Unif cherche cultivateurs de cannabis


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Salut,

 

 

Ce n’est pas banal : l’Université de Gand veut étudier les motivations des cultivateurs de cannabis. Pour ça, elle a besoin d’eux. Qu’ils soient ou non toujours «actifs».

 

«Cultiv (i) ez-vous du cannabis? Aidez-nous à générer une image objective et nuancée des cultivateurs de cannabis et contribuez à une meilleure politique, soutenue par la science, sur le cannabis» : c’est le message, passablement insolite, lancé par l’Université de Gand. Plus précisément par l’Institut de recherche sociale sur les drogues de l’UGent, qui amorce une enquête en ligne (anonyme), ouverte à tout citoyen âgé de 18 ans minimum pour peu qu’il cultive ou ait cultivé du cannabis.

 

L’objectif est celui de la plupart des études scientifiques : objectiver des données. En l’occurrence, il s’agit d’approfondir les «tendances et les motivations des différents types de cultivateurs de cannabis». Pour quoi faire? Le raisonnement est le suivant. Si on a une meilleure perception de ce qui amène certaines personnes à se lancer dans ce genre d’activité, on disposera aussi d’une représentation plus nette du marché, «loin des préjugés et des stéréotypes», plaident les chercheurs flamands. Et dans la foulée, les décideurs politiques seraient ainsi mieux armés pour définir des stratégies et des priorités adaptées aux réalités du terrain.

 

L’enquête belge est d’ailleurs commandée et financée par la Politique scientifique fédérale (Belspo).

 

Enquête internationale : une première

 

Par ailleurs, les scientifiques de l’Institut de recherche ne travaillent pas en solo. D’une part, ils collaborent avec la KUL et, d’autre part, l’enquête s’inscrit dans un cadre international. En effet, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, la Finlande, le Danemark mais aussi les États-Unis, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande y participent également.

 

Ampleur du phénomène, rôle des différents types de cultivateurs, contacts avec le marché de la drogue, consommation, impact de leur activité sur la société et, à l’inverse, impact de la politique en matière de stupéfiants sur leur activité, comparaison des données avec les autres pays participants, etc. Ce type d’enquête internationale est unique, soulignent les chercheurs belges.

 

Ceux-ci veulent rassurer leur cible potentielle : aucun élément du processus de questionnaire online ne pourra mener à leur identification. L’anonymat et la confidentialité du traitement des données sont garantis par l’Institut. Les adresses IP ne sont pas enregistrées.

 

Dernier détail : les participants ne sont pas rémunérés. Faut pas abuser non plus…

 

Sources : L' avenir.net

 

 

Article : https://www.lavenir.n...120822_00195049

 

 

 

 

Voila pour les belges qui souhaitent cultiver chez eux en toutes légalité ( certaines quantités limitées bien sur )

 

@++

Modifié par djnico
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Hello,

La belgique semble un peu plus ouverte d'esprit que la France.

Hep's

 

Faudrait lancer le même type d'enquête dans notre contrée désolée.....j'veux bien en être.....

Je sais pas pourquoi mais en France, j'aurai un gros doute sur la réalité de l'anonymat...

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Yop,

 

Je sais pas pourquoi mais en France, j'aurai un gros doute sur la réalité de l'anonymat...

 

Je ne sais pas pourquoi mais moi aussi ^^

 

J' essaye de me renseigné sur cette idée mais je ne trouve pas grand chose, notamment sur les quantités autorisé, que faut il leurs faire parvenir et surtout sur l' anonymat

 

Si vous avez des renseignement sur ça

 

++

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