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Messages posté(e)s par Yotna2

  1. Pourquoi le cannabis est de plus en plus dangereux

    Depuis près d’un demi-siècle, le cannabis consommé à travers le monde est devenu beaucoup plus fort avec une concentration en THC qui a explosé depuis 50 ans. Ce qui augmente les risques pour la santé des consommateurs de cette drogue.

    Pourquoi le cannabis est de plus en plus dangereux
    Елена Рубан/iStock
     

    Le cannabis qui circule actuellement à travers le monde est bien plus fort que celui des générations précédentes. Une étude menée à partir de 80 000 échantillons collectés aux États-Unis, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en France, au Danemark, en Italie et en Nouvelle-Zélande révèle que le taux de THC (Tétrahydrocannabinol, la substance active de la marijuana, NDLR) est monté en flèche. Les résultats de l’étude menée par une équipe de chercheurs de l’Addiction and Mental Health Group de l'université de Bath (Royaume-Uni) ont été présentés le 7 novembre dans la revue Addiction.

    La concentration de THC a augmenté de 14% en près de 50 ans

    Les chercheurs ont étudié comment les concentrations de THC ont évolué entre 1970 et 2017. Ils ont constaté que celles-ci ont grimpé de 14% durant de cette période, principalement en raison à la découverte de nouvelles variétés plus fortes que le cannabis à base de plantes traditionnelles qui contient plus de graines et moins de THC. Les chercheurs ont constaté que les augmentations de THC sont particulièrement élevées pour la résine de cannabis, ces dernières augmentant de 24% entre 1975 et 2017. “La résine de cannabis - ou ‘hasch’ - est souvent considérée comme un type de cannabis plus sûr, mais nos résultats montrent qu'elle est maintenant plus forte que cannabis à base de plantes, ajoute Sam Craft, co-auteur de l’étude. Traditionnellement, la résine de cannabis contenait des quantités beaucoup plus faibles de THC avec des quantités égales de CBD, mais les concentrations de CBD sont restées stables car le THC a considérablement augmenté, ce qui signifie qu'il est maintenant beaucoup plus nocif qu'il y a de nombreuses années.”

    Cette augmentation de la concentration de THC n’est pas sans conséquence pour la santé. L'équipe a précédemment trouvé des preuves cohérentes que la consommation fréquente de cannabis avec des niveaux plus élevés de THC comporte un risque accru de problèmes tels que la dépendance et les troubles psychotiques. “À mesure que la force du cannabis a augmenté, le nombre de personnes qui suivent un traitement pour des problèmes de consommation de cannabis augmente également”, a observé le Dr Tom Freeman, directeur du groupe sur la toxicomanie et la santé mentale à l'Université de Bath et auteur principal de l’étude. 

    Les chercheurs plaident pour une stratégie préventive similaire à l’alcool 

    Les chercheurs ne sont pas intéressés uniquement au THC mais également au CBD, le cannabidiol, un autre cannabinoïde qui n’a pas d’effet psychoactif. Cette molécule est généralement utilisée pour ses vertus médicales. Des chercheurs américains ont récemment avancé que le CBD réduirait les lésions pulmonaires chez les patients atteints de la Covid-19. Contrairement au THC, les chercheurs n'ont trouvé aucune preuve de changements pour le CBD dans le cannabis au fil du temps.

    Le cannabis reste la drogue illicite la plus consommée au monde malgré sa légalisation en Uruguay, au Canada et dans certains États américains. Les chercheurs soutiennent que l'augmentation de la force du cannabis met en évidence la nécessité de mettre en œuvre des stratégies plus larges de réduction des méfaits similaires à celles utilisées pour l'alcool. “À mesure que la force du cannabis a augmenté, les consommateurs sont confrontés à des informations limitées pour les aider à surveiller leur consommation et à guider les décisions concernant les avantages et les risques relatifs, affirme Tom Freeman. L'introduction d'un système d'unités standard pour le cannabis - similaire à l'alcool - pourrait aider les gens à limiter leur consommation et à l'utiliser de manière plus sûre.”

     

    Source : https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/34483-Pourquoi-cannabis-plus-dangereux

  2. il y a 25 minutes, Daddy_Grow a dit:

    Deux petites questions sur le Crafty+ : Le bol est il est comment en taille ? Et niveau entretien, facile ou pas ? 

     

     

     

    Re,

     

    Le bol est un petit peu plus gros, mais la différence est pas phénoménale non plus. Par contre tu soulève un point important qu'est l'entretien : le bol du fenix mini devient vite dégueulasse (comme de l'oxydation) pourtant je le nettoyais bien (je tenterais de le laver à l'alcool iso et je reviendrais ici donner des news), faut dire que j'ai fumé beaucoup de hash népalais bien gras avec le fenix alors ça l'a p'tete défoncé (comme le proprio :-P) !

     

    Alors que mon crafty est niquel presque comme au premier jour, en plus tu peut tout démonter ce qui est génial !

     

    ++

  3. Salut !

     

    Je suis l'heureux possesseur d'un fenix mini (qui est la même chose que le smono 3 ..... qui est la même chose que le fury 2 :rire:), je l'avais payé 100€ dans une boutique en dur il y a bien 6 mois et j'en étais très satisfait ! Malgré tout, depuis la réception de mon Crafty + il est resté au placard et je ne compte pas le ressortir ..

     

    Il fut tout de même un solide compagnon et je ne regrette pas de l'avoir acheté, d'abord il est très solide grâce à sa "coquille" en métal, il a prit d'énorme meules et pourtant il est toujours là et semble n'avoir aucunes séquelles (visibles) ! Pratiques pour ceux, comme moi, qui ont les mains trouées après trop de sessions vapo :-P

    En plus techniquement il est assez sympa : il est tout petit, il chauffe très vite et produit tout de même assez de vapeur visible pour se satisfaire, il est aussi économique grâce à son petit bol qui permet de tirer pas mal de lattes (mais le tirage est serré).

    Aussi la weed est presque uniformément vaporisée et on peut vaporiser des extraits sont problèmes, mais à condition d'utiliser de l'ABV ou de la fibre de chanvre comme support et pas le récipient en verre parfois fournit avec et qui chauffe mal !

     

    Et surtout point fort du vapo .... le gout des première lattes est ... :bave: A basse température les 2, 3 premières lattes rivalisent largement avec un crafty ! Malgré tout, le gout s'effondre très rapidement et seul une fumée neutre est perceptible jusqu'à la fin de session.

    Il chauffe aussi beaucoup trop pour sa petites taille, le métal c'est solide .. Mais ça retient la chaleur ! Il devient donc rapidement brulant (enfin presque) ce qui est je l'imagine pas terrible pour les composants et la santé ! Il possède aussi une petite batterie (3, 4 sessions) mais vu la taille du truc on peut pas lui reprocher.

     

    Il a dont de nombreux points forts vu la prix ! Mais il fait tout de même pâle figure face au crafty qui est beaucoup plus efficace (vapeurs, effet, etc.) et de bien meilleure qualité.

     

    ++

     

     

     

     

  4. Il y a 15 heures, LowPoly a dit:

    Je pense vraiment qu'aucun étranger ne peut théoriquement accéder aux coffees dans cette ville.
     

     

    Salut !

     

    Me semble que comme Eindhoven, Tilburg laisse entrer les touristes dans les coffee shop grâce à une municipalité conciliante, en tout cas on trouve des phases qui vont dans se sens sur internet même si rien de concret !

    Maintenant même si les coffee sont fermés aux touristes tu peut toujours essayer, perso on ne me demande jamais mon ID dans aucuns coffee, mais c'est vrai je ressemble plus à un hollandais qu'à un touriste :lol: Dans tous les cas je pense sincèrement que tu ne risquera rien à acheter dans un coffee ou c'est normalement "interdit".

     

    ps : En tout cas pour en revenir à Terneuzen, et même si je n'y ai jamais mis les pieds, je suis bien content que le miami et check point soient fermés vu les histoires qu'il y a autour ! (heureusement les coffee qui t'arnaquent allégrement .. temps révolu ?)

    ++

  5. En parallèle des élections parlementaires et de la présidentielle, les électeurs américains étaient invités à se prononcer sur des référendums locaux plus ou moins insolites.

    Illustration. Les électeurs américains étaient également invités à se prononcer sur des sujets de société pour faire évoluer la législation des Etats.
    Illustration. Les électeurs américains étaient également invités à se prononcer sur des sujets de société pour faire évoluer la législation des Etats. AFP/Mario Tama
     

    Par Damien Licata Caruso

    Le 4 novembre 2020 à 06h36, modifié le 4 novembre 2020 à 09h17
     

    Une myriade de petits scrutins au milieu des grandes élections. Les bulletins de vote des électeurs ne comportaient pas seulement des cases à cocher pour choisir leurs élus au Congrès ou à la Maison blanche. Plusieurs amendements pour réformer la législation des Etats étaient soumis au vote démocratique.

    Voici un résumé des choix de société issus des urnes.

     

    Légalisation de la marijuana

    Interdite au niveau fédéral, la consommation légale de cannabis gagne du terrain à la faveur de référendums locaux.

    Le New Jersey, le Montana et l'Arizona rejoignent les 11 Etats qui ont déjà légalisé un usage récréatif du cannabis.

    Le Dakota du Sud votait pour la légalisation du cannabis récréatif et médical et les électeurs ont approuvé les deux usages.

    Le très conservateur Etat du Mississippi a, lui, légalisé l'usage thérapeutique du cannabis pour certains patients.

     

    Champignons hallucinogènes

    Déjà pionnier dans la légalisation du cannabis en 2014, l'Oregon a soumis au vote une initiative citoyenne, la Measure 109. Elle prévoit la consommation légale de psilocybine, un champignon aux propriétés hallucinogènes… comme thérapie pour la santé mentale. Cette expérience, réservée aux adultes de plus de 21 ans, sera même facilitée par un agent officiel dans un centre spécialisé.

    L'Autorité de santé de l'Etat devrait être chargée de mettre en place les régulations et les critères pour la mise en place des centres de consommation qui n'ouvriront pas leurs portes avant janvier 2023.

    Un autre référendum dans ce même Etat de la côte Ouest a approuvé la dépénalisation de toute possession de stupéfiants, y compris des drogues dites « dures » comme l'héroïne ou de la cocaïne, dès lors qu'il s'agit d'une faible quantité destinée à un usage personnel.

     

    Discrimination positive

    Soumise au vote en Californie, la Proposition 16 a été rejetée. Elle visait à suspendre l'interdiction de la discrimination positive (« affirmative action ») inscrite dans la Constitution de l'Etat en 1996. À l'époque, la Proposition 209 stipulait que la discrimination et un traitement préférentiel, en fonction de la race, du sexe ou de l'origine d'une personne, étaient interdits dans la fonction publique, l'éducation et les appels d'offres publics.

     

    Ubérisation

    Poussée par un lobbying intense des plateformes Uber, Lyft ou Doordash, la proposition 22 a été approuvée par les électeurs californiens. Elle clarifie la législation californienne et assure que les chauffeurs ou les livreurs des plateformes sont bien des travailleurs indépendants et non pas des employés. Cela exempte donc les acteurs de la « gig economy » de leur fournir une assurance ou un salaire minimum.

     

    Source : https://www.leparisien.fr/international/cannabis-uberisation-discrimination-positive-ces-autres-votes-qui-faconnent-l-amerique-en-2020-04-11-2020-8406504.php

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  6. USA: l’État de l’Oregon votera ce mardi sur la dépénalisation de la possession de cocaïne, d’héroïne et de LSD

    Ce mardi, coïncidant avec les élections présidentielles américaines, l’état de l’Oregon votera sur la possible dépénalisation de la possession de drogues considérées comme dures comme l’héroïne, la cocaïne et le LSD.

    Connu comme Mesure 110 prévoit que les individus pris avec de petites quantités de ces drogues peuvent payer amendes de 100 dollars ou suivre des cours de désintoxication comme alternatives aux poursuites pénales.

    Les cours seront financés par les taxes perçues sur la vente de marijuana dans cet état, le premier dans tout le pays à décriminaliser la possession de marijuana.

    ‘Sí al 110’ a souligné qu’il ne s’agissait pas de légaliser ces drogues.

    «Aucune modification n’est apportée au code pénal pour les délits de trafic, de fabrication ou d’utilisation commerciale de drogue. Ils resteront un crime», Précise le groupe sur son site Internet. “Aucun changement n’est apporté aux crimes qui peuvent être liés à la consommation de drogues comme la conduite sous l’influence de stupéfiants ou le vol”, souligne-t-il.

    L’organisation dénonce également que environ un habitant sur dix de cet état a un problème de consommation de substances. “Cette mesure vise élargir l’accès au traitement et supprimer les peines injustement sévères pour les mineurs et les infractions non violentes liées aux drogues, pour que les gens puissent récupérer plus facilement », soutient-il.

    L’organisation indique qu ‘«ils ne seront plus détenus ou emprisonnés uniquement pour possession de petites quantités de drogue», mais «ils auront une évaluation de santé et pourront accéder à un traitement adéquat». «Punir les gens pour usage de drogue et toxicomanie est coûteux et n’a pas fonctionné. Plus de traitement est meilleur, pas plus de punition », souligne le groupe.

    L’initiative est approuvée par l’Oregon Nursing Association, la section d’État de l’American College of Physicians, l’Oregon Academy of Family Physicians, l’Oregon Democratic Party, l’American Civil Liberties Union ou la National Association for Advancement. des gens de couleur.

    La Commission de justice pénale de l’Oregon estime que les condamnations pour possession chuteront de 90,7% si l’initiative réussit. «Toutes les heures, la police de l’Oregon retient quelqu’un pour trafic de drogue malgré des cas d’enfants disparus, des meurtres non résolus et une longue liste de« cas froids ». Avec cette mesure, la police est libre de se concentrer sur ce qui compte vraiment », dit« Oui à 110 ».

     

    Source : https://www.marseillenews.net/news/international-news/usa-letat-de-loregon-votera-ce-mardi-sur-la-depenalisation-de-la-possession-de-cocaine-dheroine-et-de-lsd-13558.html

  7. Citation

     

    Samedi 17 octobre, les citoyens néo-zélan­dais étaient appe­lés aux urnes pour se pronon­cer, entre autres, sur la léga­li­sa­tion du canna­bis dans le pays. Si les résul­tats finaux ne seront annon­cés que demain, Vice a d’ores et déjà conclu au vu des premiers décomptes que la Nouvelle-Zélande a majo­ri­tai­re­ment voté contre la léga­li­sa­tion.

     

    On a tendance à s’em­bal­ler. Dans la foulée de la léga­li­sa­tion de la weed en Uruguay et au Canada ; de sa progres­sive léga­li­sa­tion (médi­cale ou totale) dans pas mal d’États améri­cains ; et d’une évolu­tion de la légis­la­tion dans de nombreux autres pays du monde, de la Thaï­lande à Israël en passant par les premières expé­ri­men­ta­tions françaises ; on pour­rait un peu faci­le­ment penser que si on demande leur avis aux gens, ils sont plutôt pour la léga­li­sa­tion du canna­bis. Eh bien pas en Nouvelle-Zélande.

     

    À l’heure qu’il est, 1 114 485 Néo-Zélan­dais se sont pronon­cés en faveur de la léga­li­sa­tion, et 1 281 818 se sont pronon­cés contre. Il reste encore envi­ron 500 000 votes à comp­ter, mais il faudrait qu’au moins 68 % d’entre eux soient posi­tifs pour que le canna­bis soit léga­lisé, ce qui est haute­ment impro­bable. « Quel que soit le résul­tat, ce vote n’est pas objec­tif », estime le jour­na­liste néo-zélan­dais James Borrow­dale. « De nombreuses consi­dé­ra­tions cultu­relles entrent en jeu, et l’his­toire du canna­bis est pavée de ces croyances cultu­relles », qui peuvent éclip­ser les béné­fices mis en avant par les cher­cheurs.

     

    Dans le même temps, la Nouvelle-Zélande vient de léga­li­ser l’eu­tha­na­sie pour les patients en phase termi­nale, avec plus de 65 % de votes favo­rables, rapporte CNN ce 30 octobre.

    Sources : Vice/CNN

     

     

    Source : https://www.ulyces.co/news/la-nouvelle-zelande-vote-contre-la-legalisation-du-cannabis/

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  8. Citation

     

    Le gouvernement rwandais a autorisé la production sur son sol de cannabis à usage thérapeutique destiné exclusivement à l'export, précisant mercredi que cette autorisation ne remettait pas en cause l'interdiction d'en consommer dans le pays.

    «Le Rwanda va commencer à recevoir des candidatures pour des licences de la part d'investisseurs intéressés par cette culture thérapeutique à haute valeur ajoutée», indique le gouvernement dans son communiqué. «Ce cadre spécifique d'investissement n'affecte en rien le statut légal de la consommation de cannabis dans le pays, qui demeure interdite», ajoute le communiqué.

     

    D'après le Conseil rwandais du développement (RDB), plusieurs sociétés ont soumis leur offre pour débuter une production locale qui permettrait à Kigali d'accéder au juteux marché du cannabis thérapeutique.

    «Nous avons des investisseurs intéressés avec lesquels nous allons travailler dans les jours qui viennent, à présent que les directives sont en place», a déclaré la présidente du RDB, Clare Akamanzi, à la radio-télévision publique. «Les Etats-Unis, le Canada et l'Union européenne (UE) sont d'importants marchés qui achètent ces produits», a-t-elle poursuivi.

     

    Les autorités n'ont pas encore précisé quand la production serait susceptible de démarrer, ni dans quelles régions du pays, dont l'agriculture est le premier employeur. Mme Akamanzi a ajouté que les sociétés sous licence devront «présenter un très solide programme de sécurité qui devra être validé par nos service de sécurité».

    «Il y a aura des mesures fortes comme des caméras de vidéosurveillance, des miradors, de l'éclairage public et du gardiennage pour s'assurer que les récoltes ne quittent pas l'exploitation pour se retrouver sur le marché local», a-t-elle précisé. La consommation du cannabis est interdite au Rwanda et les contrevenants sont passibles de deux ans de prison. Les vendeurs encourent 20 ans de prison et même dans certains cas, la prison à vie.

     

     

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  9. Bonjour , Salut , Plop ...

    il y a une heure, esperenza a dit:

     

    tout l monde a voulu sauter dans le bain de la culture de weed legal mais y a pas assez de consommateur pour la quantitee fourni. Du coup ca scasse la gueule c est normal.

    A+

     

    Ah je comprend mieux ^^ Effectivement je te rejoins sur ce point là, le cannabis n'est pas un eldorado comme beaucoup l'espèrent malheureusement !

     

    Au revoir , Bye , A+! ... 

  10. Bonjour , Salut , Plop ....

    Il y a 4 heures, esperenza a dit:

    En gros le probleme c est pas la production mais la tres faible demande.

    A+

     

    J'aimerais bien voir où tu as vu ça ! D'ailleurs ce n'est pas parce que un produit se vend peu qu'il n'est pas rentable .. Une weed c'est quelque centimes à produire, vendu à 10e/g je te rassure y'a des growers/shop qui s'en sortent très bien ......

     

    Au revoir , Bye , A+! ... 

  11. Il y a 8 heures, FranckyVincent a dit:

    Bonsoir,

     

    Là, tu m'as tué mec!!! :ptdr::ptdr::ptdr:

    Bien sûr que c'est interdit de consommer en France, pas seulement sur la voie publique mais aussi chez soi en privé, et c'est passible d'un an de prison et 3750 euros d'amende. C'est l'article L3421-1 du code de la santé publique.

     

    ++

     

    Pourtant il est tout à fait légal d'en avoir consommé ailleurs qu'en France, non ? Donc c'est pas si con ce que dit itry je trouve ! La grande question ici c'est plutôt : est-il légal d'être positif (comprendre ""sous son emprise"") au cannabis, même si la possession n'est pas avérée ?

     

     

  12. Citation

     

    (Agence Ecofin) - Au Zimbabwe, la culture du cannabis jusqu’ici proscrite est désormais permise sous conditions. Le gouvernement vient en effet d’annoncer une nouvelle règlementation permettant d’octroyer des licences aux producteurs, aux chercheurs et aux négociants.

    Au Zimbabwe, la législation est désormais plus tolérante vis-à-vis de la culture du cannabis.

    Alors qu’auparavant la production de la feuille pouvait conduire à un emprisonnement de près de 12 ans, le gouvernement a publié récemment une nouvelle législation qui autorise l’activité sous conditions.

    Selon les propos de Anxious Masuka, ministre de l’Agriculture, relayés par Bloomberg, des licences seront octroyées aux agriculteurs, aux chercheurs et aux négociants. Dans les détails, les exploitants pourront uniquement cultiver le cannabis, le commercialiser et le vendre à l’industrie du chanvre.

    Pour leur part, les chercheurs sont autorisés à produire le cannabis à des fins de recherche tandis que les négociants pourront conclure des contrats avec les exploitants, s’approvisionner auprès de ces derniers ou transformer le chanvre industriel.  

    Ce relâchement de l’arsenal réglementaire devrait permettre au pays de développer ce marché encore inexploité et au gouvernement de récupérer des recettes fiscales supplémentaires sur le marché intérieur.

    Avec cet assouplissement, le Zimbabwe rejoint d’autres pays de la région qui ont également opté pour une règlementation plus favorable au cannabis. Parmi les autres nations concernées figurent le Malawi, la Zambie, le Lesotho, le Zimbabwe et l’Afrique du Sud.   

     

     

    Source : https://www.agenceecofin.com/agro/2209-80448-zimbabwe-le-gouvernement-autorise-desormais-la-culture-du-cannabis-sous-conditions

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  13. Il y a 1 heure, foufou66 a dit:

    et mettre du tabac direct dans le vapo ?

     

     

    Salut ! Perso j'ai jamais testé mais à ce qu'il parait le gout et l'odeur est proche du "cramé", vraiment pas terrible quoi .. Après pourquoi pas tester avec de vrais feuilles de tabac c'est surement très différent de ce qu'on nous vend habituellement, si un jour j'ai l'occasion je ferais un retour !

     

    Peace

     

  14.  

    Citation

    Gérald Darmanin ne veut pas entendre parle de la légalisation du cannabis. Il a redit à deux médias différents, ce lundi matin. Sur LCI d’abord, où il s’est dit « absolument contre ». « Pour moi, c’est une lâcheté intellectuelle […] 'La drogue, c’est de la m…', disait le spot télé. Eh bien on ne va pas légaliser cette m… », a-t-il lancé en référence à un clip antidrogue diffusée au milieu des années 1980 à la télévision française.

     

    Source : https://www.ouest-france.fr/societe/cannabis/cannabis-on-ne-va-pas-legaliser-cette-m-lance-gerald-darmanin-6972633

     

    Une référence à un clip anti-drogue des années ..... 80 :lol: On vois quel électorat ils visent pour 2022 !!

  15. Merci du partage !

     

    Incroyable ! Tandis que la légalisation avance dans de nombreux pays (Nouvelle Zelande, Luxembourg, Israël, USA, ..) nous on a le couple Macron/Darmanin qui prendrait presque la coupe à Sarko en matière de répression.

     

    Ça me rend fou ! Mais le bon côté c'est que ça nous sert les coudes et avouons le ça serait pas pareil si c'était légal, des sites comme cannaweed par exemple, y'en a pas partout !

    Et les français déchirerons tout le jour de la légalisation je l'espère, et j'en suis sûr même !

     

    Courage !

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  16. Bonjour

     

    Citation

     

    Une équipe de cher­cheurs polo­nais a décou­vert que des extraits de canna­bis peuvent proté­ger les abeilles contre les pesti­cides grâce aux proprié­tés neuro­pro­tec­trices de la plante, rappor­tait Merry Jane le 3 septembre.

     

    Les popu­la­tions d’abeilles domes­tiques sont en déclin partout dans le monde. Une équipe de cher­cheurs de l’uni­ver­sité Maria Curie-Skło­dowska à Lublin, en Pologne, expé­ri­mente des moyens de les sauver. Sous la direc­tion de la profes­seure Aneta Ptas­zyńska, les cher­cheurs a décou­vert que les probio­tiques, des extraits de plantes adap­to­gènes et des extraits de canna­bis pouvaient forti­fier les abeilles et prolon­ger leur vie en bonne santé.

     

    « Les abeilles meurent parce qu’elles sont mal nour­ries et affai­blies par l’uti­li­sa­tion de pesti­cides », explique Aneta Ptas­zyńska. « Elles commencent alors à souf­frir de diverses mala­dies. » Des recherches récentes ont établi un lien entre le déclin de plus en plus rapide des popu­la­tions d’abeilles et les néoni­co­ti­noïdes, des insec­ti­cides très toxiques qui ciblent le système nerveux central des insectes.

     

    La profes­seure Ptas­zyńska et son équipe ont étudié 5 000 abeilles vivant en capti­vité afin de déter­mi­ner si des extraits de canna­bis pouvaient aider à les proté­ger contre les effets néfastes des pesti­cides. « Nos résul­tats préli­mi­naires indiquent que l’ex­trait prolonge la vie d’abeilles qui avaient été expo­sées aux pesti­cides », a déclaré Ptas­zyńska. « Les insectes testés ont vécu compa­ra­ti­ve­ment aussi long­temps que ceux qui n’avaient jamais été en contact avec des substances nocives. »

     

    D’autres cher­cheurs ont égale­ment étudié le lien entre les abeilles et la weed. Elles seraient très atti­rées par le canna­bis, dont les plan­ta­tions pour­raient aider les popu­la­tions d’abeilles à pros­pé­rer.

     

     

    Sources : https://www.ulyces.co/news/le-cannabis-sauve-la-vie-des-abeilles-affaiblies-par-les-pesticides/

    https://merryjane.com/news/cannabis-extracts-may-extend-the-life-of-bees-exposed-to-pesticides-research-shows

     

    Au revoir

     

    édit modération: les formules de politesse son de rigueur sur le furom.

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  17. Et ? C'est quoi son étude, sa recherche ? J'ai beau relire ... je trouve même pas le sujet.

    Je réagissais juste sur le sujet des lésions pulmonaires liée à la vap qu'elle associe aux e-cig et e-liquide et sans même parler de la Vitamine E (selon moi pour justifier son discours prohibitionniste).

     

    Mais je viens de ma lever j'ai peut-être sauté une phrase :lol:

  18. Il y a 2 heures, boogerman a dit:

    Cela est particulièrement inquiétant en raison de problèmes de santé tels que les lésions pulmonaires associées à l'utilisation de la cigarette électronique ou de produits vaporisés.

     

    Ce point là est intéressant, mais le sujet est tout récent (premiers cas en 2019 aux USA). Le problème ne semble pas être la cigarette électronique ou le vapotage, mais la présence de Vitamine E dans les E-liquides qui sont très souvent associés avec du Thc ou Cbd.

    Les chercheurs se savent toujours pas si le thc est responsable (au moins en partie) de cette pathologie et c'est bien dommage car moi qui ai des problèmes aux poumons (multiples pneumothorax) je flippe bien d'utiliser mon vaporisateur tous les jours ...

     

    Un article : https://www.jim.fr/e-docs/atteintes_pulmonaires_severes_chez_des_vapoteurs_pour_les_cdc_il_faut_eviter_la_cigarette_electronique__179380/document_actu_pro.phtml

     

    Mais étonnement en Europe il n'y a presque aucuns cas ! Alors simple e-liquide frelaté ou danger de la vap de cannabis ?

    Bref on manque clairement d'infos pour incriminer quoi que ce soit et c'est bien dommage, j'aimerais bien savoir si je peut vaporiser, voir vapoter, en paix !

  19. Salut à tous. Rip Népal .. Pour ceux qui connaissent pas je conseil sérieusement d'écouter au moins ses freestyles ! (Ses pas Ces, y'en a un paquet autre sur youtube)

     

     

     

     

     

    Peace

  20. A Féniers dans la Creuse, les promoteurs du projet de cannabis thérapeutique Cannapôle23 souhaitent lancer une production dans un ancien centre informatique de l’Armée de terre.

    Publié le 21/08/2020 | Par France3 Nouvelle-Aquitaine
     
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    Jouany Chatoux, Président de Cannapôle 23, souhaite cultiver du cannabis sans THC dans un ancien bâtiment militaire. • © Thomas Milon

     

    Imaginez une production de cannabis made in Creuse dans un ancien bâtiment militaire… Et si cette idée devenait possible ? A Féniers, au cœur du Plateau de Millevaches, un ancien centre informatique de l’armée de Terre est sur le point de connaître une seconde vie. Les promoteurs du projet de cannabis thérapeutique Cannapôle23 s’apprêtent à signer dans quelques semaines un bail avec la communauté de communes « Haute Corrèze communauté », le propriétaire des lieux. Entre les murs de ce bunker, pour l’instant abandonné, des plantes seraient cultivées en intérieur et proposées uniquement à des personnes malades. Au-delà de la production, Jouany Chatoux, agriculteur creusois et Président de Cannapôle23 souhaite aller encore plus loin : “C’est ce site là qu’on a choisi pour monter le futur pôle d’excellence autour du cannabis thérapeutique […] Les bâtiments seront utilisés pour faire de la formation, de la recherche et développement et une pépinière d’entreprises.

     

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    Cannapôle23 souhaite développer une production de cannabis thérapeutique dans un ancien bâtiment militaire. • © Cécile Descubes

     

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    Cet ancien centre informatique de l’armée de terre à Féniers est pour l’instant abandonné. • © Cécile Descubes

     

    5 à 6 récoltes par an

    A l’intérieur du bâtiment militaire, dont une partie est enterrée sous terre, la stabilité thermique devrait engranger 5 à 6 récoltes par an. “L’été, on aura moins à rafraîchir les pièces puisque les lampes chauffent énormément.” explique Jérémy Gaillard, Responsable production de Cannapôle23  “L’hiver, on aura beaucoup moins de chauffage à utiliser. Et en plus de cela, on est vraiment sécurisé.”  La filière française de cannabis thérapeutique a également pour ambition de produire des plantes sans THC. Par conséquent, elles ne pourront pas être assimilées à une drogue, contrairement au cannabis dit récréatif.

     

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    Le cannabis serait cultivé à l’intérieur du bunker. • © Cécile Descubes

     

    Où en est la culture du cannabis dans la Creuse ?

    En 2019, le principe de la filière du cannabis thérapeutique avait été acté dans le Plan particulier pour la Creuse, un projet resté pour l’instant au point mort. Face à cette situation, Jouany Chatoux, Président de Cannapôle23 demande au Chef  d’Etat de tenir ses promesses. “Je pense que ça serait à lui si on veut accélérer les choses de donner le feu vert.” avance l’agriculteur creusois “A un moment donné, il faut qu’il y ait un patron qui prenne une décision. Actuellement, personne ne prend de décision.” Pour Pierre Chevalier, Président de Haute Corrèze Communauté, la France a déjà perdu trop de temps : “C’est un appel du pied pour dire : décidez-vous vite ! La France ne peut pas être à la traîne sur ce type de production.” Selon lui, la France doit se mettre en conformité législative avec l’Europe. A ses côtés, Eric Correia, Président de la Communauté d’Agglomération du Grand Guéret se bat également pour la création d’une filière de cannabis thérapeutique en Creuse. “ça suffit ! Il faut maintenant avancer sur ce dossier là, qui est à la fois un dossier sanitaire pour qu’un certain nombre de gens ne souffrent plus et un dossier économique” s’agace le conseiller régional DVG.

     

    Nous avons besoin de créer de l’emploi. Que fait ce gouvernement ? C’est la question que je pose.

    Eric Correia, Président de la Communauté d’Agglomération du Grand Guéret.

     

    A Féniers, le projet de cannabis thérapeutique devrait développer une centaine d’emplois. Une commission parlementaire présidée par Jean-Baptiste Moreau, député de la Creuse, doit rendre son rapport mi-septembre.

     

     

    Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/creuse/cannabis-therapeutique-creuse-production-devrait-voir-jour-ancien-terrain-militaire-1864754.html?fbclid=IwAR3k5vIz8HPC9D6n5D3FXTcYJETV7G7gOgQlNypU6-cWOwSKvcL5uT-jo-c

  21. Salut à tous ! C'est pas forcément dans le thème des actus de Cannaweed mais la fin parle un peu des consommateurs .. Toujours ce mélange de genre et toujours plus de répression de la part du gouvernement ! Et effectivement de la bouche même de Gérald Darmanin l'amende cannabis n'est pas un cadeau mais un outil répressif de plus. Un gros droit d'honneur à ceux qui pensent que la légalisation avance !

     

    Citation

     

    En déplacement dans le Val-de-Marne ce mercredi soir, le ministre de l’Intérieur promet une multiplication des contrôles de police pour lutter contre le trafic de drogue.

    Par Vincent Gautronneau

     

    Le 20 août 2020 à 06h19, modifié le 20 août 2020 à 11h27
     

    Le dos collé au mur, une quinzaine de jeunes font face à une grosse dizaine de policiers. Ils ne sont pas menottés, mais pas libres de leur mouvement pour autant et restent cantonnés au cœur de la cité du Moulin à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). « On attend, c'est un contrôle quoi », souffle l'un d'entre eux en plaisantant avec un policier de la Bac. Quelques instants plus tard, martial, Gérald Darmanin, le ministre de l'Intérieur, pénètre dans la cité sans lâcher un regard aux jeunes qui attendent sans trop savoir pourquoi.

    Les policiers évoquent rapidement leur travail dans ce « four », l'un des plus importants du Val-de-Marne selon eux. Le temps pour un maître-chien de la police de montrer le talent de son animal et de mettre la main sur une petite quantité de cannabis.

    « Oui, ça deale un peu ici, sans plus, souffle l'un des jeunes qui attend de pouvoir quitter les lieux. C'est marrant de voir le ministre ici, même si on se demande un peu ce qu'il fait là. Pour nous il n'y a pas de souci, on n'a rien à se reprocher, puis c'est toujours drôle de voir un ministre. » « C'est lequel le ministre », demande un autre? « Celui qui est entouré des flics en chemise blanche », répond son ami.

    « Ça fait des années que c'est comme ça ici »

    Scène tout aussi surprenante, quelques instants plus tard, de l'autre côté de la rue Paul-Bert, dans un grand ensemble d'une douzaine d'étages. Le ministre de l'Intérieur, en costume bleu marine, au fond de caves surplombées de toiles d'araignées, éclairé à la lampe torche et au contact d'une policière de la brigade cynophile. Ici, néanmoins, pas un gramme de shit ne sera découvert.

    « Ça fait des années que c'est comme ça ici », déplore, sur le parvis de la cité, une mère de famille venue avec sa fille à la rencontre du ministre. Elle habite ici « depuis 20 ans », a vu le quartier se dégrader, et des jeunes « qui n'habitent pas là » investir petit à petit les lieux pour y vendre de la drogue. Dans ce quartier, il n'y a pas de caméras de surveillance, relève-t-elle. « J'écrirai à votre maire dès demain à ce sujet », promet Gérald Darmanin. « Il faut revenir sans cesse pour les faire partir », lance cette habitante.

    Gérald Darmanin a aussi rencontré des policiers. LP/Philippe de PoulpiquetGérald Darmanin a aussi rencontré des policiers. LP/Philippe de Poulpiquet  

    Gérald Darmanin n'en demandait pas tant. C'est le message qu'il est venu faire passer ce mercredi soir dans la Val-de-Marne, à Ivry d'abord, puis au commissariat de Créteil : « Je suis venu soutenir les policiers, et je vais renouveler ces opérations pour montrer que ce sont les trafiquants de drogue qui vont arrêter de dormir, et qui vont laisser dormir les honnêtes gens. » Un discours plein de bonnes intentions qui se heurte, depuis plusieurs dizaines d'années, à la réalité de quartiers difficiles où le trafic perdure.

    « Je ne m'arrêterai pas de faire la tournée des commissariats

    Alors quelle sera la méthode Darmanin pour mettre fin à ce fléau qui « empoisonne la vie des habitants » ? « La méthode du gouvernement c'est de ne rien lâcher ». « Pragmatique », l'ancien maire de Tourcoing semble vouloir appliquer à la France l'expérience vécue dans sa ville. « À Tourcoing, on a mis des caméras, on a encouragé les policiers, on a armé une police municipale, on a travaillé avec les bailleurs sociaux. C'est petit à petit que l'on arrive à rétablir les choses. »

    Pour y parvenir, Gérald Darmanin compte aussi sur le déploiement de l'amende forfaitaire pour les consommateurs de cannabis. « À partir du 1er septembre, tout consommateur recevra cette amende, une amende importante que ce soit pour une barrette de shit ou un gramme de cocaïne », assure le ministre. Et de rappeler que parmi la quinzaine de jeunes contrôlés à Ivry « il y a aussi des consommateurs qui se sont longtemps sentis protégés par une loi compliquée à mettre en place ». Des intentions fermes donc, et la promesse de nuits courtes pour les trafiquants… Et pour Gérald Darmanin : « Tant que ce trafic sera là, je ne m'arrêterai pas de faire la tournée des commissariats ».

     

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