comme le résume un exposant d'Utrecht, «le monde est notre marché». Derrière l'avalanche verte européenne se trouvent beaucoup d'entrepreneurs néerlandais. Et avec l'aide de ces spécialistes et de leurs inventions, le Vieux Continent produirait aujourd'hui, toujours selon Adrian Jansen, 25 % de sa consommation de cannabis. Avec des pics à 90 % en Suisse, 50 % en Angleterre, 40 % en Espagne... Régulièrement, à Berne, Barcelone, Berlin ou même Paris, tout ce petit monde tient salon. A l'échelle européenne, c'est toute une industrie qui est en train de voir le jour, celle de l'eurocannabis. «Et l'eurocannabis, conclut Jansen, c'est le symbole même que la guerre à la drogue est perdue. Avant, on empêchait l'herbe d'entrer dans nos pays. Aujourd'hui, elle pousse dans toutes les arrière-cours d'Europe.»
 
Par Arnaud AUBRON
Libération
mardi 24 février 2004
Utrecht (Pays-Bas) envoyé spécial
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Programme de la CannaTrade.ch 2004
Par Invité,
Pour sa quatrième édition, la foire internationale du chanvre CannaTrade.ch aura lieu à Berne du 19 au 21 mars 2004.
 
Cette année, grande nouveauté! Nous exposerons dans la halle 210 de la BEA Bern expo sur une surface de 7'000 m2.
 
Des producteurs et des entreprises de renommée mondiale présenteront leurs produits.
 
Pendant la CannaTrade.ch 2003, cinq associations chanvrières d'Allemagne, des Etats-Unis, de France et de Suisse ont eu l'occasion de se présenter.
Cette collaboration, permettant de tisser des liens au niveau international, sera poursuivie à la CannaTrade.ch 2004.
 
Durant l'événement, des experts tiendront des conférences sur divers thèmes.
 
Chaque jour aura lieu un défilé de mode de vêtements et accessoires en fibre de chanvre.
 
Vendredi 19 mars / Horaire d'ouverture: 10:00– 19:00
 
Des associations internationales se présentent
Exposés avec traduction
 
François Reusser, Coordination Suisse du Chanvre (CSC)
Steve Levine, Hemp Industries Association (HIA)
Georg Wurth, Association Allemande du Chanvre (DHV)
Rolf Galgenmayer, Association pour la politique des Drogues (VfD)
Dr. Ethan Russo, Association Internationale pour le Cannabis Médical (IACM)
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Samedi 20 mars / Horaire d'ouverture: 10:00– 22.00
 
“Chanvre, la matière première du futur!â€? puis “Cultiver et Hybriderâ€?
Exposés avec traduction
 
Chanvre industriel
Ben Dronkers, HempFlax (Pays-Bas)
Dr. G. Grassi, senior researcher (Italie)
 
Cultiver et Hybrider
Jorge Cervantes, Ecrivain (USA)
Goyum Fernandez, Photographe (Espagne)
 
Canna Swiss Cup - Résultats et remise des prix de la Canna Swiss Cup 2003
Concours de roulage de joint - qui sait rouler le plus joli?
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Dimanche 21 mars / Horaire d'ouverture: 10:00– 18:00
 
Cannabis médical
Exposés avec traduction
 
Dr Ethan Russo, expert de cannabis et médicine (USA)
Dr Rudolf Brenneisen, Professeur à l'Université de Berne (Suisse)
Don Wirtschafter, expert du chanvre (USA)
Dr S. Grasso, Président de l'Association italienne pour le cannabis médical (Italie)
 
Highligths
 
HempArt 2004: Exposition et concours sur le thème «art et chanvre»
Bar du chanvre: avec des boisons et des snacks à base des produits dérivés du chanvre
InterHanfCafé: Internet gratuit pour découvrir le chanvre dans le World Wide Web
 
Prix des tickets
 
Ticket pour un jour Fr. 14.- (ca. € 9.00)
2 jours Fr. 24.- (ca. € 16.00)
3 jours Fr. 32.- (ca. € 21.00)
Etudiants/AVS/invalides/chômeurs Fr. 8.- (ca. € 5.20)
 
Protection des mineurs
 
Restriction pour les visiteurs mineurs
Pour protéger les mineurs, l'entrée à la CannaTrade.ch 2004 est réservée aux adultes. Les visiteurs en dessous de 18 ans peuvent entrer seulement accompagnés par des adultes responsables. La direction de la CannaTrade.ch prendra toutes les mesures pour contrôler l'âge.
 
 
 
 
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"a lire d'urgence!!!" par Lawassa
Par Invité,
Voici un méssage rédigé par lawassa, je conseil vivement à son auteur d'argumenter un peut plus en commentaire.
ja sais trés bien que vous tous comme moi somme des fan du canna.. il ns permet de nous evader et de vivre! en faite les drogues sont les seuls choses de bien dans la vie car elles permettent de l'oublier!!
mais attention a sa consommation car certaine personne ne sont pas apte a consommer la weed.. je ne veu pas passer pour une rabat joie mais je voulais juste vous prévenir de faire attention! ma soeur par cette consomation est devenu malade et je pourrais dire qu'el est folle!! je suppose que peu d'entre vous me croirons et que cet article ne sera jamais publier ds ce site mais je voulais juste que qq le lise..
moi aussi je consomme et je delire grace a cette pure plante masi les dangers existent suivant les patologie de chacun...
alors un seul mot: attention!!!
ce n'est pas parce que des adultes disent que c mal que ce n'est pas vrai! il faut savoir la consommer et faire attention au antécédent familiaux!
voila c tt
bonne fummette a ts..
lawassa
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Points communs entre chocolat & cannabis
Par Invité,
Les effets physiologiques du chocolat
 
Le chocolat et la marijuana auraient un point en commun, selon trois scientifiques du Neurosciences Institute à San Diego. Cette étude menée en 1996 nous indique que notre désir intense d'une barre de chocolat ne serait pas dû seulement au goût et à la texture, mais aussi à un sentiment de bien-être accru, similaire à celui produit par les carrabinoädes présents dans le cannabis.
 
 
Tout d'abord, nous avons dans le cerveau des récepteurs de carabinoädes qui captent une molécule appelée anandamide produite par le cerveau. Cette molécule s'apparenterait au fameux THC (tetrahydrocannabinol, pour votre culture personnelle) qui est la substance qui produit l'effet relié au cannabis. D'ailleurs l'origine étymologique du mot anandamide veut dire béatitude. Le rôle naturel de l'anandamide n'est pas de nous mettre dans un état euphorique 24 heures sur 24, mais servirait plutôt à moduler l'humeur, l'appétit et la douleur.
 
 
Dans le chocolat, et plus précisément dans la poudre de cacao, il y a trois composants qui font partie de la famille des N-acétyléthanolamine. Ces composants prolongeraient l'action de l'anandamide sur les récepteurs de carabinoädes, ce qui fait que l'effet de bien-être ressenti suite à l'ingestion de chocolat durerait un certain temps.
 
 
Il est important ici d'apporter une précision. L'effet est loin d'être la même chose que celui du cannabis, il est même rare de voir quelqu'un sur un "high" après avoir manger une barre Mars. On estime même que pour sentir des effets semblables au cannabis, une personne pesant 130 lbs devrait consommer 25 lbs de chocolat.
 
 
Outre la poudre de cacao, le sucre, les lipides et les protéines végétales, le chocolat contient des substances dites pharmaco-dynamiques, qui ont une action semblable aux médicaments. Ces substances sont: la théobromine, la caféine, la phényl-éthylamine et la sérotonine. La théobromine stimule le système nerveux central, facilite l'effort musculaire, ouvre l'appétit et fait travailler le coeur. C'est donc pour cette raison que certains athlètes mangent une barre de chocolat avant des compétitions. Le dopage au chocolat sera-t-il interdit? La caféine augmente la résistance à la fatigue, favorise l'activité intellectuelle et accroît la vigilance. La phényléthylamine possède des propriétés psycho-stimulantes. Finalement, en mangeant du chocolat, on corrige la perte de sérotine associée à la dépression et cela nous donne un effet antidépresseur.
 
 
Le chocolat est un aliment complet car il contient les trois catégories de substances organiques (glucides, lipides et protéines végétales) mais dans des proportions inégales. Il y a des minéraux tel le potassium, le magnésium, le calcium, le fer et le sodium. De plus, il contient les vitamines A1, B1, B2, D et E.
 
 
On a longtemps associé l'hyperactivité des enfants à leur consommation de sucre ou de chocolat. Des médecins et des enseignants prescrivaient aux parents de couper le sucre dans leur alimentation pour venir à bout de leur énergie sans bornes. Mais, cela n'a jamais été prouve réellement. Une analyse parue en 1995 de toutes les recherches traitant de l'hyperactivité en relation avec le sucre en arrive à la conclusion que le sucre n'aurait pas un effet significatif chez les enfants. Alors, bonne nouvelle pour les jeunes mordus.
 
 
Pour ce qui est de la caféine, elle est présente en quantité trop faible, selon Isabelle Galibois du département de nutrition de l'Université Laval, pour avoir réellement un effet stimulant sur les enfants. En effet, il y a de 5 à15 mg de caféine dans le chocolat au lait et 20 mg dans le chocolat noir. En comparaison, une tasse de café contient 80 mg de caféine.
 
 
En conclusion, l'hyperactivité des enfants suite à une bonne dose de chocolat serait souvent due à l'excitation provoquée par une occasion spéciale comme Pâques plutôt qu'aux substances proprement dites.
 
 
Le chocolat a des effets physiologiques prouvés, mais on est encore loin de le considérer comme une drogue. Les effets bénéfiques provoqués par la texture onctueuse, le goût sucré et l'arôme chocolatée sont les vrais responsables d'une rage de chocolat. Mais il faut toujours se rappeler que la modération a toujours meilleur goût!
 
Source : Entrevue avec Isabelle Galibois du département de nutrition de l'Université Laval.
https://www2.globetrotter.net/futursimple/archives/choco1.htm
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Les policiers américains utilisent l'ADN du cannabis pour tracer les cultivateur
Par Invité,
Pour remonter les filières, la science ne mégote pas avec la cendre de joints...
 
 
Grâce au procédé de détection des empreintes génétiques mis au point par la police scientifique américaine, les enquêteurs espèrent identifier avec certitude la provenance de l'herbe qu'ils saisissent. Selon ses promoteurs du Connecticut State Forensic Science Laboratory (SFSL), cette méthode pourrait servir à repérer les filières de production et de distribution de cannabis.
Largement utilisée par la justice pour identifier les individus présents sur une scène de crime ou pour établir un lien de parenté entre plusieurs personnes, la technique des empreintes ADN peut également être appliquée à un végétal comme le plant de cannabis pour déterminer sa variété et sa provenance.
 
Heather Miller Coyle et ses collègues du SFSL viennent de présenter dans la revue médicale CMJ une méthode qui permet d'établir le profil génétique d'une plante à partir des résidus d'une cigarette de marijuana.
 
Selon le magazine New Scientist, un procureur du Connecticut a déjà utilisé le procédé pour établir la preuve d'un lien entre deux producteurs de chanvre arrêtés dans deux villes différentes de l'Etat. Ils auraient ainsi été confondus par le profil génétique parfaitement identique de la marijuana qui était en leur possession.
 
Plutôt que planter de nouvelles graines, les cannabiculteurs recourent souvent au bouturage pour assurer la propagation de leurs plants les plus riches en résine. Cette technique de clonage, connue de tous les jardiniers, leur permet de conserver, de croiser et de s'échanger, parfois pendant plusieurs années, des répliques génétiques parfaites de leurs meilleures plantes.
 
L'herbier transformé en base de données
Ainsi, la plupart des variétés de graines de chanvre vendues en Europe sous l'appelation Skunk sont issues du croisement d'une poignée de clones au phénotype exceptionnel. Cela n'implique pas pour autant que tous les cultivateurs et consommateurs de marijuana européens sont membres d'une même organisation criminelle...
 
Pourtant, Coyle pense que les empreintes ADN peuvent servir à reconnaître et démanteler les filières américaines d'approvisionnement en marijuana à partir de quelques saisies effectuées sur les consommateurs. Elle a d'ailleurs commencé à constituer une base de données répertoriant les profils génétiques des échantillons de marijuana que lui communique la police. Ce fichier devrait, entre autres, servir à détecter rapidement l'apparition de nouvelles variétés et de nouveaux producteurs d'herbe interdite.
 
Une vigilance à laquelle échapperont producteurs et consommateurs de hashish, dont la résine ne peut être tracée avec la technique des empreintes ADN.
 
Source : Transfert.net
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Un consensus pour réviser la loi de 1970
Par Invité,
«Depuis le début de l'année, plusieurs campagnes de prévention sur le tabac ont été lancées sur les radios et télés, ainsi que des campagnes sur l'ivresse.»
 
Dans une lettre adressée la semaine dernière au gouvernement, la Fédération française d'addictologie (FFA) dénonce «l'absence de politique de santé en matière d'addiction». Depuis le remplacement, il y a plus d'un an, de Nicole Maestracci par Didier Jayle à la tête de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), la FFA - regroupant médecins, directeurs de centres de soins spécialisés et associations - estime que «sur tous les fronts, que ce soit la prévention, les dispositifs de soins ou les mesures légales, le gouvernement a repris les vieux réflexes de l'approche par produits et pris des mesures plus animées par des logiques économiques et sécuritaires que sanitaires». Annoncé pour la mi-novembre, le plan quinquennal de la Mildt a été reporté à janvier. Idem pour les réunions interministérielles sur la réforme de la loi de 1970 sur les stupéfiants.
 
Des professionnels dénoncent votre «incohérence» et votre «impuissance». Où en est la politique des drogues du gouvernement ?
 
Une version quasi définitive du plan quinquennal a été remise au Premier ministre. Plusieurs points requièrent son arbitrage, mais sa priorité et le principe qui le guide font consensus : c'est la recherche de l'efficacité dans le domaine de la prévention et des soins. Pour que la stratégie publique de lutte contre les drogues soit pertinente, il faut qu'elle se traduise par des actions concrètes et spécifiques à chaque produit. Sans se réfugier derrière les discours monolithiques sur «les addictions» brandis par certains. Certes, ce concept d'addiction est unificateur pour les professionnels du soin : il existe des parentés dans les mécanismes biologiques des effets des drogues. Le plan prévoit d'ailleurs le développement de l'addictologie comme discipline. Mais ce concept n'est pas opératoire pour les actions de santé publique. Le grand public consomme des produits bien concrets : chacun a une place singulière dans les pratiques culturelles et dans la vie quotidienne. Peut-on lutter de la même façon contre le tabagisme passif et l'ecstasy dans les raves ? Contre l'ivresse au volant et les méfaits du crack ? Peut-on adresser le même message au jeune qui fume un joint avant d'aller à l'école et au quinquagénaire qui boit trop d'alcool ? La réponse est évidemment non. La dépendance aux diverses substances a des déterminants communs psychologiques, familiaux ou sociaux, mais les conséquences de leur usage sont en partie, et seulement en partie, similaires.
 
N'est-ce pas un retour en arrière vers une approche centrée sur «les produits» ?
 
La politique publique doit tenir compte à la fois des similitudes et des différences. Par exemple, le sevrage tabagique et celui de l'héroäne n'ont évidemment pas les mêmes enjeux ; en revanche, la réinsertion professionnelle est un problème commun aux alcooliques et aux toxicomanes. C'est pourquoi le plan prévoit la mise en place de stratégies thérapeutiques propres à chaque produit, avec des structures qui, bien sûr, peuvent être tantôt communes tantôt différentes. Je veux par exemple créer des réseaux de «consultation cannabis» pour les jeunes et leurs parents.
 
Certains déplorent une obsession du cannabis, au détriment par exemple de l'alcool, autrement plus dangereux...
 
La consommation de cannabis a explosé ces cinq dernières années, notamment chez les jeunes. Au moment où paraissent des résultats scientifiques sur les risques de l'usage intensif et prolongé de cannabis, il ne faut ni diaboliser ni banaliser, mais trouver une réponse adaptée lorsque sa consommation est problématique. La plupart des centres spécialisés dans la prise en charge des héroänomanes ne sont pas configurés pour cela. De la même façon, l'abus d'alcool est un problème tellement massif que les seules structures d'alcoologie ne peuvent le résoudre : 2 millions de Français sont dépendants de l'alcool, 3 millions risquent de le devenir. On estime que 50 % des hommes hospitalisés de 35 à 54 ans ont une consommation excessive. Face à ce phénomène, il faut mobiliser en priorité les médecins généralistes. En les incitant à discuter de façon systématique des consommations de leurs patients, à motiver une baisse de la consommation et à l'accompagner, si nécessaire.
 
Sous l'action des lobbies, le gouvernement et sa majorité n'ont-ils pas vidé de sa substance le plan alcool qui prônait l'interdiction de vente dans les stations-service, l'agrandissement de la mention «abus dangereux» sur les étiquettes, etc.
 
Nous n'avons pas fait une croix sur ces mesures, il faudra repartir à la charge.
 
Qu'en est-il de la réforme de la loi de 1970, notamment sur l'échelle des amendes en cas de consommation de cannabis ?
 
Il existe un consensus pour réviser la loi. Sur le cannabis, elle maintient l'interdit. Le Premier ministre doit donner son arbitrage sur un système d'amendes et déterminer où placer le curseur de la sanction. L'objectif est de parvenir à une loi plus moderne et mieux adaptée aux pratiques. Et donc plus crédible, efficace et appliquée. Mais ce texte ne se limite pas à la sanction : il devrait donner un statut légal à la réduction des risques, ce qui est une avancée. Rappelons que la remise en chantier de cette loi paraissait impossible il y a deux ans encore.
 
Le gouvernement claironne sa priorité à la prévention. Pourquoi la Mildt n'a, à ce jour, lancé aucune campagne de prévention grand public ?
 
C'est faux. Depuis le début de l'année, plusieurs campagnes de prévention sur le tabac ont été lancées sur toutes les radios et télévisions, ainsi que des campagnes sur l'ivresse et sur l'abus chronique d'alcool. Des campagnes spécifiques sur le cannabis sont en préparation.
 
Source : CIRC
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Enquête sur la production du cannabis au nord du Maroc
Par Invité,
Le Maroc a produit cette année 47.000 tonnes correspondant à environ 3.080 tonnes de hachich. Les chiffres ont été annoncés, lundi dernier à Rabat, lors de la présentation de la première enquête sur la culture du cannabis au Royaume. Enquête qui a été réalisé par le gouvernement marocain et par l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
 
L'enquête fait ressortir qu'au Maroc, la culture du cannabis se concentre dans cinq provinces du Nord. A elle seule, la province de Chefchaouen, représente 50% des cultures et 43% de la production potentielle de cannabis brut. Elle est suivie de Taounat (19%), d'Al Hoceäma (17%) et des provinces de Larache et de Tétouan.
 
 
Comme c'est le cas pour les autres drogues illicites, la production de cannabis dépend de la demande. Certes, les producteurs ne réalisent qu'un revenu total de 214 millions de dollars, mais la valeur commerciale globale de la résine de cannabis marocaine est évaluée à 12 milliards de dollars. Lequel argent revient, en bonne partie, aux réseaux de trafiquants qui opèrent en Europe.
 
L'enquête relève qu'au titre de l'année 2001, c'est en Espagne qu'ont été effectuées les saisies les plus importantes de hachich, soit 57% des saisies mondiales et 75% de celles opérées en Europe. Au niveau mondial, le Maroc figurait en troisième position avec 7% des saisies effectuées.
 
A propos de cette tendance, M, Antonio Maria Costa, Directeur général de l'Office des Nations Unies contre la drogue et le crime a indiqué que "les habitudes de l'Europe en matière de consommation de drogues sont au coeur de cette activité illégale, qui s'explique, sans se justifier, par la pauvreté de la population du Rif...".
 
Le communiqué publié à cette occasion précise que la surface du cannabis cultivée en 2003 donne à penser que cette culture s'est intensifiée ces dernières années, ce qui a souvent des répercussions négatives sur d'autres activités agricoles. De même, la monoculture met en danger l'écosystème, du fait de l'usage abondant d'engrais et de la surexploitation des sols par les agriculteurs. A cela s'ajoute la destruction,chaque année, des zones forestières, pour permettre de nouvelles cultures de cannabis, accélérant ainsi l'érosion des sols.
 
Le rapport fait ressortir cinq points saillants. En premier lieu, la culture de cannabis dans les cinq provinces du Nord du Maroc couvre une superficie d'environ 134.000 hectares. Cela représente 10% de la superficie totale, 27% de la surface agricole utile du territoire objet de l'enquête et 1,5% de la surface agricole utile du Maroc.
 
Dans les régions où se pratique la culture du cannabis, l'enquête constate qu'en 2003, environ 66% du nombre total d'exploitations de la région étudiée (147.000) produisent du cannabis, soit 75% des villages regroupant 96.600 exploitations. Les surfaces cultivées représentent 6,5% du nombre total d'exploitations marocaines.
 
Ces dernières concernent une population d'environ 800.000 personnes, soit 2,5% de la population totale du Maroc.
 
Les recettes de la production de cannabis sont approximativement de 214 millions de dollars en 2003. La production est vendue à 66% sous forme brute, transformée à 34% en poudre, représentant 0,57% du Produit intérieur brut (PIB) marocain, estimé à 37,3 milliards de dollars. Le revenu moyen tiré du cannabis par chaque famille est estimé à 2.200 dollars, soit environ la moitié (51% de son revenu annuel total évalué à 4.351 dollars) en 2003.
 
Par ailleurs, des efforts ont été déployés par les pouvoirs publics pour diminuer l'impact de cette culture sur l'économie de la région du Nord. C'est dans ce sens d'ailleurs que l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des préfectures et provinces du Royaume a consacré au cours des quatre dernières années, environ 70 millions de dollars, aux projets de développement initiés dans les provinces d'Al Hoceäma, Taounate et Chefchaouen, régions abritant des zones de culture du cannabis. Les investissements réalisés dans les provinces du Nord depuis 1997, représentant 750 à 850 millions de dollars.
 
Source : Libération
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Le "Nouvel Obs" appelle à la légalisation !
Par Invité,
FAUT-IL poursuivre dans l'hypocrisie? La France continue d'interdire en principe ce qu'elle accepte en réalité: la consommation de marijuana, de haschich et autres dérivés du cannabis. Des millions de Français, jeunes et moins jeunes, consomment couramment du cannabis, souvent au vu et au su de tout un chacun. La police les laisse faire et se contente de pourchasser –souvent assez mollement– les trafiquants. Ainsi cet acte prohibé par la loi ne l'est plus par la police et la justice.
On dira qu'on ne sort de l'ambiguäté qu'à son détriment et qu'une légalisation officielle aurait l'inconvénient de lever l'interdit moral qui continue de peser, aux yeux d'une partie de l'opinion, sur ces substances. Recevant ainsi la bénédiction implicite du législateur, la consommation de "drogues douces" pourrait croître soudain dans des proportions considérables. Mais on sait aussi que ces fumées ne sont pas toxiques, sauf à dose très élevée, qu'elles ne présentent aucun risque d'addiction physiologique et que les véritables problèmes d'accoutumance et de santé publique sont ailleurs : dans l'excès d'alcool, de médicaments ou dans la dissémination des "drogues dures".
On dira encore qu'il n'est point besoin de rajouter une toxicomanie nouvelle, même bénigne, à celles qui existent. Certes, mais on néglige l'effet pervers de l'interdiction. En accroissant le prix de vente du haschich et de la marijuana, la prohibition fournit aux trafiquants une source de profits abondants. Les réseaux de dealers sont en fait contrôlés la plupart du temps par des criminels brutaux et actifs, qui cherchent sans cesse à gagner de nouveaux consommateurs. Les lycéens ou les collégiens désireux de se procurer du cannabis doivent la plupart du temps s'adresser à des dealers, c'est-à-dire entrer en contact avec cette pègre nouvelle, avec tous les dangers que cela comporte. Personne, évidemment, ne contrôle la qualité des produits proposés.
Dans ces conditions, une légalisation encadrée, avec des points de vente connus et contrôlés, apparaît comme une bien meilleure solution. Au lieu d'être encadrée par des gangsters, la consommation le serait par quelques professionnels soumis à contrôle, ce qui constituerait tout de même un progrès. Bien sûr, la chose mérite discussion. Au sein du Nouvel Observateur les opinions divergent et plusieurs fois nous avons fait état de ces interrogations. Aujourd'hui la France est mûre pour le débat. Ouvrons-le…
 
L.J.
Source : NOUVELOBS.COM le 24.11.03 à 17:30 par Laurent Joffrin, directeur de la rédaction
du Nouvel Observateur lien Nouvel Observateur
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L'Ecole et le pétard, émission Envoyé Spécial sur FR2 le 4/12
Par Invité,
Télé Ciné Obs du 27 novembre au 4 décembre
jeudi 4 décembre
 
20h55 - France 2 Magazine. "Envoyé spécial": "I'Ecole et le pétard"
 
Chanvre à part
 
Malgré la législation la plus répressive d'Europe, la France est le pays où la consommation de cannabis progresse le plus vite. Voyage au cÅ“ur du mal-être adolescent.
 
Pantalon trop grand, cheveux trop longs, Julien traîne une dégaine d'adolescent mal dans sa peau. Il tente de faire passer sa démarche hésitante pour une attitude cool. A 8h3O, en attendant le bus, comme tous les jours, le lycéen fume son premier pétard. Il sait retourner les messages des adultes à son avantage: l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, la cigarette provoque le cancer, mais le shit, aucune contre-indication. Cette consommation quotidienne de cannabis a pourtant des conséquences sur la scolarité de Julien. Il en a pleinement conscience puisque cette année, il redouble sans récriminer. Notes en baisse, démotivation et absentéisme sont d'ailleurs reconnus comme des signaux d'alerte à prendre en compte par les parents et le corps enseignant. Le " syndrome amotivationnel ", Julien connaît, mais nul ne sait s'il fume trop d'herbe parce qu'il est déprimé ou s'il est déprimé parce qu'il fume trop. Nous sommes ici bien loin du joint convivial qui tourne dans les soirées entre copains. Même la vraie passion de ce gamin souffre de sa dérive: les répétitions de son groupe de musique se transforment invariablement en longues pauses pétard. L'orchestre justifie son laisser-aller avec un argument imparable: "Si on fumait pas, on se ferait chier. "
 
Avec un sens de l'équilibre remarquable, le reportage de Laurent Cibien et Pascal Carcanade parvient à ne pas abuser de la rhétorique du fléau. Refusant de jouer avec les fantasmes du public, à aucun moment leur travail ne prend parti: ils se contentent d'observer une situation. Loin d'un catastrophisme convenu, ce film trouve le ton juste avec une ligne de conduite digne d'intérêt: rd dramatiser ni banaliser. Le débat sur le cannabis et les jeunes ne saurait se résumer à un clivage politique entre une gauche qui banaliserait la consommation et une droite stigmatisant une " épidémie chez les jeunes " et prônant la tolérance zéro. Les journalistes s'attachent aux réalités du terrain et partent d'un constat simple: le cannabis reste le produit illicite le plus goûté, et cette expérimentation se trouve être en hausse constante chez les jeunes. Paradoxe: la France est le pays où le cannabis progresse le plus vite alors qu'elle dispose de la loi la plus répressive d'Europe! Les réalisateurs ont donc choisi de s'intéresser aux premiers concernés: les ados qui fument trop. Sans la moindre démagogie, ils leurs donnent la parole, leur permettant, sinon de nous faire comprendre leur mal-être, du moins de nous aider à le toucher.
 
Malgré les apparences, Julien ne se fout pas de tout. Le lycéen n'a pas accepté de témoigner à visage découvert. Lejeune homme n'a aucune complaisance envers lui-même et sait qu'il lui faut se ressaisir. Par chance, les amis de son groupe de musique font le même constat et se préparent à un avenir où le pétard prendra moins de place: "Arrêter, c'est l'année ou jamais, sinon, on est foutus, on est exclus du système. " La prise de parole entre les parents et les adolescents devient essentielle dans cette évolution. Elle doit permettre de dépasser l'incompréhension réciproque. Spécialiste des toxicomanies, Anne Coppel reconnaît pourtant que les parents disposent rarement des outils de dialogue sur le sujet. L'interdit qui pèse sur le cannabis brouille les messages là où un discours simple serait nécessaire. Les adultes savent dire à leurs enfants qu'" on ne boit pas un demi avant d'entrer en classe ", ils doivent pouvoir énoncer la même règle pour le cannabis. Aucune prévention n'est efficace sans le dialogue, sans l'adhésion des jeunes. Ni le tabou ni la complaisance ne peuvent aider à accompagner les gros fumeurs de cannabis vers la sortie de leur " enfermement ". Afin d'éviter qu'un acte rebelle et identitaire d'adolescent ne se transforme en sérieux problème pour le jeune adulte, la solution éprouvée reste de lui parler comme à une personne responsable.
o Louis Morice
 
 
Photos : fille fumant un joint ; gros plan mélange cannabis-tabac dans une main ouverte.
Légende : Selon l'Observatoire français des Drogues et des Toxicomanies, plus de la moitié des jeunes âgés de 17 à 19 ans ont déjà fumé un joint. La première consommation de cannabis a lieu de plus en plus tôt: en moyenne entre 15 et 16 ans.
 
Trompe-cafard
 
 
Dans un nuage de fumée, le pétard du fêtard prend la forme d'un trompe-cafard pour de nombreux adolescents. Cette évolution inquiète les spécialistes. Selon une récente enquête de l'Observatoire français des Drogues et des Toxicomanies, plus de la moitié des jeunes âgés de 17 à 19 ans a déjà fumé un joint. Ce nombre a doublé par rapport à 1993. La première consommation de cannabis a lieu de plus en plus tôt, en moyenne entre 15 et 16 ans. Le plus troublant est que ces adolescents ne se contentent pas de " goûter ": un sur sept fume régulièrement du cannabis. En France, l'OFDT estime à 120000 le nombre de consommateurs quotidiens de cannabis chez les 14-18 ans.
 
Seule bonne nouvelle de l'étude, " compte tenu des niveaux atteints, ces chiffres laissent présager une stabilisation dans les évolutions au cours des prochaines années ". Afin de dépasser le bilan, il faudra vaincre les préjugés en vigueur et surtout faire en sorte que le débat ne se déroule pas d'un côté entre adultes et de l'autre chez les ados mais qu'il devienne l'occasion d'un vrai dialogue entre générations. o L. M.
 
 
Sources : CIRC Paris
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Les cannabinoädes joueraient un rôle dans l'implantation embryonnaire
Par Invité,
L'anandamide, un cannabinoäde connu pour induire à forte dose une interruption spontanée de grossesse, pourrait, à faible dose, favoriser l'implantation des embryons dans l'utérus. C'est ce que viennent de montrer des chercheurs américains au cours d'une étude publiée le 25 Novembre 2003, dans Proceedings of the National Academy of Science.
 
L'anandamide, (du sanskrit ananda ,« félicité »), est un composé cannabinoäde endogène. Ce dérivé d'acide gras est produit par le cerveau sous l'effet de la douleur. Composé chimique de la même famille que le cannabis, il provoquerait une analgésie.
 
En étudiant l'embryogenèse chez les souris, Sudhansu Day et ses collègues du Vanderbilt University Medical Center de Nashville (Texas, Etats-Unis) ont constaté que le taux d'anandamide était plus élevé avant l'implantation, et qu'il diminuait, au moment où l'embryon s'installait dans l'utérus.
 
Après une étude à la fois génétique, pharmacologique, et physiologique, les chercheurs se sont rendu compte qu'à faible dose, l'anandamide activait une enzyme, l'ERK (Extracellular regulated kinase), qui sert à « baliser le terrain » pour une meilleure implantation possible de l'embryon.
 
Sudhansu Day a aussi montré qu'à des doses quatre fois supérieures, non seulement l'anandamide n'activait pas l'enzyme, mais elle inhibait l'activité de canaux à calcium nécessaires à l'implantation embryonnaire.
 
Alors que dans différents pays, comme la Hollande, on reconnaît de plus en plus les bienfaits du cannabis pris à certaines doses et dans certaines conditions, en France, la législation demeure inflexible : le cannabis, quelle que soit sa forme, reste une drogue. Les résultats des travaux de Sudhansu Day montrent le rôle important que jouerait les cannabinoädes sur la fertilité féminine. Ces derniers pourraient être utilisés pour favoriser l'implantation des embryons lors des fécondations assistées.
 
Olivier Frégaville-Arcas
(25/11/2003)
 
 
 
PLUS SUR LE SUJET
 
Sur internet
L'anandamide https://raphaello.univ-fcomte.fr/Biochimie/etudiants-1999-2000/heitz-rognon/anandamine.html
 
Les récepteurs du cannabis
https://www.med.univ-rennes1.fr/etud/pharmaco/cannabis.htm
 
Cannabis : De la clinique à la loi
https://www.anit.asso.fr/docs/cannabis/cannabis_24.php
 
Association pour l'usage médical du cannabis (en anglais)
https://www.marijuana.org/
 
Pour la légalisation du cannabis (en anglais)
https://www.ukcia.org/
 
Médecine et cannabis
https://www.chanvre-info.ch/fr/medecine/
 
L'accès médical au cannabis (Ministère de la Santé du Canada)
https://www.hc-sc.gc.ca/hecs-sesc/bamc/index.htm
 
Les cannabinoädes : mécanismes d'action et enjeux
https://www.forum.encyclopaedia-universalis.fr/psychotropes/article2.htm
 
 
 
Source : Circ
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[Quebec] Ouverture de l'estiminet du Bloc Pot
Par Invité,
C'est finalement samedi prochain, avec plusieurs semaines de retard, que le Bloc Pot ouvrira son café "apportez votre joint", dans les locaux de l'ancien Club Compassion de Montréal, rue Rachel.
 
Au début du mois de septembre, le Bloc Pot avait annoncé l'ouverture imminente, en plein coeur du Quartier Latin, de son bistro pour fumeurs de pot, le tout premier établissement du genre au Québec.
 
Des problèmes avec le propriétaire de l'immeuble, qui n'a pas apprécié être informé par les journalistes des intentions des locataires, ont cependant forcé le Bloc Pot à trouver un nouveau local et à repousser de quelques semaines la pendaison de la crémaillère. Entre-temps, une poursuite de 6000 $ a été déposée à la cour des petites créances contre celui qui avait accepté de sous-louer le local au Bloc Pot sans en aviser le propriétaire.
 
Aujourd'hui, malgré quelques petits pépins, Hugô Saint-Onge, chef du Bloc Pot et véritable maître d'oeuvre du projet, estime que tout est en place pour que le café ouvre ses portes samedi.
 
Les clients devront cependant se contenter d'un local d'une trentaine de places seulement, et le menu prévu à l'origine devra être revu, le Bloc Pot n'étant pas parvenu à obtenir de la Ville le permis de restauration qu'il convoitait. "Puisque le local est considéré comme le bureau de consultation de notre parti politique, nous pouvons tout de même vendre du café et quelques produits, mais le menu ne sera pas aussi complet que ce qui était prévu au départ", explique M. Saint-Onge.
 
"Les clients devront aussi obligatoirement être membres ou sympathisants de notre parti politique pour pouvoir fréquenter le café, ajoute-t-il. Il faudra au moins faire une contribution de 1 $ au parti ou montrer sa carte de membre 5 $)."
 
Pour la grande ouverture du café Chez Marijane, samedi à midi, le Bloc Pot a invité une brochette de personnalités du monde politique et artistique. Le sénateur Pierre Claude Nolin, auteur d'un rapport favorable à la légalisation de la marijuana, compte notamment parmi les personnes conviées.
 
Selon M. Saint-Onge, les clients courent peu de risque d'être arrêtés même si les policiers savent que de la marijuana est consommée à l'intérieur du café. Depuis le début de l'été, les plus hauts tribunaux de l'Ontario, de la Colombie-Britannique et de l'ensemble des provinces maritimes ont invalidé l'article de la loi sur la possession simple de cannabis, créant un important flou juridique au pays.
 
Le Québec continue néanmoins de considérer la possession de cannabis comme un délit criminel, et les policiers montréalais ont indiqué à maintes reprises que les personnes surprises en possession de marijuana dans un tel établissement doivent s'attendre à être arrêtées. Devant ce risque, M. Saint-Onge ne se cache pas pour dire que le café qu'il s'apprête à ouvrir est en quelque sorte "un levier de désobéissance civile visant à mettre fin à la prohibition".
 
 
 
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Mauvaise Graine, relaxée....
Par Invité,
COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 26 novembre 2003
 
Dans le cadre de la procédure judiciaire intentée à l'encontre de l'association ADN et de sa boutique Mauvaise Graine à Montpellier, le procureur de la République avait réclamé 20 000 € d'amende et 3 ans d'interdiction d'activité économique et sociale liées au chanvre à l'encontre du président de l'association, KShoo.
Mt Thuillier, son avocat, demandait, lui, la relaxe pure et simple de son client, ainsi que la restitution de tous les objets saisis, ceux du Circ comme les livres et les produits dérivés du chanvre.
 
Et c'est la sugestion de la défense que la cour a suivi en annonçant la relaxe de KShoo faute d'éléments dans le dossier.
 
Une victoire totale, mais le Parquet peut toujours faire appel…
 
L'affaire "Mauvaise Graine"
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Télécharger les fiches de canna pour les carences.
Par Invité,
7 fiches concernant les carences que vous pouvez rencontrer à n'importe quel moment dans votre culture, à télécharger donc, mieux vaut prévenir que guérir !
 
- Fiche Calcium
 
- Fiche Phosphore
 
- Fiche Fusarium
 
- Fiche Manque de fer
 
- Fiche Manque de Potassium
 
- Fiche Manque de Magnésium
 
- Fiche Manque de Soufre
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CannaTrade.ch 2004
Par Invité,
CannaTrade.ch c'est le nom de la foire international du chanvre en Suisse.
 
La troisième foire internationale du chanvre CannaTrade.ch 2003 a le plaisir d'accueillir 153 exposants de 15 pays différents, 10'000 visiteurs dont plus de 750 visiteurs professionnels. L'habituelle halle de foire 310 ne peut accueillir autant de personnes. Les demandes incessantes de nos exposants pour obtenir de plus grandes surfaces de présentations ainsi que le nombre augmentant de visiteurs nous ont fait décider de louer une plus grande halle pour l'année 2004.
 
 
 
Durant le CannaTrade.ch 2003, cinq Associations Internationales d'Allemagne, de France, des USA et de la Suisse ont présenté leurs projets. Nous souhaitons soutenir ce travail politique important.
 
 
Le point principal de CannaTrade.ch pour l'année 2004, sera l'amélioration du caractère international de la foire.
 
L'atmosphère familiale particulièrement appréciée par nos exposants et des visiteurs aura bien entendu toujours une position privilégiée dans l'organisation de la foire.
 
 
Sur notre site vous trouverez plusieurs informations sur la CannaTrade.ch 2004 ainsi que des live web cams pour faire participer aussi tous les amis du chanvre dans le monde internet.
 
Visitez à ce propos:
https://www.cannatrade.ch
 
CannaTrade.ch 2004 Team
 
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Le chanvre, on le boit, on le mange, on en fait des maisons
Par Invité,
Libération, samedi 8 et dimanche 9 novembre 2003, suplément WEEK-END, p. 46, 47
https://www.liberation.fr
 
 
Rencontre
 
"Le chanvre, on le boit, on le mange, on en fait des maisons"
 
Michka, journaliste et écrivain, spécialiste du «cannabis sativa», explique pourquoi le libre accès aux plantes est une revendication fondamentale de notre époque.
 
AUBRON Arnaud
 
 
Le Salon du chanvre qui s'ouvre ce samedi (1) vise à faire connaître toutes les utilisations de cette plante. Pourtant, lorsque l'on parle de chanvre, l'immense majorité des gens pense au «pétard». Comment l'usage psychotrope de cette plante s'est-il généralisé en Occident ?
 
Le chanvre indien est arrivé aux Etats-Unis par les ports, en particulier La Nouvelle-Orléans. Ce sont d'abord les musiciens de jazz noirs et les saisonniers mexicains qui en consomment. Dans les années 50, les beatniks se mêlent à eux et découvrent la marijuana. Leurs héritiers culturels, les hippies, y goûtent aussi avec enthousiasme, or ces hippies sont les fils et filles de la société bourgeoise blanche américaine. L'herbe passe la barrière raciale. Dans beaucoup de pays occidentaux, la jeunesse qui recherche un autre mode de vie, la découvre avec émerveillement. C'est une façon de retrouver l'intensité d'un lien avec la nature. Résultat, dans les années 70, la plupart des pays européens passent une législation répressive, c'est la loi qu'on a encore en France aujourd'hui (2). Mais cet usage psychotrope est bien plus ancien...
 
La première fumée c'est l'encens. Hérodote en parle à propos des Scythes, qui, dans leur migration, ont apporté le chanvre en Europe. Dans ce que l'on appelle maintenant des huttes de sudation, ils mettaient des pierres brûlantes, puis jetaient du chanvre dessus, ce qui, dit Hérodote, dégageait une fumée épaisse qu'ils absorbaient, qui leur faisait pousser des cris de joie et les emmenait au pays des anciens, c'est-à-dire des morts, puisqu'il s'agissait d'un rite funéraire. Puis cette utilisation «chamanique» s'est interrompue. Certains disent qu'elle serait devenue un savoir souterrain, celui des sorcières. Ce sont en effet des femmes en contact avec la nature qui connaissaient les plantes et leur pouvoir, dont celui du chanvre. On pourrait même penser que brûler les sorcières a été une façon de détruire cette hérésie. Au XIXème siècle, en Europe, en particulier en Autriche et en Suisse, les paysans qui ne pouvaient se payer du tabac que le dimanche, se contentaient d'une pipe de chanvre la semaine. Il ne faut pas oublier que le chanvre textile qu'ils cultivaient alors et le chanvre psychotrope sont une seule et même plante : chanvre est le nom français, cannabis sativa le nom botanique latin. Il y a ensuite des sous-catégories qui sont le cannabis sativa sativa et le cannabis sativa indica, le chanvre indien, mais il y a un continuum de l'un à l'autre. Dans n'importe quel manuel de cordier du XVIIIe, on explique que la récolte du chanvre a des effets qui peuvent rappeler l'opium...
 
Les cordiers ?
 
Avant même que l'humanité cultive des plantes, le chanvre était ramassé pour faire des liens. Puis vint l'agriculture : les hommes maîtrisent alors le cycle de plantes, dont le chanvre, pour les semer et les récolter. Avec ses fibres, on faisait des cordes, des tissus. Plus tard on en fera du papier, traditionnellement obtenu par recyclage du textile et donc du chanvre. Les chiffonniers étaient ainsi ceux qui ramassaient la matière première du papier. Grosse et abondante, la graine de chanvre, elle, donne une huile qui a des vertus particulières. Elle était utilisée pour les lampes, mais aussi pour l'alimentation. Elle est aujourd'hui appréciée en diététique car elle contient des acides gras rares. Après l'extraction de l'huile, il reste le tourteau, aussi riche en protéine que le soja. On peut se demander pourquoi on donne au bétail français du tourteau de soja, qui ne pousse pas sous nos climats et est génétiquement modifié, alors qu'on pourrait lui donner du tourteau de chanvre. Chaque partie a donc une utilité, et cette plante fabrique de la matière végétale rapidement, ce qui en fait une ressource renouvelable intéressante. C'est le cochon du règne végétal : tout est bon.
 
Où l'a-t-on domestiqué ?
 
Peut-être en Perse, mais c'est dans le sous-continent indien qu'il s'est le plus développé. Avec le chanvre que l'on nomme indien, on s'intéresse à la fleur. Les variétés originaires de ces régions sont particulièrement riches en tétrahydrocannabinol (THC), qui provoque une ivresse particulière. Le chanvre indien participe du sacrement, comme le vin dans la messe. On touche là à l'essence de cette plante, à la fois si riche et utile dans ce que le monde a de plus profane et utilisée pour ses facultés à faire ressentir le divin : ce que l'on appelle le chanvre global. Il est venu d'Asie avec les migrations humaines, mais c'est Charlemagne qui l'a imposé dans son empire, comme plante textile. On l'utilise alors aussi pour son huile et comme aliment : dans beaucoup de régions, on s'est nourri de ses graines. On sait peu de choses à ce sujet, car l'histoire ne s'intéresse pas à la manière dont les gens vivent, à ce qu'ils boivent, ce qu'ils mangent... On préfère s'intéresser aux empires, aux guerres. Avec la Renaissance, linge de corps et linge de maison apparaissent en Europe. Le chanvre se répand alors dans les campagnes : il permettait à chaque ferme de faire ses draps, ses chemises, ses sacs. Au début du XIXe siècle, il était considéré comme une plante de première nécessité, au même titre que le blé ou la vigne. Il le doit à la marine à voile : il faut des tonnes de chanvre pour les voiles, les cordages et même l'étoupe (que l'on met entre les planches et qui assure l'étanchéité). Au XVIIe siècle, dans certains pays d'Europe, les paysans sont sévèrement punis s'ils ne cultivent pas de chanvre. En 1875, on en cultive encore 175 000 hectares en France.
 
Dans L'empereur est nu, l'Américain Jack Herrer explique que le chanvre aurait ensuite disparu en raison du lobbying de Dupont de Nemours, qui estimait qu'il menaçait ses brevets sur le nylon et la pâte à papier à base de bois...Je n'y crois pas. Le chanvre était déjà largement passé de mode à la fin du XIXe et Dupont de Nemours arrive quasiment cinquante ans plus tard. C'est la fin de la marine à voile et l'arrivée de la machine à vapeur qui ont enterré le chanvre. Reste que ce sont bien les Etats-Unis qui l'ont mis au ban de la planète. En effet, pendant la prohibition de l'alcool, dans les années 20, toute une structure est mise en place pour veiller à son application. Avec la fin de la prohibition, les gens qui sont à la tête de cette structure ont peur pour leur boulot. Heureusement, il y a une autre ivresse qui monte et que l'on peut interdire facilement. Celle des pauvres, des Noirs et des Mexicains , la marijuana... Sa prohibition est un outil de pression supplémentaire sur eux. C'est ainsi que naît, dans les années 30, la deuxième prohibition américaine. Sans réfléchir aux conséquences, le Congrès interdit en quelques heures toute forme de chanvre. Puis l'interdit sera étendu au travers de conventions internationales, y compris dans les régions où il est un sacrement traditionnel, comme en Inde. Comme si les musulmans prenaient le pouvoir à l'ONU et faisaient en sorte qu'on vienne arracher les vignes en France. Il y a tout de même un nouveau pic de production pendant la Seconde Guerre mondiale. Les fermiers américains, mais aussi russes ou allemands, sont réquisitionnés pour faire pousser du chanvre. Des films font son apologie pour l'effort de guerre : on en fait des lances à incendie, des harnais de parachutes, des filins de bateau... Après-guerre, c'est le déclin total, avec l'arrivée des fibres synthétiques, synonymes de progrès. La prohibition à l'américaine arrive en Europe à cette époque. En Angleterre et en Allemagne, le chanvre sera globalement interdit. La dernière récolte de chanvre pour la fibre a lieu en France en 1965. Il en reste alors 400 hectares dans le pays.
 
Va-t-il disparaître totalement ?
 
Dans la plupart des pays d'Europe, on va progressivement le laisser tomber. Mais en France, des gens se lancent dans l'expérimentation, en particulier dans la fabrication de papier directement à partir de chanvre. On en fera surtout du papier à cigarettes, ce qui fait que la France en est aujourd'hui le principal exportateur. D'autres ont réfléchi à une valorisation de la chènevotte: ce qui reste de la tige une fois les fibres enlevées. Des Français ont ainsi mis au point un procédé de construction et de rénovation à partir d'un mélange de chènevotte et de chaux. Il est utilisé par les bâtiments de France depuis des années et on vient de toute l'Europe pour l'apprendre. La chènevotte régule l'humidité et la chaleur et donne des maisons très saines. De même, les vêtements en chanvre étaient traditionnellement recommandés pour lutter contre les maladies de peau. En 1985, le livre de Jack Herrer L'empereur est nu lance à l'échelle mondiale la redécouverte du chanvre textile et alimentaire. Les Verts, les amis de la nature sont séduits. Quant aux fumeurs de pétards, ils ont enfin trouvé une manière positive et légale de parler du chanvre. Dans tous les pays où sa culture était interdite, les variétés à faible teneur en THC ont été réautorisées dans les années 90. Aujourd'hui en France, on peut s'habiller de chanvre, habiter dans une maison en chanvre et boire et manger du chanvre. Enfin, le chanvre ordinaire est très proche du bio. On n'a pas besoin d'herbicides parce que sa vitesse de croissance est telle qu'il étouffe les mauvaises herbes. Comme il a très peu de maladies, on n'utilise pas non plus de pesticides. Il suffit que les engrais soient traditionnels pour que le chanvre soit bio. Résultat, depuis quelques années, on a des produits dérivés dans la plupart des salons bio.
 
Pourquoi sa culture n'a-t-elle pas explosé ?
 
Pour les cultures légales, les techniques ont évolué. Pour le chanvre, il y a eu une rupture pendant environ cinquante ans, ce qui explique qu'elles ne sont plus adaptées. Il faudrait investir dans de nouvelles technologies. Or les industriels ne répondent pas à une logique écologique. Dans la pratique, le chanvre utilisé pour les vêtements que l'on achète en France vient des pays de l'Est ou de Chine, où les Occidentaux ont investi dans des techniques modernes. Résultat, ce pays est un des principaux exportateurs de textiles de chanvre de qualité. Enfin, en France, la culture est très contrôlée. Pour cultiver, il faut s'adresser à la Fédération nationale des producteurs de chanvre (FNPC), dont le siège est au Mans. Chaque récolte doit partir de graines certifiées. Si on prend des variétés certifiées (dont le taux de THC est inférieur à 0,2 %) et qu'on replante les graines obtenues, ce qui est interdit, le taux de THC remonte. Ce chanvre n'est pas très fort en THC, mais il ne respecte plus les limitations légales.
 
Cette interdiction est-elle durable ?
 
Depuis les années 70, «l'épidémie» de chanvre psychotrope a continué de se répandre et il y a aujourd'hui, pour la première fois, une fraction de la population, jeune, pour qui le chanvre fait partie de la culture. La question est donc : est-t-il encore possible d'éradiquer cette pratique ? Peut-être, à condition de prendre des mesures radicales, comme seuls les pays totalitaires le font. Ainsi aux Etats-Unis, certains parlent de camps de réhabilitation pour les fumeurs. Sinon, il est trop tard. C'est un choix de société.
 
Et de santé publique ?
 
Dès la fin du XIXe siècle, les Britanniques ont fait faire en Inde des études sur la consommation de chanvre. Depuis, elles se sont multipliées et sont peu alarmistes. Jusque quand va-t-on en faire ? Il faut plutôt se demander quel type de société on souhaite mettre en place. Une société où l'individu est responsable ? Va-t-on laisser les gens choisir quelle plante ils veulent absorber, quelle plante ils ont le droit de cultiver ? Le libre accès aux plantes est une revendication fondamentale de notre époque. Car, petit à petit, la société impose des produits patentés, que ce soient des médicaments ou des organismes génétiquement modifiés pour l'alimentaire.
 
 
 
(1) Quatrième Salon du chanvre et des écotechnologies, samedi et dimanche, à la Cité des sciences et de l'industrie, Paris XIXe. Entrée 10 euros. Renseignements : www.festival-du-chanvre.com
(2) Dans l'Union européenne, seules la France, la Suède, la Finlande et la Grèce prévoient encore des peines de prison pour usage simple.
 
Michka est née en 1944. Journaliste et écrivain, elle a publié, avec Hugo Verlomme, son premier livre sur le cannabis en 1978 : Le Dossier vert d'une drogue douce (Laffont). Elle est l'une des premières en France à s'intéresser au renouveau du chanvre, à propos duquel elle publiera notamment le Chanvre, renaissance du cannabis (toujours avec Hugo Verlomme, éd. Georg). Attaquée en justice en 1996 par le professeur Nahas, grand gourou de la prohibition des drogues, elle est devenue, presque malgré elle, une égérie de la légalisation du chanvre. Avec Tigrane Hadengue, elle a enfin ouvert, fin 2001, le musée du Fumeur, dans le XIe à Paris. Un espace consacré à toutes les plantes fumées.
 
 
Sources : CIRC Paris
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Le 4ème Salon du Chanvre c'était bien ?
Par Invité,
C'était aujourd'hui le premier jour ouvert au grand public, le 4ème Salon du Chanvre.
Voici quelques photos pour vous donnez une idée des exposants...

 
- Défilé de mode, vetement de chanvre PART1
 
- Défilé de mode, vetements de chanvre PART2
 
- Système Hydro
Ces vidéos nécessite le codec Xvid pour être lu
- Télécharger le codec XvidDu cosmétique à base de chanvre au testeur PH en passant par tous les accessoires du fumeur...
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Photo réalisé par moi même, mais en vitesse
 
Un remerciement pour Hipersemillia, big up à eux !
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Mulhouse: Passeur de drogue pour une bonne cause
Par Invité,
Mulhouse, Passeur de drogue pour une bonne cause
Les 18 kg de cannabis que ce prévenu de 33 ans tentait de passer en Angleterre avaient beau être destinés à des fins thérapeutiques, le tribunal correctionnel mulhousien n'a pas apprécié.
 
A la différence de bon nombre de passeurs, dealers et autres trafiquants de stupéfiants, Peter Kenward n'est pas du genre à se déballonner devant un juge, en l'occurrence Olivier Kirchner qui présidait hier les débats. Le sujet de sa très gracieuse majesté reconnaît les faits et les assume. Ceci d'autant plus qu'il oeuvrait, selon lui, pour une bonne cause. Le 9 février 2002, le prévenu, venant de Suisse, était interpellé par les douaniers de Saint-Louis, avec en sa possession 10 kg d'herbe de cannabis et de 8 kg de résine de la même drogue. Selon ses déclarations - qui ne varieront jamais au cours de l'instruction et qui seront confirmées par les autorités anglaises - c'est un reportage télévisé sur certaines cultures de cannabis autorisées en Suisse qui lui avait donné l'idée d'y faire son "marché". En Angleterre, il était en contact avec des associations militant pour la légalisation des drogues douces à des fins thérapeutiques. C'est pour leur compte qu'il avait fait le voyage d'Angleterre en Suisse afin d'acheter ces 18 kg de cannabis chez un Américain, un certain Chris Iverson cultivant le chanvre. Lequel niera ensuite avoir approvisionné le prévenu. Peter Kenward n'était pas totalement désintéressé : pour satisfaire à sa consommation mensuelle de cannabis d'environ 1000 €, il comptait distraire 3 kg des 18 kg rapportés en Angleterre. Pour le vice-procureur Jean-Pierre Vogel, « le prévenu connaissait la législation française et toute mansuétude encouragerait les passeurs. Je requiers trois ans de prison dont quelques mois avec sursis ». Me Isabelle Deck n'a pas tari d'éloges pour son client : « M. Kenward est intelligent, ouvert et sympathique. Il voulait soutenir des associations qui aident des malades à mourir dignement. » Le tribunal a condamné le prévenu à quatre ans de prison dont deux avec sursis, à l'interdiction définitive du territoire français et à 35 000 € d'amende.
Pierre M. Gallais
 
© Dernières Nouvelles d'Alsace, Vendredi 3 Janvier 2003
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Dealer avec 0,95 grammes de hasch !
Par Invité,
Il s'appelle Pavel Pavlicek. Dealer de drogue, il ne l'est certainement pas. Au mois d'avril dernier, il rentrait à Prague après une virée aux Indes, mais via l'aéroport de Moscou. Tout juste une escale. Mal lui en prit car le chien flairera chez lui de la drogue : un gramme de hasch complètement oublié par l'intéressé, dans son sac, à la suite d'une fumerie à Delhi.
 
L'avion partira sans lui. Il est retenu à Moscou et accusé de détention et de trafic de drogue. Peut-on faire du trafic de drogue avec 0,95 gramme de hasch ? Apparemment, en Russie oui. Car le jeune Pavlicek a écopé de 19 mois de prison dans les geôles russes, pour un forfait qui ne va jamais au-delà d'une contravention en Tchéquie. Aussi, tant le ministère des A.E. à Prague que Vaclav Havel ont saisi à son sujet Vladimir Putin d'une demande de grâce.
 
Que l'infraction reprochée au jeune Pavlicek ne corresponde manifestement pas aux faits réellement et que la peine soit en disproportion flagrante avec les faits, cela donne espoir aux demandes de grâce.
 
 
Source : https://www.radio.cz/fr
 
Faites gaffe si vous allez en Russie, là bas le moindre gramme de shit fait de vous un terroriste international !
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Opinion publique sur le cannabis
Par Invité,
La consommation du cannabis se banalise La quatrième édition du rapport "Drogues et dépendances" montre que l'on consomme de plus en plus de cannabis et qu'il fait de moins en moins peur. En quelques années, le cannabis s'est forgé en France un statut à part, s'éloignant de l'image inquiétante de l'héroäne et de la cocäne pour se rapprocher de celle, moins dramatisée, de l'alcool et du tabac. L'alcool, "drogue licite" demeure cependant un fléau, faisant chaque année en France, 45 000 victimes. Le débat sur la dépénalisation des drogues douces est relancé.
 
 
 
mon avis:
 
c'est du foutage de geulle........ moi chui pas daccord pour mettre le b*do a egaliter avec l'alcool.. l'alcool sa peut te rendre venére alors ke le bedo te pose... ta pas envie de faire le cake kan t fonzder en voiture alors ke ken t rébou t lâ tu fait ton chô ton bô et tu te pine contre un platane ou une otre voiture
jve dire biensur c pas bien de conduire tout fonzder... ca ralentie t neuronnes on est daccord mais ca change pas ton comportement alors ke lalcool oui... le k-nâ devrait remplacer lalcool..
 
enfin c mon avis
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Les risque du outdoor
Par Invité,
BAR-LE-DUC (AP) -- Un habitant de Bar-le-Duc (Meuse) est convoqué au tribunal le 20 janvier prochain pour avoir installé en pleine forêt proche de chez lui, au milieu d'une clairière, un jardin où il cultivait depuis 14 ans des pieds de cannabis pour sa consommation personnelle.
Depuis 1989, il cultivait une trentaine de pieds qui, selon les gendarmes, n'ont guère souffert de la canicule estivale.
 
Les enquêteurs, qui le surveillaient depuis quelques temps, ont trouvé chez lui des pipes et des graines de cannabis destinées au prochaines plantations. AP
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