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Messages posté(e)s par phyldafghan
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Salut Rmsalva,
Ton projet de disposition : pourquoi pas mais ça risque d'être galère à assembler.... tu comptes mettre des spots individuels ou des barres en longueur ?
Sinon, dans l'absolu : tu serais "au top du top" avec 4 barres de 4 COB, alimentées à 30W chacune.
Une autre configuration, un peu moins optimale mais toujours très performante, serait 3 barres de 4 COB, donc à 40W chacune.
Même puissance, même surface couverte mais 3 puces et une barre d'alu (ou 3 spots individuels) d'économisés, ce qui fait tout de même dans les 150€/panneau, au final.Précise-nous un peut tout ça, qu'on puisse te conseiller au mieux...
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Salut,
histoire de préciser cette histoire de TGL 100 : le "souci" côté driver utilisé, c'est que le HBG-160-60 est conçu pour fournir au maxi 150W, avec 2.6A sous 60V.
Hors, une puce 36V comme le CXB3590 réclamera environ 37V pour 2.6A, ce qui nous donne une puissance de 37x2.6 = 100W.Donc on utilisera 100W maximum ,sur les 150W maxi que le driver peut fournir....dans l'absolu, ça ne pose strictement aucun problème d'ordre technique, c'est simplement que l'on utilise pas tout le potentiel du driver....
Ensuite, côté efficacité : il est vrai qu'à 100W, l'efficacité du COB n'est plus qu'à 40/42% ; perso, j'ai tendance à conseiller de ne pas dépasser 70-80W maxi sur cette puce, pour garder le meilleur compromis entre puissance et efficacité ; mais on reste tout de même dans la limite de l'acceptable, pour du COB top bin comme celui-ci... c'est pas le top mais ça reste tout de même viable, comparé à du sodium haute pression.
Donc tu as raison : le TGL 100 n'est pas "optimum" mais ça passe tout de même...Mais bon, si on regarde ton panneau, Redtail : on a un peu le même souci d'exploitation des drivers, du coup....
On annonce une puissance consommée de 400W pour 6 CXB3590, hors les driver utilisés sont des HLG 240W... donc on a, de la même façon, 40W non exploités sur le driver.... c'est un peu mieux que sur le TGL 100 mais il y a toujours du potentiel pas utilisé sur le driver.
En revanche, il est vrai que l'efficacité sera forcément un peu meilleure, vu que les puces travaillent à 60/70W au lieu de 100.
Pour finir : oui, c'est cool qu'un "artisan" français propose ce genre de produits ; c'est propre et bien fini, le panneau est chouette donc aucun souci là-dessus... mais faut pas croire que ce soit donné non plus, hein !
400W pour 900€, on est quand même à 2.2€/W ; juste à titre de comparaison : TodoGrowLed sont exactement dans le même ordre de prix (TGL60 = 60W/130€ ; TGL100 = 100W/200€; TGL220 = 370€).
Quant au DiY : tu peux avoir la même chose (en tirant bien les prix) pour moins de 500€...Donc : oui, c'est du beau matos, plutôt bien pensé (je pense qu'il y a moyen d'optimiser l'alimentation, surtout avec des CXB3590) mais c'est pas "cadeau" non plus.
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Salut,
il ne faut pas tout mélanger ; aux Pays-Bas, ce sont les moyennes/grosses installations qui sont recherchées et principalement celles qui "oublient" de payer leur électricité... et les fournisseurs d'énergie les signalent uniquement parce qu'ils perdent du pognon, pas par civisme ou acte citoyen.
Le gars qui a sa 400W et qui paie : ils s'en foutent un peu.
Ta conso électrique pourra éventuellement être une des preuves incriminantes... s'il y a déjà une enquête sur toi ; dans ce cas, oui : ils iront chez ton fournisseur et demanderont à voir les consos mais pareil : ça ne viendra pas de ton fournisseur.Faut pas oublier que les fournisseurs d'énergie sont avant tout des entreprises, qui ont du chiffre à faire.
Toi, si tu consommes : ils sont contents, du moment que tu paies !
Ils te contacteront éventuellement si ta conso fait un bond significatif, par-rapport aux consos précédentes mais plus pour te vendre un contrat plus élevé, ou faire le point avec toi pour voir s'il n'y a pas eu un branchement sauvage sur ton compteur... suffit de dire que t'as un gros aquarium, ou que tu fais du repassage à domicile, ou que tu mets ton cumulus en marche forcée la journée, peu importe... comme dit : à ce jour, encore personne n'est tombé "juste pour sa conso" - genre EDF a appelé les flics pour dire que untel a vu sa conso tripler en 6 mois.En revanche : des gars qui ont voulu pomper sur un autre branchement que le leur et se sont fait griller : ça, oui, y'en a eu... ou d'autres qui ne mettent pas de filtre à charbon, de là un voisin repère l'odeur et appelle les flics ; dans ce cas, oui : ils vont mater les consos pour voir qui pourrait faire pousser dans le bâtiment... mais encore une fois, ça ne viendra pas du fournisseur d'énergie.
Lui, ils est là pour te vendre du courant et ça tombe bien : t'en consommes et tu paies... donc t'es un bon client et un bon client, on lui fout la paix.Sinon, pour en revenir à ton projet : dans 80 x 80, l'idéal (en TGL60) serait d'en mettre 4.
Tu peux éventuellement envisager de n'en mettre que 2 dans 60x60 mais tu seras vraiment en limite basse d'éclairage, surtout avec 2 sources....
Et donc, pour en revenir aux consos : si tu as 4 TGL60 : ça fait 240W, donc sur un cycle de 12H : environ 3KWh... soit la conso d'un cumulus ou d'un appareil de chauffage pendant pendant 1 heure et demi -rien qui attire vraiment l'attention, parmi les dizaines de millions d'abonnés...
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Salut Bombattak,
je comprend tout à fait ce que tu veux dire, je te rassure... en revanche, je suis pas très très content, car l'explication et quand même fournie en première page et au moins une page sur deux des 73 pages du topic....
Remarque, ça fait longtemps qu'on a pas fait une petite piqûre de rappel...
Donc : chez toi, à la prise, ton fournisseur d'énergie te délivre une tension constante et les appareils branchés dessus réclameront une intensité (courant, ampérage) variable qui ,comme tu le dis, dépend de la puissance nominale du récepteur.
Exemple : il me semble que tu vis en Amérique du Nord ; là-bas, vous avez du 110V aux prises, c'est ta tension de service et elles est constante ; que tu ailles chez ton voisin, ou à Toronto, ou à Montreal : il y aura 110V partout.
Tu prends un appareil de 220W, tu le branches sur une de ces prises : il réclamera donc 220/110 = 2 ampères (car P = U x I).
Jusque là, je pense que tu me suis ?
Bon.
Le problème des LEDS, c'est que ce sont des semi-conducteurs ; on va pas rentrer dans des détails trop techniques mais la finalité du truc, c'est qu'on ne peut pas appliquer la loi d'ohm comme avec un appareil résistif, comme une ampoule ou un radiateur, car ils n'ont virtuellement pas d'impédance (ils n'opposent pas de résistance au passage du courant), donc à tension constante ils réclameraient une intensité quasiment infinie.
On est donc obligés de travailler à courant constant ; c'est à dire qu'au lieu de fournir une tension fixe et constante et que le COB réclame une intensité en retour, on doit faire l'inverse : on impose une intensité au COB et c'est lui qui imposera la chute de tension correspondante, qui dépendra de plusieurs facteurs (type et assemblage des leds du COB, température, etc...).
Donc que l'on soit en montage série ou parallèle, ça ne change rien : on donne tant d'ampères au COB (réglé sur le driver ou délivrés de manière fixe) et lui va réclamer tant de volts au driver, déterminé par la courbe V = f(I) du COB en question (ce que l'on retrouve dans les tableaux en première page).
Et pour en revenir à tes 3 COB en // : vu que tu travailles en courant constant, le driver débite toujours la même intensité, que tu auras réglée (3 ampères), qu'il ait 1, 2 ou 5 COB au cul.
Et la tension délivrée correspondra, dans un montage parallèle, à la chute de tension la plus élevée.Donc effectivement : si mon driver est réglé à 3 A en sortie et qu'il a 3 COB en parallèle : chaque COB reçoit 1A.
Admettons qu'un COB flanche : le driver débite toujours 3A, donc les 2 restants reçoivent 3/2 = 1.5A... un autre COB meurt ? Le restant se prend les 3 ampères dans les dents....Et il n'y a donc pas ce souci en série, car l'intensité est identique dans toute la chaîne, qu'il y ait 2 ou 10 récepteurs (cf lois des mailles/noeuds).... en revanche, la tension délivrée dans un circuit série sera égale à la somme des chutes de tension des récepteurs de la chaîne (si j'ai 3 COB réclamant 36V chacun, le driver délivrera donc 3 x 36 = 108V).
J'espère que ces explications t'auront permis d'y voir plus clair ; dans le cas contraire, n'hésite pas à préciser ce qui te chiffonne...
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PS : merci (et salut !) à Heka pour sa réponse claire et juste ; j'ai mis 25 minutes à écrire la même chose en 10x plus de lignes
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[Résolu]Pied cassé
dans Climat
Salut,
sans voir le pied en question, ça va être difficile de te dire si c'est sauvable ou pas... postes quelques photos, qu'on se rende compte.
Merci !
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Re,
pas de quoi
Non, je ne trouve pas ça "trop" ; avec 650 W dans 120 x 120, ça te fait environ 40W/pied², c'est nickel
Oui, la solution 16 COB est forcément plus optimale, vu que tu couvres toute ta surface, avec un COB par pied/carré... mais le prix final n'est pas le même !
Tu peux toutefois économiser sur les drivers, en prenant 2 x HLG-320H-C1050 et en alimentant 2 barres (soit 8 COB) / driver.Après, tant que tu as la puissance globale et que tu l'éclates un minimum sur ta surface : toutes les solutions se valent à peu près...
Pour les lentilles, c'est vraiment pas ma spécialité, désolé... mais je dirais que plus tu augmentes le nombre de sources, plus tu peux resserrer l'angle de diffusion ; donc j'aurais tendance à dire que ton projet initial tient la route (80° en flo et 120° en cro).
Pour la distance lampe/plante : difficile de faire une règle empirique, comme sous HPS car plusieurs facteurs entrent en jeu ; entre la puissance et le nombre de puces, la distance entre chacune, etc ; pour une même puissance d'alimentation, on peut avoir des flux lumineux complètement différents et donc une distance de sécu plus ou moins importante...
Mais disons qu'à 1050mA (environ 35/40W), autour de 15/20cms c'est pas mal ; si on commence à taper du 50W/COB, on ira plus vers 25/30, voire 40... encore une fois, ça dépend du setup.
Le mieux reste encore de bien observer ses plantes et surtout les sommités, pour repérer des éventuels crâmages/bleeching (blanchiment des sommités, comme passées à la javel...).
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Salut,
les HBG-60-1050/1400/2100 ne sont pas pas dimmables... donc la puissance délivrée est fixe et correspond au produit du courant maxi que délivre le driver, par la tension réclamée par le COB à cette intensité (P = U x I).
Avec ce type de driver, un CXB 3590 sera alimenté à 35W pour le 1050 et 50W pour le 1400.
A mon sens, le HBG-60-1050 n'est pas très efficient, dans la mesure où l'on exploitera que 35W sur les 60W maxi que peut fournir le driver ; on aura donc un meilleur rendement énergétique avec le 1400 (50W utilisés, sur 60 maxi).
Le 2100 ne sera pas exploitable avec des CXB3590, car il ne fournit que 29V maxi et on aurait besoin de 36V et quelques, à cette intensité.Les HBG-100-36/48/60 en revanche sont dimmables (dimming Meanwell 3 en 1 : PWM 10V ; 0-10V ou resistance 10-100Kohms).
Le 100-36 sera exploitable mais pas au top du rendement, car 36V maxi en sortie ; ce qui permet d'avoir environ 70W avec des CXB3590, alors que le driver peut donner 100W.Avec un HBG-100-48, on peut monter a 2A ; donc environ 75W maxi d'exploitable, sur les 100 que peut donner le driver -donc on exploite 75% du maximum driver.
Le HBG-100-60 n'est à mon sens carrément pas rentable, car on ne tirera que 60W sur les 100 maxi du driver.
Comme tu le vois, difficile de faire corréler driver et COB avec ce type de driver, en ayant le maximum du potentiel du driver utilisé.... mais on constate tout de même que le plus "rentable" énergétiquement parlant reste le HBG-60-1400 ; il n'est pas dimmable mais on exploite le driver à 80% de ses capacités.
C'est celui utilisé sur les TGL 60.Après, dans l'absolu : ne pas exploiter le plein potentiel de son driver n'est pas problématique en soi et ne pose aucun problème d'ordre technique ; c'est juste "dommage" sur le plan rendement énergétique, car on a un moteur pas adapté aux besoins ; comme foutre un gros V12 dans une 205....
D'ailleurs, si on regarde bien : sur leur TGL 100, ils utilisent un HBG-160-60 ; soit un driver capable de donner 160W, pour n'en utiliser que 100... ça marche, aucun souci mais c'est dommage.
Concernant le spectre ; avec des COB, ça sert pas à grand chose d'aller taper dans des couleurs trop froides pour du végétatif pieds-mères/boutures ; je pense qu'un mix de 4000/5000K suffit déjà à produire des plantes bien ramassées et très touffues... aller chercher le 6500K n'est pas spécialement recommandé, dans le sens où ça va faire des plantes très très compacts, donc pas forcément évidents de prélever des boutures.
N'hésite pas si tu as d'autres questions...
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Salut,
ça veut juste dire que SI tu envisage de monter un variateur sur ton extracteur, il faudra que ce vario soit adapté au type du moteur, c'est tout... en l’occurrence : le modèle autotransfo de chez GSE.
Si tu ne comptes pas faire varier la vitesse de ton moteur : tu t'en fous
PS : essaies plutôt de combiner tes messages avec la touche "modifier", en bas de chaque message, plutôt que de poster à 10 minutes d'intervalles... pour la lisibilité du fofo ; merci d'avance !
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Salut,
fais bien attention aux références des Vero 29 ; entre les tensions d'alim, la température de couleur, le CRI, le type connectique : on a vite des dizaines de référence....
Perso, je te conseille la Vero 29 Gen7 SE, 80CRI, 36V ; en 3500K, elle porte la référence BXRC-35E10K0-D-7x-SE.
Les chiffres que j'ai mis en gras dans la réf correspondent à la température de couleur ; donc les 6500K porteront la référence BXRC-65E...., tandis qu'un 2700K sera référencé BXRC-27E....
Il te faudra effectivement t'orienter vers un HLG-185H-36, simplement parce que le modèle série en 1050mA ne fournit que 190V et qu'en série, il t'en faudrait environ 216 pour 6 COB.
Et effectivement, oui : c'est bien de prendre son temps et de bien mûrir à son projet ; dans la précipitation, on a tendance à acheter sans trop réfléchir et bien souvent, à l'arrivée : ça ne correspond pas à nos besoins et faut encore racheter derrière....
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Salut Kevazingo,
désolé pour le retard de réponse....
Donc : j'aurais plutôt tendance (et d'une manière générale, pas forcément dans ton cas particulier) à te conseiller la répartition la plus large possible, soit en 2 rails.
Pas obligé de partir sur du quinconce ; 2 panneaux de 40/50 cms de longueur, disposés ainsi :
par exemple....
Pour ton espace de culture : en comptant pots + dissipateurs + distance lampe/plante, ça fait dans les 25 + 10 + 25/30, soit 60/70 cms de hauteur non exploitable, soit près d'un mètre de hauteur cultivable.
Si tu fais pas des croissances de 1 mois et que tu entretiens tes plantes (pinçage, éventuellement palissage, taille, etc) : ça se fait sans problème.
Perso, j'ai 160 de hauteur également et il me reste facilement 30cms de hauteur exploitable en fin de session.
Ce serait dommage de prendre un driver 150W, car tu serais vraiment en limite basse de puissance pour ton espace.
Je te conseille donc de rester sur une puissance de 185W ; en revanche, ce qui serait envisageable (et confortable pour toi, car tu peux réduire la distance lampe/plante à 10-15cms), ce serait de mettre 6 COB, alimentés à 30W chacun.Après, c'est tout de même une centaine d'euros en plus à sortir ; tout en gardant à l'esprit que si tu choisis des dissipateurs avec de la marge, tu pourra par la suite et si besoin évoluer vers un set-up 240, voir 320W en ne changeant que le driver... ça s'étudie, je pense
Concernant le driver, d'ailleurs : si tu pars sur du Cree CXB, privilégies un montage série (donc driver c-1400).
En revanche, pour des Vero 29 à 50W, il faudra partir sur un driver parallèle 36V type A ; le type B est limité à 36V et ne permet donc de ne sortir qu'environ 35W/puce (sur des Gen7 ; avec les Gen6n on est plus à 28W).
Comme dit précédemment : pas l'idéal de brancher des COB en // mais à ces puissances et avec un dissipateur bien étudié : pas de souci majeur à réaliser ce montage.
Pour répondre à ta question bonus : franchement, entre les CXB3590 et les Vero 29 GEN7 : l'efficacité lumineuse tient dans un mouchoir de poche, avec peut-être même un léger avantage pour les Vero 29...
L'avantage des CXB restant la compatibilité des montages série sur tous les drivers, jusqu'à environ 60/70W par COB, quand les Bridgelux resteront bridés à environ 35/40W, à cause du fameux seuil des 36V (les drivers meanwell pour connexion série ont une tension de sortie multiple d'environ 36 ; soit : 108, 144, etc...).
En revanche, un avantage certain des GEN7 en série SE, c'est les connecteurs intégrés au holders : tu dénudes le câble, tu insères ; c'est fini ! (borniers autobloquants).N'hésite pas si tu as d'autres questions...
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Salut les gars,
je valide les recommandations des collègues ci-dessus, concernant l'interrupteur ON/OFF.
Si c'est pour commander le driver, on coupe seulement la phase (fil marron, celui au potentiel 230V).Le neutre et la terre peuvent être reliés en direct, avec un sucre, Wago, etc...
@Dimtri40% : concernant le choix des couleurs de LEDS, je ne saurais te répondre avec précision mais j'aurais plus tendance à te conseiller du full-spectrum, plutôt que du orange qui n'est pas une longueur d'onde super intéressante dans un spectre PAR.
Mais encore une fois : je n'ai pas de recul par rapport à ça donc : à prendre avec des pincettes... d'autant que tu claques également du bleu et du rouge, donc difficile de te dire ce que ça va donner.Pour l'alimentation de tes LEDS mono : le mieux est d'avoir une alimentation à tension constante "générale", genre un Meanwell LRS 350-36 et de passer par des driver LEDS Meanwell LDD pour alimenter les chaînes de leds à courant et en série, généralement dans les 700 mA.
Une fois que ton projet d'implantation des LEDS sera défini, je pourrais te faire un schéma de câblage de tout ça...++
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Plop,
They see me trollin', they hatin'.
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- C’est un message populaire.
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Salut ici,
j'appuie à 300% le poto LP2 et ajouterais que je trouve dommage de pousser ce type de COB à 100W ; l'efficacité se casse bien la gueule et même si ça envoie salement (15000 lm) : quid du spectre et de la longévité des puces ?
Les chips 36V actuels ne devraient pas -selon moi, hein- tourner à plus de 60-70W selon les marques/séries ; pour travailler haut en puissance comme ça, mieux vaut partir sur des puces 50 ou 72V et avoir de la marge en hauteur...
See ya, folks !
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Salut,
non, je te le déconseille fortement (en tout cas pour un montage parallèle).
Les Gen 6 et Gen 7 n n'ont absolument pas les mêmes spécificités ; les Gen7 sont moins gourmands en tension, à courant égal ; donc il y aura un déséquilibre dans tes chaînes et certains COB prendront la majeure partie du courant fourni et les autres n'auront rien, ce qui peut éventuellement engendrer un emballement thermique et la détérioration d'une puce.
Dans l'absolu et comme nous le disions récemment : le montage parallèle n'est pas l'idéal, car même dans une seule gamme/référence, il y aura toujours des disparités d'une puce à l'autre qui peuvent être source de déséquilibre d'alimentation.
Après, si on travaille à 50% de la puissance nominale et que l'on a une dissipation correcte, le risque est fortement réduit et les différences de puissance consommée entre les COB d'une même chaîne restent très réduites.
Perso, je tourne depuis plus d'1 an 1/2 comme ça et aucun problème ; après, je tourne à maxi 50W et mes dissipateurs sont vraiment costauds.
En revanche, aucun souci à mélanger les COB de référence ou même marque différente sur un montage SERIE, du moment qu'ils sont conçus pour travailler à cette intensité ; ils réclameront la tension qu'ils leur faut au driver et ne seront pas "forcés" de prendre la tension unique délivrée en parallèle.
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- C’est un message populaire.
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- Section "Matériel"
- Présentation généralePROJET PHYLDUINO
SECTION "LOGICIEL"
Note Importante : le site n'acceptant pas les dossiers ZIP, le package est proposé en PDF.
Il vous fait donc renommer l'extension du dossier en .zip, pour pouvoir le décompresser et accéder aux fichiers.Avant toute chose : le code proposé ici est également très simpliste...
Il aurait pu être fortement allégé et rationalisé, notamment par la création de classes mais ce sera l'objet d'une évolution future.
Donc pour l'instant : pas de programmation orientée objet, et les actions "répétitives" sont simplement gérées par des appels de fonction. Ça n'est pas très élégant... mais ça fonctionne tout de même au poil
Il en résulte un programme assez massif mais qui reste facilement compréhensible, car assez largement commenté.
De toute façon, les actions gérées ne sont pas excessivement pointues, donc sont assez logiques à comprendre.
L'architecture des menus et la navigation reposent sur une bibliothèque glanée sur le net : Menubackend.
Simple à implémenter et assez intuitive, elle permet de créer des menus/sous-menus à l'envi, simplement en "recopiant" la structure pour créer un nouvel item.
En revanche, cela créée de sacrés pavés de code, donc il faut être méthodique lorsqu'on trace son arborescence.
La création du menu se fait dans la "void setup()" ; on déclare en premier lieu tous les items, en leur attribuant d'abord une étiquette et l'action qu'elles doivent éxécuter ; puis, dans un second temps : on décrit les interactions entre les menus, en "traçant" le chemin d'accès vers un item mais aussi comment et vers quel autre item il peut basculer.
Le seul souci est qu'elle n'est pas supportée par la dernière version de l'IDE Arduino ; il vous faudra donc compiler le programme avec la version 1.5.8, disponible en téléchargement ici.Dernière chose : j'ai volontairement codé en français, car je sais que tout le monde n'est pas à l'aise avec l'anglais... mais je compte faire une version "internationale" par la suite, pour une diffusion plus large, raccord avec l'esprit du "libre".
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1-Premier chargement du programme dans l'Arduino
Il faudra bien entendu qu'au préalable, vous ayez téléchargé et installé la version 1.5.8 de l'IDE Arduino.
J'insiste beaucoup sur ce point ; les versions plus récentes ne compileront pas la bibliothèque Menubackend, qui est l'infrastructure des menus de ce programme....Ensuite : téléchargez le package et décompressez-le dans votre disque dûr.
Il faudra copier les 3 répertoires de bibliothèques (DHT, RTCLib et MenuBackEnd) dans le dossier "Documents\Arduino\Libraries pour qu'ils soient prise en compte par votre IDE ; le répertoire "PhylDuino_V1_0", qui contient le code, va quant à lui dans "Documents\Arduino"
Une fois fait : vous pouvez raccorder l'Arduino MEGA 2560 Rev3 au PC, via un port USB : vérifiez que votre Arduino est bien reconnu ; au besoin, modifiez le type de carte et/ou le port de communication :
Puis, vous pouvez ouvrir le programme "PhylDuino_V1_0.ino" dans votre IDE...
Première mise à l'heure de l'horloge
Il faut, en premier lieu : mettre à l'heure votre RTC (horloge temps réel) ; pour cela, il y a 2 manipulations à faire.
Avant tout, il faut bien entendu que votre RTC soit correctement raccordée à votre Arduino, avec sa pile installée :
Ensuite, il faut "dé-commenter" la ligne ci-dessous (c'est à dire effacer les "slashs") :
Ensuite, on va téléverser le programme dans l'Arduino, en cliquant sur la petite flèche, en haut à gauche de la fenêtre.
Cette opération aura pour conséquence de mettre la RTC à l'heure/date de votre PC ; le problème, c'est que l'Arduino executera cette action à chaque redémarrage, donc la RTC sera re-programmée systématiquement à cette heure !
Il faut donc impérativement re-commenter cette même ligne ; ainsi, l'Arduino ne cherchera pas à remettre la RTC à l'heure lors du chargement du setup :
Un fois cette ligne commentée (on remet 2 slashs) : il faut à nouveau téléverser le programme, pour l'écraser dans l'Arduino.
Votre Arduino est à présent programmé, et la RTC est à l'heure...
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2-Création et enregistrement des modes de culture
Le programme a donc été conçu pour fonctionner selon 4 modes de culture différents -paramétrables et sauvegardables individuellement , dans un emplacement dédié en EEPROM.
Le mode actuel du placard étant également sauvegardé et lu lors du setup, l'Arduino redémarrera toujours selon les paramètres du mode en cours : cela permet de reprendre le cycle où il en était, en cas de reset ou de coupure de courant.
La reprise est automatique et ne nécessite aucune action de votre part....NOTE IMPORTANTE :
Contrairement aux mémoires vives type "RAM" : les mémoires EEPROM disposent d'un nombre limité d'accès en écriture, d'environ 100 000.
Il faut donc limiter au maximum l'écriture sur cette mémoire, pour ne pas l'endommager prématurément ; j'ai donc ajouté à la fonction d'écriture une petite boucle de comparaison de la valeur stockée dans l'emplacement sélectionné.
Du coup : on n'écrase la valeur que si elle a changé, ce qui permet de restreindre l'écriture des paramètres.
A noter que cette fonctionnalité est prise en charge par la bibliothèque "EEPROM2" mais celle-ci n'est pas compatible avec la version 1.5.8 de l'IDE que j'utilise ; nous utilisons donc la bibliothèque "EEPROM" dans ce programme....
2.1- Enregistrer les paramètres des modes dans l'Arduino
La création de vos modes personnalisés est un peu fastidieuse, car il faut entrer les paramètres manuellement pour chaque mode et ensuite : sauvegarder le mode, puis faire de même pour chacun d'entre eux.... bon, ça prend pas 1000 ans non plus mais c'est tout à fait le genre de tâches répétitives que l'on déteste
On va commencer par paramétrer un des modes -croissance, par exemple.
Pour cela : on va simplement assigner les valeurs souhaitées aux variables correspondantes, lors de leur déclaration dans l'IDE :
C'est on ne peut plus simple : derrière le signe "égale", vous mettez la valeur souhaitée....
Ensuite, on bascule la variable "ModePlacard" en "Croissance" :
Ensuite : il y a une petite manipulation à faire ; aux lignes ci-dessous :
il faut modifier le code, pour qu'il sauvegarde les paramètres choisis dans le mode placard sélectionné ; il suffit de modifier ces lignes comme ceci :
Pour finir : vous téléversez votre programme dans l'Arduino -ce qui enregistrera l'ensemble des paramètres, dans leur zone mémoire respective et terminera la proicédure.
Il n'y a ensuite "plus qu'à" répéter l'opération pour chacun des modes :- modification du "ModePlacard";
- modification des paramètres des drivers;
- téléversement du programme.
Et vos différents modes de culture seront tous enregistrés dans l'EEPROM de l'Arduino
IMPORTANT : Une fois ces opérations effectuées pour chacun des 4 modes, ne surtout pas oublier de remettre le setup en mode "chargement de sauvegarde" :
Sinon : à chaque redémarrage, l'Arduino lancera une écriture de paramètres, ce qui écrasera ceux déjà sélectionnés....
Votre micro-contrôleur est à présent opérationnel ; tous les modes sont paramétrés, la date et l'heure sont réglés et votre programme tourne quand la carte est alimentée...
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2.2- Suggestions de modes
Les paramètres que je vous propose ci-dessous ne sont bien-sûr donné qu'à titre indicatif ; libre à vous d'adapter et de faire votre propre sauce, avec les possibilités qu'offre le programme.
Les horaires sont décrits selon un décompte à partir de zéro ; il faut bien entendu adapter les paramètres à vos propres horaires de fonctionnement... vous n'êtes pas obligés de commencer vos cycles à minuit, hein...
Croissance :
L'éclairage et majoritairement blanc froid, avec un lever/coucher de soleil dans des couleurs plus chaudes.
Période d'éclairage de 18h00, au total.
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Transition :
Ce mode fait le lien entre la croissance et la floraison : on réduit le temps de jour à 16h00 et on allonge le temps de marche des blancs chauds par-rapport aux blancs froids.
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Floraison :
Cycle de 12h00 ; l'éclairage est majoritairement blanc chaud et les blancs froids viennent en renfort à midi, lors du zénith du soleil.
On allonge un poil le temps de marche des rouges.
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Fin de flo :
Dans ce mode, on va accélérer la fin de vie des plantes, en simulant l'arrivée de l'hiver...
La puissance maximale, ainsi que le temps de jour sont réduits ; les blancs froids sont arrêtés, tandis que l'on allonge encore un peu le temps de marche des rouges.
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3- Commande des platines-relais : LOW, ou HIGH ?
J'en parlais en section "matériel" : les platines-relais disponibles sur le marché ne fonctionnent pas toutes de la même façon.
Celles que j'ai sont commandées par un "LOW" ; c'est à dire que le relais sera activé quand il recevra 0V sur sa broche de commande.
Il existe cependant des platines dont les relais sont commandés en travail par un "HIGH", soit 5V sur leur broche de commande.
Dans ce cas-là, il vous faudra faire 2 modifications, aux lignes ci-dessous :
Il faut tout simplement inverser les états logiques soulignés en rouge ; le HIGH devient LOW et vice-versa...
Attention : il faudra, comme après toute modification sur le code, téléverser à nouveau le programme dans votre Arduino, pour que les modifications soient prises en compte.--------------------------------------------------------------------------------------------
4- Sauvegarde d'un mode de culture EEPROM depuis la consoleVous n'êtes pas "obligés" de créer vos modes depuis l'IDE Arduino et de les téleverser dans la carte, comme décrit dans le chapitre 2 "Création et enregistrement des modes de culture".
Vous pouvez également le faire depuis la console, en modifiant les paramètres souhaités puis en lançant une sauvegarde du mode en EEPROM.
Pour cela, une fois vos paramètres définis et validés dans la console : sélectionnez "Sauvegarde", puis le mode souhaité (ici : "Croissance") et validez : l'Arduino va donc écrire les paramètres dans la zone EEPROM dédiée à la croissance :
Il ne vous reste plus qu'à répéter l'opération, pour chacun des modes :
- Modifier les paramètres de fonctionnement;
- Passer en mode "Sauvegarde";
- Sélectionner le mode à sauvegarder;
- Lancer la sauvegarde...
Pour finir : ne pas oublier de remettre votre Arduino dans le mode actuel de fonctionnement (ici : Floraison") :
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5- Chargement d'un mode de culture depuis l'EEPROM, avec la console
Pour rappeler un mode et ses paramètres, il faut avant tout basculer l'Arduino dans le mode désiré :
Si vous chargez les paramètres avant de changer le mode, une sauvegarde automatique risque d'écraser les données du mode en cours !
Donc : on modifie d'abord le mode du placard...
Ensuite, vous avez 2 options :-
la "brutale" : vous appuyez simplement sur Reset et votre Arduino redémarrera sur le mode précédemment sélectionné, en récupérant les paramètres correspondants.
C'est rapide mais bourrin, car provoque un redémarrage et forcément un arrêt des relais, drivers, etc... - la "douce" : vous entrez dans le menu de sauvegarde et demandez tout simplement à l'Arduino de charger les paramètres désirés, avec le menu "Charger Sauvegarde"...
Vous validez, et le programme chargera les paramètres dans les variables concernées.
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- Section "Logiciel"
- Présentation généralePROJET PHYLDUINO
SECTION "MATÉRIEL"
Bon, je préfère le dire d'entrée : J'ai probablement dû faire de la m**** avec mon APN, car j'étais persuadé d'avoir fait bien plus de photos que cela, lors de la réalisation...
Il n'y en a donc pas énormément -en tout cas, pas de quoi faire un véritable "journal de bricolage" mais il y en a tout de même suffisamment pour comprendre le boulot effectué.
Tous les schémas de câblage sont de toute façon disponibles ; donc : à vous de faire votre petite tambouille, avec tout ça !
1-Présentation du système
Dans ce chapitre, nous allons faire le tour de la réalisation de cette console : matériel employé, choix techniques et descriptif de la réalisation....
1.1- Matériel de base :
La console repose sur un Arduino MEGA 2560 REV3, le "cerveau" du système.
Je vous conseille l'acquisition d'une carte originale pour la platine finale ; les composants et donc la fiabilité sont tout autres que sur des copies/clones à bas prix...
En revanche : une carte "cheap" sera utile pour la phase de développement, pour éviter de cramer une carte originale, à la faveur d'un fil mal branché ou d'un court-circuit inopportun...
Je vous conseille tout de même de vérifier que la communication se fait bien via le port USB et non avec une puce CH340, qui oblige à installer un driver/émulateur USB.Pour actionner les composants du système, j'y ai ajouté 2 platines de 8 relais de ce type ; elles servent à la commande des relais de puissance (ceux qui envoient du 230V) et pour l'alimentation des différents ventilos de PC.
Nous avons également un module RTC (Real Time Clock), qui sert à gérer la date et l'heure -l'Arduino MEGA ne peut pas le faire, matériellement parlant.
Les modules de type ZS-042 peuvent d'enficher dans le Shield que j'ai créé ; sinon, vous pouvez la relier en fils volants.
Ces 3 composants représentent le "système nerveux" de la console, qui permettent de gérer tout le reste.
Outre cela, vous aurez besoin de matériel et consommables "de base" (liste non exhaustive) :
- Multimètre, qui fasse au minimum voltmètre/ohmmètre;
- Fer à souder + étain ; l'idéal étant une petite station à souder, qui peut se trouver à ~50€ ;
- Perceuse et différents forets;
- Bien utile : une petite DREMMEL, super pratique pour les découpes et l'usinage;
- Visserie, pour la fixation des composants dans la console : j'ai tout commandé chez FIXNVIS ; tarifs nickels et grand choix de vis/boulons.
Perso, j'ai utilisé des vis à tête plate et des écrous en M2.5, avec différentes tailles de vis (20/30/40), selon les composants à fixer; - Outils "de base" ; tournevis, briquet, cutter, lime, papier de verre fin,
- Fils : prenez un assortiment de plusieurs couleurs, pratique pour le repérage;
- Gaine thermo-rétractable : idem, un assortiment de plusieurs diamètres/couleurs est très utile pour faciliter le repérage;
- Colliers de câblage ;
1.2 - Préparation de la console et la partie "commande"
1.2.1 - Préparation du fond de boîtier :
Surtout, l'important : c'est de présenter tous les composants et de les agencer, avant d'attaquer à percer quoi que ce soit.
Prenez le temps de réfléchir à votre configuration, sinon votre fond de boîte va ressembler à du gruyère...Après repérage des trous de perçage, on perce, on évase pour loger la tête de vis, puis on assemble le composant....
... Et à la fin, ça fait des Chocapic ! Euh non, ça donne une console équipée...
Pour éviter d'avoir trop de fils qui se baladent dans la console, j'ai soudé les câbles d'alimentation communs, directement sur les bornes du relais et par la face inférieure :
Cela permet de répartir les différentes sources de tension, selon leur utilisation/destination comme par exemple l'alimentation de commande des relais SSR, ou encore la répartition des alimentations en 5/12VDC des les ventilateurs PC utilisés dans mes box : brassage, ventil panneaux et ventil drivers.
NB : Je peux me permettre d'utiliser ce genre de petits ventilos, car mes espaces sont très petits ; sur de plus grands espaces, il faudra sûrement envisager de plus gros ventilateurs et donc oublier cette solution.
1.2.2 - Mise en place et câblage des interfaces de communication
Pareil : prenez bien le temps de faire vos repères et de présenter les composants avant de percer ; car là, c'est la face avant, la "visible" donc si vous vous plantez : ça se verra....
On a donc les bouton-poussoirs, les potentiomètres de reglage LCD et l'écran LCD.
Vous retrouverez le schéma général dans la section "Schémas de câblage Arduino".
1.2.3 - Connecteurs d'entrées/sorties de la console
Tout ce qui entre/sort de la console passe par des connecteurs enfichables, afin de simplifier l'éventuel remplacement de sondes ou éventuellement le démontage de la console.
Les câbles externes sont donc reliés aux connecteurs mâles, tandis que la console est équipée sur le pourtour de connecteurs femelles.
Pour les sondes de température et hygrometrie (DHT 22 et TMP36), j'ai utilisé des Jacks stéréo 3.5mm :
- Masse : masse;
- Voie gauche : +5V;
- Voie droite : Data.
Pour les signaux PWM et les alimentations des ventilateurs, j'ai utilisé des Jacks d'alimentation DC 5.5x2.1mm :
- Masse : broche exterieure;
- Pôle positif : broche intérieure.
Les connecteurs femelles ; penser à prendre des modèles à souder, pour "montage sur boîtier" :
1.2.4 - Console terminée et en fonctionnement
1.3 - Préparation et câblage de la partie "Puissance"
1.3.1 - Soudure des circuits imprimés
Ce PCB est celui "de puissance", avec les SSR alimentant les différents appareils en 230V.
Les pistes sont donc très larges (5mm), de même que l'espacement entre les pistes.
J'ai isolé les soudures en contact avec le 230V avec un point de colle chaude en baton, que j'ai fait fondre au briquet, vu que je n'avais pas de pistolet à colle... d'où ce rendu exceptionnellement moche... mais fonctionnel.
Le but étant d'empêcher tout contact inopiné avec la tension secteur.Circuit imprimé en place et câblé :
1.3.2 - Montage des éléments sur le support
J'ai utilisé la veille planche, qui me servait déjà de support avec mon ancien set-up ; ça m'aura évité d'avoir à en retailler une...
Pas de problème majeur à utiliser du bois, du moment que c'est bien fait et que les éléments "qui chauffent" ne sont pas en contact direct avec le support.
L'avantage, c'est quand même le prix et la facilité de travail de ce matériau.Comme évoqué précédemment : tous les signaux sont bien séparés : les courants forts, d'un côté et les courants faibles : de l'autre...
L'important, c'est d'empêcher absolument la tension secteur 230V de venir interférer avec les signaux de données mais aussi et surtout d'assurer la sécurité de l'utilisateur.
Tous les 230V ne passent que par un seul cheminement (sur la face arrière de la planche) et ne croisent à aucun moment une autre source de tension (5 ou 12V DC) ou un signal de donnée (lecture sonde ou PWM driver).
Les drivers, posés sur une chute de radiateur alu, pour favoriser la dissipation :
Et la face avant, une fois en place dans la gaine technique :
1.3.3 - Topo sur la commande et de câblage des appareils en 230V
Afin de sécuriser au mieux l'Arduino et d'éviter des problèmes de surtension, parasitage des signaux, etc : j'ai séparé au maximum le "cerveau" de la partie actionneurs/puissance.
Cela augmente le nombre de composants ainsi que le temps de travail et de conception mais je pense que de cette façon : ma console est fiable, stable et "immunisée" contre les soucis d'ordre électrique.
Concrètement : entre l'Arduino et mes appareillage en 230V (drivers et extracteur), j'ai mis 2 "barrières" (double isolation galvanique).
L'Arduino vient commander un premier relais (sur une des platines 8 relais) qui sert seulement d'interrupteur et vient commander un relais SSR, dédié à la puissance (Solid State Relay = relais électronique à semi-conducteurs) .
Les platines 8 relais ont déjà une séparation galvanique (optocoupleur) entre commande et sortie commutée mais il ne sont pas vraiment faits pour commuter de la puissance -en tout cas : pas ce genre de relais low-cost, car même si la fiche signalétique indique un pouvoir de coupure de 10A sous 250VAC, les contacts sont trop fragiles et les pistes trop fines pour conduire des courants relativement élevés sur de longues périodes (risque que la piste fasse fusible).
C'est pour cela que j'utilise ce type de SSR "de marque" : eux sont prévus pour commuter de la puissance sans souci.
J'aurais également pu prendre des contacteurs électromécaniques (type contacteur "heure creuse" de cumulus) mais c'est bien plus cher et bruyant (les SSR sont à base de semi-conducteurs, donc silencieux).
J'aurais également pu commander directement mes SSR depuis l'Arduino (ils acceptent 3-30VDC en signal de commande et l'Arduino envoie 5V à l'état HIGH) mais le voisinage avec la tension secteur (de puissance) sur le même PCB me contrariait ; c'est la raison pour laquelle je passe par un relais de séparation : pour bien isoler tout ça.
On va essayer de rendre tout ça plus clair...
Schéma explicatif :
Principe de fonctionnement :
- L'arduino commute un relais en ON/OFF (HIGH/LOW);
- le contact Normalement Ouvert de ce relais va servir d'interrupteur de commande du relais de puissance : on connecte le "+" d'une alimentation séparée (de 3 à 30VDC, dédiée uniquement aux SSR) sur une borne du relais et l'autre borne est reliée au pôle positif de la commande du SSR;
- Le pôle négatif de la commande du SSR est reliée directement au négatif de l'alimentation du SSR;
- Quand le relais est au repos : le contact est ouvert, donc le SSR n'est pas alimenté et se trouve sur OFF ; quand on le met au travail, le contact se ferme et alimente le SSR, qui lui aussi devient passant;
- sur les bornes de puissance du SSR, on a en entrée le 230VAC du secteur et en sortie : l'alimentation commandée, qui alimente ce que l'on veut derrière.
Quand l'Arduino envoie un "ON", le relais se ferme et alimente le SSR, qui devient passant à son tour et alimente l'appareil à commander en 230V secteur....
Comme dit ci-dessus : vous pouvez vous passer du relais intermédiaire de commande mais je préfère conseiller la prudence et de rajouter cette barrière physique ; avec cela, vous aurez la certitude de ne pas avoir de retour de 230V sur votre Arduino
1.3.4 - Câblage des moniteurs tension/courant :1.4 - Préparation et câblage des spots
1.4.1 - Câblage des Drivers COB
Circuit extrêmement simple :
- la phase d'alimentation du driver arrive de son relais SSR de commande ;
- le positif du circuit de gradation est relié à sa borne dédiée, sur le PCB de conversion PWM en 0-10V (voir section "Circuits Imprimés homemade");
- le négatif du circuit de gradation est relié à la masse commune du système;
- La sortie d'alimentation des COB est reliée à la chaîne de COB
1.4.2 - Câblage des alimentations des LEDs Rouges
Les drivers LEDS utilisés sont des Meanwell LDD-700-H ; c'est la version à souder sur PCB mais ils existent également en version câblée (700-HW).
Ce sont des drivers à courant constant de 700mA (existent aussi en 500/1050/1500mA), qui délivrent 52VDC maxi.
Avec des Leds ayant une Vf de 2.5V environ, on peut donc en mettre une petite vingtaine....Pour alimenter ces drivers (qui sont des DC/DC), il vous faut donc une alimentation à tension constante AC/DC, qui fournisse une tension suffisante au driver LED.
Dans mon cas : j'ai besoin de 1400mA (700 x 2) et d'environ 15V (6 Leds/driver x 2.5V) ; j'ai donc pris une alimentation Meanwell LRS-35-24, qui peut fournir jusqu'à 1500mA sous 24V.A noter que j'aurais pu alimenter mes 12 Leds en série, sur un seul LDD-700-H mais j'aurais eu besoin d'une alimentation débitant plus de tension (il me faudrait environ 35V) et je voulais garder la possibilité de dimmer les chaînes Far Red et Photo Red indépendamment, d'où ce choix d'un driver/chaîne de Leds.
1.4.3 - Les spots, en place et fonctionnels
En fin de réalisation :
- Radiateur : Fischer SK 56 - 50cms;
- 2 x Ventilos BeQuiet SilentWings 140mm;
- 1 x Vero 29 Gen6 - 2700K;
- 2 x Vero 29 Gen6 - 3000K;
- 2 x Vero 29 Gen7 - 3500K
- 3 x Cree XP-E Photo Red (660nm);
- 3 x Cree XP-E Far Red (720-740nm).
Ces panneaux sont un epu surdimensionnés pour mon installation actuelle mais j'espère pouvoir migrer vers 80 x 80 assez rapidement.
Et "en action" :
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2-Schémas de cablage ARDUINO
Vous trouverez ci-dessous les câblage des entrées/sorties de l'Arduino.
Afin que que cela reste compréhensible et ne pas vous proposer une "salade de fils", j'ai séparé ces schémas en 3 parties mais ils concernent bien entendu un seul Arduino !
2.1 - Câblage des interfaces de communication :
- Câblage de l'écran LCD 20 x 4 avec ses potards de réglage contraste/luminosité ;
- Câblage des boutons-poussoir avec résistances pull-down
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2.2 - Câblage des broches de données :
- Câblage des sondes température et hygrométrie ;
- Câblage du module RTC (Date/heure) ;
- Câblage des sorties PWM pour le dimming des drivers
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2.3 - Câblage des platines 8 relais :
- Câblage broches Arduino <--> commandes des relais ;
- Câblage sorties relais <--> ventilateurs PC ;
- Câblage sorties relais <--> commandes relais SSR de puissance ;
- Câblage des alimentations DC pour ventilos et relais.
NB : chaque platine 8 relais a son propre faisceau de câbles le reliant à l'Arduino ; les câbles de commande de même couleur ne sont donc pas communs !
Seuls les alimentations tracées de la même couleur sont communes.
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3-Circuits imprimés "homemade"
Ces circuits (de ma conception), sont au nombre de trois.
Je les ai créés pour me simplifier le travail et rassembler les différentes parties de manière rationnelle ; ils sont toutefois facultatifs et pour chacun d'entre eux, je vous propose une solution alternative de remplacement, grâce à des interfaces disponibles dans le commerce.
Vous n'êtes donc pas "obligés" de passer par ces PCB et pouvez sans aucun problème prendre les solutions alternatives....
Pour chacun d'eux, vous trouverez une vue schématique avec les câblages de commande et de puissance, ainsi qu'un fichier ZIP contenant les données "GERBER étendu" pour l'envoi en production.
Ils ont été tracés sur FRITZING, donc je fournis également les 3 fichiers correspondants (au cas où vous souhaiteriez modifier les PCB vous-mêmes), regroupés dans un dossier ZIP.
Je vous conseille toutefois de ne les modifier que si vous savez ce que vous faites....
Ces circuits sont très basiques et ont été tracés en simple face (présentation des composants en face supérieure et soudure en face inférieure) ; la face inférieure est revêtue d'un plan de masse cuivre, afin de limiter les perturbations électromagnétiques et la pollution des signaux sensibles.
Pour la production, je vous conseille vivement le site associé à Frizing : AISLER FAB, qui est vraiment pratique : après avoir créé un profil, vous n'avez plus qu'à importer votre dossier ZIP directement sur le site, qui propose un interface WYSIWYG, permettant d'avoir un visuel du rendu des PCB.
Niveau tarif : ils en fabriquent systématiquement 3 ("Un pour casser, un à filer à un pote, un pour le projet" ) ce qui fait que la note globale a tendance à grimper mais ramené au prix unitaire : ça vaut carrément le coup.
Chacun des PCB m'est revenu à environ 10€/pièce, avec un rendu de qualité irréprochable aux standards industriels :Dossier ZIP FRITZING (contient les tracés des 3 PCB) : FRITZING ZIP Phylduino.zip
Site de FRITZING, pour téléchargement de l'éditeur de PCB.
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3.1 - Circuit imprimé "Conversion PWM --> 0-10V" et "Alimentation FAR RED" :
Ce PCB a deux fonctions :
- convertir les signaux PWM 5V venant de l'arduino en 0-10V, pour la gradation des drivers ;
- alimenter les LEDS rouges en courant constant 700mA, avec en entrée une tension constante 30VDC et un PWM 5V venant de l'Arduino pour la gradation.
Le souci, en utilisant un Arduino avec un driver Meanwell type B : c'est la compatibilité de tension des signaux PWM.
L'Arduino envoie un signal PWM en 5V, alors que les drivers attendent un PWM en 10V...
Il faut donc convertir le signal venant de l'Arduino, pour que le driver puisse l'interpréter.
Je n'avais pas envie "d'attaquer" des MOSFET avec le PWM de l'Arduino, pour éviter d'avoir à traiter le bruit généré.
Donc j'ai fait le choix de convertir le signal PWM en une tension analogique 0-10V, signal que les drivers Meanwell B savent également interpréter -avec la même précision.
Cela fonctionne également avec un potard linéaire 100KΩ... mais du coup, ce topic ne servirait à rien.
Explication de fonctionnement :
un premier couple RC (résistance/condensateur) convertit le PWM 5V en tension continue 0-5V ; ensuite : on amplifie cette tension en 0-10V, grâce à un ampli opérationnel monté en suiveur (avec un gain de 2 : il multiplie la tension d'entrée par 2).
Pour finir, cette tension 0-10V est filtrée par un deuxième couple RC, histoire d'avoir un signal bien propre en entrée de la gradation.
GERBER : PWM - FAR RED Phylduino.zip
Matériel nécessaire :
- Le PCB (10-30€);
- 3 x résistances 10 KΩ (1/4W, à peine 1€);
- 6 x résistances 1K2Ω (1/4W, à peine 1€);
- 3 x résistances 1KΩ (1/4W, à peine 1€);
- 3 x condensateurs électrolytiques 1µF - 25V;
- 3 x condensateurs électrolytiques 10µF - 25V;
- 1 support DIL8 ;
- 1 Ampli opérationnel LM 324;
- 5 borniers doubles, au pas de 5.08mm (à peine 1€);
- 3 borniers triples, au pas de 5.08mm (sorties de puissance + entrée 230VAC, à peine 1€);
- 1 bornier triple + 1 bornier double, au pas de 5.08mm ;
- 2 x drivers Meanwell LDD-700H (~15€);
Coût global : environ 90€.
Solutions de remplacement :
- carte de conversion PWM 5V -> 0-10V analogique :
MaiTech PWM Turn 0 ~ 10V numérique pour module analogique - vert : environ 6€.
- Driver Meanwell LDD-700 :
J'ai pris des modèles "à souder sur PCB", qui sont les LDD-700-H mais ils existent en version "câblés", avec des fils à raccorder à vos entrées/sorties : il s'agît de la version "HW" : Meanwell LDD-700-HW.
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3.2 - Circuit imprimé "Shield ARDUINO" :
Il est également facultatif.... mais simplifie quand même bien la vie !
Sans lui, vous risquez d'avoir des fils volants de partout, pour connecter la RTC et les interfaces de communication.
Ce shield vient s'embrocher sur l'ARDUINO et permet :
- de souder les résistances de PULL-DOWN des boutons-poussoir ;
- de répartir les alimentations 5V/12V selon leur destination ;
- d'enficher le module RTC sur les broches dédiées ;
- d'alimenter l'Arduino sur sa broche Vin, grâce au bloc d'alimentation externe 12VDC.
GERBER : SHIELD Phylduino.zip
Matériel nécessaire :
Il faut bien sûr qu'il soient à souder, de type traversant.
- Le PCB (10-30€);
- 5 x résistances 10KΩ (1/4W, à peine 1€);
- 1 condensateur électrolytique 330nF (env. 1€);
- 1 condensateur électrolytique 100nF (env. 1€);
- 2 borniers doubles, au pas de 5.08mm (entrées de tension, à peine 1€);
- une centaine de connecteurs femelles Arduino longues pattes de différentes tailles (pour enficher sur Arduino) :
Coût global : environ 30€.
Solutions de remplacement :
Vous pouvez prendre de petits PCB à pastilles destinés au prototypage ; il suffit de relier les pastilles par des fils volants, ou en soudant à l'étain.
Avec de type de PCB, il est possible -si la taille de votre PCB proto le permet- de créer le même shield que moi, qui viendra s'enficher sur l'Arduino ; sinon, il vous reste la possibilité de faire un circuit séparé de l'Arduino et vous relierez les bornes entre elles avec des fils Dupont.
Précision concernant les condensateurs : ils sont facultatifs ; je les ai mis pour lisser les crêtes de tension des alimentations 5V et 12VDC et éviter que les composants prennent des à-coups de tension.
Toutefois, si vous utilisez de "bonnes" alimentations régulées : ils ne sont pas indispensables.---------------------------------------------------------------------------------------------------
3.3 - Circuit imprimé "Platine de puissance - relais SSR" :
Ce PCB sert à commander les appareils en 230V (drivers, extracteur, ...) ; la commande en 5V arrive des platines 8 relais (elles-mêmes commandées par l'Arduino) et le 230V est redistribué sur le bornier de sortie.
Des leds permettent de visualiser le fonctionnement des relais.GERBER : SSR PUISSANCE Phylduino.zip
Matériel nécessaire :
Il faut bien sûr qu'il soient à souder, de type traversant.
- Le PCB (10-30€);
- 5 x LEDS diamètre 5mm (à peine 1€);
- 5 x résistances 220Ω (1/4W, à peine 1€);
- 5 x relais SSR de type CELDUC SKA 24420 (sinon : doivent accepter une tension de commande 5VDC et commuter une tension de puissance de 230VAC/ 3-4A ; 15-17€) ;
- 5 borniers doubles, au pas de 5.08mm (entrées de commande, à peine 1€);
- 1 bornier triple + 1 bornier double, au pas de 7.52mm (sorties de puissance + entrée 230VAC, à peine 1€);
- 1 bornier triple + 1 bornier double, au pas de 5.08mm (répartition du neutre, facultatif si les neutres du 230VAC sont reliés en commun ailleurs, à peine 1€);
- 1 porte-fusible 5 x 20mm, au pas de 22.6mm + fusible 5x20 (à adapter à la puissance totale ; maxi conseillé : 6A, à peine 1€);
Coût global : environ 90€.
Solution de remplacement :
-
SSR de type "boîtier" ; ils permettent de se passer du PCB, ils suffit de raccorder puissance et commande en fils volants.
Peut se trouver pour 8-10€
- Platines pré-montées avec relais SSR ; c'est sensiblement la même chose que mon montage : des SSR montés sur un PCB... en revanche, les relais utilisés sont bien souvent bas de gamme, donc essayez de choisir du milieu de gamme, afin d'avoir du matos qui tienne un minimum la route....
Dans les 2 cas, attention à bien contrôler :
- la tension de commande -doit accepter du 5VDC;
- la tension et le courant maximum commutables en sortie (230VAC - 3A ou plus)
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
- Section "Matériel"
- Section "Logiciel"PROJET PHYLDUINO
PRESENTATION GENERALE
Salut la commu',
dans ce topic, je vais vous présenter mon projet de console de gestion de culture sous Arduino, dédiée principalement à l'éclairage modulable sous leds COB (alimentés par drivers Meanwell gradables).
Au début du projet (il y a 10 mois !!), je pensais ne faire qu'un bout de programme et un circuit imprimé vite fait, histoire de dimmer des drivers Meanwell en PWM... mais ça, c'était sans compter sur mon côté "gros geek" car finalement, après avoir mis le doigt dedans : c'est le bras qui a été emporté et j'ai pas arrêté d'en rajouter ("oh, tiens ! Ce serait marrant, ça !)...
Puis finalement, je suis arrivé à un truc assez complet et carrément orienté "geekitude", avec plein de gadgets... dont l'utilité restera à démontrer avec le temps !
Par exemple : la simulation des levers/couchers de soleil, avec puissance et temps de montée/descente paramétrables pour chaque driver ; ou encore des paramètres dédiés aux 4 différentes phases de culture, afin de moduler le spectre en fonction.... mais également une réduction des jours automatique, pour reproduire la baisse de l'ensoleillement.. que du gadget pour les geeks, je vous dit !
Mais avant de rentrer dans le cœur du poulet : j'aimerais, en préambule, poser quelques précisions et menus avertissements.....-
les montages proposés ci-dessous restent de la contribution d'amateur.
Je ne suis pas électronicien de métier et encore moins concepteur de PCB ; ma principale occupation et ma formation de base, c'est les courants forts et même si je de très bonnes notions en électronique : ça ne fait pas pour autant de moi un spécialiste des circuits imprimés...
Les montages proposés ci-dessous restent donc du boulot d'amateur et non des circuits professionnels, éprouvés et réalisés dans les règles de l'art.
Je ne peux donc garantir ni leur longévité, ni leur compatibilité électromagnétique et le degré de pollution EM qu'ils peuvent engendrer ; je me suis toutefois efforcé de respecter les règles usuelles en terme de conception/traçage et ai décidé de séparer au maximum les signaux sensibles des perturbants, grâce à des circuits dédiés.
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Ce sujet est un JDB s'adressant à des bricoleurs, ayant déjà des notions d'électronique/programmation et/ou n'ayant pas de soucis à se documenter sur le sujet.
J’entends par là que ce n'est PAS un tutoriel sur la programmation Arduino ou l'électronique et qu'un minimum de connaissances "de base" dans ces domaines reste indispensable.
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Une partie de ce montage sert à alimenter les drivers en 230V ; la tension secteur est dangereuse et une mauvaise manipulation et/ou utilisation pourraient avoir de graves conséquences.
J'incite donc -très fortement- toute personne s'inspirant de mes réalisations, de le faire en respectant scrupuleusement les règles de sécurité qui seront énoncées tout au long du topic et de ne procéder à d'éventuelles modifications qu'en toute connaissance de cause (et hors tension, bien entendu...).
Il en va de la sécurité des personnes comme celle des biens -que ce soit vous, vos proches ou encore vos voisins... soyez prudents avec le 230V et si vous n'êtes pas sûrs de vous : ne tentez pas.
Bon ; le moment relou est passé : on maintenant parler de trucs marrants...
Du coup, il va faire quoi, ce contrôleur de culture ?
Comme je disais en intro : principalement de la gestion de panneaux LED/COB, avec bien-sûr des paramétrages climatiques (ventilation).
Le coeur du truc : c'est essentiellement de fournir un signal de commande PWM modulé aux drivers, afin de composer son spectre à sa guise, en fonction de l'horaire.
Le projet proposé ici permettra donc de gérer 2 espaces et 4 sources indépendantes ; dans mon cas : 1 espace Croissance avec gestion d'un driver, et un espace Floraison avec 3 drivers : Cool white, Warm white et Far Red.
Je l'ai conçu de manière à ce qu'il soit transposable/adaptable à chaque situation, avec quelques modifications du code.
Cette partie sera la présentation globale de la console, avec les différents menus et les le fonctionnement général de la console ; puis nous traiterons, dans une seconde partie de l'aspect purement matériel ; puis de la dimension logicielle, en troisième et dernière partie.------------------------------------------------------------------------------
L'interface Homme/Machine
La communication avec la console se fait à l'aide de boutons poussoirs, pour la navigation et les réglages : comme pour le Port Salut : la fonction des boutons est marquée dessus...
Gauche : ça va à gauche, ou monte, ou incrémente.
Droite : ça va à droite, ou descend, ou décrémente...
Entrée : permet d'entrer dans les menus ou de valider la sélection ;
Retour : revient en arrière ;
Echap : retourne à la racine (provoque une sauvegarde automatique).
Et l'affichage, grâce à un écran LCD 20 x 4 ; les potards permettent de régler le contraste ainsi que la luminosité du LCD ; les détails techniques sont fournis en section "Présentation du matériel".
Schéma synoptique (détaillé dans la section "Présentation matérielle"):
Ces choix techniques sont volontairement simplistes ; on aurait pu, par exemple, partir sur un pavé alphanumérique à la place des poussoirs ; ou encore prendre un écran couleur, ou même se faire une application tactile -à la manière de GEN...
J'ai surtout cherché à aller au plus simple, rapide et au plus souple à gérer ; tant au niveau du matos, que du logiciel... puis j'aime bien le rendu avec les boutons-poussoirs
Donc : l'interface est simpliste, voire "old school" mais ça a le mérite d'être "facile" à comprendre, à mettre en oeuvre et à dépanner et éventuellement à faire évoluer par la suite.
Après : on n'est pas non plus à l'abri que j'évolue plus tard vers un interface tactile, hein...
Enfin bref !
Je vais à présent vous présenter la structure générale des menus, afin d'avoir une carte de l'arborescence des différentes fonctionnalités proposées.
Vous retrouverez la revue de code et les explications sur le fonctionnement du programme dans la section "Présentation logicielle" -tandis que le matos "pur" est traité dans le chapitre "Présentation matérielle".------------------------------------------------------------------------------
Les menus
Les menus tournent en boucle ; c'est à dire que le premier/dernier item sont reliés et l'on peut passer de l'un à l'autre ; de plus, certains menus sont sur 2 pages et le défilement se fait simplement avec les boutons de déplacement.
L'appui sur "Entrée" permet de valider la sélection courante (matérialisée par la flèche " > ").
Lorsqu'on effectue un réglage : l'appui long sur "+" ou "-" déclenche un accélérateur d'incrémentation, à partir du 5ème incrément ; selon le type de paramètre, cela incrémentera de +3, +5 ou autre au lieu de +1.
Le relâchement du bouton stoppe l'incrémentation.
Pages de veille :
Ces pages sont celles qui sont affichées "hors menu", ou quand vous ne naviguez pas dans le programme.
Concrètement : c'est le monitoring général de vos espaces de culture : horloge et climat ; mode, phase et horaires des phases de fonctionnement, monitoring de la température des panneaux, etc...
Un appui sur entrée permet d'accéder au menu principal, présenté juste après ; tandis que les boutons gauche/droite permettent de passer d'une page à l'autre (en boucle) :
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Page principale : alternance entre monitoring CRO et FLO toutes les 10 secondes ; le croissant de lune indique que l'espace de culture est éteint ; le soleil qu'on est en période de jour. Logique.
Indication heure/date courante et "calendrier" de culture avec décompte des jours depuis le début de session et depuis le changement de mode/phase de culture. -
Page "Monitoring Drivers" : indique pour chaque driver son statut actuel (croissant de lune pour OFF et pour ON : affichage du rapport pourcentage de marche actuel / puissance maxi paramétrée).
S'il est en marche : indication de l'heure d'arrêt (derrière le croissant de lune) et s'il était à l'arrêt : indication de l'heure de mise en marche, derrière le symbole "soleil". -
Page "Monitoring panneaux" : indication température actuelle des panneaux, ainsi que les MIN/MAX/Moyenne (depuis le dernier reset) de chaque panneau, ainsi que l'état des ventilos de refroidissement (OFF/V1/V2).
Concernant la moyenne de température : elle est calculée à partir de l'allumage du placard et sur la totalité du cycle ; remis à zéro lors d'un nouveau cycle de lumière. - Page "Climat Espace Flo" : indique surtout l'état des ventilos de brassage (ON/V1/V2 pour chacun des 2 étages) et de l'extracteur (consigne, état actuel, température actuelle et température d'enclenchement V2).
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Menu principal
Accessible depuis les pages de veille, on y accède par un appui sur "Entrée".
On entre donc dans le menu général du système.
Menus proposés:- Configuration ;
- Sauvegarde ;
- Test Drivers.
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Menu "Configuration"
Comme son nom l'indique : vous entrez dans la configuration du système, haha
Ce menu tient sur 2 pages
Sous-menus disponibles :- Heure/Date système ;
- Eclairage Floraison ;
- Climat Floraison ;
- Espace croissance.
Sous-menu "Configuration/Heure-date système"
Bien évidemment, vous pourrez ici configurer votre horloge RTC : réglage de l'heure et de la date.
Pensez bien sûr à prendre une RTC avec pile, qui permet de conserver l'heure actuelle en cas de coupure d'alimentation/reset de l'Arduino.
La séquence "Réglage jour/réglage mois/réglage année" se retrouvant à plusieurs reprises dans le programme, je ne l'ai donc pas explicitement indiquée pour chacun des synoptiques suivants.
Sous-menu "Configuration/Eclairage Espace Flo
En entre ici dans le paramétrage de l'éclairage Floraison....
Sous-menus disponibles :- Paramétrage des drivers ;
- Date de départ de la session ;
- Mode placard et date de départ du mode ;
- Mode réduction des jours.
Le menu "paramétrage drivers" est détaillé juste après.
Date de départ session : permet de régler la date à laquelle vous avez commencé votre run ; sert de pense-bête et affichera sur la page de veille principale : "J+xxx"
Mode placard et date départ mode : autre pense-bête, permettant de préciser le cycle dans lequel vous vous trouvez (Croissance, Transition, Floraison, Fin de Flo).
Affichera "Mode + xxx" sur la page de veille principale.
Mode réduction des jours : option "gadget" permettant éventuellement de programmer une réduction automatique des durées d'éclairage.
Si vous activez cette option, la durée d'éclairage sera réduite automatiquement de la valeur que vous aurez réglée ; le calcul se fait à minuit et l'automate modifiera la durée dans les paramètres.
Sous-menu "Configuration/Eclairage espace Flo/Paramétrage Drivers"Vous accédez ici au menu le plus important : le paramétrage des drivers, avec en base commune :
- Heure et durée d'allumage ;
- Puissance nominale du driver et puissance maxi désirée ;
- Marche Simulation lever/coucher et si oui : durée du lever ;
J'ai toutefois ajouté certaines spécificités, selon les drivers :-
Le menu "Warm White" permet de programmer un ou deux cycles par jour de fonctionnement.
L'idée, c'est de pouvoir faire deux cycles sur des périodes de croissance -afin de simuler une lumière chaude de début et fin de journée ; ou au contraire : un seul cycle en floraison, pour reproduire le spectre solaire plus "rouge" de fin d'été/automne.
-
Le menu "Far Red", quant à lui, propose d'office 2 cycles/Jour .
Je suis parti du principe que ce type d'ondes correspond aux toutes premières/dernières lueurs du jour et je me sert de ces LEDS pour réveiller et endormir mes plantes, donc en début et fin de journée.
Ceci étant dit, vous pouvez tout à fait faire coïncider la fin et le début des 2 cycles, si vous le souhaitez... ou modifier le code, pour qu'il corresponde au driver Warm White
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Le menu "Cool White" n'a qu'un cycle de proposé, car étant la lumière la plus froide : je ne vois pas d'intérêt pratique à programmer plusieurs périodes/jour.
Elle sert en 18/6 et en "boost" de 2-3 heures en milieu de journée de flo, afin d'apporter un peu de bleu et de puissance au flux lumineux, comme si le soleil était au zénith.
Sous-menu "Configuration/Climat floraison"
Menu également sur 2 pages ; il concerne donc la gestion climatique de l'espace flo.
Sous-menus disponibles:- Extracteur ;
- Ventilos brassage ;
- Ventilos panneaux ;
- Ventilos Drivers.
Concernant l'extracteur : je précise que je possède un extracteur Prima Klima 2 vitesses et que je me suis servi du câblage d'origine du moteur pour faire une bascule automatique vitesse 1/vitesse 2, en fonction de la température du placard.
Cela n'est donc évidemment pas possible avec un extracteur à vitesse unique et carrément inutile si votre extracteur a une régulation intégrée.
Niveau paramétrage : on peut régler une consigne et un hystérésis ; c'est à dire la valeur qui définit la zone de régulation de température, et donc de basculement entre 1ère ou 2ème vitesse.
Concrètement : vous réglez une consigne ; mettons : 25°C.
Avec un hystéresis de 2K : votre vitesse 2 s'enclenchera à 25 + 2 = 27°C et vous repasserez en vitesse 1 à 25 - 2 = 23°C.
Une régulation "tout ou rien" basique qui ferait sourire des thermiciens mais pour nos petites installations, ça assure déjà un certain confort.
Vous pouvez également programmer un seuil d'arrêt de l'extraction, en dessous d'une certaine température.
A utiliser à bon escient et en connaissance de cause ; sinon, réglez-le à 0°C.
Ventilateurs de brassage : perso, j'ai câblé 2 étages de ventilos de PC dans ma petite 60 x 60 ; pas dit que ça passe chez tout le monde....
Après, ces ventilos étant commandés par un relais : vous pouvez bien commander ce que vous voulez avec, comme des brasseurs plus sérieux.
Chaque étage est indépendant en fonctionnement ON/OFF mais la vitesse (5V/12V) est commune.
Ventilation panneaux : pour refroidir les dissipateurs ; ils peuvent être commandés en manuel (vous imposez la vitesse et elle reste constante durant tout le cycle de lumière) ; ou alors en mode automatique, en réglant 2 seuils de consigne pour les 2 vitesses des ventilos (5 ou 12 V).
En dessous du seuil 1 : les ventilos sont à l'arrêt ; au seuil 1 : la vitesse 1 (5V) est enclenchée et on passe en vitesse 2 (12V) si l'on atteint le seuil 2.
Une fois repassé sous la consigne de seuil 1 : les ventilos s'arrêtent....
En cas de défaut de sonde : ils tourneront en permanence en vitesse 1 et un message d'erreur sera affiché sur la page de monitoring des panneaux.
Ventilation "Drivers" : pas indispensables mais permettent un refroidissement actif des drivers, ce qui n'est jamais néfaste avec des alimentations de ce type...
Menu très simple : ON/OFF et choix de vitesse de marche, point.Sous-menu "Configuration/Espace Croissance"
Cette partie n'est utile que si vous souhaitez gérer un espace croissance depuis votre Arduino.Les options proposées ne sont pas aussi poussées que pour l'espace FLO mais permettent de gérer :
- Heure et durée d'allumage ;
- Simulation lever/coucher de soleil et si oui : durée du lever ;
- Puissance maxi du driver.
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Menu "Sauvegarde"
A quoi bon paramétrer son espace, si l'on ne dispose d'aucune sauvegarde et/ou possibilité de rappeler des paramètres ?
Ce menu vous permettra donc de sauvegarder l'ensemble des paramètres, pour chacun des modes disponibles (Croissance, Transition, Floraison, Fin de Flo).
Chacun des modes a donc ses propres paramètres, modifiables indépendamment les uns des autres.
Il se décompose très simplement en 2 catégories : Sauvegarder ou Ecrire les paramètres ; vous choisissez ensuite le mode que vous souhaitez sauvegarder ou charger, puis vous validez et confirmez.
A noter : j'ai implémenté une sauvegarde automatique, pour pallier à une éventuelle défaillance système (coupure d'alimentation, reset de l'Arduino ou autre) ; du coup, en cas de re-démarrage de l'Arduino : il chargera automatiquement le paramétrage actuel (celui qui avait cours lors de l'incident).
Cette sauvegarde se fait à chaque fois que vous revenez à la racine (pages de veille, par "Retour" ou "Echap").
Plus de détails en section "Présentation du logiciel"...--------------------------------------------------------------------------------
Menu "Test Drivers
Cette petite fonction vous permet de forcer les drivers en mode marche, à la puissance désirée pour chacun d'eux.
Cela peut-être très pratique pour "doser" son éclairage, ou simplement voir ce que ça fait si on met tant de % de froid, de chaud et de rouge...
L'idéal étant bien-sûr de disposer de luxmètre-voire de PARmètre, pour affiner au mieux les différents spectres...
Chaque driver est configurable individuellement ; quand vous entrez dans le menu, la puissance "de simulation" est automatiquement le maxi auquel est réglé le driver ; une fois la simulation terminée et que vous sortez du menu, le programme reprend les paramètres du cycle dans lequel il se trouvait et ré-ajuste automatiquement l'éclairage.Note importante : en entrant dans ce mode, le programme force automatiquement la marche des drivers et ce : quelle que soit l'heure d'allumage/extinction des différents éclairage !
Donc si vous êtes en pleine floraison et que c'est la période de nuit : évitez de faire "mumuse" ça- 20
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Salut les gars,
je ne tirerais sur personne en particulier, ceci est un simple message de "recentrage"...
Comme le rappelle LP2, ce topic est dédié au panneaux led commerciaux, afin de regrouper les retours/questionnements des membres sur ce sujet.
Là, ça n'a que trop dérivé et on en est à plusieurs pages de hors-sujet ; donc : si vous souhaitez partager vos expérimentations et recherches sur la nutrition, l'éclairage, etc... merci de le faire sur un sujet existant, ou d'en créer un avec la pertinence requise ; tant que cela fait avancer la commu', il n'y aucun souci.
Je compte sur vous pour prendre ce message en compte et revenir au coeur du thème de ce topic... merci d'avance.
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Salut,
@Ness1 : bien entendu et même : au contraire, amigo !
Mon projet de base a toujours été de partager ce projet avec la commu' en open source, donc si t'es motivé à adapter ça sur framboise et de le partager à ton tour, ce serait effectivement top
Je partagerais le code rapidement ; une fois quelques menus "affinages" faits et surtout le code commenté, de façon à ce que ce soit compréhensible facilement.
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Pouet,
j'aurais du passer par l'option Paint dès le début
Nickel, boog.
Je dis ça, JDR mais il mériterait de rejoindre le premier post de ce topic, en complément de celui de LP2...++
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Re,
je ne sais pas si on va y arriver....
Tu as fais exactement la même chose que 3 posts avant : le condo est hors-circuit, donc il ne sert à rien...
Ce qui est dans le boîtier du moteur : tu n'y touches pas, tu laisses tel-quel !
Sauf le câble d'alimentation d'origine, que tu dois soit enlever, soit le couper et dénuder tes 3 brins, pour raccorder au RE.
Je parle de celui qui sort du ventilateur, avec prise domestique au bout ; pas celui qui est dans le boîtier de connexion du moteur et qui doit Y RESTER.
Il te faut donc soit couper et dénuder le câble d'alimentation d'origine, soit prendre un AUTRE câble pour relier le RE au moteur, c'est tout !
Et cet AUTRE câble (avec 3 fils dedans), tu le raccordes comme tu as fait là sur le RE ; et côté moteur : comme c'était sur la première photo que tu as postée... marron sur marron, bleu sur bleu et terre sur terre et le condensateur, comme il était au tout début.
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Re,
Ton RE est un interface de gradation. Tu lui fournis la tension secteur sur le bornier de gauche, lui module cette tension et la distribue au moteur du ventilo par le bornier de droite.
En fait, t'as juste à remplacer l'alimentation d'origine du moteur par cette alimentation modulée, venant du RE !
Donc au bornier de droite du RE : Phase/neutre/terre, tu branches tes 3 fils, que tu raccordes en lieu et place du câble d'alimentation d'origine du moteur (celui qu'on voit sur ta photo et qui passe par le presse-étoupe).
Marron sur marron, bleu sur bleu et terre sur terre.
Condensateur en parallèle sur phase/neutre (marron/bleu).
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Re,
pourquoi as-tu débranché les fils du moteur ?
Sur cette photo que tu as postée :
Tu as juste à brancher les 3 fils de l'autre extrémité du câble de droite (celui qui passe par le presse-étoupe) sur les bornes de sortie de ton RE (celles de droite).
Sur les bornes de gauche du RE (l'entrée), tu mets les 3 fils du câble d'alimentation (avec une prise) ; ce que tu sembles avoir fait.Là, tu as sorti ton condensateur du circuit, donc le moteur risque de ne pas démarrer et de "grogner" car il forcera mais ne se lancera pas....
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[Topic Unique] Comparatif panneaux LED, le point
dans Discussions matériel
Posté(e)
Re,
non, tu ne pourras pas, parce que le HBG-160-60 délivre 60V maxi et qu'en série, les tensions s'additionnent... donc il te faudrait minimum 72V en sortie de driver pour alimenter 2 COB en série.
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