Dépénalisation en Jamäque
Par Invité, dans Ce que nous avons retenu...,

Le Procureur Général Nicholson a déclaré le 29 mars que la législation sur l'usage privé du cannabis était en préparation. Il n'a pas dit quand un projet de loi serait soumis au parlement, mais il a insisté sur le fait que la dépénalisation du cannabis se ferait dans un cadre limité. "Oui, cela se fera, pour usage privé uniquement," a-t-il déclaré au Sunday Observer.
Il y a presque deux ans, la Commission Nationale sur la Ganja, nommée par le Premier Ministre Patterson, recommandait la dépénalisation de cette drogue.
 
Source : The Jamaica Observer * dimanche 30 mars 2003
 
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Les politiques bloquent le débat sur le cannabis, selon Malek Boutih
Par Invité,
Paris, Le président de SOS Racisme, Malek Boutih, a accusé "les politiques de bloquer le débat" sur la consommation de cannabis, qui est selon lui, "peut-être le plus lourd tabou de la vie politique" française, dans une interview publiée dimanche par le Parisien.
 
"Si on refuse de poser le problème du cannabis de façon responsable, on va droit dans le mur en renforçant l'économie parallèle qu'on prétend combattre : quand on arrête un dealer, il y en a dix pour prendre sa place compte tenu de l'argent en jeu. On voit trop bien qui trafique avec la drogue, on feint de ne pas voir qui la consomme", a-t-il déclaré.
 
"On consomme aujourd'hui plus de cannabis que de Smarties ! Il faut que le ministre de l'Intérieur regarde cette réalité en face et que le débat s'ouvre. On verra ensuite sur quoi il débouche", a-t-il poursuivi. "La plupart des adultes sont prêts à un dialogue sans tabou. Ce sont les politiques qui bloquent tout. Comme s'ils acceptaient l'idée de deux sociétés étrangères l'une à l'autre, celle du ghetto (structuré par la drogue) et celle hors du ghetto", a-t-il ajouté.
 
Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, a souhaité la semaine dernière que loi de 1970 qui s'applique aux consommateurs de drogue soit reconsidérée afin de ne plus "rien" tolérer en ce domaine.
 
Source : AFP 27 Avril
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Modification de la loi de 70 : le SM inquiet de l'afflux de procédures
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PARIS, 25 avril, Le syndicat de la magistrature (SM, gauche) s'inquiète vendredi dans un communiqué d'un éventuel afflux de procédures, en cas de modification de la loi de 70, après les propos du ministre de l'Intérieur sur sa volonté de sanctionner également les consommateurs occasionnels de cannabis.
 
"M. Sarkozy déterre le hasch de guerre", titre le SM, qui "se demande comment la justice va pouvoir faire face à ce nouvel afflux de +dangereux délinquants+, constitué par 60% des garçons et 41% des filles de 17 à 19 ans qui déclarent avoir déjà fumé du cannabis". Pour le SM, la condamnation des usagers "n'a aucun effet sur la consommation de stupéfiants, qui poursuit sa croissance". "La seule politique pénale pertinente et adaptée est la recherche des trafiquants", ajoute le SM.
 
"La loi de 1970 prévoit des peines d'emprisonnement pour un simple consommateur mais elle n'est jamais appliquée. Il faut donc la faire évoluer", a répété M. Sarkozy vendredi en Corse, après avoir tenu des propos parfois plus durs mercredi au Sénat et jeudi dans les Hauts-de-Seine. M. Sarkozy, qui avait indiqué vouloir faire modifier la loi de 1970 sur la consommation de drogue, a précisé qu'il s'agissait de "(son) avis personnel dans le cadre d'un débat", mais que le gouvernement n'avait pas pris de décision.
 
Source : AFP 25 Avril
 
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Nicolas Sarkozy veut "reconsidérer" la loi de 1970 sur l'usage de drogues
Par Invité,
PARIS, Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, a annoncé mercredi au Sénat qu'il souhaitait "reconsidérer" la loi de 1970 qui s'applique aux usagers de drogues afin de ne plus "rien" tolérer en ce domaine.
 
Entendu, sous serment, par la commission d'enquête du Sénat sur la politique nationale de lutte contre les drogues illicites, M. Sarkozy a estimé qu'il "faut surtout reconsidérer la loi de 1970 qui a vieilli et n'est manifestement plus adaptée aux réalités".
 
"Pour que la lutte contre l'usage de drogues devienne une réalité, il faut que chaque interpellation donne lieu rapidement à une véritable réponse : sanction ou orientation vers les autorités sanitaires", a-t-il souligné.
 
Aussi, afin de mettre en place un "dispositif réellement applicable", M. Sarkozy souhaite alléger la loi de laquelle "on doit gommer la disposition la plus critiquable : une peine d'emprisonnement à l'encontre des simples usagers".
 
En revanche, il souhaite la "création d'une échelle de sanctions adaptées qui permettent de punir réellement et rapidement tant les mineurs qui consomment occasionnellement du cannabis ou de l'ecstasy que les usagers d'héroäne qui refusent les soins".
 
A l'encontre des premiers, M. Sarkozy souhaite "une palette de sanctions : confiscation du scooter, obligation d'accomplir un travail d'intérêt général, recul de l'âge pour passer le permis de conduire" par exemple.
 
Le ministre a indiqué à la commission sénatoriale que la France "détient un triste record". "C'est le premier pays d'Europe où les jeunes de seize ans consomment du cannabis", a-t-il relevé. Il a ajouté qu'en France "50% des jeunes ont consommé du cannabis et 25% le font de manière habituelle et, entre 2000 et 2002, le nombre de jeunes gens ayant expérimenté l'ecstasy a doublé, c'est le cas également pour la cocäne".
 
Face à cela, alors que le taux de sanctions prononcées (contre les usagers de drogues) était "de 30% en 1990, en 2001, à peine 8% ont été sanctionnés", a précisé le ministre, en estimant qu'ainsi "pour 9 consommateurs sur 10, l'usage des stupéfiants s'est trouvé de fait dépénalisé."
 
"Il n'est pas question d'ordre moral, mais question de sauver une génération entière de ce fléau" de la drogue, a conclu M. Sarkozy.
 
Source : AFP - mercredi 23 avril 2003
 
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La consommation de cannabis moins pénalisée ?
Par Invité,
Législation. "Un joint, une contravention". C'est du moins la volonté exprimée, à Vienne, par le ministre français de la Santé.Fumer du cannabis ne devrait plus conduire en prison. C'est du moins la volonté affichée la semaine dernière, à Vienne, en Autriche, par Jean-François Mattei, le ministre français de la Santé. Dans l'entretien accordé, en marge de la 46e session de la commission des stupéfiants de l'ONU, aux journalistes de quatre médias dont l'Humanité, jamais il n'était allé aussi loin dans ses propos. À la tribune, Jean-François Mattei s'était félicité "des progrès évidents" obtenus par la communauté internationale dans la lutte contre les drogues (1). Dans son entretien, il a affirmé : "Il faut revoir la proportionnalité des peines : un joint, une contravention. Par contre, le trafic et la revente doivent rester des délits." Pour lui, "la guerre aux drogues" est "un enjeu de santé publique qui doit mobiliser la communauté internationale", mais, a-t-il ajouté, "les toxicomanes doivent d'abord être considérés comme des malades. Un toxicomane, ça se soigne !" Sous-entendu : ça ne se met pas en prison. Certains y verront la volonté du docteur Mattei de ne pas abandonner le terrain des drogues à son collègue de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy. D'ailleurs, assure-t-il, "le regard de la société sur les toxicomanes a changé". Lorsque la remarque lui est faite que sa proposition revient à dépénaliser la consommation du cannabis et des autres stupéfiants, le ministre se contente de récuser toute idée de laxisme et précise : "Cela ne veut pas dire que le cannabis sera légalisé. Au moment où nous menons la guerre au tabagisme et aux excès d'alcool, nous ne délivrerons aucun contre-message laissant entendre que le tabac est mauvais et qu'il serait anodin de fumer du cannabis.
 
D'autant, poursuit-il, que nous sommes de plus en plus convaincus que l'usage de cette substance a des effets nocifs sur la combativité, la mémoire ou la motivation. Fumer des joints, c'est aller moins bien en famille, à l'école. Si le tabac était une substance nouvelle, nous interdirions sa mise sur le marché. Ce n'est sûrement pas pour en légaliser une autre."
 
Ainsi, Jean-François Mattei brise le tabou de la loi de 1970 qui a transformé en délinquant tout consommateur d'un psychotrope illicite. Après trente-trois ans d'application, force est de constater que la loi n'a pas atteint ses objectifs. Elle a eu, en revanche, des effets pervers comme la surpopulation carcérale, la clandestinité qui gêne la prise en charge sanitaire et sociale des toxicomanes, etc. Jean-François Mattei a annoncé sa volonté de réformer cette loi devenue, selon lui, "inapplicable" si bien que les juges envoient rarement en prison les simples usagers de cannabis. D'ailleurs, comment envisager l'incarcération des quelques trois à quatre millions de personnes qui reconnaissent avoir fumé au moins un joint dans leur vie ?
 
"Une loi qu'on n'applique pas doit être réformée", affirme donc le ministre. L'annonce de la dépénalisation de la consommation, même si elle ne dit pas son nom, risque d'exposer le ministre au tir croisé de ceux qui assimilent toute réforme de la loi de 1970 à du laxisme, et des partisans d'une légalisation du cannabis qui y verront une demi-mesure. Il reste que le débat sera enfin lancé, au plus haut niveau de l'État. Jean-François Mattei estime "équilibrée et de bon sens" la politique française en matière de lutte contre les toxicomanies, conjuguant répression des trafics, prévention, soins et réduction des risques. À la tribune de l'ONU, il a lancé l'idée d'une prochaine conférence réunissant à Paris les nations situées sur les "routes de la drogue", car l'opposition traditionnelle entre pays producteurs et zones de consommation n'a aucune pertinence. "Il y a cinq fois plus d'héroänomanes en Iran qu'en France", a souligné le ministre.
 
Source : l'Humanité - lundi 21 avril 2003 - Serge GARDE
 
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[Canada] Le cannabis thérapeutique non déductible des impôts
Par Invité,
Le pot n'est pas déductible d'impôt !
 
Une femme atteinte de sclérose en plaques autorisée à fumer de la marijuana à des fins thérapeutiques veut déduire la drogue, à titre de frais médicaux, dans sa déclaration de revenus.
«C'est un médicament, a indiqué Jane Parker, mardi, à son domicile de la région de Lunenburg, en Nouvelle-Écosse. Je ne fais pas cela pour le plaisir. Je fais cela pour pouvoir marcher, pour pouvoir me lever le matin et pour pouvoir dormir la nuit.» La femme a opté pour la marijuana parce que les médicaments traditionnels qui lui avaient été prescrits par un médecin n'avaient pas d'effets sur ses symptômes. Un permis de Santé Canada autorise la mère de sept enfants, âgée de 41 ans, à fumer jusqu'à cinq grammes de cannabis par jour. À 10 $ le gramme, sa facture monte rapidement. L'an dernier, elle a dépensé 12 000 $ en marijuana; l'année précédente, 14 000 $.
 
Parce qu'elle n'avait pas de reçus des revendeurs de marijuana qui l'approvisionnent, elle a pris la précaution de faire une déclaration sous serment sur ses dépenses devant un commissaire aux serments. C'est alors que son comptable l'a avisée que la somme qu'elle espérait déduire comme crédit d'impôt pour frais médicaux ne serait pas admissible -- ce qu'a confirmé un porte-parole de la branche néo-écossaise de l'Agence des douanes et du revenu du Canada. Les seules dépenses admissibles doivent avoir servi à acheter des médicaments prescrits par un médecin ou fournis par un pharmacien, a-t-il expliqué. Pour Revenu Canada, la marijuana «thérapeutique» ne diffère en rien des traitements dits «alternatifs» comme les suppléments alimentaires ou les vitamines.
 
Source : Le Devoir (Canada) - jeudi 17 avril 2003
 
 
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Nouveau système de lumière
Par Invité,
En Californie, un homme a mis le feu à sa maison car il avait placé sur ses vélux, une loupe grossissant 400x :-o :-o ! Cette dernière devait amplifier la lumière du soleil pour faire pousser des pieds de cannabis. Mais le soleil, une fois en face de la loupe avait enflammé petit à petit toute la maison. Le paysan a fait une garde à vue pour détention et usage de stupéfiants (de toute façon, il savait pas où crécher) et a eu une amende de 3000 $. Il y a des jours comme ça, on a pas de bol.
 
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Pour avoir QUE des graines femelles sur un de vos plants
Par Invité,
Sur un site j'ai trouver comment avoir que des graines femelles sur un plant alors je vous la done !!!

Croiser 2 plants femelles sert à obtenir une plante qui ne donnera que des graines femelles. Pour simplifier il faut en fait créer 1 plante hybride qui va polléniser l'autre femelle. Afin d'obtenir une descendance de bonne qualité, choisissez vos 2 meilleurs plants.
 
Achetez de l'acide Gibbérellique ( dans les jardineries où des les magasins spécialisés ) et pulvérisez en une fois par jour pendant 10 jours sur une des 2 plantes que vous avez choisies. Normalement ( les résultats sont très variables, c'est une question de chance ) vous devriez voir apparaître sur ce plant femelle des fleurs mâles au bout de quelques jours ! Le plant est donc devenu un hybride.
 
Isolez vos 2 plants et laissez faire la nature. En période de reproduction, la plante hybride va polléniser la femelle et votre femelle va donner des graines qui ne contiennent aucun chromosome mâle et ne va donner que des graines femelles !
 
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Elle faisait fumer dix joints par jour à son fils mineur
Par Invité,
VIENNE(Autriche), Une Autrichienne qui faisait fumer à son fils de 16 ans jusqu'à dix joints de cannabis par jour pour lui éviter la tentation de l'alcool a été arrêtée à Villach, dans le sud de l'Autriche, a annoncé la police.
 
"Considérant que le cannabis est bon pour la santé, et qu'il n'a rien d'une drogue nocive, elle a dit vouloir le préserver des abus d'alcool", a déclaré Markus Plazer, directeur de la police criminelle de Villach, dans la province méridionale de Carinthie.
 
La thérapie a commencé il y a trois ou quatre ans. Le collégien se voyait administrer quotidiennement du cannabis sous forme d'infusions ou de joints. "Entre cinq et dix joints par jour, sans compter les tisanes", a expliqué M. Plazer, précisant que le garçon n'avait pas été forcé. "Ils consommaient le cannabis ensemble", a-t-il dit. "Elle préférait que son fils fume du cannabis plutôt qu'il boive de l'alcool".
 
L'Autrichienne de 49 ans, dépendante depuis plusieurs années, avait dissimulé dans son salon 12 plants de cannabis derrière une cloison. Arrêtée mercredi suite à une dénonciation anonyme, elle est en détention provisoire.
 
La législation autrichienne sanctionne la possession, la production, la promotion et le trafic de stupéfiants par des amendes et des peines de prison allant de six mois à 20 ans.
 
 
Source : AFP - Yahoo!Actualités - Eric Derond
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