Terre + Eau + AutoFem + Ensoleillement d'intérieur


Egzoset

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Salutations,

 

Avant toute chose, disons que j'ai déjà clairement défini le contexte et les objectifs de la présente enfilade dans ma présentation:

 

Initiation à la culture sur un bord de fenêtre (2011-7-26)

 

Je vous invite cordialement à y référer avant d'entreprendre n'importe quel autre débat...

 

:lire:

 

Si j'ai bonne mémoire, le début de cette aventure remonte au premier jour du mois courant, lorsque j'ai fait séjourner ma première graine dans un verre d'eau. À travers ma caméra les progrès d'une plante issue de presque rien n'ont pas manqué de me fasciner, à un tel point en fait qu'il m'a fallu répéter l'expérience deux semaines après... Ainsi il y a aujourd'hui devant la fenêtre de ma cuisine deux plants AutoMaria-2 que j'observe avec passion et il y en aura un troisième en chemin dès Lundi qui vient. En attendant la "benjamine", je vous présente mon "aînée" et ma "cadette" telles qu'on les voyait il y a deux jours en après-midi:

 

33dwfw8.jpg

 

:wub:

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et bah c'est pas mal du tout ta plante n'a pas du tout tiger pour une plante d'intérieur cela risque de donner des jolie pied de beuhplus.gif

 

ps: tu peux mettre plus de descriptions sur ton jdc du genre quel terreau quel engrais la température qui fait chez toi tu nous explique un peux plus comment tu te démerde quoi supair.gif

 

bon grow a toi vieuxyeah.gif

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Salut!

 

Il y a 2/3 ans, on a testé la plante d'"appartement"! A l'époque, on a fait démarrer des inconnues, dont une a germé.

Nous l'avons soigné avec amour, et c'est devenue une belle fille de quelques 40 cm (elle n'avait absolument pas tigé).

 

Par contre, on ignorait tout des rythmes de croissance, etc... du coup, on a prélevé petit à petit... au bout d'un an, elle a commencé à griller par le bas, (maintenant, je sais que c'était la sénéquence!), on a tenté de la sauver, mais, en fait, c'en était fini, et c'était normal!

 

De plus, c'était sans doute une "sativa", qui croissait et faisait des fleurs en même temps! (oulà, j'espère que je me plante pas!^^)

 

Ca a été une chouette experience, et nous en étions aussi amoureux! :wub:

 

Bonne experience avec les tiennes!! et je passerai voir où ca en est!!

 

Bon grow!

 

PS: fais attention à l'arrosage, ne pas avoir la main trop lourde, attends que ca séchouille un peu avant d'en remettre!

Modifié par Djène
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Salutations à tous,

 

En premier lieu je tiens à remercier chacun des intervenants pour l'intérêt et les encouragements exprimés!

 

:respect:

 

Je reconnais que passer ainsi de germe à plante sexuée en un seul envoi ne vous permet pas de partager les moments déterminants que j'ai découvert pratiquement un jour à la fois il y a quelques semaines déjà.

 

S'il faut résumer le tout alors partons de la mi-Avril lorsque j'ai pris la décision de cultiver le premier plant de cannabis de ma vie... Je vous dirai d'abord qu'à l'origine j'avais prévu faire ça dans ma véranda mais que ses grands écarts de température m'en ont dissuadé. Ayant lu ici même sur CannaWeed que plusieurs membres avaient entrepris de faire pousser en intérieur du Blueberry, du B52, du M-39 et du White Widow (etc.), avec rien d'autre que de la terre et du soleil, euh... Hé ben ça m'a inspiré l'idée de tenter ma chance moi aussi! Soit dit en passant, mon appartement dispose d'un généreux fenêtrage judicieusement orienté et distribué; d'autre part, j'habite en haut d'un immeuble qui domine la vue des voisins immédiats - mais hélas je ne dispose pas en plus d'un balcon adéquat, c'aurait été trop beau.

 

:ph34r:

 

Donc en Mai j'étais confiant de pouvoir lancer ma culture dès Juin mais l'obtention de la semence m'a causé des difficultés, de sorte qu'il m'a fallu reporter mon projet vers la fin de Juin. Heureusement on a pu me guider efficacement ailleurs sur le net. La variété sélectionnée vient de chez Paradise Seeds, il s'agit de graines AutoMaria-2:

 

14mb1xy.jpg

 

15wgi2w.jpg

 

Elles me sont parvenues dans l'emballage original d'allure professionnelle et soignée que vous voyez là. Notez la minuscule fiole transparente qui protège son contenu d'un écrasement accidentel.

 

:supair:

 

Veuillez prendre note que mon message d'introduction comprend certains détails expliquant l'origine des critères de sélection dans ce projet mais que l'achat de ma semence étant une affaire réglée il n'y a plus aucun besoin d'y revenir je suppose.

 

Maintenant, mon JdC aurait dû inclure la liste du matériel employé pour sa réalisation. Pas de problème, mais sachez que dans mon cas les produits raffinés vendus dans des commerces spécialisés s'avèrent plutôt rares alors la marchandise des magasins locaux devait absolument suffire! Heureusement on parle ici de Canadian Tire, IGA, Rona et Walmart, essentiellement, et ceux-là je me considère pas mal chanceux de les avoir!

 

En gros, mon inventaire de nouveau jardinier incluait ces articles:

 

  • Des rondelles de tourbe de type mini-serres Jiffy
  • Du terreau d'empotage (enrichi) Miracle Grow (0.14 - 0.14 - 0.14)
  • De la terre à jardin enrichie de compost
  • Du fertilisant hydro-soluble pour plantes à fleurs (15-30-15)
  • Du gravier pour aquarium d'eau douce
  • De la perlite "enrichie" Miracle-Grow (0.04 - 0.01 - 0.06)

Par la suite y il a eu des ajouts comme un appareil à évaluer l'humidité du sol, des rubans à mesurer le pH... ...pour aquariums, euh...

 

Quoi qu'il en soit, une seul graine d'AutoMaria-2 coûtant 15 $ (CAD) l'unité j'ai eu la bonne idée de tester mes rondelles de tourbe genre Jiffy avec de la semence de fleurs. Le résultat fut plus que décevant mais au lieu de les jeter j'ai choisi de les éventrer pour satisfaire ma curiosité - avant de les recycler...

 

Le fin tissu dont ces rondelles sont faites allait servir au montage du pot. En effet, ceux-ci comportent une base munie d'un double fond couplé à un trou situé en-dessous, sur le côté. J'ai préféré ce modèle aux autres parce que j'avais lu que les racines avaient besoin de respirer de l'oxygène (celui dissout dans le substrat, il va sans dire!). Voilà pourquoi il y avait du gravier parmi mes emplettes en revenant d'une de mes séances de magasinage.

 

Une fois couverts de ce tissu, les tessons ont servi à tenir éloignées dudit compartiment les particules fines attirées vers le fond, pour qu'elles ne risquent pas de s'y entasser puis de nuire plus tard aux échanges gazeux. Une fois cette barrière physique établie j'ai procédé au remplissage en utilisant d'abord un mélange de tourbe récupérée (genre Jiffy), du terreau d'empotage (lequel comprend de l'engrais à action lente) ainsi qu'une bonne portion de perlite: je croyais devoir constituer une seconde barrière, celle-là destinée à capter l'humidité. Ensuite j'ai complété en allant progressivement du terreau d'empotage simple vers la terre à jardin plus dense et plus riche, mon raisonnement étant que: 1) les arrosages allaient lessiver les nutriments; 2) en attendant de grandir les racines du jeune plant devraient pouvoir accéder à ces nutriments avant qu'ils n'aient migré trop loin vers le fond.

 

Pour terminer en beauté, je me suis dit qu'une couche de gravier coloré déposée à la surface suffirait à limiter l'évaporation de même que les petits dégâts survenant lors de l'arrosage...

 

Évidemment tout ceci ne manque pas d'audace pour un apprenti jardinier mais pourquoi pas après tout! Pour moi l'ensemble du projet est une nouvelle expérience alors autant tester deux ou trois trucs, je verrai à l'examen post-mortem du système racinaire si ça valait le coup.

 

:culture:

 

Mes yeux aidés d'une caméra numérique j'ai vécu des instants particulièrement excitants dès l'étape de la germination, les photographies peuvent paraître intéressantes en soi mais à mon humble avis certains aspects de ce hobby se traduisent difficilement à travers une sélection de clichés. C'est dans l'instant présent qu'il faut vivre cette aventure! Mais à défaut de mieux il reste quelques beaux souvenirs...

 

Ma première plante a eu droit à quelques attentions particulières, dont par exemple un panneau flexible en mylar métallisé servant normalement pour l'isolation des bâtiments - le réflecteur qu'on obtient en procédant de la sorte permet pratiquement de doubler l'éclairement mais ça m'a quand même pris deux semaines pour adopter cette solution qui n'a rien d'une réelle innovation, pour être parfaitement honnête:

 

5bwej5.jpg

 

Une feuille de ce matériau a la résilience voulue pour se mouler aux besoins du moment ainsi que la rigidité adéquate pour se tenir d'elle-même debout. Son extrême légèreté en facilite le transport, ce que je trouve fort pratique car j'avais fini par accepter assez tôt au cours de ce projet l'éventuelle nécessité de déplacer ma plante d'une fenêtre à l'autre pour augmenter la période d'éclairage quotidien. D'ailleurs, à ce sujet, non seulement cette photographie démontre une augmentation du flux lumineux rendu disponible aux feuilles mais en plus on voit que ça aide à garder la plante légèrement plus longtemps dans le champ qui profite encore du soleil tandis qu'il suit sa trajectoire.

 

Avec une troisième graine à germer dans le noir de mon armoire les qualités de ce panneau ne m'en paraissent que plus appréciables car il va bientôt me falloir un charriot à roulette pour les mouvoir!...

 

:group:

 

Ah oui, j'allais oublier! Le matin il fait rarement plus de 26 °C dans la cuisine, l'ensoleillement y dure un peu plus de cinq heures et de toute façon l'après-midi j'apporte ensuite mes précieux végétaux dans une pièce où j'ai la chance de pouvoir leur donner autant de lumière qu'il en vient du ciel puisqu'un climatiseur abaisse la température à un niveau confortable. De ce fait je peux partager mon bureau avec eux pour mieux les chouchouter et aussi leur fournir un léger supplément de CO2 en prime...

 

:wub:

 

Concernant la taille réduite de mon aînée j'aurais peut-être une ou deux théories "potables". La première serait que j'ai laissé la graine germer si longtemps que le jour de sa mise en terre il lui restait juste assez d'énergie pour faire verdir ses cotylédons mais guère plus. Le temps qu'elle récupère, de nouvelles feuilles émergeaient entre ces feuilles primitives qui n'ont jamais plus été aussi importantes par la suite.

 

Mon autre théorie a trait au fait que j'ai pris soin de fournir entre huit et dix heures d'ensoleillement à ma plante à un moment de la saison où justement on n'a pas eu à se plaindre des nuages. Et puis je soupçonne que le pot rendait disponibles amplement de nutriments. En fait, j'ai observé un comportement bizarre chez ma plus vielle plante par rapport à sa relation avec le soleil et l'eau... Curieusement elle fane souvent en fin de journée les jours sans nuages! Elle m'a fait le coup du parapluie qui se ferme peu importe qu'elle ait soif ou que je vienne de l'abreuver quelques heures avant. Là-dessus je suis tenté d'émettre l'hypothèse suivante: un période allongée d'éclairement accélère si bien son métabolisme que la terre du pot lui paraît soudain trop riche!...

 

Aujourd'hui par exemple, ladite plante a dû se contenter de sa fenêtre de cuisine car je ne l'ai pas déplacé du tout. Hé bien je vous dirai qu'elle l'a très bien pris en comparaison du jour d'avant où elle a eu droit à un bain de soleil s'étendant de l'heure du déjeuner jusqu'à celle du souper, avec un léger arrosage pour que ce soit complet... Hélas, contre toute attente, on dirait que cette intrigante fane quand je m'occupe trop d'elle!!!

 

Qu'à cela ne tienne! Il se trouve que ma Benjamine risque bientôt de lui voler la vedette...

 

15wgi2w.jpg

 

 

2vlnts1.jpg

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  • 3 semaines après ...

Ces deux dernières semaines se sont révélées plutôt agitées en ce qui me concerne. J'ai dû m'absenter un moment, voici ce qui m'attendait à l'arrivée:

 

ay64uv.jpg

8 Août, 13h59

 

rtfg28.jpg

16 Août, 11h33

 

Il semble que les feuilles de mon plant aîné avaient déjà commencé à jaunir le lendemain de mon départ, la forte inclinaison qui affecte les deux plus jeunes résulte du fait que personne n'a pris soin de tourner les pots durant toute une semaine.

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  • 5 semaines après ...
  • 1 an après ...

Mes salutations à tous,

 

Désolé mais il semble que j'ai omis de mettre à jour cette enfilade après avoir perdu de vue CannaWeed sur mon radar, de toute évidence... If faut dire qu'avec internet on a un bien plus vaste choix si on a la chance de maîtriser l'anglais mais alors des oublis peuvent se produire!

 

:blush:

 

De nouveau Noël arrive bientôt et il y a eu plusieurs changements importants en plus d'un an. Pour commencer l'hiver dernier j'ai entrepris de tester la culture sous éclairage artificiel après avoir constaté qu'en bord de fenêtre la période idéale pour une "auto" rapide se situerait à peu près entre le 17 Mai et le 26 Juillet. Durant cette période je peux espérer fournir à mes plantes environ 10 heures d'ensoleillement à condition de les déplacer d'une fenêtre à l'autre 3 fois par jour.

 

Ne désirant surtout pas enfermer ma culture dans un enclos j'ai cherché à développer un concept hybride compatible avec la culture sur bord de fenêtre. Il s'agissait de concevoir une sorte de "Docking Station" pour "recharger" mes plantes en cas de déficit d'éclairage. Les beaux jours je pourrais continuer de les admirer tout en appréciant leur parfum, le reste du temps elles profiteraient de mon armoire à culture adaptée.

 

N'arrivant pas à départager les avis sur la quantité de lumière nécessaire dans un volume donné j'ai fini par abandonner temporairement cette idée pour me consacrer à des essais menés sur une plateforme à prototypage permettant une reconfiguration plus aisée qu'avec un meuble:

 

 

 

Mes ampoules CFL correspondent à 2 formats dont le T4-40 Watts @ 2700 °K (7 fois) et le T5-45 Watts 4100 °K (6 fois) pour un grand total de 550 Watts. L'efficacité de conversion gravite autour de 66 lumens par Watt dans les 2 cas mais le format T5 a un très léger avantage. Hélas cette structure essentiellement ouverte en gaspille énormément puisque pour une grande part il n'y a pas de réflecteurs au-dessus...

 

En tout cas cela m'a permis d'obtenir des cocottes dont les petites feuilles à la base avaient un bel aspect de velours sur ma BBA, c'est donc dire une couverture résineuse acceptable. La différence se voyait au niveau de l'ampleur aussi car ces plantes-là avaient des pieds autrement plus en santé que ceux obtenus sur bord de fenêtre. Cependant ma satisfaction pour avoir ainsi progressé se trouve assortie du sentiment d'avoir atteint une autre limite:

 

 

 

 

 

Cela pourrait bien signifier l'abandon de ce hobby au moins pour un temps car ce sont les SpiderMites qui l'emportent et tout ce que j'ai lu jusqu'ici n'a servi qu'à me faire douter encore plus de ma capacité à contrôler des parasites que je ne vois pas avant qu'il soit trop tard - sans compter que cette façon de s'occuper n'intéresse personne.

 

En fait j'ai aussi perdu d'autres plantes dans mon domicile à cause de ces vampires!!

 

:rip:

 

Bref, dans une grande ville développée comme Montréal j'aurais pu espérer m'en tirer à bon compte en expérimentant avec divers produits mais là où j'habite la moindre fourniture devient un obstacle souvent impossible à franchir et le temps joue contre moi car ces bestioles se reproduisent rapidement tandis qu'elles causent des dégâts permanents.

 

Sans doute tout ceci se contrôle mais moi mes plantes je n'ai pas envie de les faire pousser dans une éprouvette: je veux les voir, je veux les sentir et je veux les toucher - en plus d'en vaporizer les "fleurs", éventuellement - sinon autant mâcher du champignon.

 

:high:

 

Quoi qu'il en soit, il se peut que le fait d'expérimenter sur des plantes carencées ait pu contribuer à cette infestation. Peut-être aurais-je dû "commencer en lion" mais d'un autre côté j'ai déjà tout un tas de matériel dont je me demande présentement s'il ne va pas devenir inutile...

 

Bien sûr ça valait malgré tout la peine d'essayer pour le vécu que ça procure mais le bénéfice en termes pécuniers n'y est pas dans ces conditions. Quand il semble y avoir une solution elle se vend au gros prix à coups de flacons de 30 ml alors voyez-vous Noël pour moi cette année comportera vraisemblablement son lot de réflexion (et puis la semence d'auto-fleurissantes féminisées n'est pas donnée non plus)! À ce stade autant acheter mon cannabis de quelqu'un d'autre!

 

-_-

Modifié par Egzoset
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  • 2 semaines après ...

Salut à vous deux,

 

À mon avis j'ai affaire à une souche résistante parce que l'huile de margousier n'a pas semblé agir davantage que les douches, ni l'alcool concentré à 50 % d'ailleurs. Cette activité doit rester un hobby pour moi et ne jamais prendre des allures de chemin de croix! Je ne suis donc pas tenté par l'atirail du guerrier qui se détaille en petits flacons à prix d'or...

 

S'il existe une méthode sans tâtonnement ni résidus alors c'est celle là qu'il me faudra étudier de près!

 

Pour l'instant je cultive des araignées. Il paraît qu'en faisant pourrir leurs minuscules carcasses on arrive à promouvoir la croissance de parasites qui leurs sont spécifiques - mais en fait c'est pratiquement tout ce qu'il me reste à observer qui soit encore vivant et prospère. Sinon j'aurais tout envoyé aux vidanges, ce qui ne va plus tarder bien longtemps.

 

Bref, je réfléchis aux alternatives. Merci de votre passage! :respect:

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Salut,

 

Au cas où il y aurait confusion: la bouteille de CO2 c'était dans l'idée d'exterminer les arraignées, quand même!... :plol:

 

T'es apparemment au Québec et c'est l'hiver... Le froid sera certainement un bien meilleur allier que le CO2...

 

@++

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Salutations T0uriste,

 

Le froid sera certainement un bien meilleur allier que le CO2...

 

Ça j'en doute fort, on a des automnes froids aussi et c'est justement durant cette période que les parasites ont commencé à tout ravager. Néanmoins je crois comprendre ce que cela signifie de se faire un allié du froid, tout comme peut-être de la lumière "dure" (ultra-violette) et/ou de l'ozone, etc. En ce moment je tente de transférer la colonie sur des géraniums ainsi qu'un dragonnier austral, pour vérifier si ce parasite a un menu aussi versatile qu'on le dit...

 

:siff:

 

S'il ne reste plus rien de vivant dans quelques semaines alors je saurai que c'en est fini de la culture en intérieur à moins de trouver une parade infaillible. Pour l'instant je suis toujours à l'afût, en quête de témoignages rendus conséquents par la force des preuves présentées...

 

Une évaluation côte-à-côte serait l'idéal mais quelque chose me dit que si j'en veux une je devrai vraisemblablement la publier moi-même!

 

Donc je réfléchis car, à mesure que je fouille, le dioxyde de carbone se présente de plus en plus comme une solution potentiellement viable et voici pourquoi. Supposons que j'arrive à identifier le format de bouteille convenant exactement au volume dont je dispose pour mes plantes pour *1* seule session d'éradication à 12000 - 17000 ppm environ. Cela réduirait le risque encouru en cas de fuite puisqu'alors je pourrais me dispenser d'en garder chez-moi: une visite au magasin aux 3 jours me suffirait. Dans ces conditions le matériel nécessaire s'en trouverait d'autant plus simplifié et comme on parle de 3 à 5 plantes ça me semble faisable - mais comme toujours, ça prend des pioniers et je cherche encore le premier!

 

Il reste que tu as raison, le froid est aussi mon allié, la preuve: j'ai placé dans mon congélateur une fiole contenant des arraignées rouges et elles ne bougent plus même si on leur redonne de la chaleur ensuite!!

 

:yepah:

Modifié par Egzoset
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Salut,

 

Pour le froid, c'est très efficace, les araignées rouges sont des acariens, et les acariens ne résistent pas au froid. Je suis sur que ça marche très bien étant donné que c'est comme cela que j'ai totalement éradiqué ces saloperies la dernière fois où j'ai été infesté.

 

Cette technique est relativement simple à mettre en place l'hiver, étant donné qu'il suffit laisser quelques jours les plantes dans une box où il fait entre 2°C et 7°C. Il faut tout de même veiller à ce que cela ne gèle pas.

 

De plus, ces quelques jours peuvent être mis à profit pour nettoyer et désinfecter à fond l'espace de culture afin d'éviter de récontaminer les plantes.

 

@++

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Salutations T0uriste,

 

...les acariens ne résistent pas au froid.

 

Je te remercie de cette marque d'intérêt. Ayant cédé à la tentation de tester cette idée dans mon réfrigérateur j'ai tout simplement plaçé un échantillon vivant avec quelques feuilles dans un sac à sandwich, en prenant bien soin de le gonfler avec une pompe pour ne pas risquer d'interférer avec la respiration de mes hôtes sur le court terme (car si j'avais seulement soufflé à l'intérieur j'aurais pu craindre que le CO2 expiré ne vienne embrouiller les pistes davantage)...

 

La température du frigo oscille entre 6 à 8 °C en permanence mais hélas je ne suis pas sûr de pouvoir éliminer les facteurs secondaires déterminants.

 

...il suffit laisser quelques jours les plantes dans une box où il fait entre 2°C et 7°C.

 

Le stress causé par cette technique ne va-t-il pas donner lieu à d'autres inconvénients? Les possibles séquelles que cela peut représenter pour un plant de cannabis de survivre à un tel froid, par exemple. Quoique pour l'instant mon attention porte davantage sur la capacité d'enter en diapause ainsi que ses implications.

 

Un réfrigérateur bas-de-gamme sans congélateur ça coûte près de 300 $, l'air de rien ma plateforme de prototypage m'en a coûté le double alors je contemple la perspective d'en modifier un. J'avais déjà songé à réserver un espace dans mon hypothétique armoire hybride afin d'y inclure un climatiseur mais ce ne serait jamais aussi froid. D'autre part il y a l'espace qui ne permettrait d'y loger qu'une seule plante à la fois: si je veux pouvoir expérimenter avec un gazage au CO2 aux 3 jours alors je devrais me limiter à 3 plantes. Pour finir, il ne saurait y avoir de desserte autonome (sur roues) dans ce scénario.

 

Mon concept de "Docking Station" semble de plus en plus compromis.

 

-_-

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