Le premier Cannabis Social Club Français arrive :D


Messages recommandés

Voila je viens de découvrir que le premier cannabis social club français est en train de s'organiser :plus: . La liste officiel de ses membres (probablement 500) sera annoncé le 18 joint ^_^ .

OperationActeDeConscienceCitoyenne

 

592176_216891435096527_704900596_n.jpg

Description :

Action collective et solidaire en forme de désobéissance civile avec pour objectif la régulation du cannabis produit en France sous forme d'un club privé de consommateurs, le CSCF, Cannabis Social Club Français qui répond aux conditions du code de conduite suivant:

 

 

CODE DE CONDUITE DU CANNABIS SOCIAL CLUB FRANÇAIS (source ENCOD adapté pour la France)

 

En raison de l’absence de cadre légal pour la culture du cannabis à usage personnel, nous, quelques consommateurs et consommatrices de cannabis de toute l’Europe, avons été à l’origine de notre propre modèle de régulation et de contrôle.

 

Ce modèle, appelé Club Social du Cannabis , permet d’éviter que les consommateurs de cannabis soient impliqués directement dans des activités illégales, et de garantir un certain nombre de conditions quant à la santé publique et à la sécurité.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis (CSC) sont des associations déclarées, a but non-lucratif composées d’adultes qui consomment du cannabis. Ils peuvent être mis en place légalement dans des pays où la culture pour usage personnel a été décriminalisée.

 

En France ce n’est pas encore le cas, pour que le CSCF puisse agir de façon expérimentale afin de préparer le changement des lois sur la culture de cannabis pour usage personnel, il faut que nous, consommateurs* et des autoproducteurs* nous nous engagions collectivement dans une résistance citoyenne et solidaire et que dans un acte collectif de désobéissance civile, n'écoutant que notre conscience citoyenne imposions immédiatement les changements nécessaire à la mise en place du CSCF.

Selon l’article 12 de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne, "toute personne a droit à la liberté de réunion pacifique et d’association à tous les niveaux".

 

Si malgré tout nous sommes poursuivi, nous exigerons d'être jugés collectivement et que la loi soit scrupuleusement appliquée, à savoir: cour d'assise spéciale et perpétuité...une telle cour serait une première en France...alors en + pour des centaines de "criminels vert auto-déclaré à l'avance"...ce serait embarrassant!!! voir encombrant pour la machine judiciaire...

 

Les CSC organisent la culture collective d’une quantité de cannabis correspondant à la consommation personnelle de ses adhérents. La capacité de production d’un CSC est basée sur l’estimation de la consommation annuelle globale et d’une réserve raisonnable pour compenser un risque de récolte réduite ou de vols, et avoir une "production de secours" pour des personnes qui consomment du cannabis pour des raisons médicales. Le règlement intérieur d’un CSC inclut un protocole sur la gestion d’excédents éventuels.

 

Avant d’être membre d’un club, le postulant doit déclarer être consommateur de cannabis ou fournir un certificat médical sur son diagnostic afin de vérifier si cette personne souffre d’une maladie pour laquelle le cannabis est indiqué. La référence étant la liste publiée régulièrement par l’IACM (International Association for Cannabinoid Medicines).

 

Les CSC ont un protocole d’adhésion de leurs nouveaux membres qui inclut une explication de leurs droits et de leurs devoirs, une estimation de la quantité consommée et une conversation privée sur l’histoire de leur consommation. Cela permet aux clubs d’identifier des consommations problématiques (psychopathologie) et de répondre à cette situation. Les Clubs Sociaux du Cannabis appliquent une politique effective de prévention et de réduction des risques, favorisant des pratiques plus sûres de consommation de cannabis pour ses membres.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis possèdent un registre exhaustif sur la consommation effective de leurs membres à partir de la culture collective, registre qui contiendra au moins le numéro du membre, la quantité retirée et la date du retrait. Ce registre devra être géré de façon à garantir la protection des données à caractère personnel. Par ailleurs, les quantités distribuées seront limitées afin d’éviter que soit facilité l’usage de tierces personnes.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis possèdent un registre exhaustif de la culture, dans lequel l’association relèvera les dates et les cultures programmées, ainsi que les méthodes utilisées pour la culture et les quantités récoltées propres à la consommation. Des inspections aléatoires auront lieu sur les cultures par des représentants de l’administration afin de vérifier l’emplacement, les mesures de sécurité et le volume estimé de la production.

 

Les méthodes de culture, traitement après récolte etc. répondent aux normes de l’agriculture biologique et de développement durable.

 

Une fois réalisé le contrôle de la récolte et quantifié le volume final de la production, l’association émettra une autorisation écrite pour le transport de la production depuis le lieu de culture jusqu’au local où est finalisée la distribution contrôlée.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis se caractérisent par leur transparence, leur organisation démocratique et non-lucrative. Ils fonctionnent comme une association, avec un libre accès à la comptabilité pour les membres de façon à ce qu’ils puissent voir comment les prix sont calculés et comment est dépensé l’argent. Les CSC organisent une assemblée générale au moins une fois par an où sont discutés et approuvés les rapports annuels. Ces rapports incluent un compte-rendu complet des recettes et des dépenses de l’année fiscale précédente, en accord avec les règles établies.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis peuvent décider d’employer du personnel qui devra recevoir une rémunération raisonnable.. Ils contribuent ainsi à la création d’emplois, à la relance économique et à l’économie du budget attribué à la prohibition.

 

Contrairement aux fournisseurs de cannabis qui opèrent sur le marché illégal, les Clubs Sociaux du Cannabis sont disposés à dialoguer avec les autorités pour faire connaître leur méthodes et le cadre de l’élaboration d’une régulation légale du cannabis. Les autorités locales auront un intérêt dans cette régulation qui facilitera le contrôle des CSC pour assurer une manière transparente et sûre de travailler . Ainsi, ils créent une alternative au marché noir, évitant l’accès des mineurs au cannabis, ils contribuent à la réduction de dépenses publiques et génèrent des impôts. Pour le CSC la régulation présente l’intérêt de garantir le statut légal de son organisation et de ses activités.

 

*: qui adhèrent pleinement au présent code de conduite ainsi qu'au moyen utilisé pour obtenir les changements nécessaires à son application

  • Like 3
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Démarche intéressante mais j'ai peur que ces gens passent plus de temps auprès de la justice qu'auprès du club....

 

Une initiative qui permettra de renforcer un peu plus le débat dans notre pays... ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Oui je suis d'accord, je ne pense pas qu'il pourront exercé une activité de cannabis social club librement comme dans d'autres pays comme l'espagne. Le but étant probablement de faire avancer le débat, de faire du bruit , comme ils le présise :

Si malgré tout nous sommes poursuivi, nous exigerons d'être jugés collectivement et que la loi soit scrupuleusement appliquée, à savoir: cour d'assise spéciale et perpétuité...
cette affaire aurai le mérite d'avoir un écho dans les média, de proposer un modèle alternatif à une légalisation et qui a le mérite d'être crédible et raisonné.

Je suis impassiant de voir l'évolutions de tout ça, ce sont des gens comme ça qui feront bouger les chose.

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

bonjour ,

 

pour ma part je salut le geste cela faisait longtemps qu'on avait pas vu un acte militant aussi "fou" !

 

même si cela sent la mission suicide je pense que cela aura le mérite de bousculer un peu les choses et qu'on va en parler pas mal :lol:

 

affaire a suivre donc !

 

cordialement .

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Hello

Mouai enfin quant tu lis certains commentaires de "cannabis social club francais" style l'alcool c'est de l'hero liquide, je me dis heureusement que Encod les suis de prés parce-que sa sent le casse gueule a 2km.....

 

Après je doute que les 500 inscrits sur la page soit des usagers "thérapeutique" .......

 

L'idée est bonne mais elle devrait pour le moment s'adresser aux seules usagers médicaux, les 3/4 des inscrits décrédibilise la cause et ramène a l'image négative du cannabis

 

Edit @Abra le soucis c est que le récréatif ne nous amènera jamais a une dépénalisation/légalisation seule la voie du thérapeutique nous y amèneras.

Pour l alcool je suis plutôt d accord, mais je ne pense pas que taper sur l alcool aidera a améliorer la situation du canna.

Modifié par Indi-Punky
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

re !

 

style l'alcool c'est de l'hero liquide

 

bah perso je suis plutôt d'accord sur les grandes lignes ....

 

quand tu vois le type de dépendance que cela engendre et les crises de manques qui en découlent c'est a n'y rien comprendre :icon_confused:

 

pour ce qui est du cote médical je pense qu'il n'y a pas de raison de ne mettre que ce cote la en avant ;)

 

Edit @Abra le soucis c est que le récréatif ne nous amènera jamais a une dépénalisation/légalisation seule la voie du thérapeutique nous y amèneras.

 

la dessus je suis bien d'accord avec toi mais je trouve dommage d’avoir a l'heure actuel accès librement a des substance comme l'alcool ( dont j'ai du mal a trouver d'autres utilisation que récréative a dire vraie ) et devoir me terrer pour consommer de la ganja !

 

Pour l alcool je suis plutôt d accord, mais je ne pense pas que taper sur l alcool aidera a améliorer la situation du canna.

 

je pense au contraire que la comparaison est inévitable surtout que tout consommateur des deux sais de loin lequel est le pire et que le fait que l'alcool soit légale pourrait être dans un débat ouvert un bon leuvier pour expliquer que ce n'est pas aussi néfaste que l'intox a la quelle on a eu droit durant des décennie nous l'a laissé entendre ;)

 

mais bon je trouve le projet plus que gonfle et c'et avec ce genre d’opérations choques que les choses avancent car si personne ne prends les devant dans 10 ans nous en seront toujours au même point !

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

L'idée est bonne mais elle devrait pour le moment s'adresser aux seules usagers médicaux, les 3/4 des inscrits décrédibilise la cause et ramène a l'image négative du cannabis

 

Pour info il existe une association destiné à aider uniquement les fumeur thérapeutique, c'est le "secours vert" (je précise également que le CSCF à prévus de faire des dons au secours vers avec le surplus de stock) :

"Secours vert" est un concept né d’une discussion, plus généralement d’une constatation hélas trop souvent observée.

 

On parle de plus en plus souvent, dans la presse locale et nationale, de situations tout à fait ubuesques. Situations où des malades se font dépouiller de leur traitement par la police, sous prétexte que ce traitement est interdit dans la législation française.

 

« Secours vert » est un réseau d’entraide d’urgence pour des personnes atteintes de maladies graves qui recourent au cannabis afin de soulager leurs douleurs. Le but est d’apporter une aide matérielle, financière ou juridictionnelle aux malades qui sollicitent ce réseau de solidarité, en faisant appel à la générosité de donateurs.

 

« Secours vert » est une association de fait, initiative citoyenne sans existence légale, étant donné le contexte législatif français pouvant considérer cette opération comme une multitude d’I.LS. (Infractions à la Législation sur les Stupéfiants). Prenant en compte l’action de la PRISAM (Patients et Réseau d’Information sur les Alternatives Médicales), pour laquelle les poursuites judiciaires auront causé de nombreux soucis à son initiateur, dont des conséquences directes sur sa santé, « Secours vert » accomplira donc sa mission de manière clandestine.

 

Nous plaidons une réforme de la loi française relative aux stupéfiants pour que cesse cette « mise en danger d’autrui », consistant à priver un patient, cultivateur ou non de cannabis, d’un remède qui le soulage de manière optimum, sans comparaison avec les médicaments synthétiques, ne parlons pas des effets secondaires...

 

« Secours vert » souligne pour justifier son action de désobéissance civile que le législateur est responsable de « non assistance à personne en danger », en choisissant d’ignorer le problème et de maintenir une loi dont les effets "secondaires" sont souvent plus graves que ceux des substances elles-même.

 

Rappelons que la loi française sur les stupéfiants interdit « la production, le transport, la cession, l’usage... » de produits stupéfiants. Face à cette réalité, « Secours vert » s’organise comme un réseau de résistants, et appelle à la désobéissance civile et collective pour une solidarité compassionnelle revendiquée et effective.

Modifié par deeWeebz
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

a mon avis ce genre d'action va droit dans le mur...

le cannabis a usage personnel est toléré en espagne depuis la fin de franco, il est doucement entrer dans les moeurs avant qu'on en arrive la, sans oublié que la catalogne tente de se démarquer du reste de l'espagne assez régulierement

j'espere que ce genre d'action peut faire avancer les choses mais le débat est déja lancer, tenter de "forcer la main" peut aussi bien provoquer un blocage complet de la discution que la faire avancer

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
  • 2 semaines après ...

Pour ceux et celles qui l’ont découvert sur les réseaux sociaux internet au lendemain de la Marche Mondiale du Cannabis le 12 mai, et dans un article de Cannaweed en date du 1 juin 2012, le premier cannabis social club français est en train de s’organiser... La liste officielle de ses membres (probablement 500) sera annoncé pour l’Appel du 18 joint.

 

OperationActeDeConscienceCitoyenne

 

Depuis sa création en 2009 le collectif Cannabis Sans Frontières, membre de l’ENCOD, promeut ce modèle. C’est une bonne nouvelle, enfin le véritable combat solidaire pour la légalisation du cannabis prend une forme concrète. Sans réserve, passons à l’action !

 

Description :

 

Action collective et solidaire en forme de désobéissance civile avec pour objectif la régulation du cannabis produit en France sous forme d’un club privé de consommateurs, le CSCF, Cannabis Social Club Français qui répond aux conditions du code de conduite suivant :

 

CODE DE CONDUITE DU CANNABIS SOCIAL CLUB FRANÇAIS (source ENCOD adapté pour la France)

 

En raison de l’absence de cadre légal pour la culture du cannabis à usage personnel, nous, quelques consommateurs et consommatrices de cannabis de toute l’Europe, avons été à l’origine de notre propre modèle de régulation et de contrôle.

 

Ce modèle, appelé Club Social du Cannabis , permet d’éviter que les consommateurs de cannabis soient impliqués directement dans des activités illégales, et de garantir un certain nombre de conditions quant à la santé publique et à la sécurité.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis (CSC) sont des associations déclarées, a but non-lucratif composées d’adultes qui consomment du cannabis. Ils peuvent être mis en place légalement dans des pays où la culture pour usage personnel a été décriminalisée.

 

En France ce n’est pas encore le cas, pour que le CSCF puisse agir de façon expérimentale afin de préparer le changement des lois sur la culture de cannabis pour usage personnel, il faut que nous, consommateurs* et des autoproducteurs* nous nous engagions collectivement dans une résistance citoyenne et solidaire et que dans un acte collectif de désobéissance civile, n’écoutant que notre conscience citoyenne imposions immédiatement les changements nécessaire à la mise en place du CSCF. Selon l’article 12 de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union Européenne, "toute personne a droit à la liberté de réunion pacifique et d’association à tous les niveaux".

 

Si malgré tout nous sommes poursuivi, nous exigerons d’être jugés collectivement et que la loi soit scrupuleusement appliquée, à savoir : cour d’assise spéciale et perpétuité...une telle cour serait une première en France...alors en + pour des centaines de "criminels vert auto-déclaré à l’avance"...ce serait embarrassant !!! voir encombrant pour la machine judiciaire...

 

Les CSC organisent la culture collective d’une quantité de cannabis correspondant à la consommation personnelle de ses adhérents. La capacité de production d’un CSC est basée sur l’estimation de la consommation annuelle globale et d’une réserve raisonnable pour compenser un risque de récolte réduite ou de vols, et avoir une "production de secours" pour des personnes qui consomment du cannabis pour des raisons médicales. Le règlement intérieur d’un CSC inclut un protocole sur la gestion d’excédents éventuels.

 

Avant d’être membre d’un club, le postulant doit déclarer être consommateur de cannabis ou fournir un certificat médical sur son diagnostic afin de vérifier si cette personne souffre d’une maladie pour laquelle le cannabis est indiqué. La référence étant la liste publiée régulièrement par l’IACM (International Association for Cannabinoid Medicines).

 

Les CSC ont un protocole d’adhésion de leurs nouveaux membres qui inclut une explication de leurs droits et de leurs devoirs, une estimation de la quantité consommée et une conversation privée sur l’histoire de leur consommation. Cela permet aux clubs d’identifier des consommations problématiques (psychopathologie) et de répondre à cette situation. Les Clubs Sociaux du Cannabis appliquent une politique effective de prévention et de réduction des risques, favorisant des pratiques plus sûres de consommation de cannabis pour ses membres.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis possèdent un registre exhaustif sur la consommation effective de leurs membres à partir de la culture collective, registre qui contiendra au moins le numéro du membre, la quantité retirée et la date du retrait. Ce registre devra être géré de façon à garantir la protection des données à caractère personnel. Par ailleurs, les quantités distribuées seront limitées afin d’éviter que soit facilité l’usage de tierces personnes.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis possèdent un registre exhaustif de la culture, dans lequel l’association relèvera les dates et les cultures programmées, ainsi que les méthodes utilisées pour la culture et les quantités récoltées propres à la consommation. Des inspections aléatoires auront lieu sur les cultures par des représentants de l’administration afin de vérifier l’emplacement, les mesures de sécurité et le volume estimé de la production.

 

Les méthodes de culture, traitement après récolte etc. répondent aux normes de l’agriculture biologique et de développement durable.

 

Une fois réalisé le contrôle de la récolte et quantifié le volume final de la production, l’association émettra une autorisation écrite pour le transport de la production depuis le lieu de culture jusqu’au local où est finalisée la distribution contrôlée.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis se caractérisent par leur transparence, leur organisation démocratique et non-lucrative. Ils fonctionnent comme une association, avec un libre accès à la comptabilité pour les membres de façon à ce qu’ils puissent voir comment les prix sont calculés et comment est dépensé l’argent. Les CSC organisent une assemblée générale au moins une fois par an où sont discutés et approuvés les rapports annuels. Ces rapports incluent un compte-rendu complet des recettes et des dépenses de l’année fiscale précédente, en accord avec les règles établies.

 

Les Clubs Sociaux du Cannabis peuvent décider d’employer du personnel qui devra recevoir une rémunération raisonnable.. Ils contribuent ainsi à la création d’emplois, à la relance économique et à l’économie du budget attribué à la prohibition.

 

Contrairement aux fournisseurs de cannabis qui opèrent sur le marché illégal, les Clubs Sociaux du Cannabis sont disposés à dialoguer avec les autorités pour faire connaître leur méthodes et le cadre de l’élaboration d’une régulation légale du cannabis. Les autorités locales auront un intérêt dans cette régulation qui facilitera le contrôle des CSC pour assurer une manière transparente et sûre de travailler . Ainsi, ils créent une alternative au marché noir, évitant l’accès des mineurs au cannabis, ils contribuent à la réduction de dépenses publiques et génèrent des impôts. Pour le CSC la régulation présente l’intérêt de garantir le statut légal de son organisation et de ses activités.

 

* : qui adhèrent pleinement au présent code de conduite ainsi qu’au moyen utilisé pour obtenir les changements nécessaires à son application

 

Source:CannabisSansFrontiere

 

 

 

Ce message a été promu en article

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Il faudrait faire attention à ne pas faire les choses à l'envers !

 

Avant de légaliser (même dépénaliser), il faut changer l'image des masses envers le cannabis et ces dérivés.

Ce n'est pas de la prévention qu'il faut faire en priorité, mais de l'information !

 

Des conférences ?

Pourquoi pas ! Mais sa ne ramènerait que les curieux...

Donc il faudrait une alternative qui toucherait plus de monde. Mais quoi...?

 

Tant que le cannabis sera synonyme de drogue aux yeux des masses, il ne pourra jamais être accepter en France.

Ne faisons pas l'erreur de copier les lois (sur le cannabis) de nos voisins. Ce serait, à mon sens, un peu trop brutal pour un pays ayant autant de consommateurs que la France.

 

Bien sur, c'est bien de prendre des initiatives, de prendre des risques pour tenter de faire avancer les choses, car nous le savons tous...nous le sentons tous, ces lois changeront bientôt ! Hélas, si ces lois sont proposer par référendum, nous pouvons dire adieu au(x) changement(s) !

D'ou l’intérêt prioritaire de modifier l'image du cannabis.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

J'ai pris contact avec l'organisateur, et ça s'organise bien. Mais il n'y pour l'instant personne de rennes ou des alentours. Si des cannaweedeur rennais sont motivé, manifestez-vous svp. :)

@Coup-Choux.Fr - il faut modifier l'image du cannabis en France, je suis complètement d'accord. Mais pour ça il faut que les media en parle, il faut qu'ils écoutes le camps des anti-prohibitionniste . C'est ce genre d'actions qui peut faire du bruit, et c'est le but. Personnellement je suis jeunes, convaincu et informé sur le sujet, si d'autres personnes de tout ages sensé sortent du placard, on pourra peut être enlever l'image gangsta des banlieu et Soixante Huitard nostalgique , qui caractérise le cannabis chez les opposant .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Yep,

 

Si la tv n'était pas "tenue" par le "pouvoir", y'aurait peut-être des débats qui feraient avancer les choses......style comparaisons entre les dangers de opiacés consommés à tour de bras et le canna (lui aussi consommé à tour de bras mais sous le manteau)......

Bon, je rêve là.....

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Invité tontongato
nous nous engagions collectivement dans une résistance citoyenne et solidaire et que dans un acte collectif de désobéissance civile, n’écoutant que notre conscience citoyenne

 

amen :respect:

 

moi j'attend le jour ou la justice va s'en meler . au moins j'aurais mon woodstock ou mon concert de bob , ou mon mai 68 un genre de truc a la 1789. un truc bien cool de l'histoire auquel j'aurais participé .

aux armes citoyens :crame:

a+

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
  • 3 mois après ...

J'ai pris contact avec l'organisateur, et ça s'organise bien. Mais il n'y pour l'instant personne de rennes ou des alentours. Si des cannaweedeur rennais sont motivé, manifestez-vous svp. :)

@Coup-Choux.Fr - il faut modifier l'image du cannabis en France, je suis complètement d'accord. Mais pour ça il faut que les media en parle, il faut qu'ils écoutes le camps des anti-prohibitionniste . C'est ce genre d'actions qui peut faire du bruit, et c'est le but. Personnellement je suis jeunes, convaincu et informé sur le sujet, si d'autres personnes de tout ages sensé sortent du placard, on pourra peut être enlever l'image gangsta des banlieu et Soixante Huitard nostalgique , qui caractérise le cannabis chez les opposant .

 

 

salut je suis rennais et effectivement je n'entend pas parler de Cannabis Sociale Club dans les alentours

M ais si quelqu'un peut me fournir plus d'informations au sujet des demarches et actions a entreprendre je suis pret a m'investir pour cette cause.basic-smile2.png

Car le principal probleme pour moi et je pense egalement tous les consommateur qui ne sont pas auto producteur c'est la mediocrité et la non tracabilité et les couts astronomiques que pratiquent les dealers.

 

J'ai pris conscience de cela en regardant l'emission sur national geographic " American Weed" si vous avez l'occasion regardezpro.gif

En regardant celle ci je me suis mis a penser a tous ces gens qui sont malade et souvent ne mange plus ou autres problematique que je connais dans mon entourage. Alors je me suis demandez comment faire pour parler d'un sujet aussi tabou en france que le cannabis a ces personnes .

 

 

Et j'ai reflechi il es vrai que c'est pas facile d'en parler a des personne proches qui ne ce doutes de rien.( Mais si nous voulons changer les choses?.bha faut aller au charbon et parfois ce faire un peu violence a soi-meme)

 

Mais je vous engage a le faire en informant les gens sur les causes a effets sur des personne qui en ont un besoin quasi vitale ( malades)

; et ne serais-ce pas un certain type de cruauté que de laisser des gens souffrir alors que l'on sait ou que l'on pense pouvoir améliorer leurs quotidien et les aider a avancer dans la vie de tous les jours?

 

simplement nous avons juste a faire passer le message de bouche a oreille et je vous garantie que en parlez autour de soi est la facon la plus marquante d'interressés le gens a se remettent en questions sur l'idée qu'ils ce font du cannabis

 

la cannabis est une plante au meme titre que la rose que l' on offre alors partageons le et faisons plaisir a ceux qui en ont besoin

Le foin pour penser les chevaux le cannabis pour penser les Maux

 

sur ce a bientotbiggrin.gif

Modifié par JuJu-WeedMan
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

bonjour ,

 

M ais si quelqu'un peut me fournir plus d'informations au sujet des demarches et actions a entreprendre je suis pret a m'investir pour cette cause.

 

il suffit de taper cannabis sociale club dans google et tu trouvera tout ce que tu cherche ...... ils ont même une page facebook ;)

 

cordialement .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
  • 1 mois après ...

@Coup-Choux.Fr - il faut modifier l'image du cannabis en France, je suis complètement d'accord. Mais pour ça il faut que les media en parle, il faut qu'ils écoutes le camps des anti-prohibitionniste .

 

Oui pour contrer les fausses-vérités de la TV, il faudrait une interview d'un flic qui avoue que la guerre à la marijuana est une erreur. L'idéal ce serait un flic qui était dans la BAC ou les Stups, il doit bien y'en avoir un qui a des regret et envie d'être sincère devant une camera, malgré la pression ambiante.

 

Au canada, StopTheViolence Brittish Columbia incite les maires à réclamer un moratoire sur la prohibition du cannabis.

Voici le témoignage d'un ancien flic anti-drogue. C'est en anglais mais c'est très compréhensible.

je vais faire une voix off en français pour cette vidéo. L'idéal serait de trouver un flic français et de faire un reportage aussi bien que le canadien. Quelques minutes suffiraient pour être efficace.

 

On peut partir sur d'autres projet vidéos, il y'a plein de façon de montrer qu'un encadrement légal, ou au moins une tolérance des CSC, serait un gain en matière de santé et sécurité publique.

 

Ceci grâce à plusieurs point :

- Contrôle des teneur THC. On a pas tout le temps le choix d'acheter soit de l'herbe à 10% soit une à 25%, alors que c'est un paramètre hyper important concernant la prise de risque. La puissance du type d'Herbe influence sur l'état dans lequel se met l'usager lors d'une prise de cannabis - fumée, en tisane ou vaporisée.

- Abonnement au CSC seulement pour les usagers qui ne fument pas avant de conduire. Mais pour celà il faudra réclamer un test salivaire plus élaboré : il est intolérable d'être controlé positif 3 semaines après avoir fumé un joint. Le maximum qu'un test quelconque devrait pouvoir détecter serait 4-5h. Ici, on sait tous que c'est relativement rare d'être défoncé 6 heure après un joint, sauf cas exceptionnel comme joint trop chargé, nuit blanche, ou pour quelqu'un qui ne fume pas souvent.

- Aide psychologique plus facile à mettre en place pour les personne "trop" dépendantes. Dépister les conduites à risques est plus facile dans un contexte légal que dans une vente à la sauvette. Les CSC seront en contact avec des structures d'aide psychologique qui serviront quand l'usager en éprouvera le besoin. On ne peut pas envoyer un patient de force chez le docteur dès qu'on remarque qu'il a une maladie!

- Facilité de mettre en place des études plus fiables que dans la plupart des circonstances actuelles. Lorsqu'un usager n'a pas à se cacher pour s'approvisionner, il sait ce qu'il achète et il peut faire un retour d'expérience (RETEX) analysable. Il sera possible de tester les capacités de réflexes, ou encore sur des exercices mathémathiques ou bien créatifs en fonction de la variété de cannabis consommée. Ces ateliers seront mis en place dans des fumoirs, probablement clandestins les premiers temps. En quelques mois, les résultats précis à un protocole fixé au préalable permettront d'évaluer précisément les risques de santé publique pris par les consommateurs, de manière bien plus efficace que de nombreuses expériences en 40ans de prohibition.

- Taxation éventuelle sur les ventes de cannabis des CSC, mais minimes : dépenser moins que sur le marché noir pour les inscrits au CSC incitera les usagers dont la consommation est problématique à se faire éventuellement aider en s'approvisionnant par un réseau officiel. Nous savons maintenant qu'il est impossible d'empêcher les gens de fumer. Plutôt que de sanctionner l'usage d'une manière disproportionnée, il faudrait se concentrer sur les risques sur la route et les déscolarisations.

- Les CSC en outre, pourraient servir avec l'autorisation des parents, à aider des jeunes en difficulté scolaire. Une personne peut se débarasser ou attenuer son vice lorsqu'elle l'accepte. Si c'est tabou, réprimé, et rejetté, alors un jeune déstabilisé se replira d'autant plus dans ce vice. Il s'agira là d'aider les jeunes cannabinophiles à se passionner au moins à une partie du programme scolaire à travers les loisirs : on sait que le SLAM, l'écriture pour la musique peuvent donner envie d'étudier le Français, que la musique électronique nécessite des bases en mathématiques, etc... Tout ce potentiel ne doit pas être gaspillé par la répression au nom d'une morale ou d'un idéal de société qui engendre une exclusion, et une consommation à huit-clos, taboue, censurée.

 

La loi interdisant de montrer "sous un jour favorable la consommation de cannabis" a engendré un contexte avec peu de repères, notamment à cause des reportages exagérant les risques liés au cannabis. L'information officielle est donc décrédibilisée aux yeux des jeunes expérimentateurs. Et ça peut être un risque qu'ils sous-estiment les risques, vu l'hypocrisie du gouvernement qui semble vouloir condamner plusieurs centaines de milliers de cultivateurs à plusieurs dizaines d'années de prison.

 

Il est clair que les médias servent généralement une politique de tout-sécuritaire. Mais que peut-on y faire, pendant que la police demande toujours plus de moyens et de mesures prises pour "décourager" les traffiquants? Si on ne se concerte pas pour diffuser notre vérité, tout va s'empirer car beaucoup de de gens garderont des croyances biaisée, comme rachida dati.

 

 

Fumer du cannabis modifie les perceptions sensorielle, ce n'est qu'en les analysant avec précision qu'on pourra en déduire des conclusions valables. Entre une Sativa forte ou une Indica forte, laquelle est moins défavorable à l'attention lorsque l'on suit un cours assis pendant 2h? et laquelle l'est moins aux réflexes pour conduire ? Pourquoi est-ce que quand j'avais fumé, à 23 ans, j'étais le meilleur de la classe en maths, à propos de fonction affines F(x) = ax+b? Etait-ce l'effet dopant de la marijuana poussée en intérieur par mes soins ou bien mon intérêt pour Fruityloops qui m'a obligé à maitriser F(x) = ax+b pour faire des effets sur la musique en tournant des boutons du clavier MIDI? Pourquoi à 3h du matin, je suis encore capable de trouver l'équation qui me convient même après avoir fumé 5 pétards - ok, certainement un peu plus lentement - alors que si j'étais bourré, je n'y arriverais pas du tout...? alors que certains sportifs s'en sont servit comme dopant, dans quelle mesure le cannabis peut-il être un stimulant ou un relaxant?

 

La plupart des émissions télé ne posent jamais ce genre de question. C'est à nous de faire circuler une information réelle et réaliste qui représentera la vérité au milieu du flots d'informations-spectacles.

 

Des journalistes conservateurs organisent des débats avec des politiciens loins des réalités, qui ne connaissent pas vraiment les millions de gens du milieu de la fumette. Ces débats sont illustrés d'expériences réalisées par des scientifiques qui pour la plupart n'ont jamais expérimenté la fumette régulière. Les conclusions tirées sont parfois peu fiables, et étrangement similaires aux croyances effroyables issues d'expériences sur des rats.

 

il nous reste à créer cette riposte face au mensonge institutionnalisé...

 

Si quelqu'un maitrise Pinnacle Studio et ou le montage vidéo/la camera et a du temps disponible, contactez moi.

 

EDIT: bien sûr toute vidéo montrant des personnes fumer sera interdite au moins de 18 ans.

Modifié par jack harton
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Le fait de FUMER le cannabis est directement mal perçue (tabac + cannabis) , il faut vaporiser ou manger le cannabis.

 

C'est un fait que les C.S.C devraient avancer !

 

La France n'est pas l'Espagne ... malheureusement.

 

Il nous faudra de longs débats publiques , politiques sur son utilité dans la société (thérapeutique et récréatif).

 

Ensuite quelques années + tard peut-être que le coté thérapeutique sera autorisé et commercialisé (cachet sans THC , récemment un labo a réussi à retirer le thc du reste).

 

Encore plusieurs années après , peut-être que le récréatif passera ?

 

En tout cas un conseil : n'espérez rien de ce qui se passe ailleurs , en France on a pas de pétrole mais on a des idées (pas toujours bienveillantes) ...

 

https://www.youtube.com/watch?v=51MeqmYJmog

 

:lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

 

 

 

:yepah:

Modifié par Lamictal
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
  • 3 semaines après ...
  • 2 semaines après ...
  • 1 mois après ...