Biais dans les tests de dépistage


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Salut la communauté,

 

 

 

Selon un article paru dans le New Scientist, le stress et la perte de poids peuvent déclencher une augmentation des métabolites du THC dans le sang et conduire ainsi à un résultat positif lors des tests de dépistage, et ce même longtemps après la dernière consommation de cannabis.

 

Une fois consommé, le THC est absorbé rapidement par les tissus adipeux avant d’être réintroduit peu à peu dans les voies sanguines.

 

De ce fait, une consommation soutenue de THC conduit à une accumulation de la substance dans les graisses. L’hypothèse émise suggère que le THC ainsi stocké pourrait être libéré longtemps après avoir été consommé, notamment lors d’une perte de poids rapide.

 

Le Dr. Jonathon Arnold de l’université de Sydney (Australie) a cité l’exemple d’un athlète qui avait soutenu ne plus avoir fumé du cannabis depuis plusieurs mois en découvrant le résultat positif du test de dépistage de cannabis dont il a été soumis après avoir perdu en peu de temps du poids (4 kilos).

 

Afin de savoir si une perte rapide des graisses pourrait être à l’origine de ce phénomène, le Dr. Arnold et ses collègues ont étudié la question chez des rats.

 

Ils ont ainsi découvert qu’une hormone de stress et la privation de nourriture avaient augmenté le taux du produit de dégradation du THC (THC-COOH) dans le sang.

 

Le docteur Arnold pense qu’une consommation prolongée de THC suffit pour augmenter considérablement le taux de THC contenu dans les graisses et expliquerait la présence particulièrement marquée de THC-COOH chez des personnes qui soutiennent ne pas avoir consommé récemment du cannabis.

 

 

Pour plus d’infos, ici

 

 

Source : New Scientist du 9 août 2009

 

 

tshuuuuus

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Iepa!

 

merci pour le lien! voila la traduction de google de l'article:

 

 

Dieting pourrait conduire à un test positif au cannabis

09 août 2009 par Emma Young

 

Le principal ingrédient psychoactif du cannabis est en tétrahydrocannabinol (THC), et une fois dans le corps, il est facilement absorbé par les cellules adipeuses. Au cours des prochains jours, il diffuse lentement dans le sang. Depuis le THC est absorbé par de la graisse plus facilement que l'on diffuse à l'extérieur, l'apport continu signifie que certains THC peut rester dans les cellules adipeuses.

 

Il a été suggéré que le THC stockées peuvent être libérés à une date ultérieure dans les situations où le corps de matière grasse est rapidement tombé en panne. Ceci est basé sur des rapports anecdotiques de pointes dans le sang des niveaux de cannabinoïdes chez les personnes qui n'ont pas pris le médicament récemment mais ont connu un stress extrême ou de la perte de poids rapide.

 

Jonathon Arnold à l'Université de Sydney, en Australie, cite l'exemple d'un athlète qui a juré qu'il n'avait pas fumé du cannabis au cours des mois mais qui a rapidement perdu 4 kg juste avant un test de dopage positif.

 

Pour vérifier si dégradation rapide de la masse grasse corporelle aurait pu être responsable, Arnold et collègue Iain McGregor première exposée THC-Laden cellules de graisse prélevés sur des rats à l'hormone de stress ACTH. Ils ont constaté que l'hormone a augmenté la vitesse de libération du THC à partir des cellules.

 

Puis ils ont injecté des rats avec 10 milligrammes par kilogramme de THC (équivalent à une personne qui fume entre cinq et 10 cigarettes de cannabis, en fonction de leur force) tous les jours pendant 10 jours. Deux jours plus tard, ils ont injecté un tiers des rats par l'ACTH, privé d'un autre tiers de la nourriture pendant 24 heures, avec le reste de témoins.

 

Des analyses de sang ultérieures ont montré que la nourriture que les rats ont été privés avait le double du taux sanguin d'acide THC, un métabolite de THC, par rapport aux contrôles. Ceux qui ont été exposés à l'ACTH ont également montré une augmentation statistiquement significative des taux d'acide de THC. L'étude a été accepté pour publication par le British Journal of Pharmacology.

 

Toutefois, la nouvelle n'a pas trouvé de preuves des niveaux d'acide accrue en THC plus de deux jours après la dernière dose de THC. Arnold pense que cela pourrait être dû à la nature à court terme de l'expérience. Il soupçonne que, si les doses ont été administrées sur une période de temps plus longue, suffisantes niveaux de THC pourrait s'accumuler dans la graisse corporelle pour expliquer un taux anormalement élevé de métabolites du THC dans les gens qui disent ne pas avoir pris le médicament récemment.

 

L'implication principale du travail pourrait être pour les affaires judiciaires dans lesquelles des athlètes ou des employés ont été testés positifs pour le cannabis, mais affirment qu'ils n'ont pas récemment consommé, dit Arnold. «Mais l'argument décisif serait pour nous de montrer ces résultats chez l'homme."

 

A+!

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yo

 

Encore un article qui montre que leurs test ne sont pas d'une grande fiabilité,car ils vont dire que l'on vient de consommer un bédo , alors que peut-être le type l'aura fumer il y a 4mois.

 

Merçi pour l'info

 

HI PI KAÏ

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par Jhon.MacLane le 11/9/2009 1:53:21

 

yo

 

Encore un article qui montre que leurs test ne sont pas d'une grande fiabilité,car ils vont dire que l'on vient de consommer un bédo , alors que peut-être le type l'aura fumer il y a 4mois.

 

Merçi pour l'info

 

HI PI KAÏ

 

Salut,

 

Justement le but des tests toxicologique c'est de détecter si une personne a consommer du cannabis ou non.

Rien a voir avec la fiabilité des tests.

On parle d'etre vivant la.

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