L'education face au cannabis


Invité CharlieChaplin

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Invité CharlieChaplin

Bonjour a tous,

 

Dans un monde qui serait idéal (selon vous).

 

Comment enviseagez vous l'education des futures generations et donc a fortiori du peuple tout entier face au cannabis.

 

Les propos sur la repression sont à procrire! puisque le monde sera conforme a votre philosophie

 

Le seul discours autorisé dans ce topic est la pedagogie a adopter pour une consomation raisonnable et responsable des individus. (vous pouvez evidemment vous exprimer si selon vous ne probleme n'est pas posé correctement ou si c'est carrement un topicalacon tant qu'il y a des arguments)

 

(Ce topic peut donc s'appliquer à toutes les autres drogues, a la prevention routiere, aux jeux video, aux jeux en ligne, etc)

 

Merci :-)

 

 

J'attend evidemment dans ce sujet tous les gens qui pense que l'education suffirait a elle seule a enrayer les consommations deraisonnable (merci a ceux qui ne le pense pas de ne pas reagir a cette phrase :-))

 

"Si ce que tu as à dire est moins beau que le silence alors tais toi!" => (Les +1 sans explications aucune sont proscrit)

 

La Bruyère

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Salut

 

 

Il ne s'agit pas de développer ce que nous personnellement nous ferions avec nos enfants. Mais plutôt comment organiser la vie sociale de nos enfants d'une façon générale!

 

J'ai essayer d'écrire en mettant ceci de coté mais je me suis rendu compte que l'éducation face aux drogues se fait dans le cercle familial et au niveau scolaire.

 

 

A ++

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Invité CharlieChaplin

Ok ok ^^ on va partir sur quelque choses de personnel. Puis on essayera de trouver des solutions au niveau général. Vas y :-)

 

(Quand je parle au niveau general je ne pense a trouver LA methode miracle a dicter aux parents! (Tres loin de la est mon intention) Mais plutot chercher des application au niveau scolaire, associatif par exemple)

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Bonjour, je trouve ton sujet très interessant, pour ma part je ne pourrais pas m'étendre sur ce sujet vu que je ne connais pas grand chose en pédagogie mais il est impératif de ne pas dire "La drogue, c'est le mal ! Elle va vous tuer !" parce que ca ne marchera pas (on est un peu tous la preuve que ca n'a pas marché sur ce forum :shock: )

 

Maintenant il faudrais des pédagogues pour nous éclairer :mdr:

 

BOnne journée !

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Je crois que la relation aux drogues doit se faire sans tabou mais avec restrictions.

Il faut en parler, en discuter, mais faire comprendre aux enfants que c'est réservé aux adultes.

Il faut éviter la diabolisation. leur faire comprendre avec d'autres exemples que l'excès nuit en tout (par forcément que avec les drogues).

 

Je crois que la clé réside dans la communication.

 

 

Si des cannaweedeurs/ cannaweedeuses pouvaient nous faire part de leurs propres expériences... ça ferait vraiment avancer le bazar.

 

Si j'ai un truc à ajouter je reviendrai.

 

A pluche.

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Invité CharlieChaplin
Maintenant il faudrais des pédagogues pour nous éclairer

 

Pas necessairement l'echange d'opinion peut aboutir a de vrai solution sans forcement la presence de professionnel (même si ca peux toujours etre tres utile)

 

Je me permet de mettre un article qu'a cité azmaster dans le topic sur la legalisation. Il parle du cerveau des adolescent:

 

Le cerveau des ados : comment ça marche ? (11/2006)

Les adolescents ont parfois des comportements imprévisibles qui peuvent les faire passer d’une attitude mature à une prise de risques parfois soldée d’accidents. Ces modifications semblent liées à des réarrangements dans les connexions cérébrales, en particulier le lobe frontal.

 

Prenez un jeune garçon de 14 ans lors d’une expérience où il doit prendre une décision très simple que même un enfant de 8 ans réussit : quand il voit une lumière au coin de son champ visuel, il doit l’ignorer et continuer de regarder droit devant lui. Mais pour cela, il lui faut contrôler une impulsion naturelle qui le pousse à jeter un œil. En général, il réussit le test aussi bien qu’un adulte. Mais l’imagerie cérébrale révèle qu’il lui faut mobiliser une grande partie de ses lobes frontaux, impliqués dans la planification et l’exécution de tâches. Zones qu’un adulte n’utilisera pas dans cet exemple.

 

En fait, le cerveau adolescent fonctionne comme celui des adultes, mais exécutant une tâche beaucoup plus difficile. Cette surexploitation des lobes frontaux résulterait d’un profond remodelage du cortex, et expliquerait pourquoi les adolescents sont plus aptes à prendre des risques, faire de nouvelles expériences et ne pourraient réfréner les réponses inappropriées, faute de « faire un tri » dans la masse des informations qui parviennent au cerveau. Les remaniements des synapses impliquent des créations et renforcements de certaines connexions, tandis que d’autres dégénèrent, ce qui confère par exemple aux individus des facultés nouvelles, comme contenir un comportement agressif ou faire preuve d’empathie, ce qui en général se poursuit jusqu’à l’âge d’une vingtaine d’années. Ces remaniements sont aussi la suite du modelage hérité de l’enfance.

 

Vers l’âge de 12 ans, le cerveau a la taille, les circonvolutions, le poids et les régions spécialisées d’un cerveau adulte. Mais le suivi de 2000 personnes de l’âge de 3 à 25 ans depuis 1991, par des scanners et IRM, a permis de montrer d’importantes modifications au cours du temps. Le rapport eau/ lipides (soit corps cellulaires des neurones, riches en eau par rapport à la substance blanche ou nerfs, riches en myéline) diminue de l’enfance à l’âge adulte et ce par vagues, progressant du lobe occipital vers le lobe frontal. Le processus est plus rapide chez les filles que chez les garçons. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cet amincissement progressif de la matière grise est un signe d’intelligence ! En effet, il correspond à l’élimination de synapses « inutiles » pour un renforcement d’autres, ce qui permet par exemple une prise de décision plus rapide, les informations parasites étant éliminées ou traitées plus efficacement.

 

L’environnement joue un rôle majeur dans ce réarrangement synaptique, puisqu’il participe à ces renforcements en envoyant une multitude de signaux à traiter et trier. Aussi les adolescents exposés à des environnements riches et variés en sport, musiques, langues étrangères, seraient-ils favorisés dans cet apprentissage. Pour traiter des informations, il ne faut pas seulement un « superordinateur », mais plutôt une « connexion rapide ». Un chercheur américain explique avec humour : « dans deux ans, ma fille aura 16 ans et ma prime d’assurance automobile va doubler, alors qu’elle aura probablement des réflexes plus rapides que moi et une meilleure mémoire des règles de conduite. Mais elle aura plus de risques d’avoir un accident, car son cerveau mettra plus de temps à gérer une situation complexe, tandis que le mien réagira immédiatement. »

 

Ces suivis montrent que la structure cérébrale est remaniée bien après la petite enfance ; la substance grise s’amincit, tandis que les gaines isolantes de myéline se construisent. Le maximum de renforcement de la substance blanche atteint son pic vers la cinquantaine, bien loin de l’adolescence ! Parmi les régions principalement concernées : les lobes frontaux qui préparent à l’action et aux stratégies, ainsi que d’autres impliquées dans l’intégration des afférences sensorielles, des émotions, de l’état du corps dans un contexte donné.

 

On note également une migration du traitement de certaines informations depuis les lobes frontaux (chez l’adolescent) vers des régions plus latérales (chez l’adulte), d’où la « surcharge » de l’activité de ces premiers chez les jeunes. Certaines régions réagissent différemment selon l’âge. Chez l’adolescent, le nucleus accubens, impliqué dans le traitement des « récompenses », fonctionne beaucoup plus lorsqu’on donne une récompense moyenne ou forte après la réussite d’une activité simple, mais réagit peu si la récompense est faible, comme s’il n’y en avait aucune. Cette réaction est moins exagérée dans la petite enfance ou chez l’adulte. Ainsi un centre de récompense couplé à des régions frontales surmenées et un centre de planification qui n’est pas encore fonctionnel donne-t-il parfois un mélange détonant !

 

Certains y voient des avantages évolutifs : les jeunes individus qui doivent quitter un groupe pour fonder une famille doivent aussi prendre des risques. On retrouve les mêmes comportements chez les primates, les rongeurs et même certains oiseaux, renforcés par les fortes concentrations d’hormones sexuelles qui poussent à trouver un ou une partenaire et à entrer en conflit avec les parents. L’ensemble contribue à l’éloignement du territoire d’origine.

 

Bien sûr, le fait de papoter des heures au téléphone, de fuguer ou se jeter du haut d’une montagne sur un snow-board de toutes les manières les plus délirantes possible ne s’explique pas entièrement par de pures architectures neuronales, mais peut fournir des informations aux adultes chargés d’encadrer des adolescents entre autres pour leur éviter de se mettre en danger. C’est aussi une piste permettant d’expliquer la vulnérabilité des jeunes face à la dépression, aux dépendances diverses, aux désordres nutritionnels et à la schizophrénie, sans oublier les facteurs individuels. Les campagnes de prévention « anti-SIDA », de lutte contre la drogue ou l’alcoolisme risquent d’échouer si on se contente d’expliquer les conséquences de ces fléaux : les adolescents ne réagissent pas forcément aux interventions rationnelles, il faut donc trouver d’autres voies plus appropriées à leur psychologie particulière.

 

En bref, si votre paisible pause-café à une terrasse est troublée par les gloussements hystériques d’un groupe d’ados, dites-vous que leur cerveau n’est pas fini : souvenez-vous de cet adolescent mettant toute sa concentration et son énergie pour ignorer une simple petite lumière...il y en avait des neurones à l’œuvre, dans cette petite tête !

 

L.G.

 

D’après Kendall Powell pour Nature- vol.442 - 24 Août 2006

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salut charlie,

Selon moi, l'éducation face au cannabis et comme a toute autre drogue doit être sans tabout. raconter a quoi ressemble le cheminement dans le monde de la drogue de A à Z.

Parce que les jeunes se font dire que c'est mal et que c'est criminel par les adultes. Et bien sure ce mythe qui règne cher les jeunes du cannabis, à la fois inconnu et mystérieux, est exitant parce que les jeunes ont toujours voulu défier l'autorité, à la base même de la délinquance.

 

Donc, ce qui leur manque c'est de connaitre ce qui se cache entre les dangers et le buz.

toute personne tenu dans l'ignorance est plus à risque de développer une dépendance. c'est vécu.

Et ce que beaucoup de fumeur de cannabis ne réalise pas beaucoup, c'est que le cannabis est une porte d'entrée vers les autre drogues qui eux ne sont pas des drogue douces qui sentent bon!

Bien évidement, le cannabis peut et devrais être vu comme un médicament prescrit.

voilà, bonne soirée!

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Invité CharlieChaplin
raconter a quoi ressemble le cheminement dans le monde de la drogue de A à Z.

 

Mais lorsque les parents ne sont pas fumeurs? As tu une idée la dessus?

Car pour beaucoup leur parents n'etait pas fumeurs de joint , voir même pas fumeurs du tout

 

Donc, ce qui leur manque c'est de connaitre ce qui se cache entre les dangers et le buz.

 

Tu parles du plaisir d'une consommation raisonnable c'est bien ca?

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salut chrlie on ce croise pas mal c temps si... :-D

 

pour moi (enfin ça a pas trop a voir avec l'education mais c'était aussi la manière de mes parents)

 

c'est donc de tout essayer (dans la limite du raisonable evidament! je parle pas héroine,etc..)

 

mais avec le temps j'ai pris des cuites j'ai beaucoup bédave j'ai pris des champis et quelque autres substances assez génial enfaite :shock:

puis je me fixais mes limites je savais ce que je devais plus retoucher,ce qu'il fallait limiter etc..

 

par exemple je suporte pas la defonce a l'alcool je prefer largement le cannabis etc.. donc je consomme pas trop d'alcool

 

je pense donc que niveau education plus on interdit et plus ça tente la personne et de toute façon si une personne mineur ou non,responsable ou non, veut tester quelque chose il le fera!

 

donc je pense plus que le dialogue doit s'installer ensuite en esseyant de savoir ce que ça à aporter a la personne ce qu'il en a retenue,l'avertir des danger puis envisager d'autre chose dans la delicatesse (selon les substances)

 

pour moi je pense que le réel soucis a venir c'est la Coco!

 

parce que on peut prendre la cocaine de temps en temps si on sait ce gérer et la gerer et si on sait quand la prendre et pas la prendre mais malheureusement moi personellement je vois beaucoup trop de petit jeunes dès 16ans qui s'en mettent plein le museau sans ce soucier des conséquences et je pense que dans une dixaine d'années le constat sera très grave et je ne parlent pas des futurs générations!!

 

bref pardons pour tout ce roman mais j'étais d'humeur a écrire ce soir!!

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Invité CharlieChaplin

Je vais dire ce que j'ai dit dans un autre topic aujourd'hui

 

il est simpliste de dire que l'interdit attire' date=' en revanche il est beaucoup plus juste de dire qu'un jeune est en permanence a la recherche de limite. Ce qui dans le fond est strictement la même chose. Mais qui dans l'interpretation des adultes est totalement opposé. Nous interdisons tous les jours à nos enfants des centaines de choses. Il ne passe pourtant la plupart du temps pas outre. Et cet article prouve que ce ne sont pas les explications rationnels que vous leurs donné qui en sont a l'origine.[/quote']

 

L'article c'est celui au dessus.

 

parce que on peut prendre la cocaine de temps en temps si on sait ce gérer et la gerer et si on sait quand la prendre et pas la prendre mais malheureusement moi personellement je vois beaucoup trop de petit jeunes dès 16ans qui s'en mettent plein le museau sans ce soucier des conséquences

 

Comment dire a des jeunes que c'est tres dangeureux pour eux sans pour autant ne dire que ca?

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Comment dire a des jeunes que c'est tres dangeureux pour eux sans pour autant ne dire que ca?

 

en leur disant qu'on peut en mourrir très vite!

 

Je ne suis pas sûre que ce soit le genre de réponse qu'il attendait. :-D

 

 

Allez' date=' je me lance .

 

 

Dans un monde parfait ...

 

En leur faisant comprendre par des exemples concrets.

 

En leur disant que chaque acte est un choix qui a ses conséquences .

 

Que ce soit le fait de boire, de fumer, de sécher, ... peu importe.

 

Tout les enfants ont dans leur vécu un acte qu'il regrette, ou non,

 

mais dont ils ont dû répondre et subir les conséquences.

 

 

A partir de là,

 

il suffit selon moi de leur donner les choix qui s'offrent à eux

 

et les conséquences probables qui en découleront,

 

d'après notre expérience.

 

Ne reste qu'à espérer que le bon choix soit fait.

 

( C'est pas compliqué en théorie :-D )

 

 

la pedagogie a adopter pour une consomation raisonnable et responsable des individus.

 

 

Je ne parlerai pas ici d'éducation, ( au sens commun du terme ),

 

qui à mon sens est une doctrine, mais d'information.

 

C'est, d'après moi,

 

la meilleur voie possible à la structuration de l'être

 

puisqu'elle permet à chacun d'exercer son libre arbitre en connaissance de cause

 

sans possibilité de fuir les responsabilités que celui-ci implique.

 

A savoir assumer les choix faits.

 

 

En outre, ( dieu, quel vocabulaire !! ),

 

c'est aussi l'unique moyen d'aller vers une rationnalisation et une responsabilisation des individus

 

puisqu'elle offre les avantages d'une éducation "classique",

 

( chacun fait ses choix et en tire les leçons, ou non d'ailleurs : responsabilisation ),

 

sans en posséder les inconvénients,

 

( plus de schèma préfait du genre :

 

-"je suis medecin, tu le seras aussi." ; ou -" j'ai loupé ma vie, ça ne t'arriveras pas" ).

 

A court, moyen ou long terme, ( selon les individus),

 

ce type "d'éducation" devrait permettre une rationnalisation des actes par l'expérience elle même

 

à savoir la somme des erreurs commises et les conséquences que ces erreurs ont engendrés.

 

( Tout cela dans un monde parfait biensûr . )

 

 

 

++

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Bonjour a tous !

 

Me voila de retour sur le forum après quelques années d'absence... sans jamais être réellement parti ^^

 

Alors pour ma part, je suis aujourd'hui sur le forum, et j'ai 19ans, mais si vous regardez mon inscription sur le site, elle date de 2004, je vous laisse faire le calcul...

 

Je fume depuis que j'ai 12 ans ( avec une pause pendant 8mois, une conso en dents de scie ... )

 

Mes parents ont été au courant dés ma première expérience, pas de coup de poing, pas d'engueulade, juste un sourire, ca passera...

 

Je suis quelqu'un qui s'intéresse a la plante, au effet qu'elle procure et les bienfaits, mais je sais qu'à l'heure d'aujourd'hui, je consomme beaucoup trop, mais je me dis que je suis jeune et que j'en profite, apres je pourrai plus...

 

Mes parents savent toujours que je fume, j'essaye de motiver maman pour faire pousser en out, mais papa est pas trop chaud...

 

Bref, je m'égare... Ma mère n'a jamais été contre ma conso, et j'aimerai tester les effets médicinaux sur elle une fois les graines planté ( elle est handicapé moteur, douleur et tout le tralala...), mon père un peu plus, je site : "ça te crame les neurones...""à ton avis, pourquoi c'est interdit ?""Arrête de raconter des conneries, t'as lu ça ou ?"... et j'en passe

 

Mais celui-ci n'a jamais cherché a me faire arrêter, car j'ai des discussion ouverte avec eux, et ils savent très bien qu'une fois que j'aurai "grandi" je me calmerai.

Mon père je pense qu'il croit que j'arrêterai totalement, ma mère elle attend sagement que je lui fasse quelques cookies ... lol

 

Tout ça pour dire que je pense qu'on peut avoir une discussion rationnel avec les ados, mais il faut, je pense, savoir de quoi on parle, car pour ma part, j'écoute même plus mon père, et lui renvois ces réflexions "t'as entendu ça ou ?", mais si un ado veut fumer des pets comme un pompier, il le fera, ça dépendra de sa capacité d'analyse et de son caractère je pense...

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yep'

 

et qu'en penser vous de faire visiter des centres un peu comme pour les grands bléssés de la route (a Kerpape pour ceux qui connaissent ;-)), des connaissances a moi y sont allées et depuis ont jurés de ne plus faire les dingues en bagnolles, ils ont été réellement choqué par ce qu'ils ont vus

 

la théorie de la "thérapie par le choc"

 

de cette même manière, on pourrait faire visiter des hopitaux aux adolecents pour leur faire prendre conscience de la dangerosité de fumer (cancer...), leur faire voir des centres de désintox, pour réellement les choquer

 

peut être cela aurait pour effet de les rebuter a des consommations exessive?

 

++

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Tu as eu la même idée que moi Charlie.

Nous nous dispersons dans beaucoup trop de domaines dans le topic original.

Il faudrait décomposer à fond tout ce qui touche à la légalisation pour savoir exactement de quoi il faut parler et séparer chaque sujet pour que les débats soient plus clairs.

 

Exemple de titre:

 

[Légalisation] I. L'éducation face au Cannabis.

[Légalisation] II. Les conditions de vente.

[Légalisation] III. La notion d'interdiction.

etc...

 

Je propose d'en discuter sur le topic original pour ne pas trop polluer ce topic là.

 

_____________________________________

 

 

 

 

Pourquoi pas une carte de consommateur qu'il serait nécessaire d'avoir pour pouvoir se procurer du cannabis. Cela permettrait déjà de chiffrer assez précisément le nombre de consommateur, de savoir leur âge, peut être même que cela servirait à interdire la vente de cannabis aux étrangers, la vente serait donc réservée aux Français/résidents Français mais pas aux narco-touristes.

 

Quand un consommateur acquiert sa carte de consommateur, on pourrait lui délivrer une documentation exhaustive sur le cannabis.

 

 

Un dossier comme ça en beaucoup plus complet:

 

II-Le cannabis

 

Fiche réalisé par l'association Technoplus.

 

2.1-le cannabis' date=' c'est quoi ?[/u']

 

Le cannabis ou chanvre indien, est une plante psychotrope (cannabis sativa ou indica) dont le principe actif majeur est le TétraHydroCannabinol (THC). En France, c'est une drogue prohibée qui se présente principalement sous trois formes :

 

* Les fleurs et feuilles supérieures séchées, appelée herbe, beuh, weed etc. Les teneurs en THC (10% en moyenne) sont extrêmement variables selon les espèces et le type de culture. Les variétés génétiquement sélectionnées et cultivées hors sol (culture hydroponique), avec lumière artificielle et addition d’engrais peuvent ainsi atteindre des taux de THC 2 à 3 fois supérieurs à ceux des variétés « naturelles » . La beuh peut être coupée avec des produits tels que du sable, de la silice, des microbilles de verre, la farine.

* La résine, appelée haschich, shit, aya, teuch. La teneur des différentes variétés de résine est aussi très variable. (10% moyenne mais des produits fortement dosés existent aussi). Le shit peut être coupé avec différents produits plus ou moins nocifs (terre, henné, paraffine, cirage…).

* L’huile, qui est la forme la plus fortement dosée du cannabis, reste relativement rare.

 

2.2-les effets, c'est quoi ?

 

Les effets sont une sorte d'euphorie, de la relaxation et des effets psychédéliques (modification des perceptions : du temps par exemple). L'effet ressenti dépend du type de produit consommé : la weed sativa donne envie de parler et de rire et la indica ou le teuchi mettent plutôt stone, rêveur, passif.

De plus, les effets du cannabis sont variables et dépendent à la fois du produit, du contexte de consommation, de ton état psychique et de son mode de consommation :

 

* Fumé en joint : la montée est rapide (le THC passe dans les poumons puis en quelques secondes dans le sang) et les effets se dissipent en 1 à 3 heures. Pour rouler, utilise de préférence le moins de papier possible (roule à l'envers). Pour le filtre, préfére le marocco (bout d'une cigarette) ou un filtre (vendu pour les clopes à rouler dans le commerce) au carton qui laisse passer plus d'impuretés. Si tu tiens au carton choisis-le le plus propre possible et évite ce qui est plastifié (papier glacé) ou magnétique (ticket de métro). Enfin, pour l'allumer, préfére un briquet car les allumettes contiennent du soufre. Il existe aussi des machines à rouler pour les moins habiles ou les plus fainéants.

 

* Fumé en bang (pipe avec refroidissement de la fumée par l'eau) : la montée est instantanée car la dose de THC inhalée en une fois est plus importante. Elle amène à une sorte d'étourdissement (flash) qui concentre les effets du cannabis de façon intense pendant une quinzaine de minutes. Si tu fabriques ton bang évite les matières toxiques comme la pointe d'un marqueur pour la douille et les plastiques.

Si tu ajoutes du tabac pour ton joint ou ton bang pense alors que ses effets et ses risques, surtout la dépendance à la nicotine, s'ajoutent à ceux du cannabis. La sauge, le chanvre sans THC ou les cigarettes sans tabac vendues en pharmacie sont des alternatives possibles.

 

* Avalé : la montée prend le temps de la digestion et peut donc s’étaler sur plusieurs heures (2h30 à 3h après ingestion). Les effets peuvent alors durer très longtemps (+ de 12h) selon le mode de préparation (pâtisserie, beurre, sirop...) et de la quantité consommée. Evite d'avaler du cannabis tel quel, tu risques d'avoir des maux de ventres voire une intoxication alimentaire.

 

* Avec un vaporisateur (ou bud bomb). Moins connu cet appareil consiste à chauffer ta beuh ou ton shit, sans toutefois les brûler comme c'est le cas en fumant. Les effets et la durée d'action du produit sont comparables à ceux d'un joint. Cette méthode présente moins de risque car ainsi on n'inhale moins de substances indésirées comme les goudrons, on évite d'utiliser du tabac et des feuilles à rouler et il est plus facile de doser ce que l'on prend.

 

2.3-mais c'est aussi...(effets indésirables)

 

Le cannabis a subi une banalisation telle que son usage est plus souvent régulier que récréatif, et on a parfois l’impression à tort, que, comme l’alcool, ce n’est pas une « vraie » drogue.

Pourtant même un habitué peut faire un bad trip. Le plus courant, la crise de parano, peut prendre plusieurs aspects mêlant l'inhibition (repli sur soi), la tachycardie (accélération du rythme cardiaque), une modification de la perception de soi même, des autres ainsi que de l’angoisse. Dans la plupart des cas, ces symptômes disparaissent avec les effets du produit, toutefois, il arrive que le traumatisme engendré par ces bad trips modifie durablement la pensée ou le comportement. Ressentir ces symptômes lorsque tu fumes doit t’alerter : il est temps de freiner sur le bédo voire d'arrêter !!! N'hésite pas à en parler à tes proches ou à consulter un professionnel de santé si tu n'y arrive pas seul. Si tu es fragile psychologiquement évite de consommer du cannabis.

 

Pour les adeptes du bang : le "flash" ressenti amène à vouloir en reprendre pouvant conduire plus rapidement à la dépendance. Bien souvent, pour retrouver la sensations du flash, le rythme des prises et les doses augmentent. D'autre part la respiration plus profonde nécessaire pour "couler" la douille, favorise la dégradation plus en profondeur de tes poumons. Même utilisé occasionnellement, il convient de vérifier la propreté du bang de l'embouchure à l'eau utilisée.

 

Le THC peut aussi provoquer des malaises. Ce risque est augmenté si tu es à jeun, si tu as pris d'autres prods y compris l'alcool ou lors de pratiques consistant à augmenter la dose de THC inhalée : bang, arbre à joint, aquarium...

 

A plus long terme, le cannabis est aussi souvent accusé de "démotiver". La flemme et/ou une "fatigue" peuvent s'installer. De même, des pertes de la mémoire courte peuvent apparaître plus ou moins souvent.

 

Le cannabis lorsqu’il est fumé est plus cancérogène que le tabac. C'est en ®allumant le joint ou la douille que la plus grand quantité de goudron est aspirée. Si tu passes ton temps à rallumer tes joints utilise un papier plus épais.

 

Pour un fumeur régulier, s'il ne semble pas y avoir à proprement parler de dépendance physique au cannabis, il existe une dépendance psychique, voire sociale (tu ne peux pas voir tes potes sans fumer avec eux). De plus ton humeur et ton moral peuvent varier en fonction de ton accès au produit.

Il est assez difficile d’arrêter le THC mais pas impossible.

 

Un bon moyen de minimiser les risques est de réduire ta consommation et de gérer des pauses régulières de quelques jours à plusieurs mois sans fumette.

 

On constate que d'autres produits, alcool en tête, sont souvent associés au cannabis. Si tu es un consomateur régulier, ton envie de rouler des pets monte en flèche lorsque tu consommes d'autres prods et tu peux fumer une grande quantité de cannabis sans t’en rendre vraiment compte, car ses effets sont plus ou moins annulés par les produits qui te "speedent". Evite de rouler pétard sur pétard quand tu a consommé d'autre prods, ça ne t’apportera pas forcément l’effet recherché.

 

Attention au mélange LSD-Cannabis : ce dernier peut aussi bien t'aider à gérer les effets déségréables du LSD que déclencher un gros bad trip.

 

Pour les futures mamans : le cannabis, sous quelque forme que ce soit (fumé même passif, vaporisé ou ingéré..) risque de diminuer le développement du foetus qui s'alimente en parti grâce aux tissus graisseux dans lesquels s'accumule le THC. Une fumeuse régulière doit penser que le corps peut mettre jusqu'à 3 mois à éliminer totalement le cannabis.

 

2.4-conseils pour réduire les risques

 

# Renseigne-toi au maximum sur le produit : origine, effet, puissance, coupe...

# La première fois n'en prend qu'un peu et attends les effets

# Entoure toi de personnes de confiance dans un contexte rassurant.

# Evite de consommer plusieurs produits en même temps. Le mélange de substances différentes multiplie les risques et est dans certains cas très dangereux.

# Plus tu aspires profondémment, plus c'est nocif pour tes poumons, gorge...

# Si tu fumes, pense que ta fumée est aussi pour les poumons des autres. Demande-leur leur avis !

# Espace ta conso en te ménageant des pauses de plusieurs jours,semaines,mois..

# Ne risque pas ta vie et celle des autres en conduisant un véhicule (même un vélo!) .

# Evite de prendre le volant et d’entreprendre une activité à responsabilité (Travail, Etude, Repas de famille...).

# Et n’oublie pas le gel et les préservatifs.

 

2.5-en cas de surdose

 

Sensation de « tomber dans les pommes « (malaise vagal) : s'allonger, jambes relevées, manger quelquechose de sucré, ré-hydrater, se reposer, surveiller. Surtout attendre avant de rebaisser les jambes, la personne doit pouvoir se relever seule, à son rythme.

 

En cas de perte de conscience : allonge la personne sur le côté, défais tout ce qui peut gêner la respiration(col, ceinture...), alerte ou fais prévenir les secours (112). En attendant appelle la personne par son prénom en lui demandant d'ouvrir les yeux, de serrer ta main. Prévois un truc sucré et reporte toi aux infos juste au dessus si la personne reprend conscience.

 

2.6-coordonnées utiles

 

Urgences - Secours Tel : 112

 

Sida info Service Tel : 08 00 840 800

 

Hépatites Info Sevice Tel : 08 00 845 800

 

Drogues Alcool Tabac Info Service Tel : 0 800 23 13 13 ou sur https://www.drogues.gouv.fr

 

Pourquoi une carte de consommateur pour le cannabis alors que le tabac et l'alcool s'achètent normalement...

 

Est ce que quelqu'un sait si des associations pro-cannabis ont déjà développées des modèles de légalisation ? Pour qu'on est une base pour débattre, on ne va quand même pas tout inventer !? :-?

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Invité CharlieChaplin
Pour qu'on est une base pour débattre' date=' on ne va quand même pas tout inventer !? [/quote']

 

C'est ce que je me dit souvent :/

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Invité CharlieChaplin

En regardant l'emission sur france 2 je viens de penser a un truc. La prevention ne doit pas se faire que sur les enfants mais bien sur les parents aussi!

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salut

 

moi je pense qu'il faut apprendre a faire la part des chose

 

c'est à dire -->

 

1/différencier les drogues (c'est pas pareil le cannabis et l'éro!!)

2/par jerM le 21/3/2009 17:24:53

 

Je crois que la relation aux drogues doit se faire sans tabou mais avec restrictions.

 

3/arreté d'étre hypocrite

 

voila ma petite vision a moi j'éspére j'ai pas été hor sujet sur ceu

 

+++

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salut

 

houlala tu te lances dans de gros chantiers là mon pauvre charlie.

 

alors moi j'ai deux thèses:

 

1) on peut difficilement faire comprendre de manière sérieuse la notion de drogue, ses effets et ses dangers à un ado qui est par définition perturbé et dont la principale raison de vivre pour le moment est de s'amuser.

 

un ado c'est con..

 

La prévention se heurtera à l'éducation qu'il a eu depuis sa naissance, à ses expériences et sa personnalité.. en gros il s'en foutra donc c'est inefficace.

 

2) cette seconde idée peut paraitre tordue et liberticide mais imaginez la.

Partant du postulat que la guerre contre la drogue soit terminée et que nous vivons dans un monde ou son accès est réglementé et réservé aux adultes donc interdit au mineurs.

 

Dans ce cas je pense qu'il faudrait instaurer avant le début des études ou de l'emplois et aux même titre que le baccalauréat ou autres diplômes de certification de formation, un passage chez un psy.

 

en gros: un diplôme de "j'ai fais ma psychothérapie et suis enfin devenu un adulte épanoui et responsable de sa vie et non pas un adulte qui se comporterai toujours comme un gamin sur le plan émotionnel".

 

à partir de là les jeunes ayant des troubles psychiques se verrait proposer un traitement psychologique et ceux qui auraient évolué pourraient être éduqués consciemment sur la drogue..

 

vous imaginez l'impact incroyable sur la société humaine??

 

ceci dit imposer une psychothérapie à quelqu'un est impossible car c'est une démarche basée sur la volontée.

 

mon idée bloque mais ou ça? peut-être que pour pouvoir inculquer aux jeunes les réalité de la drogue, il faudrait déjà leurs inculquer les réalités de la vie! et on en revient à l'éducation dans sa globalité, donc au parents.. ce qu'a noté charlie

 

envoyer les parents chez un psy alors? envoyer tous les français chez des psys? les chinois aussi?

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Invité CharlieChaplin
houlala tu te lances dans de gros chantiers là mon pauvre charlie.

 

Il faut soulever les montagnes !

 

Je trouve la prevention télévisé inutile. Mais pas la prevention d'une facon generale qui creer un dialogue par exemple (exterieur a cocon familial mais qui est parfois plus souhaitable et benefique)

(des mecs viennent et ECOUTE au lieu de parler si je peux resumer ca comme ca)

 

Sinon Mon gros sanglidou c'est tres intelligent ce que tu dis. ;-)

 

Et loin d'etre liberticide. Bien au contraire!

Bon d'accord comme beaucoup qui te liront je pense que les gens doivent se dire et moi le premier "Un psy n'arrivera pas a etre parfaitement objectif, il lui sera difficile de faire un diagnotic precis patati patata"

 

Mais comme toute idée novatrice ca se creuse tout ca!

 

Donc pas liberticide pourquoi?

 

Les problemes psychologiques c'est un probleme de pays riche Mais stress du travail, anxieté enormement de gens en france en souffre je dis ca simplement pour ceux qui aurez une image negative d'un psy. C'est une personne avant tout avec qui on doit discuter partager.

 

Bon mais c'est pas tout a fait le sujet

non liberticide pourquoi? (2eme fois XD)

 

Parce que c'est justement la responsabilité qui te donne de la liberté. Un enfant n'est pas libre. Ses hormones, son cerveau pas terminé, l'autorité parentale. Enfin rien.

Or s'interesser un peu plus sur le niveau de maturité d'un individu c'est probablement pouvoir l'aider a se responsabiliser aussi (pas a 12 13 ans on est d'accord) mais a 18 20 ans c'est pas idiot (je ne me considere pas comme un individu parfaitement responsable je fais plus de connerie débile mais bon ...)

 

Bon voila je suis enfumé, c'est brouillon, je galere.

 

Et puis les reponses au idées novatrice sont jamais parfaite hein ^^

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