NoMaD

CannaWeedeur Confirmé
  • Compteur de contenus

    2 727
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    4

Messages posté(e)s par NoMaD

  1. Salut,

     

    pour moi ça ne me semble pas si carencé que ça en azote, mais ça sent la senescence.

    pour le coup des tiges rosées, ce n'est pas forcément non plus un pb de potasse, ça peut être dû au froid ou même tout simplement un caractère de la variété.

    à mon avis, si tu dois cutter bientôt, j'éviterais de lui balancer de l'engrais, un bon rinçage te permettra d'obtenir un produit fini ayant meilleur gout.

     

    peace

  2. re,

     

    arf, désolé c'était le week-end...

     

    oui j'entendais par cramage = sur-engraissage.

     

    vu que tu es en terre, je te conseillerais de faire 1 engraissage sur 2, plutôt que 2 sur 3

    après concernant le volume du tnt complexe flo, tu parles de 10ml (je pense que ça doit être par L), or sur le site de Hesi, dans leur tableau d'engraissage, ils préconisent 5ml/L.

    enfin pour le supervit, ils conseillent 1 goutte pour 4.5L env. mais pas la fréquence (ça doit être une fois par semaine du genre), ya peut etre aussi une recherche à faire sur le forum d'utilisateurs de ce produit

     

    l'utilisation d'enzymes permet de dissoudre les sels d'engrais formés et donnent , du coup, encore plus de nutriments disponibles aux racines, ce qui peut accentuer le sur-engraissage.

     

    je te conseille d'effectuer peut etre 2 ou 3 rinçages à l'eau claire, avec un stimulateur de racine sur la fin pour aider à la remise en place, par contre ça risque de favoriser quelques carences entre temps (azote notamment, jaunissement des feuilles par le bas).

     

    a++

  3. Salut les Cannas,

     

    Karott, j'arrive pas à voir ton album, le module se charge puis disparait...

     

    Pour ma part, en ce moment quelques Rudéralis Indica (ruderalis spontanica x afghan) croisées avec un malou Carpatian (issu de Royale Dan)

    gallery_643221_1122_42735.jpg

     

    d'ailleurs y'a un phéno qui possède des pistils roses comme ça cousine Ice x Carpatian de l'an dernier

    RIC 2011

    gallery_643221_1122_24330.jpg

     

    Ice Carp 2010

    c53e7a.jpg

     

     

    Voilà, sinon je venais vous demander quelques conseils car je prévois d'ici peu une session à base de Deep Chunk,

    je compte bien en faire des F2, probablement en pollinisation ouverte, mais je souhaite également réaliser quelques hybrides.

     

    J'ai souvent lu que c'était une variété qui s'y prêté bien et étant donné son coté ibl, je présume qu'elle doit pas mal influer sur ses descendants, notamment par ces caractères : feuilles de "chou", cristallisation, raccourcissement de la durée de flo,... si vous en connaissez d'autres (gout?...)

     

    Cependant j'hésite encore sur l(es) autre(s) variété(s) à utiliser, si là aussi vous auriez un avis, je n'ai choisis que des "pures" (cad non hybridées)

    - Lebanese red

    - Senegalaise G

    - Ethiopian highland

    - Pakistan chitral kush

     

    ++

    • Like 1
  4. re,

     

    j'ai profité que CW soit en rade ce matin pour compiler les différentes infos, voici un "ptit" aperçu, il reste encore quelques thèmes pas encore traités,

    - le cycles du Phosphore via les bactéries

    - respiration/fermentation

    - les bactéries néfastes du sol

    - les bactéries bénéfiques du système foliaire

     

    - les bactéries néfastes du système foliaire

     

    ainsi qu'agrémenter tout ce texte par des photos/images/dessins libres de droit pour le rendre plus sympathoche

     

    [edit] je viens de voir ton post Tontongato, j'avais allé lire ton lien

     

     

    Le sol vivant



     

     

    Les Bactéries

     

    Apparues il y a 3 milliards d'années, les bactéries sont une très vieille forme de vie. Ce sont des procaryotes : leur ADN est contenu dans un seul chromosome qui n'est pas contenu dans le noyau.

     

    Ce sont de minuscules organismes unicellulaires - généralement 4/100000 d'un pouce de largeur (1 µm) et un peu plus en longueur. Malgré leur absence de taille, c'est en fait leur nombre qui font le poids. Une cuillère à café de sol fertile biologiquement contient généralement entre 100 millions et 1 milliard de bactéries. C'est autant la masse équivalente que deux vaches à l'acre.

     

    Les trois formes basiques, toutes présentes dans le sol, sont les coques (sphériques ou de forme ovale), les bacilles (en forme de bâtonnet) et les bactéries de forme spiralée.

     

     

    Les bactéries se divisent en quatre groupes fonctionnels.

     

    La plupart sont des décomposeurs qui consomment des composés de carbone simples, tels que les exsudats racinaires et la litière de plantes fraîches. Par ce procédé, les bactéries transforment l'énergie provenant de la matière organique du sol en formes utiles au reste des organismes dans la chaîne alimentaire du sol.

     

    Les décomposeurs sont particulièrement importants pour immobiliser, ou pour conserver les éléments nutritifs dans leur cellule, empêchant ainsi la perte d'éléments nutritifs comme l'azote, autour de la zone d'enracinement.Ces nutriments sont stockés à l'intérieur de la bactérie ; ils sont libérés (minéraliser) uniquement lorsque la bactérie est consommée ou lorsqu'elle meurt et se décompose à son tour.

     

    Un certain nombre de décomposeurs peuvent décomposer certains pesticides et polluants dans le sol.

     

    Un deuxième groupe de bactéries sont les mutualistes qui forment des partenariats avec des plantes. Les plus connues d'entre elles sont les bactéries fixatrices d'azote.

     

    Le troisième groupe de bactéries pathogènes est le suivant. Les bactéries pathogènes sont Xymomonas et des espèces Erwinia, et des espèces d'Agrobacterium qui cause la formation de galles dans les plantes.

     

    Un quatrième groupe, appelé lithotrophes ou chimiotrophes, obtient son énergie à partir de composés d'azote, de soufre, de fer ou de l'hydrogène au lieu de composés de carbone. Certaines de ces espèces sont importantes pour cycle de l'azote et la dégradation des polluants.

     

     

    Comment obtenir de bonnes bactéries?

     

    Les bactéries provenant des quatre groupes peuvent fournir des services importants liés à la dynamique de l'eau, le cycle des nutriments, et la suppression de maladie.

     

    Certaines bactéries affectent le mouvement de l'eau en produisant des substances qui aident à lier les particules de sol en agrégats de petite taille (d'un diamètre de 1/10000 -1/100 de pouce ou de 2-200 pm).

     

    Les agrégats stables améliorent l'infiltration de l'eau et la capacité de rétention d'eau du sol.

     

    Dans une communauté bactérienne variée, de nombreux organismes seront en compétition avec des organismes pathogènes dans les racines et sur les surfaces aériennes de plantes.

     

     

    Quelques bactéries des plus importantes

     

    Les fixatrices d'azote, elles forment des associations symbiotiques avec les racines des légumineuses comme le trèfle et le lupin, et des arbres comme l'aulne et le criquet pèlerin.

     

    Des nodules visibles à l’œil nu sont créées là où les bactéries infectent la chevelure racinaire. (figure 4). La plante fournit des composés carbonés simples pour les bactéries et les bactéries transforment l'azote (N2) de l'air dans une forme de la plante hôte peut utiliser. Lorsque les feuilles ou les racines de la plante hôte se décomposent, les teneurs d'azote augmentent dans le sol environnant.

     

    Les nitrifiantes, qui changent l'ammonium (NH4+) en nitrite (NO2-), puis en nitrate (NO3-) - une forme préférée de l'azote pour les graminées et les cultures de champs. Les nitrates sont lessivés plus facilement dans le sol, de sorte que certains agriculteurs utilisent des inhibiteurs de nitrification pour réduire l'activité d'un type de bactéries nitrifiantes. Les bactéries nitrifiantes sont supprimées dans les sols forestiers, de sorte que la plupart de l'azote reste sous la forme d'ammonium.

     

    Les dénitrifiantes transforment les nitrates en gaz, produisant de l'azote (N2) ou de l'oxyde nitreux (N2O). Les dénitrifiantes sont anaérobies, ce qui signifie qu'elles sont actives, où l'oxygène est absent, comme dans les sols saturés ou à l'intérieur des agrégats du sol.

     

    Les actinomycètes, et plus particulièrement le genre Streptomyce car c'est le groupe le plus important de bactéries qui se produisent des filaments, presque semblables à des hyphes fongiques. Certains scientifiques pensent que l'utilisation de ces réseaux de filaments servent à se connecter avec des particules de sol et devenir ainsi trop grosses pour être mangées par leurs prédateurs naturels, les protozoaires ciliés, qui les engloutiraient et les digèreraient. .

     

    Elles sont responsables de la caractéristique "terreuse" odeur d'un sol forestier sain fraîchement retournée

     

    De plus, cet ordre est particulièrement doués pour décomposer la cellulose et la chitine et sont également adaptés pour vivre dans une plus grande plage de pH, de l'acide à l'alcalin.

     

    Les champignons sont plus efficace dans la dégradation de ces composés dans un sol à faible pH. Un certain nombre d'antibiotiques sont notamment produits par des actinomycètes comme Streptomyces.

     

     

    Où vivent les bactéries?

     

    La variabilité des espèces de bactéries leurs permet de se développer sur des sources de nourriture aussi différentes que le sont leurs micro-environnements.

     

    En général, les bactéries sont plus actives lorsque la matière organique est facile à métaboliser et déjà présente dans le sol. Cela inclut les résidus de végétaux frais et jeunes qui contiennent beaucoup de sucres simples qui sont digérés plus facilement que les composants carbonés plus complexes, et les composés trouvés près de racines vivantes. Les bactéries sont particulièrement concentrés dans la rhizosphère, la région étroite entourant les racines.

     

    Il est désormais prouvé que les plantes produisent même certains types d'exsudats racinaires pour encourager la croissance de bactéries protectrices.

     

     

    Les bactéries modifient l'environnement du sol dans la mesure où l'environnement du sol sera favorable à des communautés végétales au détriment des autres. Avant que les plantes ne puissent s'établir sur des sédiments frais, la communauté bactérienne doit s'établir en premier, en commençant par les bactéries photosynthétiques. Ces bactéries fixent l'azote et le carbone atmosphérique, pour produire de la matière organique, et immobiliser ainsi assez d'azote et autres nutriments pour lancer les processus du cycle de l'azote dans le sol jeune.

     

    Alors, débute la succession d'espèces végétales peuvant s'y établir. Différents types de matière organique entrent dans le sol et modifient le type de nourriture disponible pour les bactéries. À son tour, l’altération de la communauté bactérienne modifie la structure du sol et de l'environnement pour les plantes. Certains chercheurs pensent qu'il peut être possible de contrôler les espèces végétales dans un lieu par une gestion de la communauté bactéries du sol.

     

     

     

    Les bactéries qui favorisent la croissance des plantes:

     

    Certaines souches de bactéries du sol, telles que Pseudomonas fluorescens, ont une activité anti-fongique qui inhibe certains agents pathogènes des plantes.

     

    P. fluorescens et d'autres espèces de Pseudomonas et de Xanthomonas peuvent augmenter la croissance des plantes de plusieurs manières. Ils peuvent produire un composé qui inhibe la croissance d'agents pathogènes ou réduire l'invasion de la plante par un agent pathogène. Ils peuvent également produire des composés (facteurs de croissance) qui accroissent directement la croissance des plantes.

     

    Ces plantes bactéries favorisant la croissance sont présents naturellement dans les sols, mais pas toujours en nombre suffisant pour avoir un effet bénéfique. Dans l'avenir, les agriculteurs pourront être en mesure d'ensemencer les graines avec des bactéries anti-fongiques, telles que P. fluorescens, afin de s'assurer que ces bactéries réduiront les pathogènes autour de la graine et des ses racines.

     

     

    Comment se nourrit la bactérie?

     

    Elles ont la capacité de fragmenter la matière organique en la brisant en petits morceaux, faits de sucres simples, d'acides gras et aminés. Ces trois groupes forment les éléments de base dont les bactéries ont besoin pour vivre.

     

    La bactérie emploie des enzymes pour digérer leur nourriture et pour briser les liens qui maintiennent ensemble les chaînes organiques.

     

    Elles absorbent leur nourriture directement à travers leurs parois cellulaires, composées en partie de protéines permettant de facilité cet échange moléculaire, et qui jouent.le rôle de barrières osmotiques.

     

    A l'intérieur de la paroi cellulaire d'une bactérie se trouve un mélange de sucres, de protéines, de carbone et d'ions. Cet échange peut s'effectuer de différentes façons, le plus fréquent étant le transport actif, les protéines de la membrane faisant office de pompes moléculaire aspirent les nutriments et « évacuent » les déchets.

     

     

    La décomposition de la cellulose

     

    La cellulose, un hydrate de carbone complexe composé de longues chaînes de glucose, est la molécule qui donne leur structure aux plantes. Elle représente la moitié de la masse organique engendrée par les plantes. Des bactéries spécifiques, comme la bien nommée Cellulomonas, sont porteuses d'enzymes capables de dissocier la cellulose, par opposition aux libérations aléatoires d'enzymes que pratiquent les autres bactéries, qui se nourrissent au petit bonheur la chance.

     

    La plupart des bactéries atteignent leurs limites lorsqu'il s'agit de s'attaquer à la lignine, un autre composant des plantes à la structure moléculaire complexe et très répandu, qui n'est pas un hydrate de carbone ; elle est constituée de chaînes d'alcools interconnectés qui résistent à leurs enzymes. Ce sont au final les champignons qui s'en charge.

     

     

    Le cycle des éléments et les bactéries

     

    Les bactéries présentent dans le réseau alimentaire du sol jouent une rôle crucial dans le recyclage de trois des éléments basiques nécessaire à la vie : le carbone, le soufre et l'azote.

     

    Par exemple, le CO2 est un sous produit important du métabolisme bactérien aérobie. Le carbone se trouvant dans la biomasse végétale ou animale est transformée en C02 lors de la décomposition. La photosynthèse se déroulant dans les plantes supérieures transforme le CO2 en composé organiques, qui sont éventuellement consommés puis à nouveau recyclés sous forme de CO2

     

     

    Le soufre est recyclé de manière assez similaire. Les bactéries qui oxydent le soufre en font des sulfates solubles dans l'eau et disponible pour les plantes.

     

    Libérés des matériaux organiques par des bactéries anaérobies, les composés contenant du soufre sont produits par des bactéries chimio-autotrophes qui tirent leur énergie de l'oxydation du soufre.

     

     

    Le cycle de l'azote, réalisé en partie par des bactéries spécifiques, est l'un des systèmes d'entretien de la vie terrestre les plus importants : les organismes vivants produisent les composants organiques vitaux, les pierres angulaires de la vie – les acides aminés et nucléiques – à l'aide de l'azote. Les liens solides qui tiennent ensemble les molécules de l'azote ambiant (N2) rendent ce dernier inutilisable pour les plantes. Pour qu'elles puissent tirer cet azote, il doit être fixé – combiné avec l'oxygène ou de l'hydrogène – produisant ainsi des ions d'ammonium (NH4+), de nitrate (NO3-) ou de nitrite (NO2-). C'est un processus important appelé fixation de l'azote.

     

    Certaines bactéries transforment l'azote de l'atmosphère et le rendent ainsi consommable pour les plantes. Les genres qui vont accomplir la tâche de fixer l'azote sont l'Azotobacter, l'Azospirullum, le Clostridium et le Rhizhobium. Les trois premiers sont des bactéries libres vivants dans le sol ; les Rhizhobium vivent en symbiose avec les plantes et se trouvent dans les tissus des racines, particulièrement des légumineuses, où elles forment des nodules.

     

    Ce sont les bactéries qui mènent ces processus biologiques dans le sol, mettant en place des relations symbiotiques avec des plantes précises ou vivant en symbiose au sein des autres organismes.

     

    Un autre moment du cycle de l'azote, celui où il « débute » dans le sol, met en jeu la décomposition des protéines en ammonium (NH4+). Habituellement, cet ammonium fait partie des déchets produits par les protozoaires et les nématodes après qu'ils aient mangé des bactéries et des champignons.

     

    Ensuite, les bactéries spécifiques (Nitosomonas) transforment l'ammonium en nitrites (NO2-). Un deuxième type de bactéries (Nitrobacter) transforme les nitrites en nitrates (NO3-)

     

    Les bactéries nitrificatrices n'aiment généralement pas les environnements acides ; leur nombre (et par conséquent) la transformation de l'azote en nitrates) diminue lorsque le pH de sol descend en dessous de 7.

     

    Il se trouve que le biofilm bactérien (déjà mentionné pour se capacité à lier les particules de sol les unes avec les autres) a un pH supérieur à 7.

     

    Ainsi, s'il y a suffisamment de bactéries dans une zone, le biofilm qu'elles produisent maintient le pH de leur voisinage au dessus de 7 et la nitrification peut se faire.

     

    Dans le cas contraire, l'ammonium qui a été produit en début par les organismes se trouvant dans le sol n'est pas entièrement transformé en nitrate. Si le pH est de 5 ou inférieur, l'ammonium sera peu ou pas du tou transformé. Les bactéries dénitrificatrices transforment les sels azotés en N2, qui s'échappe dans l'atmosphère. A l'évidence, les bactéries dénitrificatrices ne participent pas à la fertilité du sol, mais elles sont essentielles car elles maintiennent le cycle de l'azote en action

     

     

     

    Le biofilm

     

    Le mucus bactérien, ou biofilm, est une matrice constituée de sucres, de protéines et d'ADN. Le fait que le biofilm bactérien dans le sol soit légèrement alcalin n'influence pas seulement le pH là où le le plus important, dans la rhizosphère, mais il fait également office de modérateur pour le sol de la zone, afin que le pH reste stable.

     

    Certaines bactéries utilisent leur biofilm comme moyen de transport, propulsant littéralement cette substance pour se mouvoir. (La plupart des bactéries, cependant, se déplacent en utilisant une forme étonnante de la nanotechnologie – à l'aide d'une ou plusieurs structures en forme de fouet, ou flagelles, qui ressemblent à des propulseurs et fonctionnent de manière similaire.) Les biofilms protègent les bactéries de la déshydratation lorsque le sol s'assèche ; les bactéries du sol vivent souvent à l'intérieur de gros amas gluants de biofilms, complétés par une infrastructure de canaux remplis d'eau afin de transporter les nutriments et les déchets. Les biofilms peuvent également servir de protection contre les antibiotiques produits par d'autres micro-organismes, dont d'autres bactéries. Les colonies de bactéries protégées par du biofilm sont mille fois plus résistantes aux antibiotiques et aux microbiocides que les bactéries isolées.

     

     

    La fixation des nutriments

     

    Les bactéries jouent un rôle-clé dans la nutrition de la plante. Elles fixent les nutriments qui autrement disparaîtraient en raison du drainage. Elles effectuent cette opération en les ingérant lorsqu'elles décomposent la matière organiques et en les retenant au sein de leurs structures cellulaires. Dans la mesure où les bactéries sont elles-mêmes fixées sur les particules du sol, les nutriments restent dans le sol au lieu d'être emportés, comme c'est le cas pour les engrais chimiques.

     

    En fait, ces nutriments vont être emprisonnés, immobilisés à l'intérieur de la bactérie jusqu'à qu'elle soit mangée ou transformée en déchets. Comme les bactéries du sol ne voyagent pas sur de grandes distances, et qu'il y a une abondante source source de nourriture bactérienne dans la région des racines, les nutriments ingérés par les bactéries restent dans le voisinage des racines. D'autres organismes, comme les protozoaires, jouent un rôle important en se nourrissant des bactéries, libérant dans leurs déchets l'azote en excès sous forme d'ammonium (NH4+). Ces déchets se retrouvent à leur tour dans la rhizosphère, exactement là où les racines peuvent absorber les nutriments.

     

     

    Les autres bienfaits des bactéries du sol

     

    Quelques bactéries anaérobies produisent des alcools toxiques pour les plantes et pour d'autres bactéries. Lorsqu'on jardine, il est possible d'éviter la présence de ces bactéries en contrôlant les conditions qui leur permettent de se reproduire : une mauvaise texture du sol, une absence de pores, de l'eau stagnante et un sol compacté. D'autres bactéries sont pathogènes et peuvent donner des maladies aux plantes supérieures. La listes des bactéries pathogènes est longue, avec parmi elles les bactéries provoquant le chancre bactérien des agrumes, les maladies des pommes de terre, des melons et des concombres, le feu bactérien du poirier, du pommier et d'autres maladies similaires. Il y a des milliers de bactéries pathogènes pour le sol et on dépense chaque année des milliards de dollars pour protéger les récoltes contre les dommages causés par les bactéries néfastes.

     

    L'Agrobacterium tumefaciens provoque des galles ou des tumeurs qui prospèrent sur les tiges de certaines plantes. Burkholderia cepacia est une bactérie qui contamine et fait pourrir les racines des oignons. Certaines bactéries du genre Pseudomonas créent des tâches noires sur les tomates et font s'enrouler les feuilles des pieds sur elles-mêmes.

     

    En dépit de la présence de bactéries pathogènes, il y a plusieurs avantages à avoir une population bactériennes saine dans le sol plutôt que ne pas en avoir. Par exemple l'activité bactérienne est également et fréquemment responsable de l'élimination des polluants et des toxines. Ces processus sont en général aérobies et nécessitent de l'oxygène pour se dérouler. Vous avez certainement entendu parler d'une bactérie qui peut manger l'huile répandu sur une plage de l'Alaska ; il existe des bactéries similaires qui consommeront l'essence répandue sur votre pelouse par exemple.

     

    Les bactéries du sol produisent de nombreux antibiotiques médicinaux qui nous ont devenus indispensables. On peut imaginer que dans la mesure où ces bactéries sont en compétition non seulement avec d'autres bactéries pour obtenir de la nourriture mais également avec les champignons et d'autres organismes, elles ont développé des défenses particulières. Par exemple, les bactéries Pseudomonas peuvent corriger le piétin-échaudage des céréales, une maladie fongiques désastreuse, en produisant des antibiotiques très puissants et à large spectre, les phénazines. A l'évidence, il y aura de nombreuses bactéries du sol qui maintiennent les bactéries pathogènes sous contrôle, ce qui est bon pour avoir un réseau alimentaire du sol sain.

     

    Toutes les bactéries sont en compétition les unes avec les autres et avec d'autres organismes pour obtenir la quantité finie de nourriture que contient le sol, ce qui maintient les populations en équilibre. Les sols renfermant une grande diversité de bactéries sont plus enclins à avoir un grand nombre de bactéries non pathogènes luttant contre les bactéries pathogènes pour l'obtention de l'espace et de la nourriture. Nous sommes convaincus qu'utiliser les défenses naturelles du réseau alimentaire du sol est le meilleur moyen pour garder les nuisibles sous contrôle. Les jardiniers doivent comprendre que les bactéries constituent la ligne de front

     

     

    Les règles du jardinage avec le réseau alimentaire du sol.

     

    1 – Certaines plantes préfèrent les sols dominés par les champignons ; d'autres préfèrent les sols dominés par les bactéries.

     

    2 – La plupart des légumes, des plantes annuelles et des plantes grasses préfèrent avoir leur azote souss forme de nitrate et se portent mieux dans les sols à dominance bactérienne.

     

    3 – La plupart des arbres, des arbustes et des plantes vivaces préfèrent avoir leur azote sous forme ammoniacale et se portent mieux dans les sols à dominance fongique.

     

    4 – Le compost peut être employé pour inoculer des micro-organismes bénéfiques à la vie dans les sols de votre jardin et introduire, entretenir ou modifier le réseau alimentaire du sol dans une zone précise.

     

    5 – Répandre du compost avec son réseau alimentaire du sol à la surface du sol va inoculer à ce dernier le même réseau alimentaire du sol.

     

    6 – Les matériaux organiques bruns et fanés soutiennent les champignons ; les matériaux organiques verts et frais soutiennent les bactéries.

     

    7 – Le paillis répandu en surface a tendance à être favorable aux champignons ; le paillis incorporé superficiellement dans le sol a tendance à être favorable aux bactéries.

     

    8 – Si vous mouillez et broyez complètement le paillais, cela accélère la colonisation par les bactéries.

     

    9 – Les paillis plus grossiers et sec sont favorables à l'activité fongique.

     

    10 – Les sucres aident les bactéries à se multiplier et à grandir ; les algues, les acides fulviques et humiques et la poussière de phosphate aident les champignons à pousser.

     

    11 – En choisissant votre compost au départ et les nutriments que vous aller y ajouter, vous pouvez faire des jus soit fongiques soit bactériens, ou bien équilibrés.

     

    12 – Les jus de compost sont très sensibles à la présence de chlore et de conservateurs dans l'eau de brassage et dans les ingrédients.

     

    13 – L'utilisation d'engrais industriels tue tout ou une partie des micro-organismes du réseau alimentaire du sol.

     

    14 – N'utilisez pas d'additif ayant de forts taux de NPK.

     

    15 – Après vaporisation ou un arrosage du sol avec des produits chimiques, appliquez toujours un jus de compost.

     

    16 – La plupart des conifères et des arbres à bois dure (bouleau, chêne, hêtren noyer) forment des mycorhizes avec des champignons ectomycorhiziens.

     

    17 – La plupart des légume, des plantes annuelles, des plantes grasses, des arbustes, des arbres à bois tendre et des plantes vivaces forment des mycorhizes avec des champignons endomycorhiziens.

     

    18 – Le fait de retourner le sol et le déranger de manière excessive détruit ou endommage gravement le réseau alimentaire du sol.

     

    19 – Mélangez toujours des champignons endomycorhiziens avec les graines des plantes annuelles et des légumes au moment de les planter ou appliquez-en sur les racines au moment du repiquage.

     

     

     

     

    Bactéries du sol :

     

    Les Bactéries Bénéfiques

     

    (Source : https://www.vibescoll...=537.0#lastPost

     

    Auteur : GreenGrocer)

     

    Microbiologie des sols

    Connaissez la microbiologie de vos sols. Tous les micro-organismes énumérés ci-dessous utilise la nutrition organique (cellules de la racine muées, exsudats ou de matière organique) afin de croître, se multiplier et donner de nombreux avantages aux plantes au niveau de la santé:

     

    Rhizobactéries : Promotion de la croissance des plantes (Plant-Growth-Promoting = PGP) :

    Ces bactéries produisent une variété de substances chimiques qui stimulent la croissance des plantes. Les bactéries se développent et persistent dans la rhizosphère des racines non ligneuses.

     

    Bactéries vivant librement fixatrices d'azote (non-symbiotiques):

    Ce sont des bactéries très spécialisées qui fixent N de l'atmosphère et participe à l'augmentation de la croissance des plantes grâce à la nutrition azotée accrue. Ces bactéries sont intimement associées à la rhizosphère des racines.

     

    Bactéries Solubilisant le Phosphate (Phosphate Solubilizing Bacteria = PSB):

    Certains sols et les bactéries de la rhizosphère qui produisent des enzymes phosphatase qui à son tour solubiliser le phosphore (P) à partir de sources minérales insolubles. PSB + mycorhizes = Augmentation croissance des plantes et a augmenté P disponible à partir des minéraux P.

     

    Bactéries Symbiotiques fixatrices d'azote:

    La plupart des légumineuses (haricots, pois, trèfle, luzerne, acacia,) possèdent des nodules hébergeant des fixateurs d'azote, lesquels sont liés aux espèces de bactéries de genre Rhizobium, présents naturellement dans les sols. La fixation d'azote par les nodules de Rhizobium est grandement renforcée par les mycorhizes vésiculaires-arbusculaires (VAM). Certains arbres, i.e. l'Aulne et le Casuarina, possèdent des formes de VAM et des nodules fixateurs d'azote avec des organismes actinomycètes appelés actinorhizes.

     

    Les bactéries et les champignons antagonistes aux agents pathogènes racinaires:

    Beaucoup de bactéries du sol et des champignons pendant la croissance normale de produire des antibiotiques ou sont hyperparasites sur les champignons nuisibles. En conséquence, ils inhibent les organismes pathogènes des racines. Les VAM et les ectomycorhizes permettent d'accroître les populations de ces micro-organismes bénéfiques vivant dans la rhizosphère, ce qui, au final, contribue une lutte plus efficace contre les maladies des racines.

     

    Mycorhizosphere:

    C'est la zone autour des racines mycorhiziennes, qui est altéré par la présence physique et chimique du champignon symbiotique des mycorhizes. Cette zone abrite une population de microbes associés (bénéfiques) qui améliorent le développement des mycorhizes et leur fonction. Ces microbes synergétistes sont différents de ceux trouvés entourant les racines non mycorhizées.

     

     

    Les Bactéries Néfastes

     

    à rechercher dans le livre de R.C.Clarke

     

     

     

    Les Bactéries du système foliaire

     

    Les Bactéries Bénéfiques

     

    Les Bactéries Néfastes

     

    à rechercher dans le livre de R.C.Clarke

    • Like 1
  5. Salut Babylon,

     

    rha bein tu m'as bien donné envie :-P, ça avait l'air d'une bonne organisation tout ça

    en plus si ce n'était pas trop hype.

    Intéressant aussi de connaître les variétés primées par les amateurs :kana_smile:

     

    merci pour ce report

    (peut etre voir avec les modos si ce topic aurait sa place dans les news/évenements ;))

     

    hasta pronto

  6. Salut Tontongato,

     

    super sujet, j'adhère à 200%

     

    bon j'aavais commencé à te répondre, mais vu qu'un bug cannaweedien s'est glissé entre 2 feuilles au passage, je recommence mais en plus rapide.

     

    fervant défenseur de la culture biologique, dite aussi organique, puisqu'elle fait intervenir les micro-organismes du sol (au passage, si notre planète s'appelle Terre ce n'est pas par hasard puisque pas loin de 80% de la vie est dans le sol, le problème c'est qu'on connait très peu encore ces êtres vivants et leurs fonctions), ça fait maintenant un bon nombre de sessions que j'utilise ces auxiliaires de cultures pour plusieurs raisons/buts, l'amélioration

    - de l'assimilation des nutriments et de leur redistribution

    - de la protection qu'ils apportent (directs par prédation/concurrence et par symbioses)

    - de l'aération et la structure (porosité prinipalement) du sol

     

    Pour s'en procurer, on en retrouve dans des produits commmerciaux (mycorhizines, trichoderma), pour les bactéries j'avais l'habitude de prendre des amendements en contenant (Biosupermix de Plagron, Lombricompost de Versland).

    Mais maintenant, j'ai trouvé un très bon produit qui contient les 2, le Catalysator de Gen (GP-Bio).

     

    La préparation de certaines solutions, comme le purin d'ortie et compagnie, est le fruit de transfomation/fermentation bactérienne, ce qui fait que lors de l'arrosage avec, tu stimules l'activité biologique du sol avec tous ces êtres vivants.

     

    Il existe des méthodes pour reproduire ces micro-organismes, comme le jus de compost à aération active, ou le même procédé, très simple à réaliser, dérivé, tel que cette recette transmise par Gen, et précieusement reproduite et partagée à qui n'en veut, cela traitait sur le batguano à la base

     

    A propos du batguano

     

    A mon sens, le Bat guano doit être très vite assimilable, dans la mesure où c'est riche en Ca, Mg, et substances organiques.

     

    Un petit truc pour que cela soit plus vite assimilable, prépare la dissolution 2 jours avant arrosage en terre, met y une pincée de terre glaise finement broyée, et une cuillère à café de sucre et laisse le tout à t° ambiante.Remue 2 x par jour..

     

    La terre glaise servira de support aux bactéries, et le sucre favorisera la prolifération bactérienne.

     

     

    Pour ma part, le plus simple pour la multiplication est la fabrication de compost avec de bons rapports C/N, un taux d'humidité, une bonne aération, une température idéale entre 20 et 25°c et un peu de temps.

     

     

     

    Il y a aussi le topic d'Exo, où ER² explique les diverses transformations des composés azotés par les bactéries du sol cf la nutrition azotée

     

     

    Le tuto sur Le rôle des filtres biologiques en culture hors-sol apporte quelques infos

     

     

    Je te conseille aussi la video de Claude Bourguignon, dernier micro-biologiste de l'INSA

    https://www.dailymotion.com/video/xdwg7r_conference-de-claude-bourguignon-la_news

    il explique très bien la vie du Sol

     

     

    Il y a des ouvrages spécialisés mais qui restent accessibles au public non initié tels que

    - Collaborer avec les micro-organismes du sol , gestion du réseau alimentaire du sol à destination des jardiniers, de Jeff Lowenfels et Wayne Lewis

     

    - Le sol vivant de Jean-Michel Gobat, Michel Aragno et Willy Matthey, aperçu de la VO dans un forum anglophone :

    * The soil food web

    * Beneficial Soil Microbes

    * Soil fungi

    * Bacteria

    * Soil protozoa

    * Nematodes

    * Artrhopods

     

     

     

    Pour le premier, l'ayant sous la main et ayant pris pas mal de notes, je peux essayer de résumer les infos données si ça t'intéresse

     

     

    Il existe aussi un bouquin très complet traitant uniquement des êtres vivants en relation avec le cannabis, c'est le bouquin de Robert Connel Clarke (auteur de la Botanie du Chanvre) intitulé "Hemp Diseases ant Pest - Management and Biological Control, une vrai bible dans son genre, malheureusement disponible qu'en VO (je te mp ;) )

     

     

    à pétard

  7. Salut Az

     

    Tout comme Black Cat, j'ai apprécié cet article qui me parait être suffisement clair.

    l'idéal serait d'avoir une ou plusieurs variétés de référence pour l'illustrer

    Je l'ajoute dans mes favoris pour pouvoir l'indexer et le lier en cas de besoin

    Il serait pas mal de l'avoir aussi dans la section "variétés, graines et génétiques", ou du moins dans le topic du breeding ;-)

     

    à pétard

  8. Avé,

     

    Mmmh pas facile de faire son choix!

    Je vais voter les effets tout comme mon voisin précédent même si le goût est tout aussi important

    Parce que j'ai pu fumé des plantes qui donnaient mal à la tête genre migraine et que ce n'est pas agréable du tout.

    après quelques ne soient pas belles ou pas stables c'est pas grave même si c'est mieux avec, et puis ça dépend de ce que l'on veut faire avec.

    la précocité m'importe surtout pour l'outdoor

    la stabilité si je souhaite utiliser un trait spécifique pour breeder

     

    Evidement les reports/jdcs/... des weedeurs ont une grosse part dans la balance, surtout pour confirmer les dires du breeder.

     

    à pétard

  9. Salut,

     

    Cece69, en gros ça veut plus ou moins dire que ce qui est à base d'Haze aura tendance

    - à fleurir et mûrir plus tardivement que des indicas (18/24semaine contre 7/8, intermédiaire si hybridée)

    - que leur coté sativa "risque" à ce que les cultivateurs se retrouvent avec des plantes très allongées contrairement à la taille sapin et raccourcie des indicas, ce qui, en placard, sera plus difficile à gérer (stretch, canopée...)

     

    pour résumé, beaucoup de cutivateurs font pousser des variétés à floraison rapide, ayant une production élevée.

    cependent le high des hazes est à l'opposé du stone des indicas, d'où le dilemne cruel et difficile ;-)

  10. Salut,

     

    merci pour les photos O.B.

    mais c'est laquelle la cheese parmi toutes?

     

    pourrais tu me faire un retour sur la moby dick que je ne connais absolument pas et que je n'est jamais gouter

    (stretch/flo/smoke/odeur/high ?biggrin.gif)

     

    histoire de savoir a quoi m'attendre avec mon petit croisement cheezy dick .

     

    tu pourras trouver 2 strainguides sur la mobydick

    ainsi que des infos sur le topic unique de Dinafem, ou encore sur les jdcs

    merci de faire quelques recherches...

     

    peace

  11. Salut,

     

    ce n'est pas parce que ce "breeder" vend des variétés qui ont gagné des cups dans le passé que c'est le fruit de son travail, non?

    si demain je vends des skunk#1 ou autre f2, je ne pense pas que je puisse dire que mes variétés sont des winners...lol

  12. re,

     

    alors oui en effet, on peut se débarrasser de ces organes indésirables (clochettes/étamines),

     

    extrait du guide sur la sexualité du cannabis

    La monoécie

     

    Il s’agit d’un cas particulier d’intersexe dans lequel les plantes portent des fleurs males et femelles parfaitement formées. Elles apparaissent le plus souvent lors des premiers stades de la floraison .Et les plantes incriminées doivent être éliminées le plus rapidement possible sauf si le phénomène est très limité (à peine quelques fleurs) en retirant les fleurs males. Mais cela reste un pis-aller et un risque important

     

    pour ce qui est des graines en formation, ça pompe un peu de l'énergie s'il n'y en a pas des masses, mais s'il y en a trop ça va jouer sur la quantité par rapport à une sinsemilla (= sans graine en espagnol)

     

    lisez les posts précédents, les guides et les topics correspondants pour plus d'infos SVP, ainsi qu'effectuer une recherche pour éviter de répéter à l'infinie les mêmes choses

     

    bonne soirée

  13. Salut,

     

    sans photo cela ne va pas être évident, mais d'après ce que tu dis, ça me semble être une carence

    est ce que ça ressemble à ceci?

    n'hésite pas non plus à parcourir le guide "sos culture" notamment les carences

     

    enfin peut être que ce tableau pourra te guider également

    recapitulatif symptomes carences.gif

     

    sinon as-tu déjà rempoté? quelle est la taille des pots?

    tu utilises seulement du nitrate d'ammonium ou aussi des engrais phosphatés, potasse...?

     

    peace