"J'en fume régulièrement" Jane Fonda aime le cannabis, même à 77 ans


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"J'en fume régulièrement"
Jane Fonda aime le cannabis, même à 77 ans


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La star mythique du cinéma américain se dévoile. Dans un entretien accordé mercredi au magazine «DuJour», Jane Fonda s'épanche longuement sur sa carrière, sa vie privée... et sa consommation de marijuana.
Jane Fonda fait son retour à la télévision. Dans quelques semaines, l'actrice crèvera le petit écran dans la série «Grace et Frankie», dont la première saison sera diffusée le 8 mai prochain sur le réseau Netflix. À cette occasion, la star oscarisée multiplie les entretiens à la vitesse éclair pour promouvoir ce nouveau show créé par Marta Kauffman, scénariste notamment connue à Hollywood pour avoir lancé la série «Friends».
Ce mercredi, Jane Fonda prend ainsi la pose en couverture de la nouvelle édition du magazine «DuJour». Militante pacifiste et star féministe, la comédienne de 77 ans profite ainsi de son interview pour évoquer l'un de ses pêchés mignons : la consommation de cannabis. «Je fume régulièrement de l'herbe. Je ne peux pas regarder un film après avoir fumé. J'ai vu beaucoup de films après en avoir consommé et je me disais à chaque fois que c'était probablement le meilleur film que je voyais. Puis je les revoyais en étant sobre et je me disais : "Mais à quoi je pensais ?"», confie-t-elle.

L'homme qu'elle aime souffre de Parkinson
 

Spontanée et épanouie, Jane Fonda poursuit son entretien vérité en évoquant sa vie privée. Depuis 2009, elle partage en effet la vie du producteur Richard Perry. Un homme «profondément bon» aujourd'hui touché par la maladie. «C'est quelqu'un de bien. Mais c'est difficile. Il a Parkinson. C'est un homme très gentil. L'une des qualités que l'on doit souhaiter lorsque l'on recherche un partenaire, c'est la gentillesse. On ne nous le dit pas suffisamment lorsqu'on est jeunes, mais on devrait», poursuit-elle.
À l'aise dans son corps, l'icône des sixties n'hésite pas non plus à faire l'apologie du bistouri. «Les gens me disent toujours à quel point il me trouve jolie, et bla bla bla ! J'ai eu recours à la chirurgie esthétique. J'en ai parlé. Cela n'a aucune espèce d'importance. Ce qui compte, c'est de réaliser qu'il est toujours possible d'être meilleur. C'est de plus en plus dur, au fur et à mesure où l'on vieillit. On doit rester courageux et tenter de repousser les limites pour essayer de comprendre ce que l'on peut s'apporter de mieux, ce qui nous permettra d'être ce que nous sommes», conclut-elle.
 
Source: parismatch.com

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