ChristopheDenis

CannaNewbie
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Messages posté(e)s par ChristopheDenis

  1. Salut,

     

    Ça faisait quelques temps que le site de female seeds avait l'air d'avoir des "problèmes techniques" et ça fait bien deux semaines que le site est totalement down. Il affiche une page blanche sans aucune indication sur le pourquoi du comment. Quelqu'un aurait des infos sur ce qui se passe ? Ça laisse à penser que ça serait fini pour FS... 😟

     

    a+

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  2. Salut

     

    @MrCoconut pour avoir fait les 3 je rejoins l'avis de Moaï, la SB c'est plus une weed occasionnel parce que je l'ai trouvé très "psychédélique". Il disent d'ailleurs sur le site qu'il faut pas en abuser. Niveau gout les 3 je les ai trouvé fabuleuses, très fruitées, la SB un peu ananas, ça fait longtemps que j'en ai fait mais c'est pas l'envie qui manque... Si t'aimes les sativa tu seras pas déçu ça c'est sur. Les 3 c'est de la c99, la grape c'est c99xthai et la SB c'est c99xwhitegrape, même leur dernière grape amnesia c'est de la c99xamnesia. 

     

    ++

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  3. Re

     

    Comme dit plus haut je te conseil aussi de mettre de la terre et de partir sur la gamme classique. Débuter en intérieur en coco ça me semble risqué et dépenser moins de 20€ pour un sac de terre et augmenter tes chances d'aboutir à une bonne récolte me semble un meilleur calcul. Je met toujours 25% de coco dans mon lightmix. Si t'es un peu hors budget je te conseil aussi female seeds pour les graines, ils font 4 graines pour 20€ et t'as toujours des graines gratos. Ça fait longtemps que je prend que chez eux y a que la lemon kush qui m'a un peu déçu.

     

    ++

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  4. Le 24/03/2022 à 12:19, Greatmuffy a dit:

    Bonjour à tous !!

     

    Petite question en passant, je débute tout juste dans la culture en intérieur et j'ai opté pour un engraissage par Guano diffusion automatik. 

    J'ai reçu en cadeau par le site où j' ai commandé une bouteille de booster "canna boost" de la marque Canna.

    La question est la suivante, puis-je utiliser ce booster en lieu et place du "GD booster" de chez guano diffusion sans risque pour mes plantes ?

    Le mélange d'engrais biologique et minéraux est-il déconseillé ?

     

    Merci d'avance pour vos réponses !!

     

    Salut

     

    Oui c'est pas impossible d'en mettre, c'est facile de verser quelque chose dans un pot, mais c'est absolument pas conseillé. La gamme guano diffusion est organique, les engrais organiques sont dans un premier temps décomposé par toutes les formes de vie contenue dans la terre pour les rendre disponible pour la plante dans une relation symbiotique. Les engrais minéraux comme la canna boost court-circuitent cette symbiose en étant immédiatement disponible pour la plante et altèrent l'activité du sol. C'est pour cela qu'on les utilise en hydro ou en coco et qu'ils devraient, selon moi, ne pas être utilisé en terre.

    A vrai dire si tu veux te lancer avec Guano diff c'est inutile de rajouter quoi que ce soit hors gamme, elle est déjà très complète et si tu maitrise ta culture du début à la fin tu sortiras des fleurs d'une excellente qualité, voir peut-être même supérieur à quelqu'un qui serait en minéral en terre. 

     

    Bon grow

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  5. Salut à tous

     

    Je voulais faire un petit retour sur ma dernière culture avec insect frass qui approche des deux mois de séchage. J'ai utilisé toute la gamme de guano diff sauf le lombri compost et le booster, pour la mélasse j'ai pris comme d'hab un pot dans un magasion bio, pour le terreau c'était biobizz lightmix avec 25% de fibre de coco, arrosage manuel de 25% du volume du pot tous les 3-4jours et j'ai respecté scrupuleusement le nouveau tableau.

    Comme l'a dit frerekush c'est plus un engrais à part entière qu'un booster, je ne l'ai pas assez essayer pour être factuel mais je pense qu'il est assez efficace. Je trouvais qu'avec l'ancien tableau/gamme ça manquait un peu de patate et qu'on pouvait aller un peu plus loin. L'insect frass combiné aux nouveaux amendement viennent vraiment compléter la gamme et les résultats sont là. En revanche je ne conseillerai pas à un débutant de l'utiliser et de rester sur la gamme essentiel, j'ai été à chaque griffage à la limite d'un sur-engraissage préjudiciable. 

    Avec une Sylvania Grolux 400w j'ai fais 435g en fleurs et +/-10g en hash de manucure (charras et dry sift). Les variétés sont de la ICE et de la Blue cheese de chez Female Seeds, je connais très bien ces variétés et je peux dire malgré qu'elles ne sont pas à deux mois de séchage que c'est ma meilleur récolte en qualité comme en quantité. Les cuves de mes grinders se remplissent à une vitesse folle et j'ai hâte qu'elles en soit à 6mois et 1an de séchage (je consomme peu et uniquement au vapcap alors une récolte comme ça ça me dure longtemps 😅)

     

    Des photos à quelques jours de la récolte pour la route (blue cheese devant et ICE au fond) :

    Révélation

     

    IMG_20220201_192930.thumb.jpg.f3a137681d08bbfbf9919e2555179a55.jpgIMG_20220201_193035.thumb.jpg.1b408e54e458faf97388209c1d68f64e.jpgIMG_20220204_122254.thumb.jpg.be36b4947d76e67201158fc1941f4a8a.jpg

     

     

    ++

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  6. Salut,

     

    J'écoute régulièrement cette émission de France culture et ils viennent de sortir une série sur les usages des drogues qui sont très bien faite, je me suis dit que ça avait sa place ici :

     

    Épisode 1 : Les processus de l'addiction

    Révélation

     

    A la panoplie des psychotropes connus qui peuvent rendre dépendants - drogues, alcool, tabac - s’ajoutent également les comportements addictifs. Mais avec ou sans substances, sortir du piège de la dépendance est un délicat combat personnel comme le précise Mario Blaise  "Avant, on pensait l’alcool d’un côté, les drogues illicites d’un autre. Depuis les années 2000, il est apparu des points communs dans la clinique de ses problématiques et dans les manières de les traiter."

    A chacun son paradis artificiel… Des volutes de fumée aux substances qui se boivent, se mangent, se sniffent, s’injectent, les engrenages de la dépendance prennent silencieusement le contrôle des corps et des esprits… Pas forcément besoin de substance d’ailleurs, la psyché humaine peut trouver sa consolation au fond de l’assiette, dans les écrans, le sexe, le jeu, le sport… Mais alors à quoi reconnaît-on l’addiction ? "J’arrête quand je veux…" jure-t-on sauf que la béquille ou la récréation a pris insidieusement une place centrale dans sa vie et ses conséquences envahissantes sont devenues ingérables.

    La neurobiologie a réussi à identifier les processus en boucle qui empêchent le cerveau de moduler son rapport à l'environnement, et qui provoquent des réponses inadéquates et devenues involontaires, même lorsqu'il n'y a plus de sensation de plaisir. Mais la biologie n'explique pas tout, ce qui laisse une large marge de liberté et d'espoir pour sortir même des situations en apparence les plus désespérées.

    De nombreuses consultations, associations ou centres de sevrage s’adressent aux adolescents ou aux adultes. Parmi elles, dans un établissement pionnier depuis cinquante ans, les équipes profondément engagées de l’emblématique Hôpital Marmottan poursuivent courageusement leur mission à visage humain.

     

     

    Épisode 2 : Prohiber, dépénaliser, légaliser

    Révélation

     

    Certains stupéfiants consommés depuis des siècles, encore prohibés dans de nombreux pays, ont été légalisés dans certains états américains et au Canada.

    Actuellement légalisé pour 1,5 % de la population mondiale, cette idée semblait pourtant encore farfelue quand l’Uruguay a ouvert la voie, en 2013. En Europe, les Pays-Bas ont largement dépénalisé et encadré la vente et la consommation du cannabis dès 1976, mais pas totalement. D’autres pays comme l’Espagne et la Belgique tolèrent la consommation et la détention, voire la production à différents degrés, pendant que le Portugal a carrément dépénalisé toutes les drogues depuis déjà 20 ans et un intervenant rajoute l'échec de la France "Malgré une des législations les plus répressives d’Europe, la consommation de cannabis en France chez les jeunes est la plus haute d’Europe."

    Au tournant du XXIe siècle, le constat d’échec à l’égard des politiques répressives a conduit les autorités de plusieurs pays à s’interroger sur l’opportunité de politiques alternatives, basées sur cette idée  : puisque nous n’arrivons pas à enrayer les trafics et à dissuader les consommateurs, acceptons cette consommation pour mieux l’appréhender et améliorer la prévention.

    En France, on vient de s’orienter vers un système d’amende forfaitaire, en plus d’un statu quo sur les peines de prison, possibles mais rarement appliquées pour les consommateurs. En novembre 2018, l’Assemblée nationale a voté la création d’une amende forfaitaire de 200 euros pour mieux sanctionner l’usage illicite de stupéfiants, jusqu’alors réprimé uniquement par une peine de prison et une forte amende, tout en insistant sur le fait qu’il n’y aurait « pas de dépénalisation » et que cette amende « n’éteignait pas l’action pénale ». Une réforme en demi-teinte donc, qui ne va ni jusqu’à la dépénalisation (ni a fortiori légalisation), ni même jusqu’à la suppression du délit de consommation.  Car l’usage de drogue est, dans la loi, un délit théoriquement passible d’un an d’emprisonnement et 3 750 euros d’amende. Un texte impossible à appliquer en raison du grand nombre de consommateurs en France, qui fait que la loi a été aménagée au fil des années, mais que le gouvernement a choisi de ne pas retoucher.

    Avec :

    Marie Jauffret-Roustide, sociologue, Michel Hautefeuille, co-auteur de "La légalisation des drogues, une mesure de salut public" aux éditions Odile Jacob Virginie Gautron, Maître de conférences en droit pénal et sciences criminelles, Aurélien Bernard, fondateur de Newsweed, José Carbonell, Xavier, Robert, Boualem Merghit de l'association APDO et Laura Aguila, auxiliaire de justice, Amina Omar Nieto, avocate, Nathalie Latour de la Fédération Addiction, Bruno Falissard, chercheur Inserm sur la santé des populations

     

     

    Épisode 3 : Entre licite et illicite

    Révélation

     

    Comme nous le dévoilent les textes du poète Henri Michaux qui explorait systématiquement ce qu'il appelait le "misérable miracle", et tentait par les psychotropes d'atteindre une "connaissance par les gouffres", chaque personne ressent les psychotropes d'une manière originale, avec une sensibilité et une fragilité qui varie énormément. Ce qui rend parfois le concept de légal ou d'illégal très déconnecté de la réelle dangerosité des produits : tabac et alcools sont totalement légaux, mais figurent pourtant tout en haut de la liste noire des addictologues comme le précise Nicolas Prisse "Les plus grandes surdoses en France se font avec l’alcool, et le tabac tue 73 000 personnes chaque année."

    Lorsque l'on suit l'évolution de l'histoire des drogues et de leur introduction en Europe et aux Etats-Unis, les pratiques de consommation ont débuté en Occident de manière festive dans les salons de la haute société : c'est le cas du cannabis sous toutes ses formes, de l'opium, puis des substances qui ont subi une transformation chimique : cocaïne, héroïne, amphétamines, LSD. Ce n'est qu'ensuite qu' elles atteignent les couches les plus défavorisées de chaque communauté. Pourtant, à tous les échelons sociaux, les dégâts sont les mêmes : développement de trafics et d'une économie parallèle aux pratiques mafieuses et spirale autodestructrice de l'addiction. La loi évolue d'ailleurs au fil des pratiques, ainsi, elle sanctionne jusqu'à aujourd'hui de manière disproportionnée  les "drogues de pauvres" comme le crack ou la méthamphétamine qui font des ravages, tout en restant historiquement plus clémente quand le phénomène concerne la bonne société, ou parfois elle cible carrément certains groupes communautaires. C'est d'ailleurs comme ça que les pratiques sont revendiquées pour devenir l'étendard de la contre-culture et que selon William Lowenstein : "Dans les années 90, l’épidémie de Sida a jeté une panique générale sur la société qui s’est aperçue que la politique de drogue ne faisait qu’aggraver le phénomène, voire avait provoqué le phénomène."

    Mais, il existe aussi de nombreux moyens de s'évader par l'intermédiaire de médicaments légaux détournés : anxiolytiques, antidépresseurs, antidouleurs... Les pilules codéïnées ou à base d'opioïdes ont envahi l'Amérique, et avec près de 50 000 morts par an aux Etats-Unis, on compte déjà  300 000 morts par overdoses d’opioïdes depuis 2000. Et désormais, aux USA, les addictions aux antidouleurs prescrits sur ordonnance tuent davantage que les accidents de la route ou les armes à feu. Après avoir ravagé les ghettos noirs dans les années 1990, les opiacés déciment désormais les banlieues pavillonnaires et la petite classe moyenne américaines. Inédite par son ampleur et par ses victimes, cette épidémie d’overdoses l’est aussi par son origine : les consommateurs sont devenus dépendants en avalant des antidouleurs prescrits par leur médecin.

    Avec ces drogués sur ordonnance, les médecins se retrouvent involontairement dans la position de dealers en blouse blanche... Ces mêmes pilules approvisionnent chez nous les adolescents en mal de sensations récréatives. Ou quand l'armoire à pharmacie se transforme en fournisseur de défonce.

    Avec :

    Fabrice Olivet de l'association ASUD, Marie Jauffret-Roustide, sociologue, Alexandre Marchant auteur de L’Impossible prohibition aux éditions Perrin, Elisabeth Avril de Gaïa Paris, les psychiatres Bruno Falissard, Mario Blaise, et Richard Rechtman; un officier de police judiciaire, William Lowenstein, addictologue, Nicolas Prisse, Président de la Mildeca, Ivana Obradovic et Julien Morel d’Arleux de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies.

     

     

    Épisode 4 : Drogues thérapeutiques

    Révélation

     

    Lorsque s'ouvrent les portes de la perception, le voyage peut s'avérer thérapeutique. Le cannabis, l'opium, le LSD, la psilocybine et de nombreux hallucinogènes s'avèrent être bourrés de molécules capables de soigner. Sauf que la recherche médicale a longtemps trouvé les portes closes pour pouvoir explorer le potentiel de certaines drogues-médicaments.

    Il faut un agrément pour étudier les effets médicaux du cannabis sur différentes maladies, essentiellement l'épilepsie, l'autisme et certaines formes de cancer. Des dizaines de milliers de patients atteints de cancer, d'épilepsie et de bien d'autres maladies génératrices de douleurs chroniques suivent un traitement à base de cannabis dans les quelques pays qui l'autorisent. Ce qui choque le plus les chercheurs, c'est que la connaissance ancestrale d'une plante aux effets bénéfiques identifiés depuis l'Antiquité n'a encore fait l'objet que de très peu de recherches sérieuses, malgré les centaines de molécules actives et de posologies possibles qui ont des effets très différents. Même devant certains résultats déjà spectaculaires, un petit ricanement fait encore écran à des recherches systématiques.

    La recherche médicale reste timide, encore freinée par la réputation de ces substances. Dans le plus grand secret l'armée américaine a étudié longuement les effets du LSD et des amphétamines, soit pour renforcer la résistance de ses soldats sur le terrain en leur coupant la faim et l'envie de dormir, soit en tentant de contrôler l'esprit de l'ennemi... Aujourd'hui, psychiatres et neurologues de quelques rares pays étudient la manière dont cet hallucinogène désinhibe des zones du cerveau libérant une certaine réceptivité et créativité, à condition d'être maîtrisé, à des fins thérapeutiques.

    Une toute récente résolution du 13 février 2019 du Parlement européen demande à ce que les praticiens de santé puissent prescrire des traitements à base de cannabis thérapeutique dans tous les pays de l’Union, à ce qu’une formation appropriée du corps médical soit mise en place et à ce que la recherche sur le cannabis médical soit encouragée et financée. Il semblerait que les mentalités commencent à évoluer. Mais pour certains patients pour qui le cannabis constitue un antidouleur indispensable et sans équivalent, il y a urgence et les déclarations d'intention ne suffisent pas.

    Avec :

    Bertrand Rambaud, Jako, et Jacques Leca de l'association UFCM, le pharmacien Philippe Riehl, et le chercheur Christian Muller et merci à Line Bourel,  les psychiatres Michel Hautefeuille, Richard Rechtman, et Tomas Palenicek, et William Lowenstein co-auteur de "Tous addicts... et après" aux éditions Flammarion.

    .

     

     

    Bonne écoute !

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  7. Re

     

    Sur tes photos, genre la 5ème et la dernière ça ressemble plus à du sur-arrosage qu'une brûlure d'engrais, y a sans doute un peu des deux. J'ai aucune idée de comment on règle un blumat alors peut-être que dans le doute tu pourrais finir la session en arrosage manuel. Je te conseillerai comme frerekush, un arrosage avec drain mais attends que ta terre soit bien sèche avant de le faire.

     

    Bon courage

     

     

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  8. Re

     

    Oui l'auto-culture ça peut être frustrant, ça aide à devenir plus patient. J'avais pas fait attention que tu n'avais jamais mené à terme une culture sous hps alors en l'état si tu veux limiter la frustration je pense il faut que tu ailles au plus simple. Si tu comptes faire 4 rempotages dont un en fin de flo ça fait trop par rapport au plus simple. D'autant que rien que sortir un plant de la box en fin de flo sans péter une branche c'est parfois mission impossible alors la rempoter c'est vouloir vivre très dangereusement.

     

    Pour la prochaine je te conseil plutôt de suivre le schéma standard, tu met algua, grow, bloom et arrosage à la mélasse une fois sur deux et basta, t'auras une récolte tout à fait satisfaisante avec ça. Pour commencer tu peux faire 4-6 plants en godet, puis pot de 3-4L et rempotage final avec quelque chose entre 14 et 18L, en sachant qu'il vaut mieux voir les choses en plus petit au départ pour mieux progresser après.

     

    Quand t'es en féminisée évites le stress au maximum, plus elles vont subir de stress et plus elles vont potentiellement virer vers l'hermaphrodisme. Au départ évites aussi de trop effeuiller, quitte même à ne jamais enlever une feuille si tu n'as pas de problèmes d'humidité. Les feuilles vont également te servir de sécurité, si ta plante a un souci elle va aller taper dedans et si t'en as trop enlevé ça peut fortement l'affaiblir voir la tuer. Normalement si tu fais au plus simple ça devrait aller.

     

    Bon grow

     

    ++

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  9. Re

     

    Oui voila je suis juste le tableau fourni par guano diffusion mais avec une demi dose de grow pour le dernier rempotage. L'insect frass a l'air de bien favoriser le développement des bactéries dans le substrat, il y a des morceaux de vers sec qui vont faire des touffes de moisi poilu sur le terreau, ça a l'air efficace j'en reprendrai je pense. J'attends la récolte pour me prononcer sur le rendu final mais ça semble un bon complément au bloom si tu veux les booster un peu plus. 

     

    Ce que je sais Beuze c'est que j'ai déjà cramé des plantes avec le bloom de guano diff et elles ressemblaient exactement à ce qu'il a. Quand j'ai vu ses photos c'est la première chose à laquelle j'ai pensé et en regardant ce qu'il a fait ça m'a semblé tout à fait probable qu'elles soient également cramé.

     

    ++

     

     

  10. Re

     

    J'utilise des pots géotextiles de 20L que je vais remplir qu'à 18L. Je commence en godet, puis pot de 4L et puis direct en 18L, à C+26 sur cette session, et j'ai passé en flo à C+32 et maintenant les mottes sont bien gavées de racines. Je trouve en inté 18L c'est le max si ta plante aura au moins 100w de lumière (4 plantes=400w). Le tout c'est d'adapter le taille de tes pots avec le nombre de plantes que tu veux en fonction de ta lumière et du volume de ton espace.

     

    Pour les griffages oui je balance toute la dose d'un coup, sur la précédente j'en avais fait qu'un de bloom à F+21 +/- et là j'ai fais bloom 90g à F+22, insect frass 90g à F+35 et un dernier de bloom 90g à F+44 mais les dates ça dépend surtout de quand elles auront faim ou plus grand chose à manger. Je vais répandre les 90g tout autour du tronc, puis avec une fourchette je vais d'abord ramener les bords extérieur de la motte vers le centre et  ensuite je gratte le centre, après t'arroses et c'est bon, mais attention faut gratter doucement pour ne pas abîmer les racines sinon ça va être dramatique. 

     

    Là où faut y aller molo c'est surtout le bloom (et insect frass à éviter au départ je le conseil pas à un débutant de guano diff), le guano classic je l'utilisais déjà quand guano diff existait pas et pour la croissance/stretch c'est le top. Lui faut pas que t'hésite à en mettre une demi dose au dernier rempotage et tu verras que certaines mériteraient même plus qu'une demi dose. Autrement si t'en met pas assez tu risques d'avoir une senescence précoce et elles préfèrent largement le classic au bloom pendant le stretch.  

     

    ++

  11. Re

     

    Exactement comme frerekush, on dirait pas comme ça parce que c'est bio et tout mais il est vachement puissant ce guano diff bloom, si tu rajoute quoi que ce soit hors gamme guano diff c'est quasi cramage assuré. Là je suis sur des variétés que je connais très bien ( ICE et Blue Cheese de Female Seeds) alors je me permet d'y aller. Normalement si tu attends bien 3 semaines entre chaque amendement et qu'entre temps elles se sont bien développées ça passe, mais oui vas y molo le temps de te familiariser avec cette gamme.

     

    Je ne sais pas si tu le fais aussi mais pour mener à bien une culture je trouve indispensable de prendre des notes. Noter tous les arrosages, les rempotages, griffage avec le dosage etc... même en blumat je pense que c'est important de noter quand ils s'activent, comme ça tu as le maximum de recul sur la fréquence d'arrosage et cette fréquence est un indicateur de santé.

     

    ++

  12. Re,

     

    Comme je ne connais pas l'origine de tes graines, ni le blumat je ne sais pas trop quoi te dire pour le manque de vigueur. Dans mon run actuel j'utilise toute la gamme guano diffusion (sauf le terreau, le lombricompost et le booster) mes plantes sont très vigoureuses et je suis à la limite du sur-engraissage à chaque griffage en flo avec les doses du tableau (et 5g/L de grow au rempotage avant la flo) donc avec des plantes un peu moins vigoureuses ça va pas aller. Je te conseillerai peut-être aussi d'éviter le thé de compost, juste un arrosage sur 2 avec de la mélasse devrait suffire.

    Je vois que tu pratiques le palissage sans cut d'apex, c'est juste mon avis perso mais je suis pas super fan de cette technique, si tu veux manipuler ta plante je te conseil plutôt le mainlining avec 8 colas. Après si t'es pas trop limité en hauteur ne pratiquement pas tailler la plante ça marche très bien aussi. Je fais juste un pinçage sur le tronc entre c+14 et c+21 , puis sur des secondaires si elles montent de trop, un peu d'effeuillage en fin de stretch et voila.

     

    Ça c'est mes plantes juste avant le passage en flo

     

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    Et ça c'était la semaine dernière à F+42, la plus grande fait 1m40

     

    IMG_20220105_210943.thumb.jpg.5f8cb2cf91b5cb5bfc9e4c5ced432cc7.jpg

     

    Avec une HPS 400w j'ai fais 390g le dernier run et je pense faire à peu près pareil celui-ci.

     

    A+

    • Like 1
  13. Salut

     

    Si tu dis qu'elles ont peu stretch et qu'elles sont plutôt faiblarde il devait certainement rester une bonne dose d'engrais dans la terre à la 4ème semaine. Je pencherai plus pour dire que c'est le griffage de bloom avec thé de compost qui a provoqué un sur-engraissage. Tu peux les rincer un peu mais si en plus elles sont attaqué par les thrips je sais pas si tu pourras y faire grand chose. Je peux me tromper mais j'ai l'impression que tes ventilos soufflent sur tes plantes et il ne faut pas les orienter vers les plantes, surtout les non-oscillant.

     

    Bonne chance

  14. Salut,

    Ok merci pour les informations mais je ne comptais pas en reprendre de toute façon non plus. Par contre je vais tester leur nouveau guano d'insecte là, je pense qu'il peut apporter un petit plus sympa.

    Dans ma vision des choses je vois pas tellement de différence entre quelqu'un qui va utiliser un composteur pour faire son propre terreau ou amender son potager. Dans la mesure où que tu cultives en pot ou en pleine terre chaque année il faudra un apport de matière organique fraichement transformée, qu'il soit produit sur place ou acheté. Après ça on est tout à fait d'accord que s'occuper d'un potager c'est pas la même chose qu'une culture de 4mois sous lampe. Un hectare ce n'est pas non plus la même chose qu'un pot de 18L en terme de biodiversité, mais pour moi il y a quand même un travail avec la terre dans une culture en pot.

    Je cultive sous lampe et je vois mes plantes et mes pots rempli de terre comme deux systèmes distinct mais qui travail en symbiose. Quand j'arrose je me vois plus comme un chimiste qui fait sa culture dans une boite de Petri pour faire se développer des bactéries et des champignons qui vont nourrir sa plante.

    Oui ça fait pas longtemps qu'on commence à vraiment comprendre comment ça fonctionne dans le sol, je m’intéresse aussi aux travaux de Francis Hallé sur l’architecture des plantes. Je trouve ça passionnant qu'il nous reste tant de choses à découvrir sur elles...

     

    ++ 

    • Like 2
  15. Salut,

     

    Je ne connaissais pas l'extrait de laminaire mais ça ne m'étonnerai pas si c'était ça oui, ça sent quand même bien les algues ce truc. Par contre vu ses propriétés je vois pas trop pourquoi ils disent d'en mettre en flo alors que ça aurait sans doute plus de bénéfice en croissance.

     

    Le 13/11/2021 à 14:47, frerekush a dit:

    à mon sens il ne faut pas oublié que nous faisons des cultures courtes , et donc une approche différente vis à vis du substrat, on ne travaille pas un sol, hein !!

     

    Qu'est ce que tu veux dire par "on ne travaille pas un sol" ?

     

    ++

  16. Il y a 2 heures, Indi-Punky a dit:

    bonjour

     

    Pour les preuves vous avez les JDC en guano diffusion, grenade et canna c'est pas vraiment comparable.

    Ici le booster va rendre assimilable plus rapidement certains éléments nécessaire a la flo dont les Pk au sein du guano.

    Ça active la vie en règle générale etc etc

     

    Et non un booster ne doit pas forcement avoir du PK dedans, tout dépend la conception de la gamme.

    Salut,

     

    Je me répète mais je sais lire la pub du vendeur, du coup sur la boite d'homéopathie c'est écrit ça va me guérir il faut que je les crois sur parole ? Désolé d'avoir des doutes sur un produit qui est vendu très cher pour un effet qui selon moi reste à prouver. Par contre j'ai aucun problème avec tout le reste de la gamme qui est pour moi excellente et je ne me vois pas cultiver avec autre chose aujourd'hui. Si t'as un JDC où le grower a fait 12 pieds de même variété dans la même box et qu'il fait exactement la même chose pour les 12 sauf que à 6 il donne le booster et pas aux 6 autres et qu'il y a une différence significative entre les deux ça peut être intéressant.

    J'affirme pas que le booster ne sert à rien, je dis que je ne sais pas et d'après les quelques retours que j'ai pu voir un peu partout personne ne semble avoir noté d'effets véritablement significatif. J'utilise déjà la mélasse de sucre de canne pour stimuler la vie du substrat, je ne sais pas si l'utilisation du booster serait un réel plus mais je peux me tromper. Après je fais pousser que 4 plantes de 2 variétés par an alors c'est pas possible dans ma configuration d'obtenir des résultats sérieux si je voulais expérimenter de moi même. C'est pour ça que je demande s'il y a des gens qui ont des éléments autre que la pub du vendeur montrant les effets de ce "booster". Parce que vu son prix s'il est dispensable je vais m'en passer, je suis déjà très satisfait du résultat sans en utiliser... 

     

    ++

  17. Il y a 1 heure, frerekush a dit:

    Yep

     

    le booster aide la plante à mieux assimiler/synthétiser les nutriments présent dans le substrat 

    un rôle d'éliciteur  aussi (aide aux défense naturelle)

     

    Voila voila 

     

    ++

    Salut

     

    Ne le prend pas mal mais je sais lire leur pub, ce qui m’intéresse c'est des explications solides avec des preuves. La plupart des boosters de flo contiennent du PK et bien souvent en grande quantité, j'ai déjà utilisé du PK 13-14 et j'ai pu en voir les effets. Maintenant qu'on me vende un booster sans PK à 20cts le ml en me disant juste tkt c'est du bon, désolé mais il va me falloir un peu plus que ça. Quand on affirme quelque chose il faut pouvoir en apporter la preuve.

     

    Sur la seule bouteille que j'ai acheté plus par curiosité c'est écrit "Engrais en solution à base de Manganèse et de Zinc" (1% chacun). En faisant une recherche rapide j'ai trouvé cette étude sur l'effet du Zinc et de la Manganèse sur la récolte de la Grenade : https://www.scielo.cl/scielo.php?script=sci_arttext&pid=S0718-95162012000300009

    Les conclusions sont qu'il a l'air d'y avoir un effet mais y a pas de différences statistiques entre les deux groupes. Après peu être qu'il y a un véritable intérêt à l'utiliser mais je ne sais pas et quand je l'ai utilisé ça m'a donné l'impression que je pouvais m'en passer. 

     

    ++

  18. Le 06/11/2021 à 20:18, MFreezzy a dit:

    Hellow boys n girls,

     

    Suivez vous les recommandations du programme?

    Je m'explique, je suis depuis plusieurs sessions le schéma regular et je suis souvent proche de l'excès. En croissance un bon vert foncé et en flo quelque trace de brulures/cloques.

     

    J'approche de la 4e sem de 12/12 et j'hésite vraiment a rajouter cette dose d'engrais GD Bloom (55g) et favoriser plutôt quelque TCAA pour réactiver le tout.

    Aucune utilisation de booster pour le moments justement mais j'aimerais bien essayer tout de même leur gamme voir si j'obtient une amélioratio (gouts/puissance). 

    Avez vous des avis à ce sujet, cela m'intéresse  :)

     

    Soirée bonne à tous 🤗 

     

    Salut,

     

    En plusieurs sessions de guano diff j'ai pas eu de sur engraissage et j'ajoute même une demi dose de grow au rempotage avant le passage en flo sinon trop de risques de senescence précoce. D'après mon expérience vaut mieux en mettre bien la dose avant le stretch parce qu'elles vont tellement se goinfrer pendant celui-ci qu'il ne restera plus grand chose quelques semaines après. Je trouvais même en milieu de flo qu'il restait encore un peu de place pour du PK, je vais bientôt tester leur microbia boost qui rempli cette fonction. La mélasse de sucre de canne j'en mettais avant qu'elle soit au programme et tu peux y aller tout au long de la session pas que en flo. Pour leur booster je l'ai testé rapidement mais vu le prix et vu qu'il ne contient pas de NPK j'ai du mal à comprendre ce qu'il va booster, si quelqu'un a des explications solide je suis preneur. Mais oui le guano est un super engrais si ce n'est le meilleur en organique pour notre chère plante et tu les verras arborer un vert profond qui sublimera les profils organoleptique de tes fleurs.

     

    Une de mes Blueberry Cheesecake de Female seeds lors de ma dernière session

    IMG_20210113_200207.thumb.jpg.5f86eba90e7823dc54ddacdac31bec90.jpg

     

    Bon grow

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  19. Plop

     

    Avec ce qui est en train de se passer aux états-unis il serait peut être mieux, en attendant un peu plus d'études, de ne pas consommer de eliquide au thc. 

     

    https://www.francetvinfo.fr/sante/drogue-addictions/cigarette-electronique/maladies-de-la-cigarette-electronique-le-cannabis-en-cause_3600077.html

     

    La ecig ne serait pas remise en cause mais l'utiliser avec du liquide au cannabis serait plutôt très nocif. On pourrait éviter de donner de la matière aux médias français pour diaboliser un peu plus notre plante préférée en ayant pas de cas comme ceux là ici ^^

     

    ++

  20. Yo,

     

    Ce "reportage" c'est l'une des pires catastrophe que j'ai pu voir. Alors que j'avais l'impression que le débat commençait à s'ouvrir là c'est le retour au moyen-age direct. C'était bizarre en le regardant j'étais mort de rire et quelques seconde après j'étais fou de rage. Mais elle est où l’enquête ? C'est pas comme si c'était difficile de trouver des informations sur le net... Quant au "exclusive" j'irais plutôt dire qu'il est là dans le sens "qui exclu", et chez eux qui exclu toute forme de bon sens. J'ai surtout l'impression qu'entre ça et le burkini, avec la période dans laquelle on va rentrer, les médias cherchent surtout des boucs émissaires. Afin d'éviter soigneusement de parler des sujets qui vont se poser d'années en années, avec de plus en plus de gravité. Je crois qu'on va assister à un grand déballage de conneries dans les mois à venir. Jetez votre télé si vous voulez pas devenir cinglé.

    ++

     

    @Punkindrublic elles sont cool les vidéos de usul ^^

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  21. Salut,

     

    C'est sur qu'avoir 0 odeur je pense pas que ça soit possible. Mais y a moyen de limiter ce problème en ne sélectionnant que des variétés peu odorantes, je connais pas trop la northern light, j'en ai fumé une fois et j'ai pas vraiment aimé le gout mais ça me semble une bonne idée. Évites toutes les variétés de skunk ou les croisements avec de la skunk déjà, même si y en a beaucoup, elles portent bien leur nom... Et puis tout dépend du setup, si tu met 2 pieds sous une CFL 300W ça sentira moins que 6 sous une hps 600W. Bon grow !

  22. Testé et approuvé ! J'ai utilisé 2g de Grapefruit pour 12ml de base 50/50 (12mg j'avais pas de 0 sous le coude), gouté en dripper dual coil 1.2ohm avec moitié moins de fiber freaks que d'habitude pour mettre juste quelques gouttes, j'irais dire 5-6. Niveau gout on est très proche d'un vapo traditionnel, (je n'ai pour l'instant que le vaporgenie donc je ne peux pas trop me prononcer) en tout cas on a vraiment un gout weed. Niveau effet j'ai trouvé ça très similaire à un joint (pur), montée progressive, et ils durent peut-être un peu plus longtemps mais j'ai pas encore trop essayé.

    Par contre j'aurais tendance à dire que c'est mieux en dripper tout simplement parce que ça encrasse les coils très vite ! Tout dépend de la concentration de votre liquide mais avec celui que j'ai fais l'encrassement correspond en gros à la conso d'un joint. C'est à dire que si vous êtes en micro coil, et que vous voulez vaper un deuxième joint, dry burn changement de coton et c'est reparti. Mais sur un montage mèches ekowool c'est changement de résistance obligatoire.

     

    Après ce n'est pas une recette très difficile mais pas non plus évidente. Premièrement la décarboxylation, ne la faite pas à l'arrache, il faut vraiment vérifier la température et faire très attention, je pense que c'est une étape assez cruciale pour avoir un liquide de qualité. Deuxièmement le bain-marie faire aussi très attention, ils disent 2h30 mais au bout de 2h mon liquide commençait déjà à être un peu marron alors qu'il faut viser vert foncé. Pourtant mon eau ne bouillait pas beaucoup et je rajoutais de l'eau froide toutes les 20min à chaque remuage. Troisièmement commencez sur des petites quantités, 10-15ml maxi, en cas de ratage vous perdez moins.

    En résumé une méthode simple mais qui va quand même demander un peu de pratique pour arriver à de bons résultats. Vous mettez quelques gouttes dans un dripper et vous aurez les effets d'un joint sans la combustion, le gout d'un vapo avec la discrétion d'une e-cig. D'ailleurs niveau discrétion le liquide est très vert, très épais et sent bien la weed ! Si vous voulez de la discrétion il va falloir rajouter des arômes, et encore. 

     

    Je repasserais quand j'aurais un peu plus de recul sur la chose et quand j'aurais cuisiné quelques fioles de plus, si cela en intéresse certain. En tout cas c'est une alternative qui fonctionne sans soucis, si vous êtes déjà vaper et que vous voulez arrêter de fumer des joints c'est tout bon ! Si vous ne vapez pas (e-cig) c'est un peu risqué sachant qu'il faut tout de même du bon matériel (dripper, mod, je déconseille les clearo sauf si vous aimez changer les résistances, et les tank seulement ceux sur lesquels on peut changer le coton sans le vider) et des connaissances en liquide DIY. Personnellement je pense dédier un igo-L au weed-liquid si j'arrive à me perfectionner. J'aime ça rien que pour pouvoir dire "J'vais dripper d'la bzaille " B)

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