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https://www.abcbourse.com/marches/cannabis-cbd-que-prevoit-la-loi-en-suisse-_546057
Cannabis CBD, que prévoit la loi en Suisse ?
En principe, la consommation de chanvre en Suisse est interdite. Néanmoins, le nombre de produits à base de chanvre vus dans les magasins et les marchés est en augmentation. Alors que stipule la loi en Suisse et pouvez-vous légalement acheter des produits CBD et autres huiles de CBD en ligne?
Qu’est-ce que le cannabis CBD ?
Le chanvre est un genre de plante appartenant à la famille des Cannabaceae. Son utilisation comme plante médicinale ou ornementale est historiquement parmi les plus anciennes au monde.
Le chanvre contient divers principes actifs, parmi lesquels les plus connus sont le tétrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD).
Le THC a un effet psychoactif, il est donc considéré comme une substance narcotique et en tant que tel, interdit. Les effets attribués au THC sont généralement de nature calmante, en réalité il est également utilisé dans le traitement de la douleur ou pour le traitement des spasmes musculaires.
Les espèces de chanvre qui ne contiennent que de faibles doses de THC, c’est-à-dire moins de 1 %, ne sont pas considérées comme des substances stupéfiantes en Suisse.
Quand la consommation de cannabis CBD est-elle interdite ?
Le chanvre est maintenant considéré pour ses effets étonnants, surtout s’il est vendu sous forme d’herbe ou de haschich. La consommation et la possession de chanvre sous ces formes sont interdites en Suisse.
L’avis de l’Office fédéral de la santé publique
La consommation de chanvre par des adultes est punie d’une amende de 100 francs. La possession de moins de 10 grammes n’est pas punissable. Les mineurs, quant à eux, sont jugés sur la base du droit pénal des mineurs.
Loi fédérale sur les stupéfiants et les substances psychotropes. Article 19
Par quantité modeste, nous entendons 10 grammes de chanvre qui produit des effets psychoactifs.
Quand la consommation de chanvre / cannabis CBD est-elle légale ?
L’effet psychoactif du chanvre est dû au tétrahydrocannabinol (THC). Cependant, si les produits à base de chanvre contiennent moins de 1 % de THC, la loi autorise leur vente et leur achat.
Règles pour le commerce de CBD
La production et la vente de chanvre sont réglementées par de nombreuses lois et réglementations. L’Office fédéral de la santé publique, l’Office fédéral de l’agriculture, l’Office fédéral de la sécurité alimentaire et vétérinaire en collaboration avec Swissmedic ont élaboré une fiche d’information à ce sujet.
L’usage thérapeutique du cannabis CBD
Le chanvre a un effet analgésique et anticonvulsivant. En Suisse, l’utilisation de remèdes à base de chanvre doit être préalablement approuvée comme dans le cas de ce médicament déjà approuvé.
L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) peut accorder des dérogations pour l’usage médical de médicaments interdits. Seuls les médecins traitants peuvent introduire la demande auprès des instances compétentes, en accord avec leurs patients.
Pouvez-vous planter du chanvre sur votre balcon en Suisse ?
La culture privée du chanvre est légitime tant que vous choisissez un type de plante qui n’a pas d’effet psychoactif et dont la valeur en THC n’excède pas 1 %.
Les produits à base de CBD peuvent-ils être vendus sur le marché local ?
Le chanvre légal peut être vendu dès lors qu’il respecte la réglementation en vigueur.
Les produits légaux à base de CBD achetés à l’étranger peuvent-ils être importés en Suisse ?
Les produits légaux à base de chanvre (c’est-à-dire contenant moins de 1 % de THC) peuvent être importés en Suisse. Les conditions d’importation varient selon la catégorie de produits (fleurs, graines, extraits, huiles, aliments, cosmétiques, etc.). De plus, vous devez spécifier s’il s’agit d’une importation privée ou commerciale.
Des informations plus détaillées sur l’importation peuvent être obtenues auprès de l’Administration fédérale des douanes.
Puis-je importer en Suisse des médicaments à base de chanvre, légaux, achetés à l’étranger ?
Non, s’il s’agit de chanvre contenant du THC. La préparation Sativex enregistrée en Suisse est une exception.
Les voyageurs malades peuvent emporter avec eux des médicaments contenant des stupéfiants, nécessaires à un mois de traitement, à condition qu’ils ne contiennent pas de substances interdites. Le chanvre, ainsi que les préparations à base de chanvre, font partie des substances interdites. Par conséquent, les voyageurs malades ne peuvent pas les emporter avec eux.
S’il s’agit de chanvre contenant du CBD : Il n’existe actuellement aucun médicament approuvé contenant du CBD en qualité d’ingrédient actif. S’il y en a à l’avenir, les mêmes règles s’appliquent à l’importation que pour les autres médicaments qui ne sont pas soumis à la Loi sur les stupéfiants.
Est-il possible de voyager à l’étranger avec des produits légaux à base de CBD ?
Les règles régissant l’introduction du chanvre légal varient d’un pays à l’autre. Veuillez-vous renseigner directement auprès des autorités des pays concernés.
Puis-je conduire après avoir consommé du chanvre légal ?
Dans le trafic routier, une tolérance zéro envers les drogues est appliquée ; le chanvre légal contient des traces de THC pour lesquelles la consommation de ces produits peut conduire à dépasser le seuil sanguin limite de THC établi pour la circulation routière. Par conséquent, la personne qui a utilisé du chanvre légal est considérée comme incapable de conduire.
Par conséquent, il est déconseillé de conduire après avoir fumé des cigarettes ou consommé d’autres produits à base de chanvre.
Acheter du cannabis CDB en ligne
Il est donc 100 % légal de commander les meilleurs produits CBD en ligne, et de consommer vos huiles de CBD en Suisse, tant que le produit CBD entre dans les limites et règles légales.
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yop
« La légalisation du cannabis n’est plus un tabou en France », estime la députée Caroline Janvier
STUPEFIANTS Une grande majorité des 250.000 personnes qui ont participé à une consultation citoyenne sur le cannabis « récréatif » plébiscitent la légalisation de cette drogue dont l’usage est interdit en France
- La mission d’information sur la réglementation et l’impact des différents usages du cannabis a été créée en janvier 2020. Depuis novembre 2020, les 33 députés qui la composent se sont intéressés au cannabis dit « récréatif » et ont auditionné environ 80 experts.
- Une consultation citoyenne sur l’usage du cannabis récréatif a également été lancée par les députés en début d’année 2021. 253.194 citoyens ont pris le temps de répondre en ligne aux questions des députés.
- Une très large majorité des votants plébiscite la légalisation de cette drogue dont l’usage est interdit en France.
« C’est un résultat qui montre que le sujet est important et qu’il suscite l’intérêt des Français. » Rapporteure thématique de la mission parlementaire sur le cannabis, la députée LREM du Loiret Caroline Janvier a été « surprise » du nombre de réponses à la consultation citoyenne sur l’utilisation récréative de ce produit. Entre le 13 janvier et le 28 février 2021, 253.194 personnes ont répondu à un questionnaire en ligne sur le site de l’Assemblée nationale. Et leur constat est sans appel : elles ne sont que 4,37 % à considérer que la loi permet aujourd’hui de limiter l’usage du cannabis et près de 80 % d’entre elles se prononcent en faveur d’une légalisation.
Qui sont les Français qui ont pris le temps de répondre aux neuf pages de questions de la mission d’information ? Essentiellement de jeunes âgés de 18 à 29 ans (46,96 %), ou de personnes âgées de plus de 40 ans (25,37 %). Certains consomment régulièrement ou tous les jours du cannabis (30,86 %), d’autres jamais (30,80 %).
Autoriser la culture du cannabis
Dans le détail, plus de neuf répondants sur dix estiment que la répression de la consommation de cannabis ne permet ni d’en limiter l’ampleur (92,07 %), ni de lutter efficacement contre les trafics (92,09 %). Une grande majorité des Français qui ont participé à cette consultation (80,80 %) proposent de légaliser le cannabis, quand 13,8 % d’entre eux se déclarent favorables à une dépénalisation. A l’inverse, une infime minorité des votants ont indiqué être pour un renforcement des sanctions (4,6 %) ou pour le maintien du cadre légal en vigueur (0,82 %).
Beaucoup imaginent une commercialisation du cannabis dans des boutiques spécialisées (62,4 %). D’autres suggèrent que sa vente soit régulée sur le modèle de l’alcool (24,2 %). Pour 8,6 % des votants, le cannabis pourrait être proposé dans les bureaux de tabac, quand 3,8 % d’entre eux estiment qu’il doit être en vente libre. Surtout, ils sont une immense majorité à être favorables à ce que l’Etat permette aux particuliers de cultiver eux-mêmes des plants dans des limites fixées par la loi.
« Légalisation ne veut pas dire banalisation »
Ces contributions vont alimenter le rapport de la mission d’information sur le volet « récréatif » du cannabis, qui devrait être présenté d’ici un mois. « Par ailleurs, les auditions de spécialistes que nous avons menées ont montré qu’il était possible de faire différemment », rappelle la députée du Loiret. « On peut notamment s’inspirer des expériences étrangères. Nous avons beaucoup de matière et d’outils pour formuler des propositions très concrètes, et montrer qu’en réalité, légalisation ne veut pas dire banalisation. Au contraire, avec un autre modèle, comme une légalisation régulée par l’Etat, on pourra mieux répondre aux problématiques sécuritaires et sanitaires.
Pour Caroline Janvier, « la légalisation du cannabis n’est plus un tabou en France ». Reste à savoir si le président de la République sera sensible aux arguments développés par les députés dans leur rapport. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a rappelé lors d’un déplacement à Marseille son opposition morale à la légalisation du cannabis. Pour lutter contre les trafics dans les cités phocéennes, il a annoncé de nouveaux renforts policiers. Une idée qu’avaient déjà eue ses prédécesseurs et qui n’a pourtant jamais montré son efficacité, les réseaux démantelés par les enquêteurs étant remplacés dans l’heure par d’autres, comme l’a montré un récent article de La Provence concernant les Bouches-du-Rhône.
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yop
tout-petit-mini-rappel: la politique c'est ok TANT que ça reste centré sur le canna, on va pas commencer à s'echauffer en sortant de ce cadre svp-d'avncemercibeaucoupàvoustous
a+
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yop
la tribune au complet
CitationTRIBUNE. L'appel de trois maires LR pour "légaliser la consommation de cannabis"
- Par Gil Avérous, Boris Ravignon et Arnaud Robinet
Les maires Les Républicains Gil Avérous (Châteauroux), Boris Ravignon (Charleville-Mézières) et Arnaud Robinet (Reims) réclament dans cette tribune la légalisation de la consommation de cannabis, qu'il estiment être "le meilleur moyen d’en anéantir le trafic et de ruiner les trafiquants".
Trois maires LR jugent dans cette tribune que la légalisation de la consommation du cannabis est "indispensable". (Sipa)Voici leur tribune : "Le trafic de cannabis, cette "merde" comme l’a qualifiée le ministre de l’Intérieur, nous, les élus de villes petites, grandes ou moyennes, nous y sommes confrontés tous les jours! En France, sa consommation est interdite. Mais, nous osons le dire, elle est aujourd’hui devenue massive. On estime que 18 millions de Français ont déjà fumé du cannabis et 1,5 millions de nos concitoyens sont des utilisateurs réguliers. Il en résulte que le trafic illégal génère des profits faramineux pour tous les malfaiteurs et organisations criminelles qui s’y livrent, des cartels d’Amérique du Sud aux petits revendeurs de nos quartiers.
Cet argent sale, estimé à au moins 1,2 milliard d’euros en France, ronge nos villes. C’est pour lui que les revendeurs et guetteurs colonisent les immeubles en terrorisant leurs habitants. Cet argent corrompt largement, parfois dès 11 ou 12 ans. Comment tenir à ces jeunes le discours de la réussite quand les dealers s’offrent des berlines allemandes rutilantes tous les mois?
La prohibition "à la française" est un échec
Depuis des décennies, les gouvernements ont pour seule politique la prohibition du cannabis, tout en promettant de mettre les moyens pour abattre le trafic. Pourtant son business n’a jamais été aussi florissant. Alors, allons-nous continuer longtemps à nier l’évidence? La prohibition du cannabis "à la française" est un échec. En réalité, le laxisme, c’est maintenant que nous l’avons. Avec la législation la plus répressive d’Europe, les Français sont pourtant les plus gros consommateurs.
Pour nous, aucune faiblesse : le trafic de cannabis doit être abattu. C’est une question de sécurité et de salubrité publique. Mais nous proposons de nous y prendre autrement :
- Rendre légales la consommation et la détention de petites quantités de cannabis. C’est possible pour le cannabis dont l’usage récréatif existe dans certains États (Pays-Bas, Uruguay, Californie, Etat de Washington, Colorado…) depuis parfois plusieurs décennies ;
- Inscrire la vente de cannabis dans un cadre réglementé permettant de contrôler la qualité des clients (interdiction aux mineurs) et des produits ;
- Développer une politique complète de filière, ayant recours à un cannabis obligatoirement cultivé en France, traçable du producteur au consommateur en passant par le réseau de distribution contrôlé et fiscalisé par l’Etat.
Le meilleur moyen d’anéantir le trafic
Le cannabis n’est évidemment pas un produit comme les autres. Il est particulièrement dangereux pour les mineurs chez qui sa consommation régulière peut engendrer de graves problèmes de santé. Pourtant, derrière le paravent d’une prohibition fictive, la France laisse aujourd’hui les parents démunis face à ce tabou de la consommation des drogues par les jeunes.
La légalisation du cannabis n’apparaît alors aucunement comme une lubie, un renoncement ou une facilité, mais au contraire comme une solution réclamée par une partie du corps médical ou par les spécialistes en matière de lutte contre les addictions, à l’image de l'Association nationale de prévention en alcoologie et addictologie (ANPAA).
Légaliser le cannabis est le meilleur moyen d’en anéantir le trafic et de ruiner les trafiquants. Aussi, les moyens humains et matériels que les pouvoirs publics n’auront plus à consacrer à ce combat sans fin, nous proposons de les redéployer intégralement pour assurer à la fois une politique de prévention d’ampleur et pour reconquérir la sécurité et la tranquillité publiques que réclament nos concitoyens.
Nous en sommes convaincus, légaliser la consommation du cannabis est aujourd’hui indispensable pour reprendre la main en matière de sécurité dans tous les quartiers de notre pays. La fermeté passe par un effort de lucidité."
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https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/marne/reims/violence-croix-rouge-arnaud-robinet-maire-reims-favorable-reflexion-legalisation-du-cannabis-1864620.html
Violence à Croix-Rouge : Arnaud Robinet, le maire de Reims favorable "à une réflexion" sur la légalisation du cannabis
Après les incidents du week-end du 15 et 16 août dans les quartiers Wilson et Croix-Rouge, Arnaud Robinet, le maire (LR) de Reims appelle le gouvernement à rouvrir le débat sur la légalisation du cannabis. Il réfléchit aussi à une série de mesures répressives au niveau local.
•"Je souhaite que le gouvernement ouvre une réflexion sérieuse au sujet de la légalisation du cannabis, en étudiant les conséquences et l'impact de cette mesure qui attaquerait les trafiquants au porte monnaie". Ce n'est pas un représentant d'Europe Ecologie les Verts qui s'exprime ainsi, mais bien Arnaud Robinet, maire de Reims et membre des Républicains.
Cet appel a ét lancé ce jeudi lors de la conférence de presse de rentrée de l'édile.
Certes, l'élu prend soin de rappeler qu'il n'a pas "d'idées préconçues ni de position fixe", mais il ne cache pas les avantages qu'il verrait à l'application d'une telle mesure. Un encadrement par l'Etat de la vente de cannabis offrirait des rentrées d'argent qui selon lui "assureraient des moyens en plus aux forces de l'ordre", et permettrait en outre "de concentrer l'activité de la police nationale sur les gros trafiquants de drogues dures".
Pour expliquer sa position, le maire de Reims s'appuie sur les violences qui ont émaillé le week-end des 15 et 16 aôut dans les quartiers Wilson et Croix Rouge à Reims. Pas moins de 13 voitures incendiées dans le quartier des Hauts de Murigny dimanche soir, où des pompiers et policiers ont été accueillis à coups de mortiers de feu d'artifice une fois arrivés sur les lieux. En outre, 7 policiers ont été blessés durant le week-end à la suite d'échauffourées. Une série de violences provoquée semble-t-il par l'arrestation samedi d'un trafiquant présumé de stupéfiants dans le quartier Wilson.
Pour le maire de Reims, le constat est clair : "les trafics de stupéfiants sont à l'origine de ces réglements de compte, et la revente du cannabis y occupe une large place".
Légaliser le cannabis ? Un serpent de mer, qui promet de longs débats dans l'opinion, voire à l'Assemblée si le dossier devait être ouvert. Traditionnellement la droite y est hostile, et le maire de Reims marque ici sa différence à l'égard de sa famille politique.
Couvre-feu et suspension des allocations familiales ?
Pour endiguer la délinquance dans les quartiers rémois, le maire de la ville a aussi fait une série de propositions, cette fois plus cohérentes avec sa fonction car dépendant directement de ses compétences.
D'abord, "un couvre-feu pour les mineurs de moins de 16 ans" fait partie des options envisagées. Reprenant une proposition de sa dernière campagne électorale, le maire de Reims appelle aussi à la création "d'équipes pour sécuriser les hall d'immeubles". Des équipes dont la création repose sur les bailleurs sociaux, que le maire n'a pas hésité à tancer : "nous voulons les inciter et les obliger à mettre en place ces équipes". Des bailleurs, décidémment houspillés et appelés en outre à "expulser les familles qui pourrissent la vie d'un immeuble". Tout un programme.
Autre point, tout aussi sensible et délicat à mettre en place : la suspension des allocations familiales "quand il y aura manquement de surveillance et d'éducation". Ce point là est du ressort du parlement, et Arnaud Robinet le sait. Il dit donc étudier, au niveau local, la suspension des aides sociales de la ville de Reims (versées par le Centre Communal d'Action Sociale, ndlr) aux familles "qui ne rempliraient pas leur rôle vis à vis de leur enfant".
Côté forces de l'ordre, le maire de Reims reprend un point défendu durant sa campagne, à savoir des patrouilles mixtes entre police municipale et nationale. A la rentrée devrait être annoncée en outre "une réorganisation de la police municipale permettant une présence quotidienne" dans les quartiers sensibles.
Concernant les effectifs de la police nationale, le maire de Reims souhaite sans surprise des effectifs supplémentaires. Son espoir : que les quartiers Croix Rouge et Wilson, déjà classés "Zone de sécurité prioritaire"entrent dans le dispositif "Quartier de reconquête républicaine" lancé en 2018. Une quinzaine de quartiers sont déjà concernés, d'autres devraient l'être et Reims est candidate. Si la demande de la Ville est acceptée par le gouvernement, le maire en attend "15 à 20 agents supplémentaires". -
Des traces de cannabis détectées dans un sanctuaire de 2800 ans en Israël
Par Bernadette Arnaud le 03.06.2020 à 16h12
L’analyse chimique de résidus conservés dans une ancienne forteresse de l’Age du Fer à Tel Arad, dans le désert du Néguev (Israël), a révélé la présence inattendue de cannabis ! La première preuve d’un usage de ce psychotrope au Proche-Orient ancien.
Le "saint des saints" du sanctuaire de l'ancienne forteresse de l'Age du Fer de Tel Arad (Israel), et ses deux autels.
CRÉDITS: ISRAEL ANTIQUITIES AUTHORITY COLLECTION / THE ISRAEL MUSEUM, JERUSALEM, BY LAURA LACHMANSans précédent, la découverte pourrait même être qualifiée… d'hallucinante. Des résidus de cannabis, d'un côté, et d'encens, de l'autre, ont été découverts sur deux autels disposés à l'entrée d'un ancien sanctuaire de l'Age du Fer utilisé entre 760 et 715 av. J.-C, dans la forteresse de Tel Arad (Israël). L'imposant bastion militaire, situé à l'ouest de la mer Morte dans la vallée de Beer-Sheba, servait alors à garder la frontière sud du Royaume de Juda, qui correspond aujourd'hui au centre d'Israël et à une partie de la Cisjordanie. Fouillé dans les années 1960, le précieux sanctuaire a ensuite été démonté et transporté au musée de Jérusalem, où il est désormais exposé.
Sur un petit autel, des résidus de cannabinoïdes
L’analyse de la surface des deux autels taillés dans des calcaires vient de faire l’objet d’une parution détaillée dans la revue en ligne "Tel Aviv", publiée par l’Institut d’archéologie de l’Université de Tel Aviv. Deux petites dépressions sur chacun des piliers ont en effet conservé pendant près de 2800 ans des restes de matières organiques noirâtres solidifiées que les chercheurs sont parvenus à identifier grâce à une analyse par chromatographie en phase gazeuse et liquide, couplée à des spectromètres de masse. Et les résultats ont été surprenants !
Partie supérieure d'un des autels du sanctuaire de Tel Arad (Israel), avec des résidus de matières organiques au centre. ©Israel Antiquities Authority Collection / The Israel Museum, Jerusalem, by Laura Lachman
Le plus grand des deux autels contenait de l’encens mélangé à des graisses animales qui, en chauffant, libéraient le parfum de la résine ; quant au petit autel, il recélait des résidus de cannabinoïdes : teterahydrocannabinol (THC), cannabidiol (CBD) et cannabinol (CBN). Le cannabis avait été mélangé à des déjections animales utilisées comme combustibles, pour libérer les composés psychoactifs via la chaleur. "Si nous savions que l’encens avait joué un rôle particulier dans les rituels religieux pratiqués dans le royaume de Juda, au 1er millénaire avant notre ère, il n’en avait jamais été découvert jusque-là sur un site du Levant. Quant au cannabis, c’est la première fois que nous en retrouvons des traces !, expliquent Eyrane Arié, conservateur en chef du département d’Archéologie de l’Age du Fer et des périodes perses au musée d’Israël à Jérusalem, et Dvory Namdar, chercheur à l’Institut Volcani de recherche agricole, les deux principaux co-signataires de l’étude joints par Sciences et Avenir. Ces découvertes peuvent suggérer que des inflorescences de cannabis ont été brûlées pour être inhalées dans le cadre d’une cérémonie rituelle. Dans l’échantillon examiné, la quantité de composés psychoactifs était suffisante pour avoir induit un état de conscience altérée."
Vue aérienne de la forteresse de Tel Arad, dans le désert du Neguev (Israël). ©Wikimedia commons
"Des plants étaient cultivés pratiquement à la même époque dans ce qui est aujourd’hui la Chine"
L’utilisation supposée de substances hallucinogènes dans le cadre de cérémonies cultuelles, pour favoriser une sorte d’extase, jette un éclairage nouveau sur les pratiques religieuses du 8e siècle avant notre ère dans le royaume de Juda. "Il n’est en effet pas exclu que du cannabis ait pu être aussi utilisé dans d'autres sanctuaires et temples du royaume de Juda, y compris le grand Temple de Jérusalem, ajoute Eyrane Arié. Des plants étaient cultivés pratiquement à la même époque dans ce qui est aujourd’hui la Chine. Des graines et des feuilles de Cannabis Sativa L. ont été récemment recueillies dans des tombes du désert de Gobi, à Yanghai, près de Turpan, ainsi qu’à Jirzankal, à l’est du Pamir." Au fil des siècles, les produits de cette plante originaire des contreforts de l’Himalaya et du plateau tibétain, ont pu être transportés sous forme de résine de haschich en suivant les routes commerciales de l’Asie centrale et orientale, vers le Proche-Orient.
Quant à l’encens - un encens aromatique fabriqué à partir de résine de Boswellia - son utilisation est bien évoquée dans la Bible, tout comme celle de la myrrhe, une autre résine odoriférante. Mais jamais il n’avait encore été retrouvé sur un site archéologique du Levant. "A l’Age du fer, ces produits ont sans doute atteint le Moyen-Orient, via des échanges commerciaux avec le sud de la péninsule arabique (Yémen actuel et sud de l’Arabie saoudite) ce qui révèle des importations à grands frais", poursuit l’archéologue. Dans la Bible, la valeur de l’encens, décrit comme un trésor royal, est en effet souvent comparée à celle de l’or.
D’autres résidus amalgamés ont été repérés sur deux autres autels découverts dans l’ancien royaume de Moab (aujourd’hui en Jordanie). Leur analyse prochaine pourra peut-être donner de nouvelles informations sur l’utilisation de ces substances psychotropes au Proche-Orient ancien, dont Tel Arad fournit aujourd’hui les premières preuves d’utilisation hallucinogènes.
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yop
Cannabis thérapeutique : où en est la France ?
Elle devait débuter en septembre mais est finalement reportée « au plus tard en janvier 2021 », précise l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Retardée par la crise du coronavirus, cette expérimentation du cannabis thérapeutique pourrait aboutir à la généralisation de cet usage sur l'ensemble du territoire français.
Elle doit concerner 3.000 patients souffrant de maladies graves, dont certaines formes d'épilepsies, de douleurs neuropathiques ou de sclérose en plaques par exemple. Ils seront suivis pendant six mois minimum. Pour éviter les effets nocifs de la voie fumée, ces patients testeront le cannabis thérapeutique sous forme d'huile (voie orale) ou de fleurs séchées (inhalation). Cette expérimentation ne vise pas à statuer sur l'efficacité du cannabis médical, clarifie l'ANSM, puisqu'il peut « être efficace dans certains symptômes de certaines pathologies ».
Ici, l'objectif est « d'évaluer la faisabilité du circuit de mise à disposition » pour les patients, c'est-à-dire la prescription, la délivrance du traitement, l'approvisionnement, et le suivi. La directrice générale adjointe de l'ANSM, Christelle Ratignier-Carbonneil, a affirmé qu'ils bénéficieront du cannabis gratuitement. Après prescription par un médecin spécialiste. L'expérimentation doit être menée dans plusieurs centres hospitaliers français dont la liste n'est pas encore connue.
Le cannabis est autorisé pour un usage thérapeutique dans plusieurs pays du monde. Pays-Bas, Canada, Israël, Chili, Colombie, Allemagne, Portugal… Ils sont environ une trentaine à avoir sauté le pas. © Larygin Andrii, Adobe Stock
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yop
apparement l"etude est pre publiée
Une dizaine de variétés de cannabis réduiraient la capacité du virus du Covid-19 à pénétrer dans l'organisme, selon une pré-étude de scientifiques canadiens.
Et si le cannabis avait des vertus thérapeutiques contre le Covid-19 ? Des scientifiques canadiens ont identifié 13 variétés de cannabis qui pourraient prévenir l'infection du nouveau coronavirus, indiquent-ils dans une étude pré-publiée.
Une modification de l'enzyme
Dans leurs recherches, les scientifiques canadiens indiquent travailler sur 800 "nouvelles lignées et extraits de plants de cannabis" dans le cadre d'un protocole du ministère de la Santé canadien. Forts de leur expérience sur les potentiels effets de la plante, ils ont émis l'hypothèse selon laquelle des extraits de cannabis à forte teneur en cannabidiol - le "CBD", la substance non psychoactive de la plante - pourraient agir sur "ACE2", une protéine clé dans la physiologie du Covid-19.
Car pour infecter son hôte, le coronavirus SARS-CoV-2 s'attache au récepteur ACE2, présent à la surface des cellules, notamment pulmonaire. Le récepteur ACE2 est également impliqué dans la régulation de certaines fonctions cardiovasculaires, pulmonaires et rénales - attaquées par le Covid-19 - et est situé au coeur d'un mécanisme de régulation de la pression artérielle. Dans leur étude, les scientifiques expliquent avoir découvert qu'au moins 13 variétés de cannabis à forte teneur en CBD pourraient moduler l'expression du gène ACE2 et donc les niveaux de protéines ACE2. Selon eux, ces variétés pourraient donc aider à protéger contre l'infection du coronavirus, ou du moins la ralentir.
Des résultats préliminaires
Il faut néanmoins prendre cette pré-publication avec précaution. Outre le fait que ces travaux n'ont pas été relus ni vérifiés par des pairs - des chercheurs indépendants - les auteurs expliquent avoir travaillé à partir de modèles numériques. Ils ont reconstitué des tissus buccaux, respiratoires et intestinaux grâce à des modèles 3D avant de simuler l'effet de plusieurs variétés de cannabis. En clair, ils n'ont pas procédé à des tests "in vivo", c'est-à-dire directement sur l'humain.
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yop
en complement:
https://www.bladi.net/maroc-legalisation-cannabis,67912.html
Légalisation du cannabis : le Maroc suivra-t-il l’exemple du Liban ?
© Copyright : DR24 avril 2020 - 10h00 - Société
Après le Canada, le Liban a également légalisé, ce jeudi 24 avril 2020, le cannabis à des fins médicales. Pourtant, le Maroc, premier producteur mondial, hésite encore à donner son feu vert.
Longtemps débattue au Parlement, la légalisation du cannabis au Maroc est reléguée aux calendes grecques. En prenant cette décision courageuse, le Maroc serait le second pays arabe à autoriser la culture du cannabis à des fins thérapeutiques et pourrait également renflouer ses caisses en cette période de crise financière et sanitaire mondiale.
En attendant l’approbation du gouvernement, certains partis politiques marocains, dont l’Istiqlal et le Parti authenticité et modernité (PAM), ont proposé des textes de loi visant à légaliser le cannabis à usage médical.
D’après un dernier rapport de l’Organisation mondiale des douanes, datant de 2013, "le Maroc reste incontestablement le pays source de référence pour la résine de cannabis". Si le revenu brut tiré de la vente de cannabis par les exploitants, a été estimé à environ 3,5 milliards de dirhams (pour l’année 2005), le royaume pourrait engranger, rien qu’en légalisant cette drogue, 916 millions de dollars de la production de cannabis à usage récréatif, et 28 millions de celle du cannabis à usage médical.
Selon Jeune Afrique, cette indécision du gouvernement se justifie par la pression qu’il reçoit des décideurs européens et américains. L’Europe et les États-Unis auraient versé des dizaines de millions de dollars au cours des dernières années pour soutenir l’éradication de la production de cannabis, en concertation avec les autorités du royaume.
Les vertus thérapeutiques de cette plante prohibée sont nombreuses, surtout le cannabis en vente libre dans la plupart des capitales européennes, ou "cannabidol" dit "CBD" – dont la teneur en THC, la molécule qui permet la "défonce", est très faible. L’espoir est permis pour que d’ici quelques années, le pays finisse par légaliser cette plante et fasse des heureux sur le plan sanitaire, tout en faisant également des économies.
a+
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yop
deja des resultats qui sortent
Cannabis et confinement : 35% des usagers quotidiens ont accru leur consommation
Seuls 7 % des consommateurs quotidiens ont arrêté cette drogue avec la crise du Covid-19, selon les premiers résultats de l’étude Cannavid, publiés ce mercredi.
Par Marc Leras, correspondant à Marseille (Bouches-du-Rhône)Le 29 avril 2020 à 20h06Si 7 % des usagers quotidiens de cannabis ont cessé toute consommation depuis le début du confinement, contraints pour la plupart par une probable rupture d'approvisionnement, 35 % d'entre eux l'ont, au contraire, augmentée! Une hausse révélée par les premiers résultats intermédiaires de l'étude en ligne nationale et anonyme Cannavid, destinée à sonder l'attitude des consommateurs réguliers durant la crise du coronavirus.
Cette étude est menée par l'association marseillaise de réduction des risques Bus 31/32 accompagnée par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Les premiers résultats publiés ce mercredi 29 avril montrent que la majorité des usagers quotidiens ont soit maintenu (29 %), soit augmenté leur consommation quotidienne. A l'inverse, 28 % l'ont diminuée, sans la stopper. Selon les spécialistes, un million de Français prennent du cannabis tous les jours, ce qui fait de la France l'un des premiers consommateurs d'Europe.
Basés sur l'analyse de plus de 4000 questionnaires complets rendus depuis le 16 avril (10 000 sont visés d'ici la fin du confinement strict prévue le 11 mai), ces résultats montrent une prédominance des hommes de moins de 40 ans parmi les répondants. Si 30 % des sondés avouent un usage exclusivement récréatif, la moitié d'entre eux utilisent le cannabis également ou exclusivement à titre thérapeutique, pour améliorer le sommeil, réduire le stress, soulager des douleurs ou lutter contre l'anxiété et la dépression.
«Je n'aurais pas pu tenir sans mes joints du soir»
« Je ne me vois pas vivre sans, même si c'est déjà compliqué en temps normal, parce que c'est un produit interdit, et que c'est pire avec le confinement. Ça m'évite des crises d'angoisse », explique Yannis, employé dans un supermarché qui a continué à travailler depuis le début de l'épidémie de Covid-19. « C'était très stressant, surtout au début, je n'aurais pas pu tenir sans mes joints du soir ». Comme lui, qui « s'approvisionne dès qu'il peut », 46 % des répondants à l'étude en ligne ont dit avoir constitué des stocks depuis le 17 mars.
« Le fait que si peu de personnes aient totalement stoppé leur consommation montre que certaines formes d'approvisionnements n'ont pas disparu pendant le confinement. Les premières réponses montrent que l'achat sur des points de vente ou auprès d'amis mais aussi les livraisons sont majoritaires, alors que les commandes sur Internet sont très peu représentées dans l'échantillon », explique Victor Martin, chargé de projet réduction des risques pour le Bus 31/32. « Cette étude va aussi nous donner une meilleure connaissance de ces usagers, ce qui nous permettra de mieux adapter nos discours et nos méthodes de prévention ».
« Ce qui est surtout frappant et inédit, c'est le nombre important de personnes qui ont répondu à l'enquête. Cela va nous permettre d'étudier l'impact de cette période de confinement sur la santé des consommateurs de cannabis, sous quelque forme que ce soit », détaille Perrine Roux, chercheuse en santé publique à l'Inserm. « L'utilisation en automédication concerne une grande part de l'échantillon. On va vérifier si l'augmentation de prise du produit par certains consommateurs est liée à cette période anxiogène qu'est l'épidémie. »
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yop
j'adore le passage sur les attaques entre voisins ....bref!
sinon j'ai un ami qui en fait pousser juste pour em...beter ses voisins (suite au meme genre d'attaque citées), effectivement ça trompe le le nez ^^
je pense il faut planter des erables du japon verts à coté de ces fleurs = combo gagnant pour rendre dingue le voisinage
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yop
perso depuis que je suis au "sans tabac"(vapo, bouffe) j'ai beaucoup beaucoup beaucouuuuuuuup moins de souci donc à mon niveau je ne cherche pas plus loin la cause de mes anciens soucis
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yop
enorme
je rejoins depardieu
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yop
si qq'un a des infos sur la region Est/Nord Est je prends
merci d avance
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yop
on va pas (trop) se plaindre , c'est un joli mode d'emploi qu ils ont publier je trouve
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yop
dommage que j habite tellement loin de lyon !
fetez bien pour ceux qui ont la chance de pouvoir y aller
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yop
triste avenir que voila ...
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yop
oui des avis interressants mais je trouve "limités"
j'entends par la qu on ne depasse pas la trentaine, pas de cadres , pas de parents....
perso je cotois (ou ai cotoyé) des personnes de tous ages , tous milieux, toutes situations....et j'ai rarement entendu les meme avis
bref chacun son histoire...on peut donc en rajouter bcp à ces exemples
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yop
esperons que cela permettra un jour effectivement de sauver des vies ...et de decriminaliser l'herbe.....au moins un peu
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....il se pourrait bien que le sujet ne soit même pas évoqué.
tout est dit...
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yop j'ai 20kg à perdre , sortons le
allez promis j arrete!!
on verra ce qui va se confirmer par la suite....
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bon ben si ça se confirme au prochain controle jvais prendre une douche
non serieusement si cela se confirme vraiment je pense (j'espere) que la politique actuelle du "controle salivaire" en hausse prendra une claque!!
(attention je ne cautionne aucunement le fait de fumer avant de prendre le voulant c plutot , c juste que pour moi ces tests ont ete developpés de controller a tout va pour reperer les consommateurs (au lieu de chercher les vendeurs de produits frelatés))
Le CBD peut-il réellement atténuer la douleur ?
dans Thérapeutique
Posté(e)
yop (oui on tiens cela ici ^^)
alors là l'article parle uniquement "douleurs", aprés si tu dors mal car tu souffres ben comme dit
en clair = pas miraculeux , ça jouerait plus sur le mental donc eveillé amha...(aprés pour le vivre oui ça fait un bien fou de pouvoir des fois se "distancier" de ses douleurs autrement qu'à coups de gros cachetons)
mais bon ils ne parlent pas de dosage non plus, ni du medoc utilisé...le plus simple reste de de te faire ta propre opinion en testant si tu en éprouves un réel besoin
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