Douanes, web et cannabis


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Les amateurs de cannabis bientôt surveillés par la douane sur les réseaux sociaux ?

https://www.softsecrets.com/fr/actualites/national/les-amateurs-de-cannabis-bientot-surveilles-par-la-douane-sur-les-reseaux-sociaux/?fbclid=IwAR1ArEcuBwRzGmb2F6ryhrHoVjbfX5QGR53PubS19xkDHLEjphiQSZnb65M

 

Olivier/Soft Secret

"Pour le gouvernement, tous les moyens sont bons pour accentuer la répression contre les usagers de drogues illicites. Une nouvelle loi devrait permettre aux agents du fisc et aux douaniers de surveiller de près les citoyens sur les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou Instagram. Pour optimiser la surveillance et recueillir le maximum de données, les agents du fisc et de la douane devraient utiliser l’intelligence artificielle.

La France compte environ 5 millions de consommateurs de cannabis et une grande partie d’entre eux utilisent les réseaux sociaux. De nombreux usagers, se croyant anonymes sur internet, revendiquent leur consommation. Une surveillance automatisée devrait permettre aux autorités de repérer de nombreux consommateurs, cultivateurs de marijuana ou « incitateurs ».

Un article du projet de loi de finances pour 2020 donne la possibilité au fisc et aux douanes de « collecter et exploiter les données publiques des internautes. » Le gouvernement communique en particulier sur le sujet de la fraude fiscale mais l’article concerne également les infractions douanières.

L’objectif est de lutter contre les fraudes sur internet en surveillant en particulier les réseaux sociaux ou des sites d’annonces comme le Bon coin. « Il est aisé de réaliser, de manière occulte ou sans respecter ses obligations fiscales ou douanières, une activité économique sur Internet, notamment de commerce des marchandises prohibées » précise le texte du projet de loi. La surveillance manuelle n’étant pas suffisante pour obtenir de bons résultats, le texte du projet de loi autorise le recours à la surveillance automatisée. Des algorithmes spécifiques seront développés pour améliorer le ciblage des personnes.

Le gouvernement assure que le respect de la vie privée sera préservé. Les données récoltées ne seront conservés que 30 jours et la surveillance ne concernera que les « manquements les plus graves ». Sur les réseaux sociaux, seuls les profils “publics” seront surveillés. De plus, la reconnaissance faciale ne sera pas utilisée Un décret du Conseil d’État soumis à l’avis de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) doit préciser les pourtours du dispositif.

Au bout de deux ans et demi, la CNIL devra remettre un rapport au parlement pour évaluer l’efficacité du dispositif et savoir s’il est justifié de porter atteinte au respect de la vie privée au nom de la lutte contre la fraude. Saisie en urgence le 28 août, la CNIL a du publier un premier avis le 12 septembre (rendu public le 30 septembre). La CNIL a accompagné son avis de plusieurs réserves et incite le législateur à la plus grand prudence.

Il existe déjà une surveillance manuelle des amateurs de cannabis sur les réseaux sociaux, comme en témoignent de nombreuses affaires. Les gendarmes et les policiers utilisent quotidiennement les réseaux sociaux pour trouver des informations sur les personnes mises en cause. Mais si la nouvelle loi est votée, la surveillance automatisée pourrait faire de gros dégâts dans la communauté. Il existe bien sur certaines parades pour limiter les dégâts : compte privé sur Facebook, utilisation de pseudos, VPN ou migration sur le dark-net.

Ce nouveau projet de loi permet de renforcer l’arsenal répressif alors que le gouvernement fait de la lutte contre le trafic et la consommation de stupéfiants, et donc principalement de cannabis, une priorité. Le premier ministre vient de dévoiler le grand plan « anti-drogue » du gouvernement en 55 mesures. Il semble qu’Édouard Philippe préfère les boissons alcoolisées, comme nous l’a révélé le documentaire « Édouard, mon pote de droite »."

 

Ce n'est encore qu'une question, mais qui reflète bien la france. Normalement dans le monde, un pays a un problème -> il trouve la solution, nous en France c'est Solution ---> Problème... Fatiguant d'être français. Bon on se marre bien quand même.

++

 

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Hey

 

bon ok ça craint, mais la surveillance ne date pas d'hier, ni d'après demain, elle était manuelle donc existante c'est juste le degrés de bêtise qui augmente ce qui prouve que notre gouvernement n'a rien compris au enjeux de la consommation des drogues et donc du cannabis en France ....

 

Après la ou je ne suis pas d'accord c'est sur le célèbre adage "vivons heureux vivons cachés" .... comment peut on être heureux si on est pas libre, je préfère être sous les spots sachant que je ne fais de mal à personne et que je me fais du bien, mais au moins je ne me cache pas (et en assume les conséquences même si ça fait chier ....) ....

On ne peut pas se cacher éternellement et ils trouveront toujours un moyen de nous débusquer, et nous légitimons leur politique de merde en essayant de leur échapper .... Si nous ne nous cachons plus ils sont encore plus dans la merde, les tribunaux ne sont pas assez grand et les prisons trop peu nombreuses, remplir les caisses de l'état ??? si c'est leur but qu'ils légalisent et prennent leurs taxes.

se sont les derniers soubresauts d'une prohibition agonisante ....

 

@+

 

:bye:

Modifié par UFCM-I Care
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Yo, 

 

Je te suis tout a fait dans ton raisonnement @UFCM-I Care,

 

Mais que peut on faire concrètement ? Faudrait une action massive et avec l'individualisme ambiant qui règne dans notre pays et les manipulations politico policières mises en place pour noyer tout semblant de revendication, (oui oui nous vivons bien dans une dictature aujourd'hui) c'est extremement difficile... 

Pour moi reste a attendre la "legalisation" (ineluctable a mon sens au regard des etudes mises en place en ce moment), qui nous donnera droit qu'a consommer les tiges les feuilles et les graines d'un produit pourri et cultivé au glyphosate. La culture personnelle sera bien évidemment toujours interdite car elle représentera un manque a gagner pour l'état. 

 

Franchement, si c'est ça je préfère rester caché... 

 

@+

 

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Salut,

 

il y a une heure, UFCM-I Care a dit :

se sont les derniers soubresauts d'une prohibition agonisante ...

 

Le soucis c'est combien de temps encore va durer cette agonie, nous parlons de la France et il est tout à fait possible que la prohibition dure  encore une décénnie ou deux si ce n'est plus.

 

Et je rejoins @Breizh_Grower, le jour où arrivera la légalisation, il y a fort à parier que les nouvelles lois servent plus à fournir des dividendes substantiels aux industriels qui fourniront qu'à offrir un cadre sain et sûr pour l'ensemble des usagers.

 

Dans ce contexte, je préfère rester caché.

 

J'espère sincérement me planter sur toute la ligne,

le temps nous le dira,

++

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Salut @tous,

 

Personnellement, ce qui m'interpelle, c'est que ce soit "Un article du projet de loi de finances pour 2020 donne la possibilité au fisc et aux douanes de « collecter et exploiter les données publiques des internautes».

Ce ne sont ni la justice, ni l'intérieur, pourtant bien plus habitués à réprimer ce phénomène, qui sont chargés de la mission.

 

Si la tendance, en Europe, est de lancer différents projets pilotes concernant différentes formes de légalisation (thérapeutique, récréative, industrielle, pharmaceutique...), j'imagine que c'est parce que les différents gouvernements ont pris concience des effets néfastes de la prohibition et de cette manne financière dont ils ne peuvent plus vraiment se passer.

 

Néanmoins, des problèmes d'éthique, de morale, de responsabilté seront toujours des freins à la légalisation. Quel homme politique est prêt à porter ce projet ? À ne plus être que "Mr Cannabis" et risquer d'être tenu pour responsable de la mort de tel ou tel jeune, sur la route, car il était sous influence, au jour d'aujourd'hui, où un homme politique voit sa carrière ruinée sur les réseaux sociaux pour quelques repas Homard/grands crus... Quel état voudrait devoir engager des armées d'avocats pour faire face à tous les procès intentés pour chacun des arguments des Anti Cannabis ?

 

Une des solution solution, comme pour les Aéroports de Paris, le Nucléaire,..., ce serait la privatisation. L'Etat vend une concession pour "X" années à un  grand groupe, qui gerera les différents aspects de cette activité, y compris la communication ou la caution morale.

 

Le Hic, c'est qu'en comparaison avec le Nucléaire ou les Aéroports de Paris, ils n'ont pas de bilan financier, de chiffres précis, encore moins de projection pour estimer le potentiel et la valeur du marché.

 

C'est là que le ministère des Finances, en charge d'étudier du point de vue financier les différentes possibilités de légalisation, envoie ses douaniers pour débusquer et le fisc pour additionner. Cela leur permettra d'avoir "leurs chiffres". Des chiffres pertinents soit pour vendre "au meilleur prix" à un grand groupe, soit pour établir la meilleure stratégie taxatoire afin d'engendrer un maximum de rentrées fiscales.

 

Bon, si nos politiques étaient des personnes malhonnêtes aux pratiques douteuses, on pourrait imaginer que comme un délinquant en col blanc cherchant à vendre très cher son affaire, ils cherchent à gonfler le bilan afin de faire monter le prix avec des chiffres inédits et invérifiables...

 

C'est juste ma petite hypothèse en passant... prendre mon traitement...?

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Bonsoir

 

C'est une demi news ce truc. Comme la dit UFCM, ils surveillent deja pour ce qui est drogue. Là dessus rien de nouveau.

 

Ce projet de loi est surtout pour choper les fraudeurs type vendeur de clope non déclaré, bien immobilier caché genre le mec déclare etre au rsa et vivre en hlm et poste des photos de sa maison de famille en Provence, vente de voiture, le bon coin, ebay  etc  Comme le dit très bien Abelz ce n'est pas l'intérieur ni la justice qui est en charge de ça mais les douanes et fisc..

Après rien n’empêche de transmettre un dossier a une autre équipe en cas de découvertes particulière..

 

Toutes les sources de revenu non déclaré qu'ils pourraient détecter via les réseaux sociaux. Mais c'est pas une loi anti drogues, c'est une loi anti système D.

 

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Yo, c'est aussi ce que je me dit après avoir relu l'article @Indi-Punky... m'en vais ouvrir un compte fessesbook pour y mettre des tof de grosses cylindrées au milieu de champs de canna (j'aime bien photosh... euh the Gimp, on est surveillés...)

 

Ça reste quand même des bouses !!! ?

 

OK, je sors... ++ ?

 

:dejadehors:

Modifié par Breizh_Grower
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Salut,  en lisant ça sur soft secret je me suis bien marré. Certains font pousser en prison... ^^  

C'est pour alerter le gros dealer pas discret, un peu débile, à la limite.

J'ai partagé le papier d'olivier pour montrer que comme d'habitude c'est l'argent qui fait bouger, quel que soit le sens dans lequel ça bouge au niveau des libertés.

Et ça ils veillent bien à ce qu'on se le mette dans la tête pour tous les niveaux sociaux, dans tous les secteurs. L'outil informatique dans un état où la démocratie est fragile, est dangereux pour nos libertés. Un douanier derrière son ordi a l'imagination fertile. A nous d'être libertaires donc et de continuer sans se cacher comme le dit UFCM, car ils ne pourront assumer la politique de l'autruche encore bien longtemps.

++

 

Modifié par kacadou
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Hey

 

je vais pas commenter sauf peut etre en disant que certain journaliste ont un cerveau ... c'est quand même un scoop (pas l'article, le cerveau ....) ...

 

@+

 

:bye:

 

Le plan antidrogue du gouvernement n'est que de l'entêtement idéologique

Le choix de continuer plus loin dans la voie répressive malgré son échec patent en France apparaît comme d'autant plus absurde et irrationnel que nombre de nos voisins passent à autre chose.

Le 17 septembre dernier, Christophe Castaner, ministre de l'Intérieur, a annoncé en grande pompe depuis Marseille un nouveau plan antidrogue contenant pas moins de cinquante-cinq mesures. «Avec ce plan, nous passons encore à la vitesse supérieure. Nous voulons taper fort», assène-t-il alors en dévoilant le nouvel arsenal répressif à l'encontre des drogues.

Parmi les mesures phares, la création de l'Ofast, l'office antistupéfiants, chargé de superviser et mener à bien la prohibition moderne des drogues sur l'ensemble du territoire. Regroupant 150 enquêteurs et enquêtrices, des forces de l'ordre et des magistrat·es, le nouvel organisme aura aussi pour objectif de favoriser la collaboration entre les services de police, gendarmerie et douanes.

 

La création de cette nouvelle entité apparaît pour le moins opportune dans un contexte où l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) était secoué par le scandale autour de la personne de François Thierry, anciennement à sa tête, soupçonné d'avoir importé de grandes quantités de drogues alors qu'il était en poste. Que les citoyen·nes français·es se rassurent, le nouvel Ofast saura éviter et faire oublier les aspects les plus honteux de l'Ocrtis qu'il remplace fièrement.

 

En outre, parmi les mesures présentées, on retrouve aussi une plateforme d'appel anonyme qui permettra de signaler les points de vente de drogue. «Pour moi c'est vraiment une catastrophe. Sur un plan démocratique, c'est vraiment instaurer la délation», dénonce Dominique Duprez, sociologue et directeur de recherche émérite au CESDIP/CNRS. Pourra-t-on signaler les points de vente de drogue que constituent les bars, supermarchés, pharmacies et autres marchands de tabac? On ne peut que l'espérer dans un souci de cohérence.

 

Un marché noir prospère et violent

 

Ces annonces interviennent alors que les derniers chiffres concernant l'état du trafic de stupéfiants en France ont récemment été publiés, et qu'ils peignent une image peu glorieuse de l'efficacité de l'approche répressive française dont ce nouveau plan dévoilé n'est qu'une énième déclinaison. Le marché noir des drogues prospère, avec un chiffre d'affaires total estimé à près de 3,5 milliards d'euros en 2018 qui continue de grassement financer le crime organisé. Dans une récente enquête du Monde, on découvre avec effroi que des mineurs de 12 ou 13 ans sont recrutés pour les trafics en qualité de guetteurs ou «charbonneurs».

Côté consommation, 45% des adultes français·es ont déjà essayé le cannabis alors que cette proportion n'était que de 24% en 2000, tandis que 11% en ont consommé dans l'année en 2017. Avec une consommation annuelle estimée entre 370 et 580 tonnes par an, ces chiffres permettent à la France de caracoler en tête des pays de l'Union européenne dans ce domaine. Le paradoxe est toujours aussi frappant: la France continue d'être à la fois un des pays les plus répressifs et le premier consommateur d'Europe de cannabis.

 

Les violences associées aux trafics illicites perdurent, avec 77 règlements de compte enregistrés en 2018, qui ont fait 106 victimes dont 54 décès. Le chiffre est stable par rapport à 2017. «Dans 80% des cas, ils sont liés au trafic de stupéfiants», résume Frédéric Doidy, chef de l'Office central de lutte contre la criminalité organisée (OCLCO).

Toujours plus de répression policière et judiciaire

Nous célébrerons en 2020 les 50 ans de l'approche prohibitionniste très répressive de l'État français moderne, issue de la loi du 31 décembre 1970. Rien ne permet de montrer plus clairement à quel point ce nouveau plan antidrogue s'inscrit dans la continuité du tout-répressif en vigueur depuis près d'un demi-siècle que le quatuor présent lors de sa présentation: le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, son secrétaire d'État Laurent Nuñez, la garde des Sceaux Nicole Belloubet et le ministre de l'Action et des Comptes publics Gérald Darmanin, dont dépendent les Douanes.

Jusqu'où ira cette surenchère de répression devant l'incapacité à endiguer les trafics? Souhaite-t-on arriver un jour aussi loin que les Philippines de Rodrigo Duterte où ce dernier a mis en place une terrible politique d'exécutions extrajudiciaires faisant des milliers de morts dans cette course sans fin de guerre contre la drogue? Rien n'indique pourtant que ces violations massives de droits humains aient apporté le moindre bénéfice en matière de réduction des trafics ou de protection de la population.

 

Ce choix de continuer toujours plus loin dans la voie répressive malgré son échec patent en France apparaît comme d'autant plus absurde et irrationnel que nombre de nos voisins reconnaissent l'évidence de cet échec et ses terribles conséquences sur la sécurité et la santé publique, et passent à autre chose. Les exemples d'États toujours plus nombreux aux États-Unis et du Canada qui sont passés à un modèle de légalisation du cannabis sont désormais bien connus et les bénéfices associés sont bien documentés, tant en ce qui concerne la protection des droits civiques que la lutte contre la criminalité ou la promotion de la santé publique.

 

Chez nos voisins plus proches aussi, les choses changent dans le sens de plus de respect des libertés, tel le Luxembourg qui en août dernier a fait savoir sa volonté de légaliser le cannabis d'ici deux ans, ou encore les Pays-Bas qui ont annoncé début septembre le lancement d'une expérimentation de production légale de cannabis afin de lutter efficacement contre la production illicite.

 

En 2018, la Global Commission on Drug Policy a publié un rapport extrêmement important rappelant les raisons pour lesquelles la prohibition doit être abolie et la manière détaillée dont une légalisation contrôlée des drogues peut et doit être mise en place. Elle appelle à cesser de poursuivre cette vision irréelle d'éradication des drogues, et à plutôt consacrer l'ensemble des moyens aux différentes manières basées sur des preuves afin de protéger les consommateurs, réduire les risques et soigner les personnes malades.

Il semble aujourd'hui acté que la légalisation du cannabis ne pourra arriver sous ce gouvernement, qui avec ce nouveau plan a démontré qu'il ne valait pas mieux que l'entêtement idéologique des précédents. Gageons qu'un des prochains gouvernements saura enfin faire preuve de rationalité et que face aux désastres titanesques de la prohibition, il saura répondre en l'abolissant fermement plutôt qu'en créant un énième organisme au nom obscur chargé de la faire perdurer envers et contre tout.

 

http://www.slate.fr/story/182532/plan-antidrogue-ofast-france-legislation-repression-prohibition-cannabis-echec

Modifié par UFCM-I Care
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Il y a 1 heure, UFCM-I Care a dit:

Le plan antidrogue du gouvenement n'est que de l'entêtement idéologique

 

 

Salut,

 

Je suis tout à fait d'accord avec ça ! Visiblement pour obtenir des choses aujourd'hui faut occuper les ronds points... Courrons acheter un gilet vert (je suis a moitié sérieux quand même...) !?!

 

++

 

 

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Yo !

Voici un excellent exemple du "en même temps " de ce gouvernement :

La PMA pour la gauche (enfin)et la lutte contre la drogue pour  satisfaire la droite(comme toujours).

progressif et regressif...

...minable quoi !

 

+

 

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