CannaTwin

Bonjour à tous,

Je me suis toujours demandé comment les trichômes peuvent rester en place dans l'essoreuse, sachant que l'obtention du hash se fait par brassage des têtes.

Et je pense que la traction exercée sur les trichômes induite par la force centrifuge, est au moins égale sinon supérieure, à la force due à choc des têtes sur le fond du "tambour à hash".

Je crois savoir que c'est une idée reçue -puisque cette technique est employée- et j'aimerais avoir le pourquoi du comment.

@+ Le Twin.

Pour le coup du direct 12/12, c'est de toute façon ce que j'ai en tête, mais je vous présenterais mon projet lorsqu'il sera un peu plus mûr... Et suivra certainement un JDC débutant.

Merci pour la présentation, mais 13/20 c'est un peu du foutage de gueule

@+ Le Twin.

Salut kctus,

le problème est -d'après ce que j'ai lu- que les sativas montent, montent et montent encore...

Donc je me dis que 1,20 m ne doit pas être suffisant pour des plantes qui atteignent 2 m et plus en outdoor.

par kctus

13/20

Peux tu m'expliquer la note? Non pas que je sois parano, mais un peu quand même

@+ Le Twin.

Bonjour à tous,

Alors voilà, je me pose une question!

Cela va sans dire que j'ai effectué une recherche sur le site, et que je suis complètement inexpérimenté dans la culture du cannabis => 0 cultures à mon actif!

Par contre, j'ai une certaine expérience dans le monde -somme toute assez proche- du BonSai.

Ultime précision sur ma petite personne, je ne dispose pas d'un terrain où je pourrais faire pousser en toute quiétude, et ma hauteur sous plafond n'est pas de 3,5 mètres.

Placard en projet: 1,40 / 1,60 mètre de hauteur max de culture.

Place à la question:

Je souhaite savoir si il est tout de même possible de faire pousser une pure sativa, genre Original Haze ou Old Timmer Haze; mais dans un "si petit" espace de culture:

L 1,25 * l 0,70 * H 1,20

Et le tout en "torturant" la plante en poussant à l'extrême le supercropping: Palissage

Je m'explique:

En on utilise lors de la mise en forme extrême des conifère principalement la technique de la ligature; et plus particulièrement on "surexploite" la technique en recourant des sortes d'attelles avec du raphia.

Les images de cette technique pour le moins impressionnante:

Ceci aurait pour but de maitriser la hauteur de la plante en lassant pousser / plier; donc pour 1,20 m de hauteur de culture ça nous ferait 1 pliage arrivé à 1,20 m et ainsi de suite jusqu'à la fin du strech de la plante.

Avis aux amateurs éclairés afin de me conforter dans mon raisonnement, ou bien de démolir complètement cette hérésie :-?

@+ Le Twin.

Salut à tous,

Concernant ton problème, et vu mon projet -dont vous n'aurez aucune indication dans ce post- qui est en train de se mettre en place, voici mon point de vue:

Si comme moi tu compte partir de graine -c'est le cas- et si comme moi tu veux pérenniser ta culture -conserver les "bons" phénotypes- alors tu n'as pas d'autre choix que ça:

1) "Germiner" tes graines

2) Dans ton espace "croissance" conserver TOUTES tes plantes, qu'elles soient mâles ou femelles non déclarés dans ton espace croissance

3) Faire au moins 1 bouture de chaque plant germé

4) Arriver à maturation de chaque plant femelle des boutures

5) Sélectionner le ou les phénotype(s) qui correspond(ent) à ton ou tes besoin(s).

Pour le "5)" il s'agit bien là de TES désirs, à savoir que tu peux avoir selon les variétés plusieurs "individus" (phénotypes) ayant des caractéristiques différentes (+ ou - high, + ou - stones)!

Donc tu peux avoir la même variété avec différentes "espèces" ayant un effet complètement opposé: de HIGH à STONE (ça dépend de chaque individu "consommant la récolte" bien sûr).

Quoi qu'il en soit, si tu ne veut pas repartir de graines (de 20 à plus de 100€ les 10 tout de même) à chaque session, part de graines en zone "croissance" (18/10) pour obtenir des boutures en zone "floraison" (12/10).

J'ai même lu sans pouvoir mettre de lien que le passage de bouture -sans racine- à plante "aeroponique" -enracinée-, se fait sans aucun problème dans le cas d'aero haute pression; c'est à dire "au dessus de 10 bars" avec une belle brume.

Merci aux pros de confirmer ou bien d'infirmer (arguments de culture personnelle demandée) mes propos.

@+ Le Twin

Bonjour à tous,

La section présentation n'étant pas disponible, c'est mon histoire qui en fera office.

Pour ma part je pense qu'une dépendance psychologique très forte peut exister, en modérant tout de même par le faite qu'il y a des "personnalité" plus ou moins addictives; mais aussi (et surtout?) un environnement propice.

J'ai commencé à fumer à 18 ans -au lycée 1994- et au début je me contentai des joints qui tournaient autours de moi, puis assez vite je me suis mis à en acheter.

Le fait est que je n'était pas le plus populaire et n'était donc pas invité aux fêtes qui se déroulaient pour ainsi dire tous les week ends. Et je me disait que moi aussi j'avais bien droit à ces moments de détente...

Moments que bien évidement je cachais à tout le monde (même mes "potes" fumeurs). Faut dire aussi que j'alternais / mélangeais l'alcool.

Puis ma consommation n'a fait qu'augmenter -ah qu'il est loin le temps où 50 francs me faisaient 1 mois- surtout après que ma mère l'ai découvert (1996).

Ma politique était: "Tant que j'en ai, je fume".

Elle était tellement fermée à ça et je ne voulais tellement pas la décevoir que je lui ai promis d'arrêter! Tout en continuant encore plus discrètement... Mauvaise idée.

Durant l'année 1997, j'ai rencontré la femme qui partage ma vie actuellement; qui elle savait ma consommation sans connaître les quantités / fréquence. Et elle a osé me demander de faire un choix: "C'est le shit ou moi!"

Alors j'ai pris le beurre, l'argent du beurre et la crémière (attention pas de biz hein c'est juste pour l'expression). Et j'ai continué plus discrètement encore

Re-Mauvaise idée

là c'était dur! mais faisable, puisque 9 ans se sont écoulés durant lesquels elle ne m'a grillé qu'une quinzaine de fois...

Mais je ne vous donnerais aucune de mes techniques, et ne vous invite en aucun cas à en faire de même

Et depuis 3 ans où je fume ouvertement devant elle, à chaque crise qu'elle me fait ma consommation a tendance à faire un pic.

Pendant ces 15 ans, entre chaque achat il s'écoulait entre 2 semaines et 1 moi. Le tout sans être là à me demander si je "survivrais" à ça!

Par contre, j'admets ne pas pouvoir me passer de mes joints du soir (3 à 10) quand j'en ai! Et aussi le petit joint du matin quand j'ai abusé la veille... Je ne sais pas pourquoi, mais celui ci a tendance à me remettre dans le bain, alors que sans, je met bien 1 demi journée à émerger!

Il faut préciser tout de même que je ne fume JAMAIS quand je ne vais pas bien... sauf quand la baisse de moral arrive alors que je possède de la résine.

Tout ça pour dire aux consommateurs comme aux parents / conjoints soucieux que:

1) Oui il existe une dépendance

2) Oui l'excès arrive vite

Mais

3) Interdire ne sera JAMAIS la solution

Car pour moi, fumer n'est pas un problème. C'est fumer trop le problème!

J'estime ne pas avoir raté ma vie, étant détenteur d'un Bac +2 / situation professionnelle confortable on va dire / propriétaire d'un appartement / marié et j'espère bientôt un enfant...

enfin bref tout ce qui compose le cliché d'une vie "réussie".

Mais c'est bel et bien l'obligation de me cacher qui -pour moi- a accentué / modifié mon addiction.

J'insiste peut être trop mais selon moi:

Accepter un travers et accompagner pour sa diminution voir son arrêt si la volonté est là vaut mieux qu'une énorme rupture familiale et / ou sociale

@+ Le Twin.