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Messages posté(e)s par raweed

  1. article du site streetpress il fait partie d'un série d'article consacré au cannabis et aborde le suhet de facon assez original :)

    vous pouvez voir l’article sur le site ici : streetpress

     

    je vous recommande d'aller sur le site la miser en forme rend beaucoup mieux qu'avec mon copier collé !

     

     

    Reportage « Une copine qui fume de la weed ? Jamais de la vie ! » Dans la bouche d'un gros fumeur de joints ça surprend. Pour Lucie Sabaud d'Osez le féminisme: « L'absurdité du sexisme ressort extrêmement bien avec l'exemple du cannabis. »

    les-machos-du-cannabis

    Le cauchemar des machos du cannabis

     

    « Les mecs qui sortent avec des nanas qui fument ça me dérange pas, mais moi je n’aime pas ça. Au quotidien, je veux une fille clean, propre sur elle et qui ne fume pas de joints ». La phrase n’est pas signée Roger Sterling, le publicitaire macho de Mad Men qui « aime boire parce que c’est ce que les hommes font », mais Clément, étudiant en droit de 25 ans … et qui tourne en moyenne à 2 ou 3 joints par jour.

     

    Paradoxe Clément a-t-il fumé tellement de joints que les synapses de son cerveau ne font plus la connexion ?« J’assume ce côté “macho” » tranche celui qui a voté Martine Aubry à la primaire socialiste tout en reconnaissant que son attitude est « paradoxale ». Tu l’as dit bouffi !

    Des machos du cannabis vous en connaissez sans doute. D’Abou, titulaire d’un CAP qui explique sans rire un bédot à la main « qu’une fille qui fume c’est le Sheitan » à Guillaume l’analyste financier qui « vaporise » occasionnellement: Dans toutes les CSP il y a des foncedés pour qui s’exploser la tête à la weed reste une chasse-gardée masculine.

     

     

    Garçon manqué Argument numéro 1 des phallocrates de la ganja: Fumer ne serait pas féminin. Au point d’être corrélé avec le physique de ces filles bizarres qui aiment le cannabis. « Une fille qui fume fait souvent très garçon manqué, et je n’ai pas envie d’une copine qui fasse garçon manqué… », assène Guillaume, 25 ans qui a mis la théorie en pratique. En couple depuis plus 4 ans, sa copine – très féminine of course !- ne fume jamais alors que monsieur tire régulièrement sur des joints. « D’ailleurs elle est allergique à la fumée », explique le jeune pacsé pour qui la vie est donc vraiment bien faite.

     

    Potos Clément n’a jamais eu de copine fumeuse alors qu’il se définit lui même comme un gros fumeur (6 grammes hebdomadaires) : « C’est comme avec le hip-hop. J’adore cette musique, je la partage avec mes potes, mais entendre ma nana chanter Mobb Deep ça me dégoute. Ce n’est pas féminin ».

     

    Fumer du bédot avec ses potes en écoutant du gros rap East Coast, c’est la version 2010 de ton grand-père cuit au pastis qui joue à la belote avec ses collègues. Guillaume le fumeur occasionnel qui travaille dans les hautes-sphères de la finance ne dit pas autre chose :

     

    « Joints, PES et rap sont le trio des soirées entre mecs. Les filles ont un autre truc. C’est ni mieux ni moins bien mais différent… Le jour où on fera les mêmes choses ce sera flippant: Demande à une fille si elle aimerait que son mec porte du maquillage. La plupart te diront non »

     

    Ce que les filles font pendant que Guillaume et ses potes fument des joints? « Boire du vin blanc en regardant Sex and the City »…

     

    Entendre ma nana chanter Mobb Deep ça me dégoute

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quand on fume, faut pas se leurrer, on ressemble à une loque

     

    Les féministes elles en pensent quoi ? « C’est une attitude machiste et raciste ». Lucie Sabau n’y vas pas par 4 chemins pour casser nos machos du cannabis. Bonne âme, la membre de l’association Osez le féminisme leur donne un petit cours d’introduction aux gender studies, histoire de les mettre au courant de ce qui s’est passé lors des 30 dernières années:

     

    « Pour nous les féministes, masculin ou féminin c’est une erreur de lecture. Ça fonctionne comme pour le racisme: on constate des différences d’attitudes entre deux groupes et comme on ne sait pas les expliquer alors on en déduit des stupidités ! On donne des attributs sur les organes ! L’absurdité ressort extrêmement bien avec l’exemple du cannabis »

     

    Ce que regrette Lucie, c’est que nos machos du cannabis « sont encore en train de demander aux femmes de s’aliéner à la séduction »:

     

    « Si je fume un pétard, je ne sens pas super bon, ce n’est pas gracieux, ce n’est pas ‘féminin’ … Ça induit que les femmes devraient toujours être dans la complémentarité, toujours en creux par rapport aux hommes. »

     

    Demande à une fille si elle aimerait que son mec porte du maquillage. La plupart te diront non

     

    Copine idéale Problème: Comment tomber amoureux d’une fille qui « ne sens pas super bon » et qui n’est « pas gracieuse ». « Voir ma copine avec les yeux rouges et l’air abruti après un joint, non merci », râle Clément quand il parle de « sa copine idéale ». Et quand Guillaume décrit ses séances de fumette, elles ressemblent à une véritable torture:

     

    « Le jour où t’es entre potes dans un parc la nuit par -10 degrés je n’aimerais pas qu’il y ait ma copine présente… C’est une question d’ambiance »

     

    Clément se place d’ailleurs volontiers « du côté des féministes »: « Je suis pour l’égalité des sexes ! » Mais hors de question que sa copine fume du cannabis comme lui le fait quotidiennement parce que la weed est « le plus souvent néfaste »: « Quand on fume, faut pas se leurrer, on ressemble à une loque ». Les machos du cannabis s’autorisent une faiblesse qu’ils refusent à leurs meufs.

  2. article du site streetpress il fait partie d'un série d'article consacré au cannabis et aborde le suhet de facon assez original :)

    vous pouvez voir l’article sur le site ici : streetpress

     

    je vous recommande d'aller sur le site la miser en forme rend beaucoup mieux qu'avec mon copier collé !

     

    Crash-test Infos pratiques, smoke test, avis de la rédac: StreetPress passe au crash-test deux «supermarchés de la drogue» de la petite couronne. Tu seras prévenu si tu chopes du shit de merde ou si tu rencontres un camion de CRS les poches pleines de beuh.

    deal-saint-ouen-vs-nanterre-deux-pointeuses-au-crash-test

    Qui a la plus grosse ?

     

    Cité Emile Cordon à Saint-Ouen

     

    1 Infos pratiques

     

    Où: Derrière la mairie de Saint-Ouen dans une petite cité

     

    Temps pour pécho (métro à métro): 14 minutes depuis la station Mairie de Saint-Ouen

     

    Les choix: Beuh et shit (moins souvent) en pochon et barrettes de 20 euros

     

    Quantité: 2,1 grammes pour notre pochon de beuh . Le shit on l’a perdu avant de le peser et les deux fois où on est retourné à la cité, il n’y avait que de l’herbe .

     

    Horaires d’ouvertures: “7 jours sur 7, toute la journée” dixit le dealer encagoulé

     

     

    La cité Emile Cordon est derrière un cimetière (Flick’r CC)

     

    Sécurité: Impec’. Une équipe d’une dizaine de guetteurs disséminés autour de la cité jouent les agents de sécurité et indiquent discrètement le chemin à suivre. (Oui, oui c’est bien à vous que parle ce jeune à capuche quand il murmure “Escalier 3, escalier 3” en regardant ses baskets).

     

    Présence policière: Attention, ça grouille de camions de CRS stationnés autour de la cité (voir ci-dessous). On s’en plaint au dealer qui sourit l’air de dire « c’est ton problème ». Ne comptez par sur lui pour vous donner une astuce pour quitter la cité discrètement.

     

    Accueil: Informel comme dans un McDonald. Ici tout le monde se masque le visage et les conversations sont limitées au strict minimum: “Tu veux quoi ?”, “Sors par la gauche”,“C’est bon”.

     

    Accès handicapé: Non, il faut monter les deux premiers étages de la cage d’escalier

     

    Parking: Possibilité de se garer à quelques mètres du local. Et les guetteurs veillent à ce qu’aucun vol d’autoradio n’attire l’attention de la police.

     

     

    Afficher Cité Pablo Picasso- Nanterre sur une carte plus grande

     

    Y aller avec ses enfants ? L’air de jeux en face du local ravira vos petits. Demandez à un guetteur de jeter un œil sur eux pendant vos courses.

     

    2 L’avis de la redac

     

    On a kiffé:

     

    > La cagoule de motard du dealer

    > La file d’attente de clients qui conforte le sentiment de sécurité

    > Être un peu comme dans The Wire avec tout ces guetteurs cagoulés

     

    On a moins aimé:

     

    > Avoir l’impression d’être au collège: le dealer à cagoule n’a pas encore mué et les clients croisés dans les escaliers ont maximum 15 ans

    > La forte présence policière qui rend parano

    > Les mamans avec leurs poussettes en nombre dans la cité en fin d’après-midi… On se sent un peu con à alimenter le trafic

     

    3 Le smoke test (weed)

     

    L’avis de Raph: « Ca c’est de la Haze, de l’hydro. C’est plus que correct. J’ai croqué dedans, et pas de bouts de verre. Rien ! »

     

    L’avis d’Alex: « Elle a un goût poivré. J’dirais que c’est de la Orange Bud, elle a la même odeur de chiotte. Elle est bonne »

     

    L’avis de Timothée: « Ça me rappelle le beurre de Marrakech »

     

     

    Cité Pablo-Picasso à Nanterre

     

    1 Infos pratiques

     

    Où: Dans une cité bien connue entre la Place de la Boule et la Défense

     

    Temps pour pécho (métro à métro): 1h15. On s’est perdu ! Nos différents contacts nous avaient indiqué la Place de la Boule – “un super marché de la drogue” dans cet excellent article du Monde mais José le gardien d’une des tours est formel: “Ca fait 6 mois qu’on a nettoyé. Avant ils avaient les clefs des caves, des parkings… Il y avait des files d’attente mais là il n’y a plus rien”.

    On passe au plan B: Direction la cité Pablo-Picasso à 5 minutes en bus.

     

    Le choix: Seulement du shit en barrettes de 20 euros

    Saint-Ouen et Guéant

     

    Le 31 octobre Claude Guéant rendait visite aux habitants de la cité Emile-Zola à Saint-Ouen accompagné du préfet de police Christian Lambert. Le ministre de l’Intérieur a promis aux habitants de « nettoyer ce quartier des dealers et des pratiques qui y règnent ». Pour ce faire, une police présente 24 heures sur 24 aux alentours de la cité et le recours à des « citoyens réservistes », « des habitants volontaires qui recevront une formation, un uniforme et seront indemnisés lors de leurs vacations ». Un numéro vert a aussi été mis en place « pour signaler anonymement à la police toute chose anormale ». Le super-marché pourrait bientôt fermer.

     

     

     

     

     

     

    Le panel de testeurs

     

    Raphaël 29 ans, fumait tous les jours depuis ses 16 ans jusqu’à ce qu’il arrête il y a deux ans… pour vaporiser exclusivement. Il tourne à 7 grammes par semaine et se rend régulièrement à la Cannabis Cup à Amsterdam pour goûter les herbes. Un expert de chez expert.

     

    Alex a découvert la drogue sur le tard, à 25 ans lors d’un séjour au Congo. Élevé à l’herbe naturelle, il est passé avec son retour en France au shit et à l’hydro. A 38 ans il fume 2 joints par jour. C’est le papa du panel.

     

    Timothée fume depuis ses 15 ans, avec une préférence pour le hashich. Depuis qu’il est dans la vie active, il fume même plus que dans son adolescence. Mais ça varie: « Quand j’ai pas de taf, je ne fume pas, car je suis en bad ». Qui a dit que la fumette était un truc de chômeur ?

     

    Quantité: 1,7 grammes la barrette

     

     

    Horaires d’ouvertures: Le dealer – la vingtaine – garantit aussi un service H24

     

    Sécurité: L’immense cité (10 tours environ) est morte, morte, morte. Ici pas de guetteur pour surveiller ce qui se passe. Heureusement un motard sur un scoot avec une écharpe de l’OM en bandana attire l’attention devant un hall d’immeuble. A l’intérieur, 6 loustics le nez collé à la vitre guettent les arrivants. Un d’entre eux se précipite vers la sortie: “Qu’est-ce que vous voulez ? De la coke ?”

     

    Présence policière: Aucun flic rencontré pour une ballade qui a duré quand même plus d’une heure

     

     

    On a connu Pablo Picasso plus inspiré

     

    Accueil: Visage découvert, le dealer nous chambre gentiment: “Vous êtes de quelle brigade ?”, pendant qu’un de ses collègues se met à rigoler: " Eux c’est Envoyé Spécial ! ". On est gêné devant tant de perspicacité. Il est 20h, la petite équipe mange des kebabs.

     

    Accès handicapé: Oui, l’échange se fait au rez-de-chaussé du hall d’immeuble.

     

    Parking: Pas d’espace pour se garer devant le hall d’immeuble mais il y a plusieurs parkings dans la cité.

     

    Y aller avec ses enfants ? Il n’y a rien pour distraire les petits. On vous conseille de les laisser chez mamie.

     

    2 L’avis de la redac

     

    On a kiffé:

     

    > L’absence de policiers 1 kilomètre à la ronde.

     

    > Le restaurant Ocean Sushi super classe juste à l’entrée de la cité

     

    > Les habitants qui promènent leurs chiens dans les espaces verts de cette cité très propre.

     

     

    Afficher Cité Pablo Picasso- Nanterre sur une carte plus grande

     

    On a moins aimé:

     

    > L’interrogatoire du dealer: “Pourquoi si tu viens pécho à Nanterre si t’habites le XXème ?” “- Heuu comment te dire …”

     

    > Prendre le bus à la sortie du métro pour trouver le spot

     

    > Ne pas avoir l’impression d’être dans “un super-marché de la drogue” (voir ci-contre). Ici pas de guetteur cagoulé, de portier, ni de file d’attente de clients. On est moins « chouchouté »…

     

    3 Le smoke test (shit)

     

    L’avis de Raph: « Y’a quelques années, il y avait tellement pire. Mais c’est quand même dégueu ».

     

    L’avis d’Alex: « Ultra-dégueulasse. J’ai même envie de me fumer une clope après pour me nettoyer »

     

    L’avis de Timothée: « Une barre dans la tête … Il a un goût terreux »

    « Un super-marché » à Nanterre ?

     

    Quand StreetPress se rend cité Pablo-Picasso, rien n’indique que le deal y est industriel comme un Saint-Ouen. Les dealers ne sont pas cagoulés et on ne passe pas par des intermédiaires.

     

    Pour l’écrivain Rachid Santaki – pionnier du roman noir made in 93 – « les super-marchés de la drogue sont un peu un cliché. Il n’y a pas de modèle uniforme, en fait l’organisation s’adapte selon la géographie ». Et de prendre en exemple nos deux spots bien connus: « A Saint-Ouen, il y a beaucoup plus de débit: Les clients viennent de Paris, de la petite Couronne, il y a des bobos. Et puis c’est super exposé, il faut s’organiser en conséquence avec guetteurs et cagoules ». Nanterre attire plutôt les consommateurs de la banlieue Ouest et les étudiants de la fac voisine mais « c’est moins à la chaîne ».

  3. Comme un petit paradis tropical, au cœur des vignobles de Cognac. Dans un village tranquille proche de Châteauneuf (Charente), les gendarmes ont découvert par hasard une véritable jungle : près de 60 plants de cannabis sur 100 m2, dont certains culminaient à 5 m de haut, nichés dans la serre d’un maraîcher bio de 31 ans.

     

    « Les troncs étaient grands comme ça! » mime le maire de cette commune, par ailleurs horticulteur, qui louait ses serres au maraîcher, sans jamais s’être douté de rien.

     

    Placé en garde à vue fin octobre, Albert*, le « cannabiculteur », comparaîtra bientôt devant le tribunal correctionnel d’Angoulême pour « production de stupéfiants ». Tout en assumant leur délit, lui et sa compagne, Linda, disent avoir cessé leur consommation de cannabis, et ne pas s’en porter plus mal. Mais cette affaire a bouleversé leur vie. « Désormais, ma famille ne veut plus me voir, se désole Linda. Je vais passer les fêtes de Noël sans eux. Et j’ai peur que mon ex-mari ne tente de m’enlever la garde de ma fille. »

     

    Pourquoi avoir planté du cannabis ?

    ALBERT. Je fumais des joints depuis l’âge de 17 ans. En quantité relativement importante, et dès le réveil. J’ai toujours fait pousser du cannabis. Ça m’évitait d’avoir à aller me fournir dans la cité du coin, où il m’est arrivé de me retrouver avec un couteau sous la gorge. Je suis aussi très écolo, et ça me permettait de fumer un produit de qualité, dont je connaissais la provenance.

     

    Les 60 pieds et 20 kg d’herbe saisis n’étaient que pour votre seule consommation personnelle ?

    Les chiffres avancés sont faux. Les 20 kg évoqués correspondent à la moitié des 60 pieds, qui étaient en train de sécher. Ils étaient encore « frais », d’où leur poids. Si j’avais eu 20 kg d’herbe pure, ça aurait représenté 100000 € à la revente! Aujourd’hui, les gens me prennent pour un dangereux dealeur alors que je n’ai jamais revendu. Je faisais ça tranquillement dans mon coin. Sans prosélytisme. Jamais je ne me suis présenté un joint à la main à mes clients qui venaient acheter directement leurs légumes. Certains ont cependant vu les plants, et c’est d’ailleurs ce qui a énervé les autorités : que je sois un père de famille intégré, bosseur, apprécié, sans antécédents judiciaires, et que personne ne m’ait dénoncé.

     

    Avec des plants d’une telle taille, n’avez-vous pas « tenté le diable » ?

    2011 a été une année exceptionnelle. Le cannabis a poussé comme du chiendent. Quand j’ai vu la hauteur qu’ils prenaient, j’ai paniqué. Je n’ai pas pu me résoudre à les arracher, mais, chaque jour qui passait, je m’attendais à voir les gendarmes débarquer. Vu mon profil de « fêtard », je sais qu’ils m’avaient à l’œil.

     

    Quelle logistique demande une telle plantation ?

    Pas grand-chose. Une année comme ça, même quelqu’un qui n’a pas la main verte aurait eu des plants de 2 m. Alors imaginez un maraîcher bio comme moi… J’achetais des graines de variétés diverses sur Internet. Après, sous les serres, par 45 degrés, tout ce qu’il fallait, c’était de l’eau en quantité.

     

    Regrettez-vous ce délit ?

    J’assume parfaitement. Pour moi, je n’ai rien fait de mal. A part faire pousser une simple plante. Je n’ai jamais fait la sortie des écoles avec de l’herbe en poche. Et, quand nous consommions, c’était à l’abri du regard de nos enfants.

     

    Vous avez pourtant arrêté de fumer du cannabis…

    Au départ, c’était contre mon gré. Je préférais être « clean », au cas où la justice m’astreigne à une obligation de soins. Depuis un mois, je ne fume plus, et je ne reprendrai pas. C’est de l’histoire ancienne. C’est vrai qu’au niveau santé je me porte beaucoup mieux. Avant, j’avais des problèmes intestinaux qui avaient nécessité des hospitalisations. Ils ont disparu.

     

    Qu’est-ce que votre arrestation a changé ?

    D’abord, le regard des autres. J’ai arrêté de vendre mes légumes sur les marchés. Parmi mes clients, au-delà des indifférents, il y avait ceux qui me prenaient pour un criminel. Et les autres, dont des fumeurs qui ont découvert que « j’en étais », qui me soutenaient. Je suis maintenant dans une situation financière catastrophique. Et je sais que je vais devoir payer une forte amende.

     

    * Le prénom a été changé.

     

    Le Parisien

     

    source : https://www.leparisien.fr/faits-divers/on-me-prend-pour-un-dangereux-dealeur-alors-que-je-n-ai-jamais-revendu-11-12-2011-1762885.php

     

    Ce message a été promu en article

  4. de produire jusqu’à 6 kg d'herbe à partir d'une surface de 2 m2

     

    :shock:

     

    moi aussi sa me tenterais bien d’ouvrir un growshop mais d’après l'article sa devient de plus en plus limite au niveau de la lois celui dans lequel j'ai mes habitudes fait bien attention de ne pas parler de cannabis

     

    il y a vraiment des growshop français qui vendent des graines ?

     

    sa me parais un peut gros quand même

  5. salut,

     

    sa marche plutôt pas mal le 12/12 direct je pensais mettre les miennes en 18/6 pendant 2 semaines avant d passer en 12/12

     

    mais sa a l'aire de bien marché comme sa :)

     

    j'ai hâte de voir le résultat final (même si c'ets déjà bien avancer ^^)

  6. salut,

     

    le parquet si c’est de vrais fait attention avec l'eau et l'humidité sa peut le détérioré

    sinon les mur en blanc c’est bien le blanc est réfléchissant

    si tu fait croissance et floraison en même temps il faut que tu separt la pièce en deux si tu a de l'argent prend des blackbox sinon bricole toi un deux placards

     

    pour l'extraction d'air sa dépend énormément de la lumière (chaleur)

     

    par contre pour l’humidité elle n'est pas la même pour la croissance et le floraison donc vu que les deux sont dans la même pièce il pourrais avoir des problemes

  7. sympa le topic :)

     

    VDM 1) j’achète des bubble gum chez ****** tout content je les mets a germer en hauteur pour ne pas le faire tomber je choisit donc mon four (un vieux model avec une plaque chauffante au dessus) le lendemain petite fin je me rechaufe un hamburger et au bout de 2/3 mn je sent une odeur de cramé je met sa sur la vétuste du four, sa empire : MES GRAINES TOUTES CRAMES !!!!

     

    resultat sur 10 : 4 germes dons une triso après 1 semaine et demis de germination au lieu de 3 jours ...