[Topic jeux] de quel film s'agit il ?


Messages recommandés

Salut tout le monde,

 

 

 

Konnichi Wa Philou, 5a4588.gif

 

 

 

Houla, j'ai mis un peu de temps à réagir...

 

Je tente Ôdishon (titre original オーディション ) de Takachi Miike. 1999

 

 

 

Arigato pour ce choix judicieux (à mon goût) (si c'est bien ça)

 

 

Bon après-midi

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Plop,

 

Ahhh enfin l'ami Korrigan ! :D(Il est vrai que je me suis demandé si tu passais encore par ici devant un si long silence sur un si bon film nippon.)

 

Il s'agit bien d'Audition (Ôdishon).

 

Ce film est extrêmement bien tourné et confère ainsi à son ambiance un pouvoir d'immersion quasi immédiat. Personnellement, j'ai beaucoup aimé...A déconseiller aux âmes trop sensibles !

 

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Synopsis:

Aoyama, 42 ans, est producteur de films. Sa femme est décédée il y a sept ans, mais il vit toujours sa disparition avec difficulté. Un jour, suivant les conseils d'un ami, Yasuhisa Yoshikawa, il décide de se remarier et organise une audition pour une série télévisée fictive afin de trouver sa nouvelle compagne parmi les candidates. La dernière à se présenter, Yamazaki Asami, est une femme d'une troublante beauté. Aoyama en tombe instantanément amoureux. Il la rappelle et dîne en tête à tête avec elle. Quelques jours plus tard, Aoyama lui téléphone à nouveau. Yamazaki est chez elle, prostrée dans l'obscurité. Elle est seule ou presque... /! W A R N I N G : Film déconseillé aux moins de 16ans. (18 au Japon) /! - - - -

 

A toi la main poto !

 

 

Philou

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Salut Kalbut,

 

 

 

et bien joué, effectivement c'est bien Moon, un sacré premier film...

 

 

 

 

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Film Britannique de 2009 réalisé par Duncan Jones (fils de David Bowie), avec Sam Rockwell, et la voix de Kevin Spacey pour le robot.

 

 

Synopsis : Sam Bell vit depuis plus de trois ans dans la station lunaire de Selene, où il gère l'extraction de l'hélium 3, seule solution à la crise de l'énergie sur Terre. Souffrant en silence de son isolement et de la distance le séparant de sa femme et de sa fille, il passe sont temps à imaginer leurs retrouvailles.

Mais quelques semaines avant la fin de son contrat pour l'entreprise Lunar, Sam se met à voir et à entendre des choses étranges... D'abord convaincu que son isolement y est pour quelque chose, il se retrouve malgré tout à enquêter et découvre que si ses patrons ont prévu de le remplacer, ils n'ont jamais projeter de le ramener. A moins que ce soit la Lune qui ne souhaite pas le voir partir...

 

 

 

 

 

 

 

Extrait de critique trouvée sur le net : "N'a-t-on pas déjà fait ce voyage ? L'espace infini, une station lunaire, des couloirs immaculés, l'ouverture d'un sas, la voix de l'ordinateur central... au rythme de la musique lancinante de Clint Mansell, Moon renvoie ainsi aux incontournables explorations spatiales et cinématographiques, de 2001 à Outland en passant par Silent Running ou Solaris. Ce n'est pas la première fois que le spectateur y pose le pied et le regard, et le réalisateur Duncan Jones le sait très bien. Celui qui se cache derrière un pseudo et qui n'est autre que le fils de David Bowie s'est inspiré et nourri des films de science-fiction qui ont bercé son adolescence et son imaginaire. Un hommage ? Pas seulement, car le metteur en scène réussit à créer une impression de déjà-vu et de bien-être, qui fait que bientôt, le quotidien de cet employé pas comme les autres devient addictif, aussi répétitif que nécessaire. Chaque conversation avec GERTY, chaque sortie sur le sol lunaire, chaque hallucination de Sam Rockwell composent une ritournelle qui caresse, voire engourdit, les sens. De ce point de vue, la bande originale de Clint Mansell rappelle le travail de Cliff Martinez sur le Solaris de Soderbergh, en moins charnel et plus minéral.

Si Duncan Jones revisite les lieux communs du genre, il y ajoute toujours un détail qui fait la différence, et qui donne au film son originalité. L'ordinateur central qui parle avec la voix de Kevin Spacey et réagit en smiley n'est ainsi pas un clone de HAL, il ne se dressera jamais contre l'homme et, au contraire, l'aidera parfois alors qu'il ne devrait pas ou alors qu'on ne s'y attendait pas. La découverte du sol lunaire ne se fait pas avec étonnement et CGI mais avec mélancolie et maquettes. Enfin, Sam Rockwell n'hallucine pas, il est bien seul, face à lui-même. Moon n'a alors révélé que sa face visible, et il faut laisser le spectateur découvrir par lui-même, seul, sa face cachée.

Alors que le film pourrait s'effondrer sur lui-même, sous le poids des nombreuses références et de l'infiniment grand de son sujet, Duncan Jones choisit de rester à échelle humaine. Sam Rockwell ne souffre pas de Pandorum, ne se fait pas de shoot de soleil à la Sunshine, ni ne touche le monolithe de 2001. En racontant l'histoire d'un homme et non celle de l'humanité, Moon dévoile une simplicité et une modestie que l'on pensait oubliées dans le cinéma, et pour le coup, perdues dans l'espace. Un petit pas pour le cinéma et la SF, un grand pas pour Sam Rockwell et Duncan Jones. "

 

 

 

Bonne lecture et bon film à ceux qui ne l'ont pas vu

 

 

A toi la relance Kalbut!

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Invité
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