6clic

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  1. Il y a 15 heures, animalxxx a dit:

     

    Bonjour,

     

     

    C’était trop beau pour être vrai…

     

    Cela dit, un tel appareil n’est-il pas techniquement réalisable ? Quel sont les chances de voir émerger ce type de technologie dans les années à venir ?

     

     

    ++

  2. Bonjour,

     

    Ce post n’est peut être ici à sa meilleure place (il fait aussi peut être doublon…), mais le sujet ayant été évoqué lors des premiers échanges de cette conversation, il s’inscrit donc dans la continuité.

     

    Je ne suis pas certain de bien comprendre la technologie à l’œuvre derrière cet objet. Je ne sais pas non plus si cet objet est fiable, mais à première vue cela pourrait ressembler à, ou être même, la technologie que j’appelais de mes vœux il y a un peu plus d’un an.

     

    Cela semble être un chromatographe (gaz) portable.

     

    Les tarifs (des V6.2 & V9.2) semblent raisonnables, pour un outil qui deviendrait rapidement indispensable aux utilisations thérapeutiques de cannabis. Ces tarifs attractifs le sont  plus encore si l’on considère que ces testeurs ne présentent pas de limite au nombre d’analyse possible (il me semble).

     

    Je reconnais ne pas savoir si ce chromatographe occasionne de quelconque frais de maintenance.

     

    J’espère ne pas présenter une fausse bonne nouvelle… ou une nouvelle « défraichie ».

     

    Si parmi les lecteurs certains sauraient décrypter et nous expliquer les processus technologiques derrière cet objet, ainsi que les possibles écueils associés (s’il y en a) je vous passe le relais.

     

     

    http://thc-detector.de/

     

     

    Des présentations de modèles antérieures.

     

     

     

     

    Bonne journée.

  3. Bonjour,

     

     

     

    Le cadre : Culture coco intérieure

     

    Programme suivi : Engraissage coco GD

     

    GUANODIFF-COCO.jpg

     

     

     

     Lors de cultures de variétés à floraisons longues (type Amnesia Haze) pouvant nécessiter 12 à 14 semaines de flo, doit-on, après le premier apport de GD Bloom par griffage à la 4ième semaine de flo, faire second apport (de GD Bloom au même dosage, soit 5g/L de substrat) à la 8ième semaine de flo ?

     

     

    Et quid de la décomposition de la coco au bout de 12 à 14 semaines de floraison ?

     

     

     

    Merci

     

    Bonne journée.

  4. Salut bf2222

     

     

    Perso, j'ai acheté mes CXB3590 et divers accessoires chez Kingbrite en demandant un BIN spécifique. Vu que j'avais avant acheté un exemplaire de la même COB/BIN chez un distributeur européen pour tester, je peux te confirmer que que j'ai eu exactement les même versions.

     

    Content de l’apprendre, c’est très positif. Depuis combien de temps fonctionne ton matériel acquis chez Kingbriteled, stp ?

     

     

    Faut pas oublier que Kingbrite n'est pas qu'une boutique chez Ali. Ils sont avant tout fabriquant d'optique et de réflecteur. Ils ont donc une bonne "surface" commerciale et ont surement autre chose à faire que d'anarquer les gens.

     

    C’est justement ce qui est souvent difficile discerner (d’où, entre autre, mon « inquiétude »). Pas toujours évident de connaitre les intentions d’une entreprise basée à l’autre extrémité de la planète.

     

     

    Le seul truc pourri chez eux, c'est leur pad thermique pour COB.

     

    J’avais également mis ces pads sur la liste d’achat… Merci pour ce retour, et pour l’ensemble de ta contribution.

     

     

     

    Salut Homo-Ruderalis

     

     

    Le matériel est de qualité irréprochable. J'ai réalisé une culture au printemps, ça marche niquel

     

    Merci pour ce retour d’expérience. Même si le matériel n’a que peu de temps de fonctionnement à son actif, c’est très positif.

     

     

    Leur prix sont les moins cher du marché à ce jour.

     

    C’est également ce j’ai pu constater, et c’est aussi pourquoi je lorgne la vitrine de ce marchand.

     

     

    Le seul regret que j'ai, c'est d'avoir payé le dédouanement (quand le montant dépasse un certain seuil, 100 euros je crois, ou 100 dollar).

     

    Désolé d’apprendre que ton colis n’est pas passé entre les mailles du dédouanement. Mauvaise surprise qui a dû faire mal à la réception.

     

     

    Voilà pourquoi je conseille d'insister pour que le colis soit envoyé par la poste nationale (en l'occurrence china post).

     

    Merci vivement pour ce conseil Homo-Ruderalis.

     

     

     

    J’ai fait la lecture de ton JDB, et le moins que l’ignorant que je suis puisse en dire, est qu’il est vraiment bien fait et très détaillé. Tu sembles bien maîtriser tant la pratique que la théorie de l’éclairage DIY COB. Chapeau, ça donne envi.

     

     

     

    Si d’autres DIYeurs ont plusieures cultures à leur actif, sous composants acquis chez Kingbriteled, n’hésitez pas à nous faire part de vos expériences.

     

     

    Merci.

  5. Salut Phyl,

     

     

     

    Merci pour ce début de réponse. C’est à peu près ce que j’espérais, mais des retours d’utilisateurs seraient vraiment des plus appréciables, les bons comme les mauvais d’ailleurs…

     

     

    J’aimerais, dans la mesure du possible, éviter le genre de situation où l’on à plus que ses yeux pour pleurer, comme le dit si bien la formule consacrée.

     

     

     

    A bientôt.

    • Like 1
  6. Bonjour Condensa,

     

     

    Encore une fois, merci d'avoir consacré du temps à ces explications. Certaines choses sont maintenant plus claires.

     

    Les questions relatives à la décarboxylation m'ont piqué au vif. Par nécessité, j'ai donc fait de plus amples recherches sur la partie anglophone du web (malheureusement pas grand chose en français...) et lorsque j'estimerai avoir, plus ou moins, fait un tour d'horizon des différents procédés, je reviendrai poster ici même.

     

    Je profite de ce post pour suggérer la création d'un guide (le plus précis possible) sur la décarboxylation. Ceux qui ont lu cette page savent que je n'ai ni les connaissances ni les compétences requisent pour une telle entreprise...

     

    Encore merci Condensa.

     

    Bonne journée à tous.

     

    A++

  7. Bonjour Condensa,

     

     

    Avant toute chose, merci pour ton intervention.

     

    Pas facile de passer après une personne comme toi qui à des connaissances, quand on en a soi-même très peu. Je vais donc essayer de faire court et tenter par la même occasion de ne pas dire trop d’ânerie. J’en ai déjà suffisamment dit dans mes précédents post… et j’en suis sincèrement désolé.

     

     

     

    Je te donne mon avis personnel basé sur ce que je connais mais cela ne veut pas dire que c'est forcement la vérité.

     

    Je prends bien note de cela, mais sans ta contribution je commençais à me forger des convictions erronées.

     

     

     

    Sinon, l’exemple de la méthode des cannabiculteurs de la vallée du Rif, n’était là que pour reprendre la citation du post N°6 de ce topic. Implicitement (j’aurais dû être plus clair…), j’évoquais ce procédé transposée a la manière dont le séchage et l’affinage est communément pratiqués dans le monde francophone (cad séchage en box et affinage en bocaux, le tout dans l’obscurité). Mea culpa.

     

     

     

     

     

    De manière "TRES" générale, avec les solvants organiques tu utiliseras plutôt de la matière sèche et vieille, de part leur taux d'oxydation faible et leur température d'évaporation faible.

     

     

    De part la forme et la structure de ces molécules, il me semble assez dure d'oxyder du CBD, il doit donc être très stable.

     

     

    Si je comprends bien ton propos :

     

    Pour faire un RSO riche en CBD ou avec une herbe jeune ne contenant que du THC, en recourant à l’éthanol (généralement alcool à 90° voir 96° de qualité alimentaire) en guise de solvant, dont la température d’ébullition est 79°C, il serait préférable de procéder à une étape préalable de décarboxilation (probablement au four, mais à quelle température et pour quelle durée ?) ?

     

     

     

     

     

    Je profite de ce post pour glisser 2 dernières questions, posées sur un autre topic (j’espère que la modération ne m’en voudra pas trop…), lesquelles sont restées lettre morte.

     

     

     

    Le marché propose essentiellement 3 concentrations en CBD et THC :

     

    - Riche en CBD / Riche en THC

    - Riche en CBD / Pauvre en THC

    - Riche en THC / Pauvre en CBD

     

    Ces 3 « types » d’herbe nécessitent-elles la même durée et la même température de décarboxilation au four ?

     

     

     

    Et enfin, comment déterminer (si cela est possible) le degré de décarboxilation (température et durée) au four, à apporter à une herbe affinée 1 mois, 3 mois, 6 mois, 1 an…etc ?

     

     

     

     

    Encore une fois, MERCI de m’avoir sorti de l’erreur.

     

    Bonne fin de journée

     

    A+

  8. Salut,

     

     

     

     

    Citation N°1

     

    Dans le Rif, les cannabiculteurs « bio » gardent leurs fleurs 6 mois à un an avant de les tamiser. La décarboxylation est alors quasi complète et le hasch obtenu est alors plus puissant

     

     

    Si le contenu de l’encadré citation, juste au dessus, est fiable, alors, serait-il juste d’affirmer qu’une herbe affinée entre 6 mois et  1 an ne requiert plus l’étape de décarboxilation, nécessaire en cuisine cannabique de manière générale, telle que dans la recette, en citation ci-dessous, à titre d’exemple ???

     

     

     

    Citation N°2

     

    Pour réaliser une extraction à l’huile d’olive, il suffira de faire chauffer au bain marie (< 100ºC) environ 10g de fleurs de cannabis dans 100 ml d’huile d’olive, pendant 90 minutes. Vous retirez ensuite le mélange du bain-marie, et vous le faites chauffer à feu doux à environ 110ºC (vérifiez avec un thermomètre) pendant 30 minutes, pour procéder à la décarboxylation des cannabinoïdes. Laissez ensuite refroidir, puis filtrez.

     

     

    Prenons la citation N°1 et extrapolons une nouvelle fois.

     Si les quelques lignes de cette citation se vérifiaient, alors, serait il correct de postuler que, dans le cas particulier de la confection de RSO, nécessitant une étape d’évaporation par chauffage de la solution (donc décarboxilation), la matière végétale de départ bien que sèche, devrait être la plus fraiche possible (moins de 2 mois de séchage & d’affinage), afin d’obtenir une huile très concentrée en THC ???

     

     

     

     

    En marge de cela, et sans toutefois connaitre la vitesse de dégradation du CBD (probablement variable en fonction des conditions de conservation), ce dernier s’oxyderait moins rapidement que le THC…

     

     

     

     

     

    Si parmi vous, lecteurs, certains avaient de la lecture portant sur la décarboxilation d’herbe jusqu’à 6 mois d’affinage, je suis preneur.

     

    Par avance merci

     

    A+

  9. Bonjour Cannaweed,

     

     

     

    En suivant la méthode ci-dessous, dans l’encadré citation, j’ai fait ma première extraction le weekend dernier.

     

    Je souhaitais partager mon expérience en photo avec la communauté, mais toujours impossible « d’uploader » des clichés (même redimensionnés) et ce y compris avec «l’uploader » classique...

     

    Donc désolé, mais j’ai abandonné l’idée du partage en image…

     

     

    La procédure suivie :

     

     

    Pour réaliser une extraction à l’huile d’olive, il suffira de faire chauffer au bain marie (< 100ºC) environ 10g de fleurs de cannabis dans 100 ml d’huile d’olive, pendant 90 minutes. Vous retirez ensuite le mélange du bain-marie, et vous le faites chauffer à feu doux à environ 110ºC (vérifiez avec un thermomètre) pendant 30 minutes, pour procéder à la décarboxylation des cannabinoïdes. Laissez ensuite refroidir, puis filtrez. L’extraction à l’huile d’olive sera donc à la fois très facile et sans aucun danger!

     

     

    Cette méthode m’a paru opportune pour plusieurs raisons :

     

     

    - Simplicité de réalisation (pour une première).

     

    - Solvant facilement accessible, non toxique et dénué de propriété explosive…

     

    - Produit fini simple et adéquat en auto médication.

     

     

     

    La matière végétale utilisée pour cette extraction, était constituée uniquement de fleurs de Pakistan Valley (World of Seeds) ayant 3 mois d’affinage.

     

     

     

    L’étape de décarboxilation à 110°C à feu doux fut des plus fastidieuse.

     

    En effet, malgré l’utilisation d’un thermomètre de cuisine, impossible de stabiliser la température à 110°C.

     

    En conséquence, durant cette demie heure de décarboxilation, fluctuation constante entre ≈ 106°C et ≈113°C.

     

     

     

    Constat qui amène les interrogations suivantes :

     

     

    - En préalable à l’extraction à l’huile d’olive (au bain marie), pourrait-on d’abord décarboxiler l’herbe seule, au four pour une meilleure maîtrise de la température ?

     

    - Quelle température et combien de temps cette étape de décarboxilation nécessiterait ?

     

     

     

    Question peut être idiote, mais de nos jours, le marché propose essentiellement 3 concentrations en CBD et THC (approche très réductrice…) :

     

    - Riche en CBD / Riche en THC

    - Riche en CBD / Pauvre en THC

    - Riche en THC / Pauvre en CBD

     

    Ces 3 « types » d’herbe nécessitent-ils la même durée et la même température de décarboxilation au four ?

     

     

     

    Et enfin, comment déterminer (si cela est possible) le degré de décarboxilation à apporter à une herbe affinée 3 mois, 6 mois, 1 an…etc ?

     

     

    Comme vous aurez pu le constater, cette première expérience est suivie de nombreuses questions.

    Sans questionnement, pas de progression…

     

    A+

    • Like 1
  10. Re

     

     

    Merci pour toutes ces infos.

     

    A vrai dire, je n'ai encore jamais pratiqué d'extraction. J'essaie de mieux cerner les choses, et tente de faire le tour de la question avant de me lancer.

     

    Je projette une première extraction à l'huile d'olive prochainement. Cela me permettra d'aquérir une première expérience et me donnera une petite idée quand au soulagement que l'on peut en attendre.

     

    Bien que pas encore programmée, la prochaine extraction sera sans doute à l'alcool à 90° alimentaire.

     

     

    En tout cas, merci pour ta patience et le partage de tes connaissances. :pro:

     

    ++

  11. Re,

     

     

     

    Quel rendement as-tu en partant de matière végétale fraiche ?

     

    Une fois ton huile obtenue l’utilises-tu comme ingrédient dans d’autres préparations ?

     

    Crois-tu que blanchir 2min puis congeler 24h la matière végétale fraiche, avant d’utiliser de l’alcool de qualité alimentaire pour détacher les molécules de principes actifs soit faisable, mais surtout viable ?

     

    Je ne crois pas aux miracles, mais je vais de ce pas jeter un œil à ton JDC.

     

    Les extractions et les transformations de matières, pour du soin, m’intéressent au plus haut point.

     

     

     

    Encore Merci

     

     

    Sinon, quelqu’un saurait si BHO et RSO se valent en termes de concentration en substances actives ?

     

    Et si le BHO peut être utilisé pour préparer divers « médecines » ?

     

     

    ++

  12. Salut gimedaweed,

     

     

     

    Merci d’avoir pris le temps de répondre à mon post.

     

     

    C’est du BHO ou du RSO que tu confectionnes ?

     

     

    Si je comprends bien ton procédé :

     

    1) Tu blanchies 2 minutes à l’eau (bouillante ?) ta matière végétale fraiche.

     

    2) Tu la places au congélateur (combien de temps environ ?)

     

    3) Tu utilises quel liquide en guise de solvant ?

     

    4) combien de temps dure chacune des 3 étapes au bain marie ?

     

     

    Je me trompe peut être (après tout, je ne connais encore pas grand-chose aux extractions…), mais lors de la 1ère étape de blanchiment , puis dans celles des bains marie successifs atteignant des températures allant au-delà de 90°C, n’y-t-il pas déjà un début de décarboxilation ?

     

     

    A quelle(s) fin(s) utilises tu ton huile ?

     

     

    Encore merci pour ton temps.

     

    ++

  13. Bonjour,

     

     

    Après lecture minutieuse de l’intégralité des 20 pages de ce sujet (je n’ai sans doute pas tout retenu…), je pense avoir saisi que pour la production de RSO à finalité médicale rien ne peut se substituer aux alcools de qualité alimentaire, de préférence alcools à 90° et au-delà.

     

    N’hésitez pas à me reprendre si je m’égare.

     

    Ce sujet m’a permis de me familiariser avec le BHO, qui m’était, jusque là, assez « exotique ».

     

     

    Plusieurs questions subsistent cependant.

     

    1) RSO et BHO se valent-ils en terme de concentration en produits actifs ?

     

    2) A titre d’exemple, 1kg de matière végétale sèche produira-t-elle autant de RSO que de BHO ?

     

    Edit : Rick Simpson dit extraire 60g d’huile de 450g de fleurs sèches. Donc 1kg de matière sèche devrait permettre d’obtenir environ 130g de RSO.

     

    3) Le BHO semble pouvoir s’utiliser en inhalation pour traiter différents maux, mais peut-il aussi être utilisé pour confectionner des préparations telles pommades/baumes et autres produits destinées à l’ingestion, dont la transformation nécessite le recours au bain marie (le passage au four semble proscrit) ?

     

     

     

    le Bho déjà ne se decarbolyxie pas, c'est gâcher.

     

    Le BHO c'est justement le mélange terpénique qui fait son intérêt (...)

     

     

     

    Quel est l’intérêt de decarboxyler:

     

    La decarbo transforme le thca en THC et devient donc psychoactif.

     

    La decarbo se fait naturellement (oxydation) lors du curring de votre weed, donc decarb derrière ne sert a rien sauf:

    Si vous êtes pressé, si vous faites de l'extraction sur de la matière non sèche non curré, si vous travaillez des sativas tropicale (très forte en thca) etc

     

    En partant d’une matière végétale non séchée et non affinée, un autre intérêt à ne pas procéder à une étape de décaboxilation, serait justement la conservation des formes acides, non psychoactives, des cannabinoïdes.

     

    Understanding-Medical-Cannabis-2.jpg?res

     

     

     

     

     


    Faire une decarb sur un produit déjà oxyder ne fait que détruire le thc (...)

     

    Dans le cadre d'un traitement (Park/Alzh/TDHA etc) par exemple decarbo revient a tuer le "médicament".

    Le Thca est un neuro-protecteur puissant, decarbo revient a le retirer.

     

    Toujours se demander l'utilisation qui va avec l'extraction.

     

    Si le raisonnement dans les quelques lignes en citation ci-dessus est bon, alors, pour produire du RSO dont l’alcool va être évaporé lors de l’étape de réduction au cuiseur à riz (donc décarb), le mieux ne serait-il pas d’utiliser des fleurs fraichement coupées (donc non séchées et non affinées), afin de limiter les pertes de cannabinoïdes ?

     

    Si le recours à de la matière végétale fraiche était possible pour confectionner du RSO, le problème serait probablement une trop grande quantité de chlorophylle… La méthode du QWET aurait pu être intéressante, mais nécessite une matière végétale sèche, il me semble…

     

     

    Merci pour votre temps et commentaires.

     

    Bonne journée

     

    ++

  14. Bonjour Titoon 29,

     

     

     

    Plus de deux ans et demi après le dernier post sur ce sujet, peut être n’aurais-je jamais de réponse, mais tant-pis, je me lance tout de même…

     

     

    Je ne comprends pas à quoi sert la première étape de la recette.

     

    Celle-ci voudrait que l’on place 1g de RSO (si je ne me trompe pas) ou 1g de résine dans un récipient hermétique, durant 25 à 30min dans un four préchauffé à 120°C.

     

    Si le but est de procéder à une décarboxylation, au moins dans le cas du RSO, celle-ci n’a-t-elle pas déjà eut lieu lors du processus d’évaporation du solvant dans le cuiseur à riz, puis sur le réchaud à café (où il est justement question de laisser « buller » le RSO), ou lors de l’étape de bain marie à l’huile (pour atteindre le seuil des 120°C afin de provoquer la décarboxylation), lors de la confection du RSO ?

     

     

     

    La raison d'être de l'étape de passage au four à 120°C dans un récipiant hermétique, comme le veut la recette de Titoon, viserait la décarboxylation tout en minimisant la perte de terpènes ?

     

    Mais encore une fois, cette étape est-elle bien nécessaire si le RSO à bien été décarboxylé lors de sa fabrication ?

     

     

    Sinon, en guise de récipient hermétique, est ce qu’un bocal du genre « Leparfait », dont le couvercle (démuni du joint orange. Bon, sans joint plus d’imperméabilité, mais à 120°C le joint ne risque-t-il pas de se détériorer et de compromettre le contenu du bocal ?) rabattu et posé parfaitement sur le bocal serait une façon correcte de procéder ?

     

     

    A bientôt (enfin...je l'espère...)

     

    Edit

    Edit

  15. Salut la Communauté,

     

     

     

    mieux vaut utiliser un bon rhum à 60/70, ou de l'alcool non modifié à 90.

     

    Dans le prolongement de ce sujet, quelqu’un connaitrait de bonnes adresses où se procurer de l’alcool de qualité alimentaire le plus pur possible, et à prix raisonnables ? (pour confectionner du RSO)

     

     

    Juste par curiosité (puisque le prix d’1litre de rhum à 70° est équivalent voir supérieur à celui de l’alcool de qualité alimentaire à 90° ou 96°), peut-on vraiment utiliser de l’alcool à 70° pour produire du RSO ?

     

    La différence concrète entre l’usage de ces 2 types d’alcools réside-t-elle uniquement en une capacité supérieure du pouvoir d’extraction (des cannabinoïdes) de l’alcool à 90° ou 96° comparé à celle de l’alcool à 70°, ou y a-t-il d’autre point de divergence ?

     

     

     

    @ In and Out

     

    Comment t’y prends-tu pour remplir proprement tes gélules ? Un outil spécial ?

     

    Avec maintenant un recul d’un peu plus de deux années, que pourrais-tu dire de cette recette et de ses effets sur le long terme ?

     

    ++

     

    Edit

  16. Bonjour Thayrod,

     

     

    Merci pour le partage. Ton expérience est vraiment très intéressante.

     

    Sans en avoir jamais confectionné, je connais le RSO « tout court ». Mais ton procédé m’intrigue…

     

    Pourrais-tu décrire étape par étape ta manière de préparer ces 2 types de RSO, léger et lourd, ainsi que les ingrédients entrant dans leur composition, stp ?

     

    Si j’ai bien saisi, tu utilises quelques goutes de ton RSO léger, par voie orale, pour venir à bout de maux de tête aigus. Mais comment utilises tu ton RSO lourd, et face à quelles affections ?

     

     

    Encore merci pour le partage.

     

    a+

     

     

     

     

    PS : J’oubliais, à quoi penses-tu lorsque tu évoques le terme de « cannabis médical » ? Je me pose cette question depuis un moment, sans savoir comment une variété de cannabis est digne de cette appellation, et d’autres non. Car sous cette appellation, on trouve tout types de concentration en CBD et THC (bien que l’angle d’approche uniquement par ces 2 seuls cannabinoïdes soit on ne peut plus réducteur…).

  17. Bonjour Cheezo,

     

     

    Merci pour ton retour d’expérience. J’apprécie vraiment ta contribution.

     

    Accepterais-tu d’évoquer plus en détails ton mode de consommation par ingestion, pour lutter contre les douleurs ?

    Préparation du « remède », maux soignés, dosage (même approximatif), et les variétés qui te/vous soulagent ?

     

    Petite digression…  pour ma part, j’envisage le cannabis uniquement à finalité thérapeutique.

    Le tabac, même si l’arrêt de sa consommation m’a donné du fil à retordre, je fête ces prochains jours ma 10ième année sans rechute. Je n’en vie que mieux.

     

    Si d’autres membres ont des conseils, ou souhaitent simplement partager leurs manières de se soigner, je serais ravi de les lire.

     

     

     Bonne continuation à tous

     

    ++

  18. Salut Thayrod,

     

     

    tel ou tel chose marcheront sur moi mais peut etre ne conviendra pas aux autres , 

    faut faire ses propres expériences  :fumette:  :fumette:

     

    Tout à fait d’accord sur ces points.

     

    Seulement peut être que ceux qui utilisent le cannabis de manière concluante face à la migraine, quel que soit la/les voies d’administrations et la/les formes utilisées, pourraient peut être avoir des conseils à prodiguer, ou tout simplement partager leurs vécus.

     

    L’impression que j’ai, après lecture des pages dédiés au sujet, est que le cannabis semble assez rarement efficace contre les migraines non ophtalmiques…

     

    J'aimerais juste en savoir plus.

     

    Pour faire simple, j’attends les témoignages de la communauté.

     

    ++

  19. Bonjour Cannaweed,

     

     

     

    Le cannabis n’étant pas la seule plante dotée de propriétés intéressantes, je te propose aujourd’hui, de te pencher d’un peu plus près sur un produit dont la consommation n’entrainera ni ostracisation, ni la crainte d’une amende, comme prévu par la courageuse mais néanmoins hypocrite dépénalisation promise par la nouvelle équipe gouvernementale. :siff:

     

    Si tu souffres de troubles du sommeil, voici une merveille de la nature à qui tu pourrais bientôt rendre un culte, en remerciement de l’aide à retrouver les quelques heures de ce repos salvateur et nécessaire à une bonne hygiène de vie. J’ai nommé la BANANE (BIO ABSOLUMENT).

     

     

     

    Une recette toute simple

     

     

    Il te faut (pour une personne) :

     

     

    • 1 banane BIO IMPERATIVEMENT (pour ne pas ingérer pesticides et autres produits chimiques)

     

    • De l’eau (la plupart des recettes préconisent 1Litre d’eau. Mais par expérience je te conseille de réduire ce volume à 2 ou 3 grandes tasses, afin d’obtenir un produit très concentré).

     

    • Cannelle (facultatif)

     

     

     

     

    Mise en application :

     

     

    •Mets ton eau à boullir.

     

    Sans éplucher la banane BIO, Coupe ses 2 extrémités, et mets les dans ton bac à compost ou à la poubelle…

     

    • Coupe ensuite la banane en tronçons de 2 à 3 centimètres, dans le sens de la longueur.

     

    •Lorsque ton eau bout, plonges-y ta banane coupée en tronçons et laisse bouillir 10 minutes.

     

    • Au terme des 10 minutes d’ébullitions, il ne reste plus qu’à filtrer ce mélange à l’aide d’une passoire (a mailles fines) directement dans ta tasse. Tu peux éventuellement y ajouter un peu de cannelle, mais ça reste facultatif.

     

     

     

     

    Le goût de cette infusion ne peut être qualifié de divin, mais ce n’est pas le but recherché…

     

    Passant par voies orale et digestive, je te conseille de consommer cette infusion entre 30 minutes et une heure avant de te coucher.

     

    Allez, Bonne nuit.

     

    ;)

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