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Il est quand meme bien pourri. le meilleur que j'ai du dans le genre(j'entends par la achetes chez un dealer ou fait gouter par un pote) c'est du libanais,qui ressemble a l'afghan mais en plus poivree.De toute facon y'en a tellement.

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salut ouai le sum ou seum ( on sen fou ) c un genre de shit qui s'effrite pas mais se roule en un ptit boudin de la longueur du pet ( tu peu effrité mais sa colle ).

par contre sa doit etre coupé a qqch car quand je vois du hash maison c'est plutot dur et cassant, enfin sa depend ptet de la methode iceolator ou tamis mais c'est(le sûm) en general meilleur que du shit standart ^^

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lol, le seum...

En france c'est juste un argument de vente pour désigner du bon shit(ou du moin du pas mauvais^^), mais vous ne trouverez pas de seum en france a moin d'aller le chercher à la source(au maroc notament, il me semble).Et encore je sais meme pas si on peut en trouver en tant que touriste.

D'ailleur,soit dit en passant, j'en ai jamais vus en hollande, si quelqu'un en a déjà vus en coffee, qu'il me le dise, car a force d'enttendre parlez de "seum", j'aimerais bien savoir ce que ce shit a de si exceptionnel...j'suis sur que ça vaut pas un bon joint de skuff tamissage maison ;)

 

c un genre de shit qui s'effrite pas mais se roule en un ptit boudin de la longueur du pet

 

Ca c'est plutot l'afghan ;-)

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salut,

...j'suis sur que ça vaut pas un bon joint de skuff tamisage maison ;-)

 

Entièrement d'accord avec toi...rien n'éclate plus qu'un bon hasch maison hyper gras, fait a partir des meilleures variétés, et roulé sous les aisselles ;-)

Et puis ce gout de résine pure...huuummmmmmm...rien que d'y penser...huuummmmmmm...c'est décidé ce soir je me fais une boulette...;)

 

+++

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Pour info:

 

Dans les grandes villes françaises et vraisemblablement un peu partout en Europe, une nouvelle variété de kif marocain a fait son apparition. Ses effets très puissants, non hallucinogènes mais proches de celui des drogues dures attirent de nombreux amateurs. Des jeunes surtout. Les dealers qui la proposent en font la promotion en lui donnant le nom de "semm"(poison, en arabe). Son apparence et sa présentation en barrettes ne la différencient pas du kif habituel, la résine de cannabis, mais son prix est deux à trois fois plus cher.

 

En fait, cette nouvelle génération de drogue existait déjà depuis plusieurs années, mais elle ne se cultivait que de façon artisanale par des amateurs ou de petits producteurs des Pays Bas qui la destinaient à l'usage restreint de quelques coffee shop et d'une clientèle touristique quasi intime. Ces adeptes de la manipulation génétique avaient réussi progressivement à sélectionner et greffer des variétés hybrides de plants de cannabis "Indica" et "Sativa" en provenance de plusieurs régions du monde. D'Afghanistan, d'Inde, du Pakistan, de la Thaïlande, du Mexique, de la Colombie, de la Jamaïque…etc.

Ces laborantins de la selection et de la greffe des plants avaient mis à profit la dépénalisation, dans leur pays, des drogues dites douces et d'une disposition de la convention unique de New York de 1961 sur les stupéfiants, qui légalise le commerce des graines du chanvre. Pour la simple raison que le THC (D9 Tétrahydrocannabinol), le principal principe actif du cannabis, est absent des graines et n'apparaît que pendant la croissance du plant. Ils avaient donc toute latitude pour importer les semences et les sélectionner. La manipulation consistait à obtenir une forte augmentation du taux du THC. Chaque année apportait son lot de nouvelles sélections. Les laboratoires et les banques de graines rivalisaient de manipulations. Des variétés au THC de plus en plus fort voyaient le jour. Les amateurs avaient le choix entre des dizaines de qualités. Des "AOC" naissaient: Des sortes de grands crus, répertoriés et littéralement côtés, dans une espèce de marché informel. La Skunk, la White Widow, la Jack Herrer, la Pink Widow, la De Luxe, la Durban Red, la Super Silver Haze, la Hash Khan, la Super Skunk et bien d'autres nouveaux plants.

 

Dans le reste de l'Europe, la résine du cannabis marocain, la plus répandue et la plus consommée des stupéfiants, avait acquis un label de « drogue douce ». Son taux moyen de THC oscillait entre 4% et 8% et atteignait très rarement 12% Encore que ce dernier taux n'existait que dans les meilleures variétés "T'bisla", très rare et réservée généralement à une clientèle privilégiée. Les autres choix du kif marocain sont au nombre de quatre et du double zéro de qualité supérieure. Une partie importante du kif marocain destiné au marché européen est de surcroît mélangée à de la terre, de la paraffine, de la graisse, du henné et même à du cirage. Ce qui atténue ses effets.

 

Le THC du cannabis obtenu après des greffes aux pays bas parvient à dépasser, quand à lui, le taux incroyable de 25%. La "T'bisla", ce nectar du kif pour lequel les amateurs européens se déplaçaient jusqu'au Maroc, pour espérer en obtenir une petite quantité, ne fait plus le poids devant cet ultra. Les effets sont néanmoins bien plus importants. Ils sont à celui du cannabis ordinaire ce qu'est une bouteille de Whisky à une cannette de bière. On comprend mieux, dès lors, l'emballement de la demande et l'intérêt croissant des trafiquants pour ces nouveaux produits.

 

Des Marocains parmi les nombreux immigrés de ce pays dans les Pays Bas, avaient découvert ce Kif amélioré et l'avaient fait connaître dans leur pays. Ils y avaient progressivement introduit de nouvelles sélections et de nouvelles techniques de culture. Des plants hybrides d'origine afghane et pakistanaise se sont installés, quoique timidement dans certaines cultures. Les producteurs marocains ont affiché pendant des années leur hostilité et leur méfiance pour ces nouveaux plants dont ils redoutaient la nocivité. D'où l'appellation de "Semm". D'autant que nombre de ces variétés exigeaient plus d'eau et beaucoup d'entretien. Mais la qualité stupéfiante et la rentabilité exceptionnelle de ce nouveau cannabis commencent à l'imposer. Les premières récoltes, relativement infimes, arrivent sur le marché européen depuis quelques mois déjà.

Il ne faut pas douter de la capacité des producteurs marocains à s'adapter à cette opportunité. Il y a moins de quarante ans, ils n'obtenaient pas le cinquantième de la production actuelle, de qualité relativement médiocre et livrée au marché local sous forme de hachisch brut (herbe). L'exportation était nulle. Il a suffi, dans les années soixante, que quelques jeunes Européens apprennent à un petit producteur du Rif comment extraire la résine du hachisch et obtenir ainsi du "kif traité". Ils avaient appris eux même le procédé, lors de leurs pérégrinations en Asie. En l'espace de quelques années, une révolution s'opérait dans le pays. Tous les producteurs adoptèrent la technique et le nouveau kif s'ouvrit, dès lors, le chemin de l'Europe. Cela se réalisa en très peu de temps et à très grande échelle, pour arriver progressivement jusqu'à produire plus de 3000 tonnes de résine par an. Avec des moyens très rudimentaires, ce pays est devenu le premier producteur mondial de cannabis. Cette activité est une manne pour le Maroc. C'est l'une des ressources principales de ce pays en devises étrangères, environ 10 milliards de dollars par an, et il n'y a pas de doute qu'elle contribue pour une part très importante à la stabilité politique du royaume. Cela explique l'impossibilité objective de la réduire. La dépénalisation ambiante de sa consommation en Europe a naturellement provoqué son développement. De nouveaux marchés ont été conquis et de nouvelles routes du kif ont été ouvertes. Aujourd'hui, le contexte est encore plus favorable que dans les années soixante, autant sur le plan de la demande que celui de l'organisation des producteurs et des réseaux de distribution. C’est dire que la transformation de la production, pour en obtenir, à destination de l’Europe et à des prix à peine plus élevés, des quantités très importantes de kif amélioré, se fera tout naturellement. Il ne faut pas douter que la rentabilité, très prometteuse, de cette drogue quasi révolutionnaire ne manquera pas, à moyen terme, de convaincre les plus hésitants à entrer dans la danse.

Le mythe des drogues douces n'a vraisemblablement plus longtemps à vivre. La demande en kif amélioré, encore diffuse, montre des signes d'augmentation. Elle sera d'autant plus constante que les effets de cette nouvelle drogue semblent provoquer une accoutumance plus forte que celle du bon vieux joint.

 

 

Source : https://www.algeria-watch.org/fr/article/tribune/benchenouf_kif.htm (via CT)

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salut,

beaucoup d,aproximations et de contres vérités dans ce texte, meme s,il est vrais que la demande de taux de plus en plus élevée est réelle, la qualité elle est restée médiocre(pour le hash), meme pour le seum qui je trouve pue autant que les autre shits venant du maroc( a part le pollen pur ou double zero), meme s,il est un peux plus fort que les autres marocains.

ayant fumé des hashishs venant du nepal, pakistant et autres, là, il y a une vrais qualité de gout et de defonce...

sinon, oui, le seum ressemble à de l,afgan, mais dès qu,on le sent, on comprend vite!...

ps: le kif est un mélange de hashish et de tabac.

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le kif est un mélange de hashish et de tabac

 

Salut,

 

Pas exactement. C'est plutôt un mélange d'herbe et de tabac !

Un peu comme nous qui nous servons des feuilles de curage pour faire du skuff, eux récupèrent ces feuilles ainsi que les restes des têtes ayant servi à la confection du haschich.

C'est aussi le nom qu'ils donnent à la plante...

 

Peace

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bien le bonjour les gens ! je suis nouveau, ça fesait un moment que je me rendais sur ce site en tant que touriste et en voyant cette conversation ba je me suis inscris pour faire part de mon opinion.. bref chez moi on dit de "LA seum", c'est un shit casiment pas coupé qui degage une assez bonne odeur, qui gonfle en chauffant, quand on l'effrite ça fait des petites boulettes, et qui defonce plutot bien voir très bien (j'en garde ma dernière experience hier soir).

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salut !

 

mdr ganja.revolution , ton texte est tordant ^^ . cependant , il est vrai que le maroc est en train de perdre petit a petit son ketama et son kiff habituel qui sont remplacés par les standard hollandais .

 

A+

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Invité
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