sigma

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  1. En tout cas on avance bien, et voici les courbes représentant la tension sur le drain du MOSfet et le courant de sortie. Comme les pertes par commutation dans le MOS ne me plaisaient pas, j'ai décidé d'utiliser le mode quasi-résonant tout en conservant la commutation à zéro. Cette magnifique configuration tend à éliminer complètement les pertes par commutation, constatez les temps de montée légèrement inclinés. De ce fait, les pertes totales dans le MOS n'excéderont pas 400mW!
  2. Justement, ce driver de LED est conçu pour obtenir un faible coût de fabrication. Le driver devrait sortir à 50 Euros en fin de chaine pour 100 pièces et moins de 40 Euros par mille. Si un nombre suffisant de personnes sont intéressées et que l'on décide de faire une CAO pour partir en production, alors nous prêterons les drivers de la pré-série à quelques chefs du forum afin qu'ils les testent et qu'ils donnent leur avis. Quand au nombre de sorties, le driver est hélas pour l'instant, limité à une seule sortie. Même les LM317 ne se dédoublent pas par magie, si tu veux deux sorties, tu doi
  3. Bah ... A part le schema de principe que je suis en train de terminer ... Un synoptique n'apporterait pas d'eau à ton moulin, car il ne s'agit que d'une topologie buck. En tout cas, tu avais raison; après avoir fait les calculs des pertes durant le passage de l'état ON à l'état OFF du MOSfet, on abouti à 1 Watt de pertes totales. Il faut savoir que la quantité d'énergie dissipée durant cette phase est la plus dure à calculer, et Le résultat auquel je suis arrivé est le pire des cas. D'autre part, la fréquence de fonctionnement du driver n'est pas de 200 kHz comme je l'avais annoncé, ma
  4. Hmmm, cela dépend du temps de réponse du driver. En effet, à l'instant où un LED se met en court-circuit, le driver peut mettre plusieurs dizaines de millisecondes à rétablir le courant de consigne, voire plusieurs centaines selon le principe de fonctionnement. Durant ce laps de temps, les autres LED voient leur courant augmenter de (en %): (1 / (N-1)) x 100 N étant le nombre total de LED, mort ou vif. En supposant bien sûr que les LED ont le même drop out (pour simplifier), et que la courbe de caractéristique courant/tension soit linéaire, ce qui est presque vrai (Voir datasheet
  5. Ouiiiiiiiii ... Les pertes sont directement proportionnelles à I², rappelons nous! Pas de problème pour le tutoiement, et si je dis "vous", c'est en me faisant l'illusion d'être lu par plus d'une personne! Le secret est aussi dans le choix du Mosfet de puissance, croyez moi, et pour ça je suis un as! Le driver sera équipé d'un MOS de 0,2 Ohm que j'ai décidé de faire commuter à "zéro courant". En effet, les pertes par commutation dans un MOSfet ont lieu à deux instant précis: Au passage de l'état OFF à l'état ON, et inversement. Or, avec la commutation à "zéro courant", on évite les pe
  6. Oops, j'ai oublié de préciser que la fréquence de commutation du driver est de 200 kHz. A plus.
  7. Bonjour. Je comprends l'étonnement de votre part, mais j'ai bien précisé un rendement de 99% @150W! A 100W le rendement tombe déjà à 98,3%. De plus, les LED sur lesquelles je m'appuie ont un drop out de 3,44 V MAX; il s'agit bien sûr des Ledengin (voir datasheet). Or, il faut savoir que lors d'une utilisation normale de ces LED, le max n'est jamais atteint. De plus, je ne l'ai pas précisé dans mon dernier post, les chiffres que j'annonce sont préliminaires et peuvent bien sûr varier quelque peu à la finale. Sachez aussi que le design du driver est simple et pensé pour obtenir un faible coû
  8. Bonjour à tous. Cela fait longtemps que je n'ai pas posté (Je n'étais pas dans le bon topic). J'ai constaté une forte tendance concernant l'utilisation de LED pour le growing. Cela est du au succès de la dernière génération de LED de puissance qui offre des longueurs d'onde de 645 et 660 nm tant attendues! Après réflexion, je suis arrivé à la conclusion qu'il fallait séparer le driver de LED du panneau lui-même, du moins dans un premier temps, cela offrant plus de flexibilité et laissant le choix des LED à l'utilisateur. J'ai consacré du temps pour savoir ce que proposaient les
  9. Bonjour à tous. Cela fait longtemps que je n'ai pas posté. J'ai au passage une petite question concernant le forum: J'y suis un peu perdu et je voudrais savoir si il y a un autre endroit plus approprié pour parler de l'éclairage à LED, surtout sur l'aspect technique. Car un de mes amis et moi-même avons constaté une forte recrudescence dans la demande de panneaux de LED. J'ai aussi compris pourquoi les panneaux de LED proposés sur le marché ne fonctionnaient pas, ou ne fonctionnaient qu'en croissance. Après réflexion, je suis arrivé à la conclusion qu'il fallait séparer le driv
  10. Comme je le disais, l'avantage de ce driver de LED est d'être universel car l'utilisateur peut connecter en série le nombre de LED qu'il souhaite. La valeur du courant de sortie peut bien sûr être modifiée en fonction des besoins, ainsi que le nombre de position du sélecteur entre deux valeurs limites choisies judicieusement. Je pourrais prévoir un potentiomètre au lieu d'un switch, mais le réglage serait moins précis ... Je sais que ce forum est fréquenté par les personnes les plus branchées en matière de growing sur divers aspects techniques. Le but de mon post est de savoir si ce dr
  11. Comme je le disais, l'avantage de ce driver de LED est d'être universel car l'utilisateur peut connecter en série le nombre de LED qu'il souhaite. La valeur du courant de sortie peut bien sûr être modifiée en fonction des besoins, ainsi que le nombre de position du sélecteur entre deux valeurs limites choisies judicieusement. Je pourrais prévoir un potentiomètre au lieu d'un switch, mais le réglage serait moins précis ... Je sais que ce forum est fréquenté par les personnes les plus branchées en matière de growing sur divers aspects techniques. Le but de mon post est de savoir si ce dr