«Ce trafiquant était en tongs et avait l’air dépité»


Invité cheezo

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Un témoin de la grosse saisie qui a eu lieu vendredi aux Verrières (NE) raconte. Le cash et le pistolet mitrailleur retrouvés confirment que les enquêteurs ont ferré de très gros poissons.

 

 

 

 

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Les milliers de plants de cannabis saisis vendredi dans une usine désaffectée de deux étages des Verrières (NE) à deux pas de la frontière française et à 1h de voiture de Lausanne, étaient en grande partie destinés au marché lausannois. Il y en avait tant qu’un camion poubelle a été nécessaire pour venir les récupérer! Trois personnes ont été arrêtées, dont une sur place. Il s’agit du gardien, un Maghrébin de nationalité indéterminée ne semblant pas parler français, d’après une des personnes présentes. «Il était dépité, tout mou et tout triste surtout quand les plants ont été arrachés et mis dans des sacs poubelles!» explique notre témoin. La police avait menotté l’individu et l’avait assis sur une caisse. L’homme a été interpellé en short et en tongs. Et pour cause, il faisait pas moins de 25 degrés dans le local. «Lui et d’autres semblaient y vivre. Il y avait plein d’habits, une connexion internet, un téléphone fixe et même une Swisscombox! Les policiers jubilaient, c’était comme à la télé!» Deux coffres-forts ont été retrouvés, dont un grand. Il a fallu l’intervention de professionnels pour l’ouvrir. Il contenait un sac de résine de cannabis et un autre bien plus gros dans lequel se trouvait «une sorte de pollen.»

 

Autres détails d’importance dans cette affaire, d’après nos informations: plusieurs dizaines de milliers de francs en cash ont été saisis ainsi qu’un pistolet mitrailleur de type Uzi. La police lausannoise communiquera d’ici peu sur cette enquête partie de la capitale vaudoise et qui semble bel et bien mener à de très gros bonnets comme le laissaient entendre ce week-end nos confrères de RTN qui avaient révélé l’affaire. Pour le conseiller national Yvan Perrin, qui habite à 7 petits kilomètres de «l’usine à cannabis» et a dix ans de brigade des stups derrière lui, il s’agit en effet vraisemblablement d’une enquête d’une très grande importance. «Les policiers lausannois ont tiré un fil et la pelote se révèle bien plus grosse que ce qui était prévu au départ. Vu de l’extérieur, l’une des hypothèses est que des gros trafiquants ont décidé de désormais produire en Suisse. Ici, ils ne risquent pas grand-chose légalement. En tous les cas deux fois moins qu’en France, tout en ayant accès au marché hexagonal où leur marchandise peut s’écouler bien plus cher. Il s’épargnent aussi les passages de frontières risqués et les bakchichs.»

 

«On se doutait qu’il y avait un truc pas net, conclut notre témoin, mais pas à ce point-là. Deux gars bien cravatés étaient venus à l’usine et avaient mangé au bar du village il y a quelques semaines.»

 

 

 

 

Source: https://www.lematin.c.../story/15916499

Modifié par cheezo
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Hep,

 

S'ils savaient les pauvres.......des usines à weed y'en a aux quatres coins de l'hexagone, pas qu'à la frontière suisse.......il est grand temps de mettre ce type de "société" dans l'économie nationale......François, coin-coin et leurs amis auraient de quoi soutirer quelques taxes et impôts.....

Voilà le nouveau fleuron de l'agriculture française......de la weed de qualité......avec le logo made in france

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bonjour ,

 

Voilà le nouveau fleuron de l'agriculture française......de la weed de qualité......avec le logo made in france

 

I have a dream ... one day .....

 

:dejadehors:

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