Condensa

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Messages posté(e)s par Condensa

  1. Salut Polpot,

     

    Je ne suis intervenu que parceque j'ai reçu 2 notifications cette semainesur ce type de sujet.

     

    Je ne suis pas du genre à intervenir trop souvent.

     

    Tu devrais trouver de quoi te documenté en cherchant sous mon pseudo actuel ou l'ancien Exo-plank#0.

     

    Bonnes recherches.

     

    A+

  2. Bonsoir à tous,

     

    Bon, je ne vais pas me lancer dans une grande tirade trop scientifique étant donné que j'ai traité de ce problème plusieurs fois.

     

    En gros, le FarRed "horticole" (entre 718nm et 728nm en fonction des plantes, ici 724nm) à énormément d'action chez les plantes qui sont différentes en fonction  de son intensité perçu et de son rapport avec d'autre longueures d'ondes.

     

    Dans le cas de notre plante, il agira toujours en tant que spectre signal, c'est à dire perçu par la plante à de très faible intensité, de manière très rapide et pouvant transmettre un signal longue distance dans la plante (c'est un peu "une hormone lumineuse" pour faire le parralèle sur leurs modalités de fonction.

     

    Seul et à forte intensité, il induire un SAS (syndrome d'évitement de l'ombre) et donc un fort tigeage.

     

    Seul et à faible intensité, il induire un passage et floraison accéléré, une synchronisitée de maturation de fleur et une maturation accéléré.

     

    Mais voilà, dans un spectre,  le FarRed n'est jamais seul.

     

    Il est par exemple opposable de 4/1 par le rouge 660 et de 2/1 par le bleu lié au cryptochrome. Il est en revanche amplifié par le vert et le jaune. Son action peut également etre modulé par des rapport spécifique bleu 430/460, rouge 630/660 et également par le ratio complet bleu/rouge.

     

    En gros, c'est un énorme bordel à gérer pour obtenir ce que l'on veut et un néophyte à toute les chances de mal utiliser du FarRed.

     

    Néanmoins, bien utilisé, le farRed permet plusieurs choses bien intéressantes que les industriels ont bien compris en terme de production de fruits et légumes hors sol. En adaptant le spectre comme il faut grâce à la technologie LED, on peut très nettement accéléré la floraison comparéau milieu naturel.

     

    Après le stretch, la plante devient hypersensible au FR (à cause de la chute du DLI journalié et de la chute de la somme des degrés jour). Avec le bon ajout de FR lié à son spectre, on peut donc induire un début de floraison plus rapide, "endormir" la plante plus rapidement, la forcer à diriger son énergie à produire de la fleur dans le cadre de son métabolisme primaire et secondaire et dans un second temps synchroniser la maturation et également l'accélérer.

     

    Je n'ai pas d'action chez Isled mais j'utilise ces éclairages dans le cadre de mon travail de part la forte modularité de ce type d'éclairage et pour le sur mesure.

     

    Et comme demandé en fonction  du spectre dont nous avons besoin, aucun doute que ce type d'éclairage réduit fortement le temps de floraison moyen de différentes plantes en plus d'autre action non cité.

     

    D'ailleurs, ce n'est pas pour rien que des labo s'équipent avec du isled car l'aspect scientifique est tout de même bien maîtrisé.

     

    Bon OK, je suis aussi équipé en isled dans mon setup privé.

     

    Peut être est-ce la même chez des concurents, je ne sais pas car il y en a trop. Néanmoins, pour avoir testé plein d'éclairage, je n'ai pas pu obtenir ce que je souhaitais d'un point de vue pro ou privé.

     

    @greensurfer

     

    Euh, par contre pour l'effet Emerson, je ne suis pas franchement d'accord.

     

    Le FR n'intervient pas dans cet effet qui est lié au antennes collectrices des photosynthèse I et II. Le FR est lié au cytochrome P660.

     

    De plus l'effet Emerson est un effet de laboratoire qui a mis en évidence l'existence de deux photosystemes fonctionnant en synergie et uniquement cela. Dans la nature l'effet Emerson se produit en contonie comme sous la plupart des éclairages artificielles.

     

    Tout ce qui est booster d'effet Emerson est de la fumisterie à grand renfort d'effet commerciale.

     

    Pour effectivement booster l'effet Emerson,  il faut augmenter la densitée des photosystèmes dans les thylakoîdes. On est très loin d'y arriver en mixant 3 ou 4 leds. On le fait généralement par OGM, PGM, fusion de protoplaste et autres, et en jouant sur le spectre energetique.

     

    Sur ce bonne nuit.

     

    😁

     

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  3. [quote]

    sinon je vous laisse a vos élucubrations autour des couleurs et de leurs interactions, a l’évidence vous être loin, mais très très loin du compte :siff:

    on peu trouver ici sur cw, les propos a ce sujet de l'ami @Condensa, (probablement le sachant le plus avancer de notre communauté ici), vous aller vous rendre compte a quel point vos êtes gravent dans les choux ...[\quote]

     

     

    :siff:

  4. Salut tous le monde,

     

    Je mets en lien ici le texte sur les matériaux spectralement actif tiré de la page Facebook d'ISLED

     

    J'utilise des éclairages de cette marque aussi bien au niveau professionnel que particulier et je dois dire que j'en suis très satisfait.

     

    Les caches fluorescents sont une innovation tirée d'une technologie préexistante, celle des cascades lumineuses, et déjà largement utilisé dans le milieu professionnel au niveau des tunnel de culture en phase claire. En, revanche l'action sur la phase sombre est bien une exclusivité de cette marque.

     

    Je sens que je vais revenir faire un petit tour par ici prochainement pour rentrer un peu plus dans les détails techniques de ces lampes.

     

    A+

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  5. Salut Beuh-Chat

     

    Citation

    peut elle être extrapolé au mâle ?... c'est a dire: Pure mâle , génétiquement mâle et phenotypiquement mâle => pouvant devenir hermaphrodite par épigénétisme ? donc que le Monsieur/madame dont on parle est un vrai monsieur qui a juste un poil stressé et que cela sera sans incidence pour sa descendance

     

    Non, seul les mâles sont génétiquement et phénotypiquement mâle et reste mâle, ils n'ont pas de gène femelle (Pas tout à fait vrai, mais c'est pour faire simple) => On ne peut pas reversser un vrai mâle. Par contre, il est assez dure de trouver de vrai mâle.

     

    Les femelles sont en revanche toutes des mâles qui possèdent en plus les gènes femelles. Ceux-ci sont majoritaires et bloquent l'expression des gènes mâles => On peut reversser n'importe qu'elle femelle, même une Pure femelle ou une féminisée. (Pas tout à fait vrai, mais c'est pour faire simple)

     

     

     

    Citation

    Sinon faut il comprendre que ce n'est pas mâle que nous avons la mais une femelle ou herma ou intersex... (désolé pas compris l intersex , chaque recherche dessus me renvoie au mouvement des droit civique LGBT and co

    :P ) 

     

    Dans ton cas c'est un intersexe, car tes pistils et les sacs pollinique sont à l'intérieur d'une même fleur. En gros, dans la même fleur, tu as les organes mâles et femelle.

     

    L'hermaphrodite c'est quand les fleurs mâles et femelles sont bien séparées dans des fleurs différentes. Tu as des fleur avec juste des pistils et des fleurs juste avec des sac polliniques.

     

     

     

    Citation

     


    Que va donner la descendance de ce mâle/femelle/herma/intersex croisé avec une femelle ?

    Des seeds utilisablent pour notre passion ou des graines bonnes à donner aux oiseaux? 
     

     

     

    D'après Mendel, tu va te retrouver avec 25% de femelles, 25% de mâles (pas de vrai mâle mais des femelles atrophié qui donneront des mâles), 50% d'un mélange intersexe et hermaphrodite.

     

    Les 25% femelles seront en plus portée sur l’hermaphrodisme en cas de stress.

     

    Normalement c'est individu intersexe sont éliminés de toutes sélection car mettent le gros bordel, on se retrouve avec un phénotype qui ne reflète pas le génotype.

     

     

    => Donc ici, graine a oiseaux ou graine pour pourrir des sessions, au choix

     

     

    A+

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  6. Bonjour,

     

    Citation

     


    Je pense qu'avec @ExO ce n'est pas gagné... 😅

    Tu as vu quand il s'est inscrit et la dernière connexion ?
     

     

     

    Il rode toujours le salaupiaud... 😁

     

    Je ne m'exprime pas beaucoup et je me connecte encore moins, mais j'ai toujours une oreille qui traine par ci par là... 😎

     

     

    Pour en revenir à la question, celle-ci est bien plus complexe qu'il n'y parait.

     

    Ce qu'il faut savoir en priorité est qu'un mâle est toujours et uniquement génétiquement et phénotypiquement mâle.

     

    Pour la femelle, sa commence à faire des nœuds au cerveau (et pourtant je vais faire simple 🤣), ouvrez le spoiler à vos risques et périls :

     

     

    On à donc les différents cas de figure :

     

    - Pure femelle, génétiquement femelle et phénotypiquement femelle => Pouvant devenir hermaphrodite par épigénétisme

     

    - Femelle, génétiquement femelle et phénotypiquement femelle => Pouvant devenir hermaphordite ou mâle par épigéntisme et par régulation hormonale

     

    - Hermaphrodite incompatible, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle avec une dominance marqué pour l'un des deux sexes phénotypiques.

     

    - Hermaphrodite incompatible asynchrone monoïque, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle sans dominance l'un des deux sexes mais avec une séparation temporelle de la sexuation (fleur mâle et femelle dans les mêmes sommité floraux mais non mature en même temps)

     

    - Hermaphrodite incompatible aspécifique monoïque, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle sans dominance de l'un des deux sexes mais avec une séparation spatiale de la sexuation (fleur mâle et femelle dans qui ne sont pas dans les mêmes sommité floraux et non mature en même temps)

     

    - Hermaphrodite incompatible synchrone dioïque, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle sans dominance de l'un des deux sexes mais avec une séparation spatiale de la sexuation (fleur mâle et femelle dans qui ne sont pas dans les mêmes sommité floraux et mature en même temps)

     

    - Hermaphrodite incompatible synchrone monoïque, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle sans dominance des sexes (fleur mâle et femelle dans les mêmes sommité floraux et mature en même temps)

     

    - Hermaphrodite incompatible synchrone monoïque, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle sans dominance des sexes mais avec une séparation spatiale de la sexuation (fleur mâle et femelle dans qui ne sont pas dans les mêmes sommité floraux et mature en même temps)

     

    - Hermaphrodite incompatible synchrone aspécifique dioïque, génétiquement femelle et phénotypiquement mâle et femelle sans dominance des sexes mais avec une séparation spatiale de la sexuation (fleur mâle et femelle dans qui ne sont pas dans les mêmes sommité floraux et mature en même temps)

     

    - Intersexe, fleur présentant les deux organes sexuelle, sac pollinique et ensemble pistil+ovaire au sein de la même fleur. Le seul vrai hermaphrodisme compatible spécifique synchrone monoïque.

     

     

    Dans ton cas, tu es dans le cas d'un individu intersexe, les deux organes sexuels sont dans la même fleur, mature en même temps et compatible.

     

    Il n'est donc pas anormal que tu n'ai pas encore de pollen, celui-ci ne sera produit que lorsque les fleur femelle seront mâture.

     

    A+

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  7. Salut,

     

    Le nombre de µmole n'est qu'une indication sans valeur réel, tout comme le spectre PAR.

     

    Pour un exemple simple, imaginons une lampe qui émet entre 500 et 540 nm à 1000 µmolePAR.m-².s-1 et bien cette dernière sera bien moins efficace qu'une lampe qui émet 150 µmolePAR.m-².s-1 avec deux longueurs d'onde de 480 et 660 nm.

     

    Une lampe reproduisant le spectre solaire n'est également pas réellement adapté car beaucoup d'énergie est perdu et beaucoup de longueurs d'onde sont amené avec trop de puissance. Par rapport au spectre solaire dans la zone du PAR, une plante n’absorbera que 35% des photons de ce spectre.

     

    Le PUR est bien plus utile pour comparer l’efficacité d'une lampe que simplement le nombre de micro mole et un spectre de type solaire.

     

    Cordialement.

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  8. Plop,

     

    Il manque effectivement des informations mais je suis d'accord avec littlebigman.

     

    Ayant des lampes V4 et V5, je confirme que les plantes sont sous un spectre très performant avec une forte puissance. Cela nécessite de revoir un peu son schéma de culture pour en prendre compte.

     

    Personnellement, j'arrose plus et je nourris plus, j'adapte en fonction de l'état de la plante. Une fois ces paramètres réglé, sa tourne comme une horloge.

     

    A+

  9. Bonjour,

     

    Pour moi on est plus dans le cas d'une fasciation lié à l'environnement car ne touchant qu'une branche et non le plan entier.

     

    Plein de facteur peuvent en être responsable mais deux sont majoritaire, le stress mécaniques (coupe, pinçage etc...) et le stress biotique de type piqure d'insecte. Il est également possible d'avoir eu une aberration de mitose au niveau de cellules méristématiques qui ont changé l'axe de symétrie et induit cette fasciation. Enfin, de manière beaucoup plus rare, un bouleversement hormonale lié à la balance ABA/GA peut conduire à ce phénomène.

     

    Pour les gènes homéotiques, c'est possible, mais sa me semble peu probable, car c'est généralement tout le réseau de gène qui se trouve impacté et d'autre aberration aurait du être présent. Sa ressemble plus à un problème ponctuelle au niveau de la mitose d'une cellule du méristème.

     

    Cordialement.

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  10. @Pucca

     

    Cet alcool peut en effet convenir car les 4% restant sont bien de l'eau et quelques traces d'autres éléments non nocif.

     

    Par contre, tes 4% d'eau vont extraire des choses non désirés comme dit plus haut, mais au moins il n'y aura pas de dénaturant.

     

    L'alcool absolu c'est de l'éthanol pure à 99.99% et exempt de toutes autres impuretés, il y à moins de 0.01% d'eau.

     

    Exemple : https://www.sigmaaldrich.com/catalog/product/mm/34852m?lang=fr&region=FR

     

    A+

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  11. @Phivap

     

    En faite, en France, l'alcool 96% ou autre ne contient pas 4% d'eau mais un mélange eau/dénaturant rendant le produit impropre à la consommation.

     

    Parmi les dénaturants les plus courant, on trouve le camphre ou le méthanol.

     

    Utiliser cet alcool pour faire de l'huile donne un produit impropre à la consommation, d'une par à cause de la présence du dénaturant dans ton huile mais également à cause de l'eau présente dans ton alcool qui va extraire beaucoup de chose dont les sels (nitré, phosphatique etc...) et la chlorophylle.

     

    Après chacun fait ce qu'il veut, mais d'un point de vue sanitaire aucun alcool à par l'absolu n'est utilisable pour obtenir un produit propre et consommable.

     

    A+

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  12. Bonjour,

     

    Alors pour l'effet Emerson, les ondes FarRed ne servent à rien du tout.

     

    En effet, cet effet est généré par l'utilisation simultané de deux longueurs d'onde précise, 680 et 700nm.

     

    Cet effet peut se résumer au fait qu'en présence de 680nm seul ou de 700nm seul, la plante produit la même quantité d'O2 alors qu'en présence de 680 et 700nm la production d'O2 est supérieur à la somme d'O2 produit par le 680nm et le 700nm seul. Cela indique qu'il y a deux photosystèmes différents et que ces deux systèmes peuvent fonctionner seul  ou en synergie, et que leur fonction synergique est nettement plus efficace.

     

    En revanche, pour que l'effet Emerson soit observé, il ne faut pas dépasser une certaine quantitée de photon 680 et 700nm et surtout ne pas avoir de radiations bleu.

     

    En d'autres termes, l'effet Emerson dans un spectre complet est un simple buz commerciale, outre certains spectres très bien équilibré et mis au point en laboratoire spécifiquement pour observer ce phénomène et étudier les photosystèmes.

     

    A+

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  13. Bonjour,

     

    Alors l'effet Emerson lorsque tu utilises un spectre complet n'existe plus, c'est du pur discours commerciale. Il est beaucoup plus efficace de jouer sur les pigments accessoire de la photosynthèse ou de provoquer un effet casacade de photon par absorption ré-emission.

     

    Pour ce qui est des tests scientifiques, on trouve de nombreuses publications sur l'étude des spectres et de certaines radiations spécifiques, que se soit les UV, le FarRed, les radiations vertes etc sur un grand nombre de plantes...

     

    Sur le cannabis, on retrouve plutôt ça dans la filière professionnel avec notamment en France le CETIOM ou Terra Inovia qui ont financée pas mal d'étude sur la mise au point de spectre adapté. A l'étranger, pas mal de grand groupe finance également ce genre d'étude dans des buts purement commercial.

     

    De ce que j'ai pu en voir dans certains labo, je sais qu'un fabricant Français fait ses tests en laboratoire et travail particulièrement bien ses spectres. En effet, essayer de mettre des rubans autour de COBs c'est bien jolie, mais pour avoir un effet réel et éviter les effets délétères, encore faut-il savoir quelle puissance et de quelles longueurs d'onde utiliser.

     

    L'exemple du FarRed est parfait pour démontrer cela, car trop de FR et on se retrouve en SAS (Shade Avoidance Syndrome), trop peu de FarRed et on se retrouve en inhibition de l'absorption des radiations bleu, un mauvais rapport Rouge/FR et l'action des farRed ne sert à rien, un mauvais rapport Bleu/FR et on bloque le phytochrome P680, un mauvais rapport bleu/Rouge/FR et on perd l’effet des FR tout en produisant un échauffement des feuilles etc...

     

    Ajouter des longueurs d'ondes sans études au préalable, c'est le meilleur moyen de gâcher des watt, de ralentir le développement des plantes, et de baisser son rendement.

     

    A+

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  14. Salut,

     

    @Indi-Punky

     

    Alors non, la gomme est toujours d'une compositions très semblable.

     

    En revanche, ce que tu décris n'est pas de la gomme mais ressemble fortement à un concentré de sève élaboré, d’où sa couleurs transparente et non ambrée.

     

    Si c'est bien cela, aucun risque, c'est un concentré de divers sucres (Glucose, Fructose, Saccharose, etc...) et de nutriments translocables.

     

    Je suppose que les "Inductors" (différent du produit Inductor qui induit une floraison forcé?) sont des produits éliciteurs?

     

    Si oui, cela explique l'exsudation de sève lors du séchage car ces produits modifient la structure interne des vaisseaux du phloème ainsi que les flux de sève.

     

    A+

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  15. Bonjour,

     

    @croquemou

     

    Plop, 



    tu as ce que l'on appel une polyploïdie ;) .

     

    Tu as  plus d'infos ici  sur le blog de sensi .

     

    Non, ici tu as un exemple de fasciation, pas de polyploïdie.

     

    La polyploïdie est très difficile à desceller par l'apparence de la plante, il faut une analyse moléculaire pour pouvoir l'affirmer (doublement ou plus du stock de chromosome).

     

    Ps : Attention, il y a pas mal d'erreur sur le blog de sensi. les termes utilisés ne sont pas les bon.

     

    A+

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  16. Bonsoir,

     

    @animalxxx

     

    Citation

    Par curiosité, c'est quel 'niveau' tes rappels? (me suis arrêté à l'

    enculage comptage de droso en Term S ^^ ) 

     

    Je me suis pas trop posé la question en effet ^^

     

    Bon, je dirais 2 ou 3 année de Licence de biologie végétale à la louche.

     

    Font chier ces étudiants, je ne m'embarrasse plus trop de savoir en quelle année ils sont huhu...

     

    @optweed

     

    Citation

    Par contre quelques truc que je ne saisit pas , comment une codominance serait elle possible avec un récessif dedans , ne s'agirait il pas plutot d'une dominance incomplète ou en supposant que les deux soit récessif d' un dihybride ?

     

    C'est parce que tu raisonnes sur un seul gène et non sur des gènes liés ou réseau de gène.

     

    Dans le cas d'un seul gène tu ne peut pas avoir de codominance si tu as un allèle récessif.

     

    Par contre dans le cas d'un réseau de gène, un gène peut ne pas coder pour un caractère  mais réguler l'expression d'un autre gène.

     

    Si je reprend mon exemple précédant :

     

    Aa bB CC, B complémente l'effet récessif de a, le phénotype est donc AA CC, B est dominant sur b car ici b ne complémente rien du tout car pas de c

     

    AA bB Cc, b complémente l'effet récessif de c, le phénotype est AA CC, b est dominant sur B car ici B ne complémente rien du tout car pas de a

     

    Aa bB Cc, B complémente A, b complémente C, le phénotype est AA CC, B et b sont codominant car complémente chacun un gène différent

     

    Trois combinaison différente, un seul phénotype, et un gène (B) qui à une dominance et fonction du gène gène complémenté.

     

    On peut aller beaucoup plus loin car on peut faire rentrer le potentiel d'induction génique. Ainsi B et b peuvent aussi s’influencer mutuellement tout en complémentant les gène a et c.

     

    Ainsi par exemple, un génotype Aa BB CC aura une complémentation de B sur "a" de l'ordre de 75% alors qu'un génotype Aa Bb CC aura une complémentation de B sur "a" de 100% car "b" influencera l'expression de B pour qu'il complémente plus fortement "a".

     

    Et on peut encore pas mal complexifier la chose dans le cadre non plus de 3 gènes liés comme ici, mais de le cadre de dizaines de gènes liés ou voir de réseau de gène.

     

     

    Citation

    Une mutation c'est forcement aux niveau nucléaire?

     , les cas d'évolution des iles Darwin par exemple ne serait pas des mutations ?

     

    Non, une mutation peut aussi être mitochondriale (animal et plante) ou chloroplastique (plante), elle peut aussi être d'ordre épigénétique.

     

    Dans le cas des îles Darwin, il y accumulation au fil du temps de mutations bénéfiques qui sont ainsi stabilisés dans l’espèce par filiation directe, mais il y à aussi des actions épigénétiques irréversibles liés au climat de ces îles et le fait qu'elle soit géographiquement isolés, et il y a également les croisements interspécifiques qui génèrent de la diversité spécifique sans mutation.

     

     

    Citation

    Dans mon expérience perso, de ce que j'appelle une "mutation" , à chaque fois que je fout deux individu ensemble il me produisent que des individu semblable , c'est bien qu'il sont homozygote ?

     

    Uniquement si les caractères que tu as identifiés comme étant intéressant sont sous le contrôle d'un seul gène (ce qui est plutôt rare).

     

    Tu peux aussi tout simplement être dans le cas de gènes présent en plusieurs copies (certains sont dupliqué 30 ou 50 fois) et il suffit qu'une seule copie soit transmise pour que tes individu soient semblable.

     

    Si tu veux être sur de l'homozygotie du gène qui t'intéresse, il te faut faire des croisements sur plusieurs génération contenant chacun un grand nombre d'individu et n'observer aucun individu différents. Ou utilisé de la biologie moléculaire pour aller attraper ton gène, le séquencer et vérifier par QPCR absolue le nombre de copie de gène.

     

     

    Citation

    si je prend un de ces individu et que je le recroise avec la souche originel , en f1 je n'ai que des semblables à la souche originel

     

    Normal tu es en F1, le principe de la F1 est d'être homogène que les individu soit ou non homozygote, c'est pour cela que les semenciers proffessionnels ne vendent que des F1 et n'assure pas la stabilité des souches en F2.

     

    Citation

    en F2 j'ai des des "mutants" et des semblables à la souche originel

     

    Ton individu parent de base et de F1 n'est donc pas homozygote.

     

    Citation

    C'est bien  que c'est récessif ?

     

    Récessif ou réguler par un autre gène ou effet délétère par dosage compensatoire, ou complémenté par un réseau de gène, ou ton gène est éteint par un mécanisme épigénétique.

     

    Sans plus de recherche impossible de répondre de manière sur.

     

    A+

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  17. Bonsoir,

     

    Alors en faite @FranckyVincent et @optweed vous avez tout les deux en partie raison.

     

    Je vais commencer par quelques rappels.

     

    Tout d'abord, il ne faut pas oublier qu'ici on parle de plante, bien que les lois de la génétique soient les mêmes entre les plantes et les animaux, la plasticité génétique végétale est bien plus grande et les possibilités nettement supérieuesr à la plasticité animal.

     

    Il ne faut pas oublier non plus que le génome des plantes est dans la grande majorité bien plus grand que celui des animaux, que celui-ci est presque toujours dupliqué en plusieurs exemplaires et que le génome total est un ensemble de trois génome différents nucléaire, mitochondriale et plastidiale.

     

    Il est bon aussi de rappeler que les plantes possèdent une forte hétéroplasmie mitochondriale et chloroplastique. Or, lors d'un croisement, dans la majorité des cas, les plastes et les mitochondries proviennent de la mère cependant l'hétéroplasmie de la mère ne sera pas forcément hétéroplasmie de la descendance. Dans la très grande majorité des cas il y a autant d'hétéroplasmie différente que de graine.

     

    Il faut rajouter à cela les processus de recombinaison de la méiose comme les crossing over.

     

    Enfin, il est également bon de rappeler que les traits dépendant d'un gène sont un cas exceptionnel chez les plantes, en effet la normes sont les caractères polygéniques ou sous l'influence de réseau de gène. Inutile dans ce cas d'espérer retrouver les lois de Mendel pour des caractères soumis à l'influence de réseau de gène ou de la polymorphie génétique, comme par exemple le profil terpénique.

     

     

    Pour ce qui est des mutations, du point de vue du vivant et non de l'homme, chez les plantes les mutations néfastes ne sont vraiment pas courante, la très grande majorité sont silencieuse. En revanche, il est bien vrai que la fécondation engendre son lot de mutation par mésappariement lors des échangent de fragments de chromosomes, mais la proportion de ces mutation est très faible.

     

    La majorité de la variabilité passe par l'hétéroplasmie et le remaniement de séquence par transposon. Cependant, on sait aujourd'hui que l'épigénétique induite par l'environnement et transmis à la descendance influence très fortement la variabilité génétique par l'activation de transposase chez l'embryon.

     

     

    Sans vouloir être méchant, les schéma de sélection que l'on peut trouver sur le net sont soit trop ancien soit trop amateur pour espérer faire quelques chose de correct en terme de stabilité à long terme. Je ne vais pas me faire que des amis, mais nos chères breedeur sont clairement des amateurs en termes de sélection et de stabilisation par rapport aux semenciers professionnelles.

     

    Quand je disais que c'était récessif , c'est que les petits mutant sont monozygote trés souvent  , sur une expression , un trait de caractère , qu'on aurait remarqué , si tu les recroise ensemble cette expression ressortira à chaque fois , si tu les croise avec  une qui a pas cette expression , faudra attendre d'être en F2 pour voir  ressortir ce trait ou pas

    :p .

     

    Alors non, il est très rare qu'un mutant soit homozygote si on effectue pas une sélction pour le rendre homozygote, c'est d'ailleurs pour cela que dans le domaine de la recherche on fait des banques d'homozygote sur plein de gènes différents afin de pouvoir réaliser des croisements lorsque l'on isole un nouveau mutant. Si tu regarde les travaux sur arabidopsis ce n'est pas les exemples qui manques.

     

    Et encre une fois, les mutant n'est que très rarement récessif donc dans le cas ou tu recroises différents individus, tu as de grande chance soit de perdre ton caractère si il est récéssif ou silencieux, soit de le modifier par co-dominance, ou encore d'obtenir l’inverse par dosage compensatoire.

     

    Dans ce cas ce n'est pas la F2 qui te permettra de ressortir ton caractère mais le croisement F1*P puis F1'*F1' ou un pseudo cubbing.

     

     

    mais c'est en sélectionnant ou en croisant et sélectionnant  , que tu provoques la mutation , l

    e fait d'isoler un trait , et de le sélectionner poussera ce dernier à muter plus facilement. Une mutation peut être discrète. Tu peux la considérer à partir du moment ou  un trait de caractère  qui n'était pas dans la lignée apparait ,
    Et des mutations il y en a eu , quand je vois la zeb que je fumais quand j'étais gosse et quand j'ai vue pour la premiere fois  de la skunk  , bhas il y a quand même quelques truc qui on muté, alors de nos jours ....

     

    Alors non, ce n'est pas la sélection ou le croisement qui ont induit des mutations, c'est l'environnement pour la grande majorité mais surtout ici il n'est pas question de mutation mais de variabilité génétique heteroplasmique.

     

    La preuve peut en être fait assez facilement lorsque l'on étudie les génomes de C. sativa publié que se soit la L.A confidential, la purpule Kush, la Finola ou les variétés légal au niveau nucléaire, mitochondriale et plastidiale. On s'aperçoit très vites que ce qui diffèrent beaucoup c'est l'hétéroplasmie et non le génome nucléaire qui reste globalement stable avec assez peu de mutation codante non silencieuse.

     

    Tu peux t'amuser à regarder ici : http://genome.ccbr.utoronto.ca/cgi-bin/hgGateway

     

    ou : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/assembly/?term=Cannabis sativa

     

    Pour moi ( je me trompe peut être ) , un caractère issue d'une sélection ou croisement/sélection c'est une mutation

    ;)

     

    Non, ce caractère est l'expression de la combinaison génétique globale soumis à la régulation de l'environnement ce n'est absolument pas une mutation.

     

    Si mutation associé à un caractère il y a, alors et seulement alors on parlera d'un nouveau caractère, dans tout les autres cas on parlera d'introgression.

     

     

     

     

     

    Non, tu ne peux pas faire 'l'accident" par croisement ou sélection. Pour cela, il te faut un agent mutagène.

     

    En faite si, les plantes sont même championne dans ce domaine.

     

    Le taux de recombinaison nucléaire est très élevé chez les plantes, et dans une très faible minorité de cas la recombinaison chromosomique induit des mutations (très souvent des doublet de thymidine), mais celles-ci passent inaperçu due aux nombre de duplication de gène qui vont lors prendre le relais et masqué le caractère induit par la mutation.

     

    Mais en même temps, tu as aussi raison, en condition environnementale, les cellules sexuelles sont au niveau des sommité soumissent aux UV qui est un agent mutagène. Donc c'est vrai qu'un agent mutagène naturel intervient.

     

     

    @elvirinix

     



    si je te suis franki , la moi je fait de la reproduction sexuée,mais j'utilise un peux aussi  la ,Méiose

    vus que c est un hybride ,j ai envoyer des gènes autres  de sa plante origines 

     

    Yop poto, en faite, tu utilise obligatoirement les deux étant donné que la méiose c'est ce qui te permet d'obtenir des cellules sexuelles. Donc si tu fai de la reproduction sexué, il ya forcément eux de la méiose avant.

     

    Bon après, je me trompe peut être, tu fais peut être du croisement somatique ou de l'haplo-diploidisation mais je crois être le seul assez barjot pour avoir fait ça chez moi pour le moment ^^

     

     

     

    @FranckyVincent

     

    Un croisement c'est lorsque 2 individus s'associent pour en former un nouveau alors que pour une mutation la modification concerne et s'opère au sein d'un seul individu.

     

    Bon, je fais mon chieur vite fais 30 secondes, juste pour te donner un contre exemple, le Colza.

     

    Il aura fallu une mutation chez la navette, une autre chez le choux, ainsi qu'un accident de méiose lors d'un croisement aspécifique entre ces deux espèces pour donner naissance au colza.

     

    Le colza se reproduit avec lui même, mais ni avec le choux, ni avec la navette.

     

    C'est un cas très rare, mais cela peu arriver.

     

     

    @optweed

     


    , C'est ce que t'arrive pas à comprendre , tu bloques sur une seule possibilité de shema . il y a  des éleveur de serpent qui provoquent leur mutation par croisement , je dit ça je dit rien , mais il savent que en croisant deux pheno , tu as un certain nombre de chance non négligeable pour faire péter une mutation , elaphe emory x guttata = de trés grande chance d'avoir un serpent sans écailles. Des exemples comme ça, tu en as sur les poissons , les chiens, les drosophiles , les pois etc....

     

    Non, ces croisement n'induisent aucune mutation, il permettent juste l'expression d'une mutation pré-existante chez l'un ou les deux des parents mais à l'état récessif ou silencieux car létal en homozygotie.

     

    En revanche, par croisement, tu as l'expression de ce caractère car les mutation chez les deux parents sont différentes et pas forcément lié au même gènes (hybridation) tu obtiens donc une codominance qui permet l'expression de deux caractères différents sur les deux gènes mutés, toute la séléction s'opère ensuite sur le résultat voulu en éliminant des futur croisement les codominance non souhaité.

     

    On tombe exactement dans le cas de caractère soumis à l’expression de plusieurs gènes :

     

    Ici, on a :

     

    - aa léthal, cc léthal, bb silencieux,

    - Triple dominant nouveaux caractère interspécifique

    - A dominant sur a, C dominant sur c, B complémentaire de a et b complémentaire de c, B et b codominant mais action de régulation différente sur le réseau génique. (deux version alléliques)

     

    - Un parent aA bb CC phénotype normal, génétique lié à l'espèce (bb indisociable de aA)

    - Un parent AA BB Cc phénotype normal, génétique lié à l'espèce (BB indiscociable de Cc)

     

    On obtient des descendance possible hybride de première génération :

     

    AA bB CC phénotype  normal type 1

    AA bB Cc phénotype normal type 2

     

    aA bB CC  phénotype normal type 3

    aA bB Cc phénotype normal type 4

     

    Si on croise ensuite ces descendant hybride, les résultats vont varier en fonction du parent choisi malgré les phénotypes normaux :

     

    Je ne vais pas tous les faire, seulement un cas intéressant  d’hybride de deuxième génération avec nouveaux caractère par perte de complémentarité:

     

    Type 1 * Type 4

     

    AA BB CC nouveau caractère, perte total de complémentarité par expression dominante de B

     

    Les autres permettent l'obtention d'hybride de deuxième génération au phénotype normal avec modulation de la complémentarité.

     

    J'ai un peu la flemme de tout écrire, mais si sa intéresse vraiment j'irai chercher les cours que j'ai écris pour mettre ça en ligne, mais le cas intéressant et illustrant l'idée est celui présenté.

     

    En espérant que sa permette d'éclaircir un peu la situation.

     

    A+ les poto.

     

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  18. Bonsoir @Pil0u,

     

    Citation

    Donc  si je résume ton terme

    " dhaplo-diploïdisation afin d'avoir des full homozygotes'" dit plus de traits homozygotes donc plus de traits ressemblants au clone utilisé NON ? 

     

    Il s'agit juste d'une technique de biologie moléculaire afin d'obtenir des lignées pures utilisées ensuite en temps que lignées parentales dans un croisement quel qu'il soit.

     

    Le but est de générer un grand nombre d'individu afin de retrouver les caractères d’intérêt présent chez le clone d'origine tout en gardant l'avantage de l'homozygotie.

     

    Il ne reste que les traits homozygotes tout en perdant les traits hétérozygotes, enfin du moins pour ce qui est de la ligné nucléaire car pour les lignées plastidiales et mitochondriales c'et plus compliqué mais d'autres techniques peuvent être envisagées même si moins courant. On préfère en générale avoir une forte hétéroplasmie avec une homozygotie nucléaire.

     

    [Mode simple] => Il est possible par haplo-diplo d'avoir un individu homozygote très proche du clone utilisé.

     

     

    Citation

    Alors , pour avoir fumé plusieurs sélecta sur ces fameuses souches ( toutes FEM ) d'ailleurs , rien ne ressemble de près au clone d'origine . 

     

    En faite, pour le réaliser et obtenir des résultats satisfaisant sans passer des plombes à faire une sélections sur les semences obtenues, ont utilisent des marqueurs moléculaires (QTL ou autres) qui permettent de suivre les réseaux de gènes d’intérêts au sein des croisements. Du coup, il y a juste besoin de prélevé un petit morceaux de la plantes filles pour savoir si on à le résultats désiré ou non.

     

    Dans ton cas, le plus simple me semblerait être une apomixie ou graine clone. Pour cela il faut féminiser la plante d’intérêt et la pollinisé directement, le pollen ayant pour but d'initier la mitose de l'embryon et non de le féconder.

     

    Par apomixie on obtiens des plantes très très proches de l'unique parent, c'est un clonage par graine.

     

     

    Citation

    J'aimerais bien avoir tes sources

    @Condensa car même si toi tu précises avoir trouvé ça " dans un domaine tout autre que le cannabis " moi beaucoup de " Pro" proche de  Madstrains , m'ont tenu le même discours en parlant de BX amélioré :rire: . 
     

     

    Alors je n'ai rien trouvé du tout, ces techniques ne sont pas de moi, je les utilise juste en routine dans le cadre de mon travail.

     

    D'ailleurs dans le domaine professionnel, on ne parle pas de S1 mais de PBI1 d’où ma question à Franky, bien que ce terme soit surtout utilisé au sein de l'équipe de sélection et lors des présentations mais que les graines vendues sont qualifiées de F1 pur.

     

    BX amélioré, j'imagine que c'est pour un backross féminisé? Disons que la technique fait un peu amateur comparé à la puissance des outils de biologie moléculaire actuel.

     

    A+

     

    Et bonne année également Pilou et les autres.

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