Le chanvre, isolant très "propre" intéresse le bâtiment
Par Invité, dans Ce que nous avons retenu...,

Déjà utilisé dans l'industrie papetière et les litières animales, le chanvre intéresse depuis quelques années les professionnels du bâtiment, séduits par ses propriétés isolantes et ses vertus écologiques.
 
 
 
 
Source: Immo du MidiLa culture du chanvre est autorisée en Europe, avec des contrôles stricts, à condition d'utiliser des variétés textiles contenant moins de 0,3 % de étrahydrocannabinol (THC), le principe stupéfiant de la plante. A Bar-sur-Aube, le premier producteur européen de chanvre, la Chanvrière de l'Aube, cultive 6.000 hectares et assure 75 % de la production française avec une philosophie : « valoriser toute la plante », comme l'explique Benoît Savourat, président de cette oopérative.
 
« La fibre de chanvre sert essentiellement à fabriquer des papiers fins et résistants, mais pendant longtemps la chènevotte (le bois de la plante, ndlr) était considérée comme un déchet », raconte-t-il. Aujourd'hui, la chènevotte est utilisée comme litière, notamment pour les chevaux, mais c'est la plante toute entière qui intéresse le bâtiment : sa fibre est ransformée en laine de chanvre et la chènevotte est mélangée à de la chaux pour former des bétons légers, deux solutions écologiques d'isolation.
 
Et tandis que la laine de chanvre peine encore à séduire le marché français, du fait de son coût (en Allemagne et en Autriche, les subventions gouvernementales lui ont permis de s'implanter avec succès), les bétons de chanvre suscitent plus d'intérêt et la France fait figure de précurseur dans ce domaine. A Châlons-en-Champagne, où s'est tenue une conférence sur la construction en chanvre, les architectes Christian Hackel et Emmanuelle Patte-Colardelle ont rénové une maison diocésaine du 19e siècle avec du chanvre.
 
« On recherchait un matériau qui permettait de réguler l'hydrothermie et de garder un confort d'isolation thermique », raconte Mme Patte-Colardelle. « On a testé le chanvre sur un chantier plus modeste, et on s'est rendu compte qu'il était très facile à utiliser, et qu'il apportait même une correction acoustique », explique-t-elle. Autre avantage non négligeable : ce produit, entièrement naturel, est recyclable et ne se dégrade pas dans le temps. Il répond ainsi parfaitement aux nouvelles exigences du bâtiment liées au label Haute Qualité Environnementale. L'utilisation de bétons à base de chanvre, bien qu'en progression constante, reste toutefois marginale en raison de son coût et du manque de connaissances concernant son utilisation. Toutefois, à long terme, c'est plus économique : « moins de chauffage à utiliser car l'isolation est meilleure et moins de maladies parce que l'air est moins sec », atteste Mme Patte-Colardelle. Il n'existe pas encore de charte détaillant les qualités et les propriétés du chanvre pour l'isolation, explique-t-elle, même si un texte est en cours de rédaction par les cultivateurs et transformateurs réunis dans l'association "Construire en Chanvre", en collaboration avec les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement.
 
A Troyes, un premier pas a été franchi : l'Institut universitaire des métiers du patrimoine (IUMP) propose, depuis le début de l'année, des formations professionnelles sur l'utilisation du chanvre dans le bâtiment.
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Intelligence : l'enquête qui dérange
Par Invité,
Une étude très sérieuse menée au Canada a établi un lien entre une consommation modérée de cannabis et l'amélioration des résultats obtenus aux tests de QI.
 
 
 
MSN magazineAu moment même où une étude de l'Inserm nous apprend que la France est le pays où la consommation de cannabis est la plus importante chez les jeunes, une autre enquête, canadienne celle-là, risque de produire un effet au moins aussi sensationnel. Un usage contrôlé et modéré du cannabis aurait pour vertu d'améliorer les capacités cognitives de l'être humain. Ce pavé dans la mare du politiquement correct a été lancé par des chercheurs en biologie de l'université de Carleton à Ottawa.
 
Le Canadian Medical Association Journal, que l'on ne peut pas suspecter d'être un fanzine à la gloire du pétard, n'a pas hésité à publier l'étude menée par les médecins. Ces derniers se sont penchés sur un groupe d'un millier d'individus âgés entre 18 et 35 ans, qu'ils ont réparti selon quatre catégories : les gros consommateurs (plus de quatre grammes par semaine), ceux qui consomment de façon modérée (moins de quatre grammes par semaine), ceux qui ont arrêté depuis au moins trois mois, et ceux qui n'ont jamais touché un joint. Les volontaires ont ensuite passé plusieurs tests de QI sur une période d'un an.
 
Pas d'effets négatifs à long terme sur le cerveau
 
 
Si l'étude a permis de constater une baisse significative des résultats obtenus par les gros consommateurs, soit en moyenne 4,1 points sur douze mois, elle a surtout montré que les consommateurs modérés amélioraient leur score au test de QI de 5,8 points sur la même période ! Ceux qui ont arrêté de fumer et ceux qui n'ont jamais commencé ont vu leurs résultats augmenter respectivement de 3,5 points et de 2,6 points. >p>L'étude de l'université de Carleton tendrait à prouver qu'une utilisation raisonnable du haschich ou de l'herbe ne nuit pas à l'organisme. Cela ne veut pas dire que fumer des joints rend intelligent ! En revanche, une absorption légère de THC, le principe actif du cannabis, ne détruirait pas les neurones comme certains le laissent entendre. Dans leur langage de médecin, les chercheurs canadiens ont conclu que "la marijuana n'exerce pas d'effets négatifs à long terme sur le cerveau et certaines de ses facultés comme la mémoire ou la concentration."
 
Parce qu'il demeure un produit interdit, le cannabis suscite souvent des débats passionnels entre "pro" et "anti". La confrontation des arguments des uns et des autres rend souvent toute discussion stérile. Les travaux menés à Ottawa ont comme principal intérêt de démontrer que si l'on parle du cannabis sur un plan strictement scientifique et médical, on obtient des résultats différents de ce que la morale, la politique et plus largement la vie en société tendraient à nous faire croire.
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[Bon Plan] Ventilateur à 39€ au lieu de 59€
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Le loto peut créer une dépendance semblable aux drogues
Par Invité,
Le loto, le plus populaire des jeux de hasards, peut entraîner une dépendance semblable à celle des drogues, selon une étude d'une université de Berlin, qui vient d'ouvrir pour les joueurs dépendants une ligne téléphonique gratuite.
 
 
 
Source : CIRC presse"Les joueurs de loto pathologiques remplissent tous les critères internationaux de la dépendance", a affirmé le docteur Sabine Gruesser-Sinopoli de l'Université de médecine de la Charité, qui a mené son étude sur 171 joueurs de loto allemands. Sur cet échantillon, près d'un joueur sur sept (15,2%) présentait les signes d'une dépendance.
 
Les joueurs pathologiques de l'étude validaient en moyenne cinq grilles par tirage, avec un maximum observé de 32 grilles. Certains parieurs allaient jusqu'à jouer tous les jours de la semaine, alors qu'il n'y a que deux tirages par semaine. Une mise maximum de 100 euros a été observée.
 
Plus de 85% des joueurs pathologiques étudiés s'endettaient à cause de leur passion du jeu, avec un endettement moyen de 430 euros, et un maximum de 4.000 euros.
 
Enfin, d'autres symptômes de la dépendance ont été observés: certains joueurs négligaient leurs activités professionnelles et sociales pour pouvoir jouer, perdaient leur contrôle, voire étaient pris de panique ou même d'hallucinations.
 
© AFP
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La stratégie en matière de lutte internationale contre les stupéfiants
Par Invité,
Swaziland
Les activités liées aux drogues au Swaziland concernent principalement la production, le conditionnement et l'acheminement de la marijuana. Cette culture est consommée localement et également exportée vers l'Afrique du Sud. Elle est également exportée vers l'Europe et les États-Unis, mais en petites quantités qui ne peuvent pas avoir un impact important.
 
 
Source: La nouvelle republiqueLa proximité de l'Afrique du Sud, l'absence de lois efficaces contre les stupéfiants, les ressources limitées des forces de l'ordre et une infrastructure économique relativement développée font du Swaziland un pays attirant pour les trafiquants qui ciblent le marché relativement riche de l'Afrique du Sud. Le gouvernement du Royaume du Swaziland est conscient du problème des drogues sur son territoire et coopère avec les pays voisins pour en combattre le commerce. Le Swaziland est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants.
Tanzanie
La Tanzanie se trouve située sur les routes du trafic de l'Asie et du Moyen-Orient vers l'Afrique du Sud, l'Europe et les États-Unis. Les drogues telles que le haschisch, le Mandrax, la cocäne, l'héroäne et l'opium pénètrent dans le pays et en ressortent par ses frontières poreuses. De plus, la production intérieure de cannabis continue de se développer. En conséquence, la toxicomanie, en particulier la consommation de cannabis mais également de cocäne et d'héroäne, continue d'augmenter, notamment chez les jeunes des milieux aisés. Les crimes de violence associés au trafic des drogues ont eux aussi augmenté au cours de l'année. La Tanzanie a lancé en juin dernier, avec l'Ouganda, le Kenya et le Rwanda, une initiative régionale de lutte contre le trafic des stupéfiants. La corruption généralisée réduit les capacités des institutions dans ce domaine. La Tanzanie est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants, et en conjonction avec le PNUCID, cherche à en réaliser les objectifs.
Togo
Le Togo est aspiré dans le cyclone du trafic des drogues du Nigeria en raison de la proximité de ce pays et du fait qu'il connaît certains des problèmes de pauvreté et de corruption qui encouragent le trafic des drogues au Nigeria. En 2001, le gouvernement du Togo a procédé à de nombreuses arrestations liées au trafic de la drogue, notamment à l'aéroport international de Lomé. La plupart des arrestations concernent des ressortissants nigérians trafiquant la cocäne et l'héroäne. Le Togo est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants.
Zambie
La Zambie n'est pas un pays gros producteur ni exportateur de drogues et n'est pas non plus considérée comme un pays de transit majeur. La Commission antidrogue de la Zambie (DEC) est chargée de l'application de la législation nationale dans ce domaine. La DEC collabore de manière efficace avec les services de police de la Zambie (ZPS), ainsi qu'avec les forces de police des États-Unis et d'autres pays. Les statistiques de la DEC font état d'un taux de réussite d'environ 56 % dans les poursuites judiciaires des trafiquants de drogues mis en accusation en 2001. Les responsables des forces de l'ordre de la Zambie prennent au sérieux les efforts de lutte contre la drogue, mais le programme, comme la plupart des efforts de répression de la criminalité en Zambie, souffre d'un manque de ressources. La Zambie est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants.
Zimbabwe
Le Zimbabwe n'est gros producteur, fournisseur ou exportateur ni de drogues ni de précurseurs. Le principal problème de drogue au Zimbabwe concerne le cannabis, importé en majorité (80 %) du Malawi, du Mozambique et de la Zambie, le reste étant cultivé dans le pays. Plus de 50 % de cette drogue sont réexportées vers le Botswana, l'Afrique du Sud et la Namibie. L'ecstasy a émergé l'année dernière en tant que deuxième drogue de prédilection au Zimbabwe. Bien que le Zimbabwe soit partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants et ait ratifié le protocole de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), le programme national intégré de prévention et de répression du trafic des drogues est essentiellement sans ressources financières et inactif. Le Zimbabwe n'a ni demandé ni reçu d'aide financée par les États-Unis ces deux dernières années.
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Saisie de cannabis à Lavaltrie
Par Invité,
Les policiers du poste de la MRC d'Autray ont effectué deux perquisitions dans les dernières semaines à l'intérieur de résidences situées à Lavaltrie et à Lanoraie.
 
Source: Journal l'artisanLe 15 juin, vers 9 h, les policiers se sont rendus dans un logement de la rue Donat Hénault, à Lavaltrie. À cet endroit, ils ont saisi 72 plants de cannabis, 83 boutures et l'équipement servant à la production. Une dame âgée de 46 ans a été arrêtée sur les lieux, puis remise en liberté pour une comparution ultérieure.
Quelques jours plus tard, soit le 23 juin, vers 17 h, ils ont démantelé une serre hydroponique dans un garage adjacent à une maison située sur le chemin Grande côte Ouest, à Lanoraie. À cet endroit, les policiers ont saisi 240 plants de cannabis, plus de 7 kg de marijuana et l'équipement nécessaire à la culture de cette substance. Un homme de 27 ans a été arrêté, puis libéré sur promesse de comparaître au Palais de justice de Joliette.
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Découverte d'une plantation qui alimantait un coffee shop a Bienne
Par Invité,
Une plantation de chanvre indoor a été découverte vendredi dernier chez un agriculteur de Praratoud, dans la Broye fribourgeoise. Le produit de l'exploitation alimentait un «coffee shop» à Bienne. Trois personnes ont été interpellées.L'agriculteur avait installé une plantation de chanvre indoor dans cinq locaux aménagés à l'intérieur de sa ferme. Il y avait trois locaux de production, un local de séchage et un de manutention. Les plantes étaient placées sous un système d'éclairage halogène, ventilées et humidifiées par circuit d'eau.
 
La police a séquestré 373 plantes de cannabis, 54 plantons ainsi que 8,2 kg de chanvre, dont plus d'un kilo de têtes prêtes à la consommation. Ce matériel a été détruit, a indiqué la police cantonale.
 
L'agriculteur a admis que la production contenait 600 plantes. Il a également avoué que le produit de l'exploitation servait à alimenter un «coffee shop» à Bienne.
 
Les agents de la police fribourgeoise se sont rendus mercredi soir dans le «coffee shop» en question, tenu par un Allemand de 33 ans et un Français de 27 ans. Ils ont également perquisitionné dans l'appartement que ces deux hommes louaient à Bienne.
 
Divers appareils pouvant servir à la culture indoor ont été séquestrés, ainsi qu'une somme de 25 000 francs et divers produits stupéfiants. Interpellés par la police bernoise, les deux hommes ont été transférés à Fribourg.
 
Les trois hommes sont passés aux aveux. Les deux tenanciers de l'échoppe biennoise ont admis avoir vendu le produit de cette culture illégale dans leur magasin. Ils ont également déclaré avoir conseillé l'agriculteur pour la culture de sa plantation. Tous trois ont été relaxés après avoir satisfait aux besoins de l'enquête.
 
Source: Swiss Info
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Le rapport 2004 de l'ONU sur le Cannabis
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C'est «la» drogue en vogue dans le monde. Avec plus de 146 millions d'usagers (sur un total de 185 millions toutes drogues confondues), une consommation en pleine explosion et 142 pays concernés par la production.
 
Côté production, justement, l'ONU estime, selon des sources américaines, que 32. 000 tonnes d'herbe auraient été récoltées dans le monde, dont un tiers aux Etats-Unis, premier producteur mondial et pourtant principal soutien de la «guerre à la drogue» dans le monde. Ces chiffres sont toutefois à prendre avec les plus grandes précautions, puisque, en 1999, l'ONU estimait la production mondiale entre 10 .000 et 300. 000 tonnes, proposant, avec de multiples réserves, le chiffre de 30.000 tonnes comme étant le moins fantaisiste. Le chiffre de 32 000 tonnes semble de plus négliger une production africaine (particulièrement sud-africaine) et européenne (particulièrement néerlandaise et suisse) croissantes. La production mondiale de haschich a, elle, été estimée à 7.400 tonnes par l'ONUDC, dont 3.000 pour le seul Maroc.
 
Au total, 5. 800 tonnes de cannabis ont été saisies dans le monde en 2002, (4. 700 d'herbe, 1 000 de haschich et 100 d'huile).
 
Source: Liberation
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Le pavot afghan noircit le tableau
Par Invité,
Avec 150 millions de consommateurs, le cannabis est « de loin » la drogue la plus répandue dans le monde, dit l'Onu. Ainsi la production aurait-elle atteint 32000 tonnes en 2002. Même si la tendance y est à la stabilisation, l'Amérique du Nord demeure le plus grand marché mondial pour le cannabis (55pc des saisies en 2002) devant l'Afrique (20pc) et l'Europe (16pc).Dans l'Union des Vingt-cinq, on dénombrerait plus de 21 millions de consommateurs de cannabis. Grande-Bretagne, Irlande, France, Espagne et République Tchèque sont les Etats européens où la consommation de cannabis est la plus élevée. En Belgique, le taux de consommateurs de cannabis en Communauté flamande (chez les 15-16 ans) est passé de 15 à 25pc entre 1994 et 2002. Un taux qui est de 29pc en Communauté française. L'Europe occidentale est, par ailleurs, la place forte du marché mondial de la résine de cannabis. Au hit-parade des pays producteurs, le Maroc caracole loin devant puisque 80pc de la résine (environ 7400 tonnes en 2002) en est originaire.
 
Source: lalibre.be
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