ça se passe chez vous en l'an de grâce 2008


Messages recommandés

Les infirmières en milieu scolaire relèvent-elles du ministère de l'Éucation nationale ?

 

 

De plus, il ne s'agit pas de maltraitance sur autrui,

mais, au pire maltraitance sur soi-même,

au mieux bientraitance sur soi-même.

 

Va-t-on en revenir à la masturbation qui rend sourd

et dont il faut se repentir après confesse ?

 

 

 

"Hé ouais ! On a des nouveaux collèges

Collèges de l'impunité, on va faire des bons élèves

Les enseignants s'ront armés

Les classes en béton armé

Quand à la cours de récré concue en fil barbelé

 

Hé ouais ! Enfin une nouvelle éducation

Travail famille patrie rééduquons la Nation

Vos gosses sont des junkies qu'on les jette en prison

Ce sont de malpolis qu'ont des parents indécis

 

Hé ouais ! On prend des décisions

Les gens d'en bas sont mauvais en terme d'éducation

Puisqu'ils gèrent mal leurs mouflets, puisqu'ils tiennent mal leur maison

On va leur sucrer les allocations

 

Allez, fusillons les droits d'l'enfance

On avait trop avancé dans notre si jolie France

Enfermons les nouveaux-nés avant qui s'mettent à pleurer

Le calme c'est la santé, faut pas s'laisser emmerder

 

Allez, fusillons les droits d'l'enfance

Beaucoup de nos voisins en on fait l'expérience

La prison fait du bien ca remet dans l'bon sens

Tu d'viendras un adulte sans passer l'adolescence

 

Allez, fusillons les droits d'l'enfance

Augmentons le temps de travail

Diminuons les vacances

On va leur péter 20 chaînes de télévision

Ca va leur zapper leur envie de rébellion

 

Allez, fusillons les droits d'l'enfance

Augmentons le temps de travail

Diminuons les vacances

Faut qu'les parents bossent, faut qu'les parents bossent

Pendant qu'la police s'occupe de leurs gosses

 

Allez fusillons notre jeunesse

Finis les feignants remplis d'allégresse

Fini les rave- parties tout le monde au fitness

Le sport c'est la santé les jeunes font qu'se droguer

 

Allez, sortons le gouvernement

Impunité zéro pour notre Président

Prison pour les ministres qui se sont augmentés

Pendant que la moitié du peuple se bat pour bouffer

 

Allez sortons le gouvernement

Impunité zéro pour notre Président

Il est sûrement plus coupable

Que la misère des enfants

Qu'il veut enfermer en bon dirigeant

 

Allez, sortons le gouvernement

Il faut avancer, on est intelligent

On va user les pavés, user les pavés, user les pavés

Ils vont reculer"

 

 

Guizmo (Tryo : Récréation)

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C'est beau la confiance !

 

 

Sinon pour l'anecdote sa m'étonne qu'on en parle que maintenant, j'étais dans un lycée privé, sa tournait mais peu donc je n'ai pas connu sa.

Mais des potes étaient dans un lycée public où sa tournait beaucoup, et là les descentes avec fouille et chiens étaient courantes.

Ce qui se passait c'est qu'au final il y avait toujours des malins ayant compris qu'a ce moment là il faut aller sous les fenêtres afin d'assister à une pluie de barrettes et de packson :-P

 

 

M'enfin c'est beau la répression, on inculque la peur et la haine du flic dès le collège, comme sa une fois au lycée ils sauront déjà comment les éviter... :-P

 

 

A+

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Une infirmière est tenu au secret médical ma mère est elle même infirmière donc bon je sais encore se que je dit.

 

Seulement que celle la elle sert a rien.

mes deux parents sont infirmiers et je sais bien qu'ils sont tenus au secret medical!!

c'est différent dans le cadre scolaire! c'est tout! et tu as raison le plus souvent elles servent à rien!!

moi j'ai fait une crise blanche une fois au lycée!

l'infirmière a fait venir le proviseur, qui a appelé un docteur ,qui a conclut une hypoglycémie!

pas d'appel au parent ni a la police!!! c'est des tarés dans ton collège!! à mon époque il n'y avait pas cette repression

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voici les dernières nouvelles de l'affaire du collège de Marciac, Bonne lecture:

 

Gendarmes au collège de Marciac: "J'annule la manifestation de demain"

violences policières, contrôle anti-drogue, Marciac, Gers, Xavier Darcos, michele alliot marie

Par La rédaction du Post

le 04/12/2008, vu - fois, -

 

Sur Le Post, le père de Zoé, la collégienne de Marciac qui a raconté l'intervention des gendarmes, parle d'une "victoire citoyenne."

 

 

Le père de Zoé, Marciac (Gers).

Max PPP

 

Marche-arrière toute.

 

Il n'y aura pas de manifestation, ce vendredi, devant le collège de Marciac, dans le Gers.

 

Frédéric David, père de Zoé, élève de 3ème du collège de Marciac, l'avait pourtant annoncé après avoir diffusé le récit de sa fille de l'intervention de la gendarmerie: "L'important est de dénoncer cette descente. (...) J'appelle à une mobilisation vendredi, avec tous les parents et les citoyens."

 

Cette descente, c'est celle de la gendarmerie, le 19 novembre dernier, lors d'un contrôle anti-drogue. Chien non muselé, fouilles au corps, les gendarmes seraient allés trop loin...

 

Le chef d'établissement, qui dit à présent avoir été "trompé, floué et naïf", avait dans un 1er temps déclaré que l'intervention des gendarmes s'était "bien passée"...

 

Ce jeudi, le père de Zoé change d'avis, estimant avoir remporté une "victoire citoyenne" et avoir "été entendu."

 

Sur Le Post, il s'explique:

 

Vous avez changé d'avis?

"Oui. Il n'y aura pas de manifestation demain devant le collège de Marciac. J'ai pris cette décision en concertation avec d'autres parents d'élèves. Je m'interroge sur le bienfondé d'une telle manifestation."

 

Pourquoi?

"Le problème de cette intervention de gendarmes a été posé au plus haut niveau. Il a été abordé à l'Assemblée nationale, et le ministre de l'Education et de l'Intérieur ont réagi. J'ai le sentiment d'avoir été entendu. C'est déjà une victoire citoyenne."

 

Vous appréhendez d'éventuels débordements?

"Ce n'est pas la raison première de l'annulation de la manifestation, mais, effectivement, je ne veux pas mettre en danger les collégiens ni menacer la tranquillité de l'établissement. Plusieurs milliers de personnes étaient partantes pour manifester... On essaiera de trouver quelque chose de plus symbolique, comme un passage au tribunal. Car nous ne baissons pas la garde pour autant."

 

C'est-à-dire?

"Je ne regrette pas ce qu'il s'est passé. Ça m'a bousculé. Je me suis dit 'C'est quoi ce bazar? C'est quoi cette violence dans les écoles?' J'ai eu une réponse de père, humaine. A l'avenir, je vais rester vigilant, m'informer, et n'hésiterai pas à réagir en fonction."

 

Et Zoé, comment a-t-elle vécu ces derniers jours?

"Ça va. Elle est interne et est relativement épargnée. Elle a vu les sujets à la TV, ça lui a fait bizarre. Et on a pu en parler calmement tous les deux hier."

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autre reaction au message audio du prof dans le gers

 

 

*Le cynisme des chiens * *Par Jacky Dahomay *

Le récit ahurissant fait par un enseignant du Gers concernant l’intrusion dans sa classe de gendarmes et d’un chien, m’a littéralement bouleversé. Et j’ai pleuré. De rage bien entendu. Je suis un vieilenseignant, à la veille de la retraite. Ce métier a été ma seulevocation. Je me suis toujours tenu pour le seul maître dans ma classeaprès Dieu (s’il existe bien entendu!) et personne n’y entre sans monautorisation, ni chef d’établissement, ni inspecteur, ni ministre et, afortiori, ni gendarme ni chien. Impossible! A moins d’un cas de force majeure grave que le chef d’établissement devra m’expliquer au préalable. Je le dis donc tout net:si une telle chose m’arrivait, je donnerais l’ordre aux élèves de désobéir.

Telle est mon éthique de professeur. J’estime ma mission d’enseignant plus haute que ma propre sécurité. *L'école de la République vise aussi à former des citoyens incommodes* En vérité, depuis quelques années, les enseignants s’accommodent de biende choses inacceptables. Oublient-ils ce principe républicain qui veutque l’instruction publique vise aussi à former des citoyens incommodes? Comment en est-on arrivé là? Tout se passe aujourd’hui comme s’il yavait une redoutable confusion des rôles, des institutions comme deleurs fonctionnaires. De toute évidence, au niveau des responsables del’Etat comme au sein de la population, il y a confusion entre l’espacepublic propre à l’école et d’autres formes d’espaces publics ou communs. Or, l’école n’est pas publique au sens ou peuvent l’être les chemins defer, les télécommunications ou la place du marché.

Cela fait des annéesqu’on croit bien faire en ouvrant l’école sur l’extérieur. La rue y est rentrée, avec son lot de désagréments. Si la rue peut enrichirl’expérience, seule l’école donne une véritable instruction. Comment desvérités aussi élémentaires peuvent-t-elles avoir été oubliées? Admettons qu’un policier ait toute légitimité pour procéder à desfouilles dans les aéroports et dans la rue (à condition bien sûr quecela ne s’adresse pas qu’aux basanés!): cela lui donne-t-il pour autantle droit de se substituer à l’autorité du maître dans sa classe? On a souvent du mal à distinguer entre le maître qui impose unedomination et le maître qui exerce un magistère. Et comme ce principe s’est perdu, le maître-chien, fût-il gendarme, se sent autorisé luiaussi à prendre la place de l’enseignant à l’école. Et quand unmagistrat se permet de croire que la peur du gendarme introduite brutalement à l’école est ce qui préservera les élèves de la délinquance, on se demande, bien que n’étant pas Gaulois, si le cieln’est pas tombé sur notre tête! La peur et la répression ont remplacé la mission éducative de l’école. Quel échec! **De la pratique quotidienne du massacre de citoyens * * Sait-on simplement que lorsque le chien et le gendarme se substituent à l’autorité du maître à l’école, c’est que les loups hurlent déjà aux portes de nos villes. Il s’ensuit en général un bruit de bottes sur les trottoirs.

Mon cœur donc gronde de colère et qu’on le laisse faire! Il y a desmoments où la raison raisonnante devient impuissante et laisse place à l’indignation. Toutefois, des chiens, préservons-nous de leur rage et deleur cynisme. J’emprunte cette expression "le cynisme des chiens" à Chateaubriand qui, dans ses "Mémoires d’outre-tombe", l’utilise pourqualifier les révolutionnaires qui, sous la Terreur, bons père defamille, emmenaient leurs enfants se promener le dimanche en prenantsoin de leur montrer en passant le dada des charrettes qui conduisaientdes citoyens à la guillotine. Le cynisme est dans la contradiction voulue et assumée opposant lesgrands principes humanitaires qu’on affiche et la pratique quotidiennedu massacre de citoyens. Aujourd’hui, nous avons affaire à une autre forme de cynisme. Dans lespectacle que donne à voir par exemple le Gouvernement actuel de laFrance. Le président, Nicolas Sarkozy le premier. Loin de moi l’idée devouloir l’affilier à une quelconque gent canine. Mais son cynismeconsiste à affirmer une chose et son contraire, à soutenir un ministreun jour, à le désavouer le lendemain, à parler constamment à la place deses ministres. Dans son agitation ultra médiatisée, il procède à une véritabledésymbolisation constante des institutions de la république. Il y a bienlà un travail d’affaiblissement de l’autorité de ces dernières. Pourparodier Hannah Arendt, disons qu’il y a aussi perte d’autorité quandles adultes refusent d’assumer le monde dans lequel ils ont mis lesenfants, les vouant ainsi à une culture de la violence. Le refus de l’éducation est l’étalage de la répression et le culte de lasécurité. On croit que la sécurité n’est qu’une affaire de police alorsqu’elle réside avant tout dans le contrat liant les citoyens, contratimplicite et symbolique comme sortie de l’état de nature. C’est ce refusde l’éducation qui pousse à vouloir incarcérer des enfants de douze ans.Reste maintenant à obliger des psychiatres à inventer une substanceantiviolence qu’on inoculerait aux femmes enceintes, sans leurconsentement bien entendu. **Insidieusement se met en place une forme de totalitarisme forcémentinédite**Tout cela est grave, très grave. La démocratie ne fait pas toute lalégitimité d’une république. Un pouvoir tyrannique peut se mettre enplace démocratiquement. L’histoire, comme on sait, ne se répète pas etles formes de totalitarisme à venir sont forcément inédites. Nous sentons bien qu’une nouvelle sorte de régime politique,insidieusement, se met en place. Quand, à l’heure du laitier, unjournaliste est brutalement interpelé chez lui, devant ses enfants;quand des enfants innocents sont arrachés de l’école et renvoyés dansleur pays d’origine; quand une association caritative est condamnée à delourdes amendes pour être venue en aide aux sans abris; quand… Même sinous n’avons pas encore tous les éléments théoriques permettant depenser ce régime inédit, il se "présentifie" déjà avec des signescertains de la monstruosité. Face à tout cela, le PS, principal partid’opposition, se déchire lamentablement. L’heure serait-elle venue, pournous enseignants du moins, d’entrer dans la désobéissance civile? Je ne parle peut-être pas d’outre tombe mais je suis d’outre-mer. Commebeaucoup d’Antillais, j’ai aimé une certaine France malgré l’esclavageet la colonisation, malgré Vichy et la collaboration. Cette France qui àdeux reprises, a su abolir l’esclavage, celle qu’on a cru ouverte auxDroits de l’homme et aux valeurs universelles. Celle dont l’école,malgré ses aspects aliénants pour nous, a su donner le sens de larévolte à un Césaire ou à un Fanon. Qu’il faille dépoussiérer cette vielle école républicaine ne signifiepas qu’on doive la jeter avec l’eau du bain. Est aussi à réviser cette identité républicaine hypocrite qui a du mal à s’ouvrir à la diversité.

Et quand on constate que monsieur Brice Hortefeux, ministre de cetaffreux ministère de "l’Intégration, de l’identité nationale et del’immigration", aux relents franchement vichyssois, se permet de réunir,à Vichy précisément, les ministres européens chargés des questionsd’immigration, on peut légitimement penser qu’il y a là une continuitéconservatrice inquiétante. Ce ministre rend visite le 10 décembre au Haut conseil à l’Intégration.Je n’y serai pas. J’annonce ici publiquement ma démission du HCI. CetteFrance qui vient ou qui se met en place sournoisement, je ne l’aime pas.Devrions-nous alors, d’outre-mer, faire dissidence? Je ne sais pas. Cequi est sûr en tout cas, c’est que la plus grave erreur serait de sedire, comme à l’accoutumée, que les chiens aboient et que la caravanepasse.

 

/*Jacky Dahomay est professeur de philosophie à la Guadeloupe etdémissionnaire du Haut conseil à l’Intégration.* /

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  • 2 mois après ...

Un chien renifleur et cinq gendarmes à la sortie du car scolaire : accueil inhabituel, mardi matin, pour une centaine de collégiens d’Arthez-de-Béarn dans les Pyrénées-Atlantiques, qui ont du faire contrôler leurs cartables avant de rentrer en cours.

 

Les élèves de primaires, eux, seraient restés dans le bus, et auraient échappé à la fouille. Au final, les gendarmes ont fait choux blanc. Mais l’évènement provoque l’indignation d’un syndicat d'enseignants et des parents d'élèves, qui dénoncent aujourd’hui cette opération anti-drogue.

 

Le Snes parle «d'une violence symbolique très forte», et «condamne» cette intervention qui a, selon lui, «fait peur aux collégiens les plus jeunes». Tandis que le responsable de la fédération de parents d'élèves FCPE a de son côté évoqué une opération de «police spectacle».

 

L’opération aurait été menée sur réquisition du procureur de la République. Et le groupement de gendarmerie de Pau a assuré, dans un communiqué, que ce contrôle mené par une équipe réduite «s'est déroulé sans difficulté, sans incident et sans constater d'infractions particulières».

 

Quant à la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) à Paris, elle a déclaré qu'il s'agissait d'une «opération de prévention» menée «au plan départemental», qui a «pour but de protéger et prévenir les mineurs et les collégiens sur les dangers de la drogue».

 

La DGGN ajoute que «les gendarmes agissent en bons pères de famille» lors de ces opérations menées aux abords des établissements scolaires, «avec le souci de la prévention vis-à-vis des jeunes».

 

Un précédent contrôle anti-drogue effectué le 19 novembre dernier dans un collège de Marciac (Gers) avait suscité une vive polémique. Le Syndicat national des médecins scolaires et universitaires (SNMSU-Unsa) avait notamment estimé que «la prévention par la terreur est inefficace et nuisible, pouvant créer de véritables chocs psychologiques».

 

Ce même contrôle antidrogue avait aussi été critiqué par le porte-parole du gouvernement Luc Chatel, et la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie avait demandé une enquête interne.

 

 

Source : Libération

 

 

Peace

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lut,

 

Je n'étais pas bien au courant de cette histoire. je trouve ça complètement effrayant ce que j'ai pu lire! Je ne comprend qu'il n'y ai pas eu plus de remous que ça: ou sont les étudiants, les professeurs, personnes ne bronchent?!

 

De voir que l'argent que l'on donne va la de dans, ça fou aussi les boules! Ils ont trop peur d'aller voir les vrais dangereux, les vrais gangsters, qu'ils sont obligé d'aller dans les classes, dans les bus, ... terroriser, humilier, de pauvres étudiants qui auront tout au plus quelques grammes!

 

Bref je trouve ça révoltant et sans aucun sens. Faire semer la terreur à quoi bon? et surtout de quel droit!!!!!

 

peace

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Bonjour,

 

J'avoue ne pas comprendre vos réactions ? Ou est le problème ? La lois doit être appliquée et être respecté par tout les citoyens quelque soit l'endroit et le moment. Par cette démarche on sensibilise les enfants aux risques liés à la drogue et on les protège !

 

Pour une fois qu'on laisse faire la justice et les forces de l'ordre ! Allez y !

 

Je trouve que les commentaires sont surréalistes.

Il me semble que ce genre d'opération est normal. Les adolescents sont touchés de plein fouet par ce fléau et que grâce à cela, d'une part on brise le trafic et que d'autre part ça permet de faire réfléchir avant de vouloir rentrer dans ce type de "commerce".

 

Pour rappel, le hasch et autres formes canabiques sont interdits en France.

 

Je m'étonne surtout que les opérations ne soient pas plus fréquentes.

...

 

si c'est représentatif d'une relative partie des français, on comprend pourquoi les choses sont comme elles sont.

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Salut,

 

Douce France, cher pays de mon enfance. Bercée de tendre insouciance...

;-)

 

++

Bong.

 

edit: en quoi sensibilise t on ici les enfants aux risques liés à la drogue? Ce qu'on fait ici c'est leur dire qu'ils n'ont pas intérêt a en avoir c'est tout...

Pour me faire réviser mes leçons mes parents m'ont expliqué que c'était important de travailler à l'école, il ne m'ont pas puni pour que je travail par peur de me faire punir...

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re,

 

Rappelez vous que bientôt tout ces types sans cervelle auront de tout nouveau joujou (taser), je n'ose même pas imaginer les dégâts que ces gars la seront capable de faire ...

 

Je prône le retour du bon gendarme képi sifflet: un vrai CRUCHOT ! :)

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j'ai la sensation de voir descendre la guestapo!

En effet, ce que la presse a etouffée c'est que les enfants ont été remis dans le bus puis emmené dans des camps où ils ont été gazés.

 

Enfin bref, ce fil est tout de même révélateur de l'ère du temps : les gens adorent communier dans l'indignation générale, mais alors pour ouvrir un bouquin, histoire d'avoir une idée de ce qu'est un régime totalitaire, et d'éviter de faire des comparaisons qui dénotent un total mépris pour les personnes qui subissent de tels régimes, il n'y a plus personne...

 

quand on constate que monsieur Brice Hortefeux, ministre de cetaffreux ministère de "l’Intégration, de l’identité nationale et del’immigration", aux relents franchement vichyssois, se permet de réunir,à Vichy précisément, les ministres européens chargés des questionsd’immigration

Manoeuvre politique qui a parfaitement fonctionnée : les gens et les médias ont une nouvelle fois communiée dans l'indignation en faisant tout un foin sur le fait que cela se passait à Vichy... et presque personne n'est au courant des décisions qui y ont été prises.

Bref c'est la conception politique du moment, tout le monde s'indigne, ne propose rien, et au final aucun débat sociétal.

(Mais quand on s'aperçoit qu'il n'y pas de débat, on met ça uniquement sur le compte du gouvernement, on s'indigne, on crie à l'etat totalitaire, et c'est reparti pout un tour)

 

si c'est représentatif d'une relative partie des français, on comprend pourquoi les choses sont comme elles sont.

Réponse également représentative, de certaines personnes qui se gargarisent tellement d'un supériorité morale fantasmée qu'elles en deviennent incapable de fournir une argumentation face à un contradicteur.

 

Rappelez vous que bientôt tout ces types sans cervelle

Et oui, commme les fumeurs de joints, c'est bien connu...

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Yep,

 

les gens adorent communier dans l'indignation générale' date=' mais alors pour ouvrir un bouquin, histoire d'avoir une idée de ce qu'est un régime totalitaire, et d'éviter de faire des comparaisons qui dénotent un total mépris pour les personnes qui subissent de tels régimes, il n'y a plus personne...

[/quote']

 

Disons que je suis plus ou moins d'accord avec toi là-dessus. Le français moyen est devenu ce que j'appelle un "militant dans son salon"... S'indigner d'une situation en refaisant le monde avec ses potes dans son salon n'a jamais apporté quoi que ce soit si ce n'est le fait de devenir aigri en constatant que rien ne change...

Mais si rien ne change il faut bien se rendre compte que c'est parce que l'on ne sors pas ce genre de débat de son salon!

 

Là où je ne suis pas d'accord avec toi c'est sur la fin de ta phrase.

 

Je ne cautionne pas du tout que l'on puisse partir du principe du "il y a pire ailleurs". C'est le genre de discours que les patrons véreux tiennent à leurs employés "Si tu n'es pas content tu n'as qu'à aller voir ailleurs et tu verra que ce sera pire"

Comment peut on se reposer sur ses lauriers à ce point??? Ce n'est pas parce qu'il existe des situations pires que la nôtre (ce qui est bien-entendu le cas), que nous ne pouvons pas améliorer celle que l'on vit!!!

Mais encore une fois pour cela, il y a un réel effort de regroupement et de solidarité à faire! Car si cela reste de la "discussion de comptoir" il y a peu de chances pour que le vent arrive jusqu'aux plus hautes instances...

 

 

 

Stay Green.

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Salut,

Bref c'est la conception politique du moment' date=' tout le monde s'indigne, ne propose rien, et au final aucun débat sociétal.

(Mais quand on s'aperçoit qu'il n'y pas de débat, on met ça uniquement sur le compte du gouvernement, on s'indigne, on crie à l'etat totalitaire, et c'est reparti pout un tour)

[/quote']

 

Pour qu'il y ait débat il faut que les détenteurs du pouvoirs soient disposés à débattre, ce qui je pense n'est en ce moment pas le cas... (par contre ils sont fort pour faire semblant de débattre)

 

Le meilleur exemple est la grève des profs de fac qui sont d'après moi autant voire plus apte a juger des reformes de l'université et des incidences de ces dernières.

 

Pourquoi? Tout simplement parce que je trouve délicat de ne pas entendre les critiques de profs d'économies et de droits quant à des réformes qui ont des incidences sur la gestion, le statu et la productivité des universités et universitaires.

 

J'ai le sentiment que cela est le reflet de la façon de penser du gouvernement. Ce que je fais je le fais bien et je n'ai pas besoins de l'avis des autres.

 

++

Bong.

 

edit: cependant il est vrai qu'on aime crier au scandale. :bye:

edit 2: pourquoi "sociétal"? plutôt "social" non?

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Réponse également représentative, de certaines personnes qui se gargarisent tellement d'un supériorité morale fantasmée qu'elles en deviennent incapable de fournir une argumentation face à un contradicteur.

 

mouai , d'abord quand j'ai écrit ca j'ai un peu tilter sur la fin de ma phrase, je me suis meme dit "c'est évasif comme réponse" , ma pensée dans cette phrase signifiait juste que je pensais que si de tels actions sont menées c'est qu'elles sont réclamées par le même genre de personne que celles des commentaires cités.

 

honnêtement j'ai l'habitude d'argumenter le plus possible, je ne vois pas en quoi ce que j'ai dit .. heu, je trouve pas la fin de ma phrase, tu me reproche quoi?

 

moi je pourrais répondre a ton truc, que ta réponse est représentative des gens qui se savent moralement inférieurs et compensent en mettant sur la gueule de toute personne qu'il sent "moralement supérieur".

 

je vai te dire un truc, je ne te vise pas du tout, j'y ait déjà bien réfléchit : nous ne somme pas égaux, faudrais être aveugle pour ne pas le voir, il y a des gens clairement débiles et dont la notoriété est inférieur pour la simple raison qu'ils ne font pas preuve de bon sens... et je n'ai aucune honte a me sentir supérieur a certains gros cons.

 

cela dit je ne suis pas un gros narcissique avec une grosse estime de soi. au contraire, je galère avec une mauvaise image de moi, un sentiment d'infériorité ,...

j'ai encore répété il y a peu a quelqu'un que j'étais un grand ignorant et que je me sentais intellectuellement mal.

 

tu me juge un peu vite sur quelques lignes...

je pourrais mieux te répondre si tu précise ta critique.merci

 

ps: je ne m'inscrit pas souvent dans l'indignation générale, avant de répondre au topic je me suis dit quand même un truc du genre "mouai moi ca me dérange pas qu'on fasse une recherche de dope dans les écoles, par contre le truc de la fouille au corp c'est assez moyen"

 

c'est pour ca que je n'ai pas ajouté un truc du genre "c'est scandaleux", ou "je suis indigné"

 

bref ton truc pour moi sent l'attaque gratuite.

 

n'est tu pas d'accord que les commentaires que j'ai cité sont assez énervants ?

Par cette démarche on sensibilise les enfants aux risques liés à la drogue et on les protège

 

je sais pas, tu trouve que c'est sensibiliser les enfants que de mener ce genre d'opération ? J'ai rien contre une saisie au college quand ya une raison , et que les flics sont polis et courtois, mais ce n'est pas de la prévention.

 

Mon témoignage de ma période d'abus de weed serait bien plus préventif qu'une perquisition.

 

PS: je suis le premier a trouver chiant les gens qui râlent contre tout. J'ai pas mal tilté par exemple quand je voyais tout ces gens répéter "dans quel monde vit-on!" , "ce monstre mérite la peine de mort" etc quand ya eu l'histoire de la tuerie de termonde.

 

encore récemment je prenais du recul par rapport a l'attitude globale du forum par rapport aux dangers du cannabis, que je pense que certains ici minimisent trop.(je reste cependant d'avis qu'il faut légaliser toutes les drogues)

 

soit, j'ai jamais eu peur de me retrouver seul dans mon camp.

 

 

"on pense toujours être au dessus de tout", mais depuis pas mal de temps je sais que dans toute situation je n'arrive quasi jamais a prendre en compte tout ce qui importe pour avoir un jugement a peu près correct.

 

 

tu sais, on est moins ouverts d'esprit qu'on le prétend sur cannaweed... (je ne parle évidemment pas de tout le monde)

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Salut,

 

 

Je rentre juste pour dire que la réponse d'Ashoka est vraiment à méditer, et il est d'autant plus navrant que son constat s'applique dans l'ensemble des "grands" courants politiques.

 

Et je sort...

 

 

A+

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