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Messages posté(e)s par deeWeebz

  1. J'ai pris contact avec l'organisateur, et ça s'organise bien. Mais il n'y pour l'instant personne de rennes ou des alentours. Si des cannaweedeur rennais sont motivé, manifestez-vous svp. :)

    @Coup-Choux.Fr - il faut modifier l'image du cannabis en France, je suis complètement d'accord. Mais pour ça il faut que les media en parle, il faut qu'ils écoutes le camps des anti-prohibitionniste . C'est ce genre d'actions qui peut faire du bruit, et c'est le but. Personnellement je suis jeunes, convaincu et informé sur le sujet, si d'autres personnes de tout ages sensé sortent du placard, on pourra peut être enlever l'image gangsta des banlieu et Soixante Huitard nostalgique , qui caractérise le cannabis chez les opposant .

  2. le crois que ce n'est malheureusement pas un cas qui va faire changer la direction qu'a prise les pays-bas. La seule solution est un changement de gouvernement. Mais heureusement des élection anticipé vont avoir lieu en septembre. Il reste encore une chance a cours terme que les pays-bas reviennent en arrière. Sinon il faudra attendre que les choses ai gravement dégénérer pour qu'ils se rendent compte de tout ça (ça ne prendrai sûrement pas très longtemps ^_^)

  3. L'idée est bonne mais elle devrait pour le moment s'adresser aux seules usagers médicaux, les 3/4 des inscrits décrédibilise la cause et ramène a l'image négative du cannabis

     

    Pour info il existe une association destiné à aider uniquement les fumeur thérapeutique, c'est le "secours vert" (je précise également que le CSCF à prévus de faire des dons au secours vers avec le surplus de stock) :

    "Secours vert" est un concept né d’une discussion, plus généralement d’une constatation hélas trop souvent observée.

     

    On parle de plus en plus souvent, dans la presse locale et nationale, de situations tout à fait ubuesques. Situations où des malades se font dépouiller de leur traitement par la police, sous prétexte que ce traitement est interdit dans la législation française.

     

    « Secours vert » est un réseau d’entraide d’urgence pour des personnes atteintes de maladies graves qui recourent au cannabis afin de soulager leurs douleurs. Le but est d’apporter une aide matérielle, financière ou juridictionnelle aux malades qui sollicitent ce réseau de solidarité, en faisant appel à la générosité de donateurs.

     

    « Secours vert » est une association de fait, initiative citoyenne sans existence légale, étant donné le contexte législatif français pouvant considérer cette opération comme une multitude d’I.LS. (Infractions à la Législation sur les Stupéfiants). Prenant en compte l’action de la PRISAM (Patients et Réseau d’Information sur les Alternatives Médicales), pour laquelle les poursuites judiciaires auront causé de nombreux soucis à son initiateur, dont des conséquences directes sur sa santé, « Secours vert » accomplira donc sa mission de manière clandestine.

     

    Nous plaidons une réforme de la loi française relative aux stupéfiants pour que cesse cette « mise en danger d’autrui », consistant à priver un patient, cultivateur ou non de cannabis, d’un remède qui le soulage de manière optimum, sans comparaison avec les médicaments synthétiques, ne parlons pas des effets secondaires...

     

    « Secours vert » souligne pour justifier son action de désobéissance civile que le législateur est responsable de « non assistance à personne en danger », en choisissant d’ignorer le problème et de maintenir une loi dont les effets "secondaires" sont souvent plus graves que ceux des substances elles-même.

     

    Rappelons que la loi française sur les stupéfiants interdit « la production, le transport, la cession, l’usage... » de produits stupéfiants. Face à cette réalité, « Secours vert » s’organise comme un réseau de résistants, et appelle à la désobéissance civile et collective pour une solidarité compassionnelle revendiquée et effective.

    • Like 1
  4. Oui je suis d'accord, je ne pense pas qu'il pourront exercé une activité de cannabis social club librement comme dans d'autres pays comme l'espagne. Le but étant probablement de faire avancer le débat, de faire du bruit , comme ils le présise :

    Si malgré tout nous sommes poursuivi, nous exigerons d'être jugés collectivement et que la loi soit scrupuleusement appliquée, à savoir: cour d'assise spéciale et perpétuité...
    cette affaire aurai le mérite d'avoir un écho dans les média, de proposer un modèle alternatif à une légalisation et qui a le mérite d'être crédible et raisonné.

    Je suis impassiant de voir l'évolutions de tout ça, ce sont des gens comme ça qui feront bouger les chose.

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  5. Voila je viens de découvrir que le premier cannabis social club français est en train de s'organiser :plus: . La liste officiel de ses membres (probablement 500) sera annoncé le 18 joint ^_^ .

    OperationActeDeConscienceCitoyenne

     

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    Description :

    Action collective et solidaire en forme de désobéissance civile avec pour objectif la régulation du cannabis produit en France sous forme d'un club privé de consommateurs, le CSCF, Cannabis Social Club Français qui répond aux conditions du code de conduite suivant:

     

     

    CODE DE CONDUITE DU CANNABIS SOCIAL CLUB FRANÇAIS (source ENCOD adapté pour la France)

     

    En raison de l’absence de cadre légal pour la culture du cannabis à usage personnel, nous, quelques consommateurs et consommatrices de cannabis de toute l’Europe, avons été à l’origine de notre propre modèle de régulation et de contrôle.

     

    Ce modèle, appelé Club Social du Cannabis , permet d’éviter que les consommateurs de cannabis soient impliqués directement dans des activités illégales, et de garantir un certain nombre de conditions quant à la santé publique et à la sécurité.

     

    Les Clubs Sociaux du Cannabis (CSC) sont des associations déclarées, a but non-lucratif composées d’adultes qui consomment du cannabis. Ils peuvent être mis en place légalement dans des pays où la culture pour usage personnel a été décriminalisée.

     

    En France ce n’est pas encore le cas, pour que le CSCF puisse agir de façon expérimentale afin de préparer le changement des lois sur la culture de cannabis pour usage personnel, il faut que nous, consommateurs* et des autoproducteurs* nous nous engagions collectivement dans une résistance citoyenne et solidaire et que dans un acte collectif de désobéissance civile, n'écoutant que notre conscience citoyenne imposions immédiatement les changements nécessaire à la mise en place du CSCF.

    Selon l’article 12 de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne, "toute personne a droit à la liberté de réunion pacifique et d’association à tous les niveaux".

     

    Si malgré tout nous sommes poursuivi, nous exigerons d'être jugés collectivement et que la loi soit scrupuleusement appliquée, à savoir: cour d'assise spéciale et perpétuité...une telle cour serait une première en France...alors en + pour des centaines de "criminels vert auto-déclaré à l'avance"...ce serait embarrassant!!! voir encombrant pour la machine judiciaire...

     

    Les CSC organisent la culture collective d’une quantité de cannabis correspondant à la consommation personnelle de ses adhérents. La capacité de production d’un CSC est basée sur l’estimation de la consommation annuelle globale et d’une réserve raisonnable pour compenser un risque de récolte réduite ou de vols, et avoir une "production de secours" pour des personnes qui consomment du cannabis pour des raisons médicales. Le règlement intérieur d’un CSC inclut un protocole sur la gestion d’excédents éventuels.

     

    Avant d’être membre d’un club, le postulant doit déclarer être consommateur de cannabis ou fournir un certificat médical sur son diagnostic afin de vérifier si cette personne souffre d’une maladie pour laquelle le cannabis est indiqué. La référence étant la liste publiée régulièrement par l’IACM (International Association for Cannabinoid Medicines).

     

    Les CSC ont un protocole d’adhésion de leurs nouveaux membres qui inclut une explication de leurs droits et de leurs devoirs, une estimation de la quantité consommée et une conversation privée sur l’histoire de leur consommation. Cela permet aux clubs d’identifier des consommations problématiques (psychopathologie) et de répondre à cette situation. Les Clubs Sociaux du Cannabis appliquent une politique effective de prévention et de réduction des risques, favorisant des pratiques plus sûres de consommation de cannabis pour ses membres.

     

    Les Clubs Sociaux du Cannabis possèdent un registre exhaustif sur la consommation effective de leurs membres à partir de la culture collective, registre qui contiendra au moins le numéro du membre, la quantité retirée et la date du retrait. Ce registre devra être géré de façon à garantir la protection des données à caractère personnel. Par ailleurs, les quantités distribuées seront limitées afin d’éviter que soit facilité l’usage de tierces personnes.

     

    Les Clubs Sociaux du Cannabis possèdent un registre exhaustif de la culture, dans lequel l’association relèvera les dates et les cultures programmées, ainsi que les méthodes utilisées pour la culture et les quantités récoltées propres à la consommation. Des inspections aléatoires auront lieu sur les cultures par des représentants de l’administration afin de vérifier l’emplacement, les mesures de sécurité et le volume estimé de la production.

     

    Les méthodes de culture, traitement après récolte etc. répondent aux normes de l’agriculture biologique et de développement durable.

     

    Une fois réalisé le contrôle de la récolte et quantifié le volume final de la production, l’association émettra une autorisation écrite pour le transport de la production depuis le lieu de culture jusqu’au local où est finalisée la distribution contrôlée.

     

    Les Clubs Sociaux du Cannabis se caractérisent par leur transparence, leur organisation démocratique et non-lucrative. Ils fonctionnent comme une association, avec un libre accès à la comptabilité pour les membres de façon à ce qu’ils puissent voir comment les prix sont calculés et comment est dépensé l’argent. Les CSC organisent une assemblée générale au moins une fois par an où sont discutés et approuvés les rapports annuels. Ces rapports incluent un compte-rendu complet des recettes et des dépenses de l’année fiscale précédente, en accord avec les règles établies.

     

    Les Clubs Sociaux du Cannabis peuvent décider d’employer du personnel qui devra recevoir une rémunération raisonnable.. Ils contribuent ainsi à la création d’emplois, à la relance économique et à l’économie du budget attribué à la prohibition.

     

    Contrairement aux fournisseurs de cannabis qui opèrent sur le marché illégal, les Clubs Sociaux du Cannabis sont disposés à dialoguer avec les autorités pour faire connaître leur méthodes et le cadre de l’élaboration d’une régulation légale du cannabis. Les autorités locales auront un intérêt dans cette régulation qui facilitera le contrôle des CSC pour assurer une manière transparente et sûre de travailler . Ainsi, ils créent une alternative au marché noir, évitant l’accès des mineurs au cannabis, ils contribuent à la réduction de dépenses publiques et génèrent des impôts. Pour le CSC la régulation présente l’intérêt de garantir le statut légal de son organisation et de ses activités.

     

    *: qui adhèrent pleinement au présent code de conduite ainsi qu'au moyen utilisé pour obtenir les changements nécessaires à son application

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  6. Nous savions déjà que Barak Obama avait déclaré, pendant ça campagne, avoir essayé la marijuana une fois. Un article de la NORML (organisation américaine a but non lucratif "the National Organisation for the Reform of Marijuana Laws") nous dévoile un extrait d'une prochaine biographie de Barack Obama ("Barry Obama" de son ancien pseudo), on y apprend que Barack était un faite un "gros" fumeur de Marie-jeanne. Il aurait même participé à des aquariums (fumer dans une voiture avec les fenêtres fermé).

    L'article : https://blog.norml.org/2012/05/25/barry-obama-loved-marijuana-president-obama-now-locks-people-up-for-it/

    La source de l'article (plus complet) : https://www.buzzfeed.com/gavon/a-users-guide-to-smoking-pot-with-barack-obama

     

    Que pensez vous-ça?

    Quelqu'un aurait-il le courage de traduire cet (ces) article(s) ? Personnellement je n'ai pas le courage ce soir, mais si ça vous intéresse et que personne le fait j'esserais de traduire tout ça .

     

    obama_youth_04.jpg:cool2:

     

    New insight into the early life of Barack Obama has been recently made available in the form of excerpts from the forthcoming biography, “Barack Obama: The Story.” Apparently young Barry Obama, like countless of his contemporaries, enjoyed partaking in the use of marijuana. The president even was a trendsetter amongst his peers:

    As a member of the Choom Gang, Barry Obama was known for starting a few pot-smoking trends. The first was called “TA,” short for “total absorption.”

     

    Along with TA, Barry popularized the concept of “roof hits”: when they were chooming in the car all the windows had to be rolled up so no smoke blew out and went to waste; when the pot was gone, they tilted their heads back and sucked in the last bit of smoke from the ceiling.

    He also was unafraid to go against proper smoking protocol:

    Barry also had a knack for interceptions. When a joint was making the rounds, he often elbowed his way in, out of turn, shouted “Intercepted!,” and took an extra hit. No one seemed to mind.

    What is clear from these anecdotes is that not only did Barry Obama try cannabis, but he was what many would refer to as a recreational user, a “stoner” if you will. Which begs the question, when exactly did Barry Obama, who participated in three foot bong hitting contests, become President Barack Obama, who laughs off the issue at town hall meetings, oversees the annual arrest of 850,000 Americans for marijuana violations, and ramps up the war against medical marijuana to new heights?

     

    It is time the President says publicly what he already knows personally: Responsible marijuana use should not be a crime and it is time we put an end to the war on cannabis consumers.

    enhanced-buzz-16463-1337111636-0.jpg

    enhanced-buzz-5127-1337113414-0.jpg

    Qu'a bien pu-t-il ce passer pour que ce sympathique Barry Obama :plus: devienne le president Barack qui continue cette absurde guerre a la drogue? :wacko::icon_confused:

    (non je ne pense pas à une forte pression des sociétés pharmaceutiques, d'alcool, de tabac et des prisons privées <_< )

  7. Je viens de tomber sur cet étrange article

     

    https://blogs.lesinrocks.com/droguesnews/2011/10/07/californie-les-cliniques-de-marijuana-medicale-ont-45-jours-pour-fermer/

    Je n'ai pas trouvé d'autres article en français, ce qui m'a intrigué.... :blink: es vrai?

    En cherchant un peut plus je suis tomber sur cet article en anglais :

    https://the420times.com/2011/10/the-obama-administration-declares-open-war-on-medical-marijuana/

    Désolé mais je ne pourrai pas vous le traduire à cette heure ci (05h00)^^ .

    Qu'en pensez vous?:icon_confused:

     

     

     

    LES INROCKS

     

    J'ai été très surpris en lisan cette article (trouver sur google news). Pensez vous

    Californie: les cliniques de marijuana médicale ont 45 jours pour fermer

    7/10/2011

    Marijuana-Medicale_Californie_604

     

    On sentait la pression monter depuis quelques mois, cette fois les jeux semblent faits: des propriétaires de cliniques de marijuana médicale californiennes ont réçu ces derniers jours un courrier des autorités fédérales leur enjoignant de fermer leur commerce dans les 45 jours. Des lettres qui ont causé un vif émoi au sein d’une industrie qui pèse plus d’un milliard de dollars pour la seule Californie. Et la confirmation du revirement de l’administration Obama, visiblement débordée par le phénomène.

     

    En février 2009, conformément aux engagements de campagne de Barack Obama, le Département de la Justice s’engage à ne plus poursuivre les usagers de marijuana médicale dans les Etats autorisant son usage. Les dispensaires, eux, restent une cible pour Washington, mais de fait, les raids menés par les fédéraux sous l’administration Bush prennent fin. Conséquence de cette accalmie: le nombre d’usagers de marijuana, plus vraiment médicale, explose. Entre 2004 et 2011, l’Etat délivre près de 60 000 cartes autorisant les porteurs à consommer de la marijuana médicale. Dans la seule ville de Los Angeles, on compte plus de 600 cliniques, où le médecin vous fait une prescription en 5 minutes, juste à côté du guichet où l’herbe est quasiment en vente libre. La marijuana est, de facto, dépénalisée en Californie.

     

    Mais depuis quelques mois, l’administration Obama tente de faire machine arrière. Au mois de mai, les raids reprennent dans le Montana puis dans d’autres Etats pour faire fermer des cliniques. Dans le Colorado, les services fiscaux tentent de faire pression sur les propriétaires. Et déjà, les procureurs généraux de plusieurs des quinze Etats à avoir légalisé la marijuana médicale adressent des courriers aux propriétaires de cliniques pour les menacer de poursuites, sans plus de détails:

     

    « Nous restons déterminés à faire vigoureusement appliquer les lois fédérales envers les individus et les organisations qui participent illégalement à la production et à la distribution de marijuana, même si ces activités sont permises par les lois locales. »

     

    Il y a quelques jours, dans un surprenant mémo, le Département de la Justice précisait qu’il est interdit de vendre des armes ou des munitions aux fumeurs de cannabis thérapeutique.

     

    Cette fois, la menace semble se préciser. Et ce dans l’Etat le plus emblématique du boom de la marijuana médicale. Plusieurs propriétaires de dispensaires ont reçu cette semaine un courrier leur laissant 45 jours pour fermer boutique, sous peine de passer 40 jours à l’ombre et de voir leurs biens saisis. Dans la lettre adressée le 29 septembre au Marin Alliance for Medical Marijuana in Fairfax, le plus vieux dispensaire des Etats-Unis, il est précisé qu’il se situe à moins de 300 mètres d’un parc, ce qui serait interdit par la loi. Les autres courriers ne font toutefois pas état de cet élément. Les quatre procureurs fédéraux de Californie doivent donner une conférence de presse ce vendredi pour préciser les actions qui devraient être menées.

     

    « La bureaucratie fédérale continue de faire ce qu’elle fait depuis quinze: se cacher la tête dans le sable et dire non à tout cela », conclue Dale Gieringer, directeur de l’association antiprohibitionniste NORML en Californie. Idem, donc, du côté des propriétaires cliniques, dont aucun ne semble pour l’instant décidé à fermer boutique…

     

    Arnaud Aubron

     

     

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    THE 420 TIMES

     

    The Obama Administration Declares Open War On Medical Marijuana

     

     

    Last night shock waves were sent through the cannabis community when the AP reported that the federal government has launched an attack on medical marijuana in California.

     

    In an escalation of the ongoing conflict between the U.S. government and the nation’s burgeoning medical marijuana industry, California’s s four U.S. attorneys sent letters Wednesday and Thursday notifying at least 16 pot shops or their landlords that they are violating federal drug laws, even though medical marijuana is legal in California. The attorneys are scheduled to announce their coordinated crackdown at a Friday news conference.

     

    It’s odd that The Obama Administration can’t seem to stand up to Republicans or foreign countries or even manage a coherent political strategy in foreign or domestic policy, but they can find the backbone to go after sick people in California.

     

    Barack Obama doesn’t have the fainest idea how to create jobs or end wars, but he does know one thing: he doesn’t like medical marijuana.

     

    Calling “federal efforts to shut down licensed dispensaries in California is a full frontal attack by the Obama Administration,” Kris Hermes at Americans For Safe Access told The 420 Times “it’s unclear if the federal government has the resources or inclination to act on any of these threats, but for the price of postage they are engaged in wholesale intimidation.”

     

    “By shutting down dispensaries, the Obama Administration is pushing legal patients into the illicit market,” Kris said. “In addition to the unnecessary harm this policy brings, it is a tremendous waste of taxpayer dollars at a time of fiscal crisis.”

     

    The Fed crackdown is supposed to be made official today. Barack Obama has been very clear in his dislike for marijuana – at least since his flip-flop on the issue upon taking office – and has been very clear in the fact that he doesn’t care whether sick people have safe and reliable access to medical cannabis.

     

    The millions of cannabis users who voted for Obama in 2008 should no longer care whether he has a job or not. Let him join the millions that have become unemployed since he took office.

     

    - Joe Klare

  8. Un officier de la gendarmerie italienne a été récemment arrêté par ses propres collègues à Grotte di Castro, dans la province de Viterbe, à 100 kilomètres au nord de Rome, rapporte Il Mattino. Le motif? Le «maréchal carabinier» cultivait tranquillement de la marijuana dans une pièce adjacente à son appartement de fonction, au sein même de la caserne des gendarmes.

     

    Angelo Benfante, 46 ans, qui comptait dix ans de commandement du poste local de Grotte di Castro, a été arrêté avec son frère de 36 ans. Le commandement provincial de la gendarmerie a publié un communiqué indiquant que le gendarme arrêté «avait été immédiatement suspendu du service».

     

    Durant la perquisition du logement de fonction du gendarme, les carabiniers italiens ont trouvé et mis sous séquestre 17 plants de marijuana. Une enquête sur le trafic de drogue local avait mis les gendarmes sur la piste de leur propre collègue et de son frère, qui se rendait très fréquemment à la caserne des gendarmes.

    A.-L.B.

     

    https://www.20minutes.fr/ledirect/772128/gendarme-cultivait-marijuana-sein-caserne

  9. Combien de temps avant qu'il se rendent compte de leurs erreur?

    C'est vrai que ce n'est pas tout a fait de leurs faute, c plus leurs chère voisin européens dont nous faisons parti.

    Enfin, si ils arrive a croire que ça va alléger les problèmes de drogues la-bas il risquent d'avoir des surprise.

    C'est les dealers dans les rues qui vont êtres content, ils ont un tout nouveau marché maintenant. :S

    J'espers sincèrement qu'ils changeront d'avis, je n'ai encore jamais pu faire mon voyage au pays bas :'(

  10. Combien de temps avant qu'il se rendent compte de leurs erreur?

    C'est vrai que ce n'est pas tout a fait de leurs faute, c plus leurs chère voisin européens dont nous faisons parti.

    Enfin, si ils arrive a croire que ça va alléger les problèmes de drogues la-bas il risquent d'avoir des surprise.

    C'est les dealers dans les rues qui vont êtres content, ils ont un tout nouvea

  11. Merci pour tout vos conseils.

    Je vais donc commencer par arroser tout les trois jours, j'ai également enlevé les sac plastiques pour éviter que de le stagne au fond.

    Sinon pour préciser quelques point supplémentaire, je met environs 3à 4 ml de Bio-Grow (engrais de croissance) dans 2L d'eau que je partage pour mes deux plantes . Mes pots sont de dimension 22x22x26cm.

     

    Je souhaitais passer mes plante en floraison, mais je suppose qu'il faut mieux attendre que celles-ci se sente mieux avant de leurs faire subir, ai-je tort?

     

    En tout cas je vous tiendrai au courant de l'évolution de la situation, particulièrement pour la plus jeune qui est encore en bonne santé et que je ne voudrais pas voir déperire .

     

    En tout cas merci, ça fait du bien de pouvoir compter sur des connaisseur pour sa première plantation. :supair:

  12. Bonjours,

    J'appels les connaisseurs à me venir en aide.

    Pour ma première culture , j'ai installé une lampe HPS 250Wat ( à 40cm de mes plantes), avec un extracteur 250m3. J'utilise des graines silver haze #9 de Sensi Seeds, avec du terreau Green Label Light Mix et des engrais Biobizz. Je n'ai rien pour calculer l'hdrométrie ni la température mais je dirais au alentour de 25-30°c

    dsc0090zb.jpg

    (aujourd'hui toujours en croissance (18h de lumière par jours)

     

    Malheureusement cela fait quelque temps que les feuilles deviennes jaunes (sur la plante de gauche qui à environ 2 semaines de plus).

    dsc0083c.jpg

    Je me suis rendu compte en demandant des conseille que j'avais sans doute noyé ma plante ( et oui je l’arrosai tout les jours et probablement trop), cependant cette dernière à mis quelque temps avant de montrer le moindre signe de faiblesse. Je lui ai donc fait une sevrage d'arrosage pendant 3 jours, puis j'ai repris un arrosage tout les deux jours (environs un litre avant je me rapprochai des 2litres).

    Voyant les feuilles continuer à jaunir, j'ai rempoté ma plante dans du terreau tout neuf (il parait que les racines aurais pu ne pas supporter le trop plein d'eau).

     

     

    Je ne vois toujours aucune amélioration, et même je vois que ma deuxième plante commence à avoir les même symptômes précurseurs : le bord des feuille se replis et j'ai même pu apercevoir une petite feuille devenir jaune au pied de la plante, ainsi que des lignes brune qui apparaisse sur les tiges.

    dsc0092xx.jpg

     

    Qu’es que cela peut être? Un problème de pH?

     

    Merci d'avance pour tout vos conseils