Préparation huile problème de prix


Messages recommandés

Cette procédure d’extraction « pour les pros » a le triple objectif d’extraire l’huile du Cannabis, de la purifier puis finalement de faire tourner les molécules dans leur forme la plus active, cette étape terminale est appelée l’isomérisation.

1 > EXTRACTION : Pourquoi utiliser de l’acétone au lieu de l’alcool que je recommande dans mon article « Huile de THC pour les nuls » ??? Simplement car le THC est beaucoup plus soluble dans l’acétone que dans l’alcool, de plus utiliser ce solvent permet d’éviter qu’il reste trop de matière non psychoactive dans le produit final. Réduisez votre beuh en poudre la plus fine possible à l’aide du mixer Placez la dans le conteneur en verre et recouvrez avec assez d’acétone pour que la poudre flotte librement. Fermez le couvercle et secouez pour melangez la mixture. Laissez reposer une dizaine d’heure en secouant de temps en temps. La mixture va virer au vert sombre et des bulles huileuses se seront créées. Filtrez le tout a travers le tee-shirt dans la tasse en métal Récuperez le residu de filtrage et recommencez au debut cette étape encore 2 fois , le but étant d’extraire un maximum de produit.

Posez votre conteneur en métal sur la plaque électrique (pas de gaz sinon ca explose) Reglez la au minimum car au dessus de 45 degrés il y a denaturation des alcaloides Surveillez bien votre liquide qui ne doit jamais bouillir mais fremir Au bout d’un moment le liquide commence à s’épaissir et prend une couleur de plus en plus sombre Arretez la cuisson quand le liquide prend la consistance d’un sirop bien épais, si jamais il devenait trop épais, rajoutez un peu d’acétone pur.

2 >PURIFICATION : Pour poursuivre l’extraction c’est à dire purifier le produit final de l’étape 1 nous utiliserons de l’ether de pétrole mais ce produit est extremement dangereux. Je vous conseille de vous reporter au précautions de securité énoncées ici https://formation.etud.u-psud.fr/chimie/experiences/securite/ether_petrole.pdf N’utiliser qu’une plaque électrique munie d’un coupe circuit et placez le conteneur au froid (frigo ou congelateur) quand vous n’en avez plus besoin. Dissolvez l’extrait brut, obtenu par l’étape 1, dans 5 fois son poids d’éther de pétrole, puis ajoutez à ce volume un volume égal d’eau. Aussi bien l’eau que l’éther doivent être aussi froids que possibles. Fermez le conteneur fermement et secouez doucement de haut en bas. Débouchez pour dimunier la pression crée par le secouage, rebouchez et recommencez à secouer. Faîtes cette opération cinq ou six fois. Laissez le contenneur dans un endroit frais et ou il sera exempt de tout choc ou vibration et ce pour qu’il se forme des couches de densité différentes, cette opérationn prend environ une demie-heure. La couche du fond consiste en un mélange d’alcool, d’eau, de goudrons et de résines secondaires. La couche suivante est une couche d’émulsion et la couche supérieure est l’extrait d’éther qui contient le THC en suspension.). Nous devons maintenant isoler la troisième couche des deux autres, ce ki peut etre fait à l’aide d’une petite pompe d’aquarium très facilement, attention a ne pas aspirer trop bas car dans ce cas vous devriez a nouveau laisser reposer et reséparer si la moindre goutte des deux autres couches venait à etre aspirée.

Maintenant vient l’étape d’évaporation de l’éther de pétrole, attention ceci necessite un contrôle extremement précis de la température, en effet au dessus de 50 degres, léther bouille.....donc si vous tenez à la vie et à votre maison utilisez un thermomètre électronique precis avec une sonde plongeuse genre thermomètre d’aquarium. Placez le résultat de la séparation, c’est a dire l’extrait d’ether contenant le THC en suspension, dans le bain marie précedemment utilisé. Et maintenez une température stricte de 40 degrés maximum afin de faire s’évaporer l’éther de pétrole. Vous devez arreter quand tout l’ether s’est évaporé donc cela necessite une surveillance constante lors de toute l’opération.

3 > IZOMERISATION : Cette étape fait muter tous les cannabinoides et différents cannabinols en delta-9-THC, beaucoup plus actif. Ceci implique l’utilisation d’acide sulfurique, donc portez de longs gants en caoutchouc, n’inhalez pas les vapeurs, et évitez tout contact avec une autre surface que le verre, sinon ca fait des trous.... Dissolvez l’extrait dans 10 fois son poids d’éther. Lentement, ajoutez une goutte d’acide sulfurique pour chaque gramme d’extrait dissous, remuez avec une pipette de verre. Répetez l’étape de cuisson comme dans l’extraction initiale, faites cuire deux heures, remuez de temps en temps.Laissez refroidir a température ambiante une fois la cuisson terminée. Mélangez la solution avec un volume égal d’eau froide et avec la moitié de son volume d’éther froid et répétez l’étape de séparation.S éparez la couche supérieure et réservez la pour l’étape suivante.

Il faut basifié la solution pour s’assurer qu’il n’y a plus d’acide, cela peut-être fait en rajoutant un peu de bicarbonate de soude, si la solution pétille alors continuer à ajouter du bicarbonate de soude jusqu’à l’arret complet des pétillements. Recommencez une deuxième fois cette opération (séparation entière). Placez le résultat des séparations, c’est a dire l’extrait d’ether contenant le THC en suspension, dans le bain marie précedemment utilisé. Et maintenez une température stricte de 40 degrés maximum afin de faire s’évaporer l’éther de pétrole.

Voila ! Vous avez maintenant de l’huile quasi essentielle de cannabis, qui peut contenir entre 90 et 99 % de delta9-THC.....

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Izomerisation : Le processus chimique par lequel un composé en est transformé en de ses formes isomériques, c.-à-d. une molécule dont la composition élémentaire est identique, mais avec une structure ou une configuration atomique différente. Deux composés seraient identiques s'ils ont la même formule brute mais ont différentes formules développées.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

sinon tu a Les procédés supercritiques:

 

-- Extraction solide/fluide --

C'est historiquement la première utilisation du CO2 supercritique à l'échelle industrielle ; ces procédés sont donc également les procédés les plus aboutis.

L'extraction des solides est réalisée en batch ou en semi-continu, avec une boucle continue de CO2.

Le CO2 liquide pompé depuis son réservoir est chauffé et pressurisé pour atteindre les conditions supercritiques. Il est alors intoduit dans l'autoclave d'extraction rempli de particules solides, où il se charge en extrait. Lors de la détente, l'extrait est précipité dans les séparateurs, et le CO2 gazeux est condensé pour être recyclé.

 

-- Fractionnement des liquides --

Le fractionnement des liquides est réalisé dans des colonnes garnies à contre-courant. Dans ce cas, la boucle de CO2 est identique à celle utilisée pour le traitement des solides, mais le procédé fonctionne en continu. Ces procédés sont économiquement très performants.

-- Génération de particules : micronisation, encapsulation...--

De nombreux procédés dédiés à la génération de particules ont été récemment développés. Ils sont basés sur les pouvoirs solvant/anti-solvant du CO2, tels que le RESS (Rapid Expansion of Supercritical Solutions) qui permet d'obtenir de très fines particules de composés solubles dans le fluide supercritique, ou le SAS (Supercritical Anti-Solvant) qui permet la précipitation du soluté présent dans un solvant liquide.

-- Imprégnation --

Les procédés d'imprégnation supercritiques illustrent la haute diffusivité du CO2 dans les matrices poreuses.

Le fluide supercritique est un vecteur pour le produit à imprégner ; lors de la dépressurisation, le soluté s'imprègne spontanément sur la matrice.

-- Réactions chimiques et biochimiques --

Le CO2 supercritique est un milieu réactionnel particulièrement intéressant avec un bon pouvoir solvant, des vitesses de réaction élevées et une séparation des produits facilitée.

 

 

Si vous souhaitez plus d'information sur les procédés supercritiques, n'hésitez pas à nous contacter...

 

Les procédés supercritiques

L'objet de cette page n'est pas de faire une revue exhaustive de tous les procédés actuellement utilisés, mais plutôt de présenter brièvement les plus largement répandus.

-- Extraction solide/fluide --

C'est historiquement la première utilisation du CO2 supercritique à l'échelle industrielle ; ces procédés sont donc également les procédés les plus aboutis.

L'extraction des solides est réalisée en batch ou en semi-continu, avec une boucle continue de CO2.

Le CO2 liquide pompé depuis son réservoir est chauffé et pressurisé pour atteindre les conditions supercritiques. Il est alors intoduit dans l'autoclave d'extraction rempli de particules solides, où il se charge en extrait. Lors de la détente, l'extrait est précipité dans les séparateurs, et le CO2 gazeux est condensé pour être recyclé.

 

-- Fractionnement des liquides --

Le fractionnement des liquides est réalisé dans des colonnes garnies à contre-courant. Dans ce cas, la boucle de CO2 est identique à celle utilisée pour le traitement des solides, mais le procédé fonctionne en continu. Ces procédés sont économiquement très performants.

-- Génération de particules : micronisation, encapsulation...--

De nombreux procédés dédiés à la génération de particules ont été récemment développés. Ils sont basés sur les pouvoirs solvant/anti-solvant du CO2, tels que le RESS (Rapid Expansion of Supercritical Solutions) qui permet d'obtenir de très fines particules de composés solubles dans le fluide supercritique, ou le SAS (Supercritical Anti-Solvant) qui permet la précipitation du soluté présent dans un solvant liquide.

-- Imprégnation --

Les procédés d'imprégnation supercritiques illustrent la haute diffusivité du CO2 dans les matrices poreuses.

Le fluide supercritique est un vecteur pour le produit à imprégner ; lors de la dépressurisation, le soluté s'imprègne spontanément sur la matrice.

-- Réactions chimiques et biochimiques --

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

bonsoir ...thechamane

perso, moi je laisse de l'alcool à 90/100 je laisse 2 jours ,je filtre ,liquide au bain marie, fenetre ouverte, réduction, refroidissement, et voila!.

là très gentillement,tu nous envoie deux texte qui pour mon niveau de consomateur, préparateur dans le fond de ma cuisine... peux etre que absolue y comprendra quelques chose (surement d'ailleur!) toi tu as compris quoi dans ses deux pavés?.@^+

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

[Mode HS ON]

...ne sachant toujours pas faire un lien' date='arggggg damned!, qu'est ce que je suis handicapé...quelqu'un sait ou prendre des cours?..[/quote']

Oui mon chouchou, viens prendre des cours avec tata Deannaweed ;-)

 

faire un lien comme celui-ci :

A ga dou dou dou

 

Tu saisis :

 

[ url=https://www.koreus.com/animation/agadou.html]A ga dou dou dou[/url ]

et le tout sans aucun espace, la j'en ai mis pour pas que ça fasse le lien ;-)

-> En rouge : ton lien

-> En bleu : le nom que tu choisi en fonction de ton lien [Mode HS OFF]

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

je suis pas sur que de tel niveau de precision soit bien utile, la plus part des gents present ici n'on pas de conaissance sufisament haboutit pour adapter ca a leur fabrication, de plus les methodes decrites necessitent un vrai materiel de pro, et sans ce materiel presente de tres gros risques

en ros pour ceux qui n'ont pas de conaissance et qui veulent faire de l'huile sans risque, la meilleur solution est de reprendre le meme proceder que le beure de marak en remplacant le beure par de l'huile

ca sera plus diluer mais sans aucun risque

abso

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

TATA! c'est toi ! , enfin je t'ai retrouvé...c'est maman qui va etre contente..

 

x.ième essai!

 

Ouiiiiiiiiiiii!!!!!!! 6e9c1.giff6a5d.gif8ae75d.gif on dit que la femme est l'avenir de l'homme en tous cas pour moi tu viens de me permettre enfin de comprendre ,et surtout de le faire, et ce depuis décembre 2006.......................et c'est pas faute d'avoir essayer!9bfdb0.gifet après réflexion...c'est dans les espaces que j'ai du merdouiller.....merci et à bientot...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
  • 5 ans après ...

bon ben j'ai fait un tour du topic et entre les chimistes pros incompréhensibles et les gros gros gros malades qui font de l'huile avec de l'alcool à bruler, de l'acetone ou bien meme de l'essence (alors pour ceux la, une scéance de tu m'étonnes, alors on s'accroche: Putain mon huile elle déchire...! Allez tous ensemble: TU M'ETONNEs...). Sincèrement à part la technique au gaz qui est efficace, mais peut productive et qui laisse quand meme des trace de produits qui non riejn à faire dans votre huile. Et la seule technique valable l'extraction à l'alcool. Mais trouver de l'alcool à 90° en ce moment c une vrai galère.Il reste encord une solution: essayez de vous rapprocher de quelqu'un qui travaille dans l'aromathérapie ou tout ces nouveaux métiers qui mettent en valeurs les huiles essentielles, ces personnes là ont la possibilité de toucher un produit uniqiue l'ABSOLUT. un alcool pur à 100°. A surtout ne pas boire, sauf en le coupant au minimum du tiers. sinon pour l'extraction c nickel. Il reste une dernière solution: dans les magasins de gde distribution alimentaire, lors dde semaines du type semaine créole, alors là furetez du coté des rhums, l'année dernière j'en ai triouvé un qui faisait 72°, je ne savais meme pas qu'on avait le droit de vendre un alcool aussi titré dans l'alimentation...donc un litre dans ma gueule et un litre pour ma beuh. ça a super bien marché malgrès un léger arriere gout des antilles, mais c'était vraiment ultra léger et en rien dérangeant. Ma conclusion: Ne faites rien sans etre sur de votre produit d'extraction, si en effet les molécules bénites se retrouveront bien dans vos neurones faites en sortes qu'il n'y ai que celles la....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites