Indi-Punky

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Messages posté(e)s par Indi-Punky

  1. Hello

     

    Il y a 17 heures, Green-CracK a dit:

    Après j'ai pas trop compris exactement le processus qu'ils font pour l'extraire.

    C'est un simple bubble / ice o. Par contre ils ne font ca qu'avec une très haute qualité de buds.

    Le vrai process a lieu dans le freezdryer mais je n'ai pas les infos concernant la T°, combien de temps et quoi comme pression.

     

    il y a 2 minutes, bjlesdégats a dit:

    C'est vrai que c'est très appétissant, on dirait de la pâte d'amandes, on en mangerait. Mais 100 €/g, pouah ! c'est plus de 100 fois plus cher que ce qu'on fait pousser sous tente. On m'en offre, je le prends, par contre je ne mettrai pas 1 € là-dedans, ce n'est pas pour ma bourse.

    Y a un effet nouveauté/hype qui joue forcement sur le prix.

    Les diamants+sauce au début ca tournai dans les 100/150€ mais maintenant ca commence a 50€.

     

     

    En fait le principal avantage du piattella sur un fresh frozen c'est la consommation.

    Le piattella est principalement consommé en joint avec de l'herbe, le fresh et le live en dab.

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  2. Re,

     

    Niveau terps ca envoi fort, très proche du frozen. C'est la texture qui est particulière.

    L’extérieur ressemble a du budder et l'intérieur c'est du beurre ramolli.

     

    Je vois ce que je peux tirer des tofs que j'ai prise mais bon...

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  3. Hello

     

    Oui c'est du Bubble 6* comme ils disent, ensuite c'est passé en freezedryer. Une combinaison de basse température et pression.

     

    Je n'ai pas les tarifs Barcelonais, mais sur Dam il faut compter 100€/g

  4.  
    Brest

    Cocaïne, héroïne, cannabis… le commerce mondial du trafic de drogues s’élève à 400 à 600 milliards de dollars et touche plus de 296 millions de consommateurs et consommatrices selon l’Organisation des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Alors que l’Amérique latine et l’Afghanistan demeurent les principales régions productrices, les pays du Nord restent à ce jour les plus grands consommateurs de ces substances, même si la consommation locale tend à se développer.

     

    Les conséquences du trafic de stupéfiants sont avant tout sociales puisqu’il engendre notamment une augmentation de la criminalité dans les régions concernées. Mais ce marché s’inscrit et dessine également de nouvelles tendances géopolitiques. Le trafic de drogues donne lieu à des enjeux territoriaux considérables, que cela soit sur ses lieux de production, de transit ou de consommation, qui sont à l’origine de plusieurs conflits et de la déstabilisation de certains États, comme en Colombie ou encore au Mexique.

     

    À quand remonte les prémices des trafics de drogues à l’échelle internationale et quelle sont leur ampleur à ce jour ? Comment se répartissent les flux qui régissent le trafic de drogue ? En quoi le trafic de drogue a-t-il alimenté la lutte contre l’URSS ? Quel est le rôle des États dans cette géopolitique des drogues ? Comment le trafic de stupéfiants s’est-il implanté et développé en Afghanistan et en Amérique latine ? Quelles sont les répercussions géopolitiques et sociales de ce trafic ?

     

    Quelles solutions pourraient permettre de réduire la circulation des stupéfiants ? Autant d’enjeux que Michel Gandilhon, membre du conseil scientifique de l’Observatoire des criminalités internationales de l’IRIS (ObsCi) et expert associé auprès du département Sécurité défense du Conservatoire national des Arts et métiers.

    Crédit photos : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

     

    Source: https://www.breizh-info.com/2023/09/23/224867/geopolitique-de-la-drogue-avec-michel-gandilhon/

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  5. Un troupeau de moutons affamés à cause de la sécheresse a ruiné un producteur de cannabis en Grèce. Les moutons sont entrés dans la serre et ont mangé plus de 100 kilos de marijuana.

    La Grèce traverse une période délicate. Après la sécheresse et les dernières tempêtes provoquées par la tempête Daniel, les champs ont été pratiquement dévastés et de nombreux agriculteurs et éleveurs ont presque tout perdu.

    Le cas d’un producteur de cannabis médicinal est devenu viral dans toute l’Europe après que les médias grecs ont fait état de son cas. Le journal TheNewspaper.gr a décrit ce qui s’est passé dans la ville d’Almyros Volos, en Thessalie.

    Un berger, comme tout autre jour, conduisait son troupeau hors du troupeau et partait à la recherche des rares pâturages. Au cours de leur voyage, comme chaque jour, et face à la rareté des pâturages due aux tempêtes, plus de 100 moutons sont entrés dans une serre et ont commencé à dévorer tout ce qu’il y avait à l’intérieur.

    Cette plantation, due à l’ignorance ou au désespoir du berger, a calmé la faim des moutons mais a en même temps ruiné la récolte de cannabis d’un producteur local. L’homme exploitait une entreprise de marijuana médicale et, en quelques heures, il a tout perdu.

    Selon les calculs du petit cultivateur de marijuana, la production de cannabis que le troupeau dévorait s’élevait à près de 100 kilos de plantes. Totalement abasourdi, le producteur a seulement réussi à dire : « Je ne sais pas si c’est pour rire ou pour pleurer. »

     

    Et il expliqua son propre drame, très semblable à celui du propriétaire du mouton. «Il y a d’abord eu la canicule, à cause de laquelle nous avons perdu une partie de la production. Puis les inondations sont arrivées et nous avons perdu le reste. Et à la fin un troupeau de moutons entra, je ne sais comment, dans la serre et mangea ce qui restait.

    La Grèce frappée par la tempête Daniel

    La tempête Daniel a fait au total 15 morts après de fortes pluies et des inondations. Les dégâts se sont produits principalement dans la zone centrale du pays. Les pompiers grecs ont reçu 10 500 appels tandis que quelque 4 500 personnes ont dû être secourues et transférées vers des zones moins touchées.

     

    Source: https://www.moroccomail.fr/2023/09/23/grece-une-plantation-de-cannabis-devoree-par-des-moutons/

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  6.  

    Dans son élan vers les hautes technologies, la Ville de Lévis n’est pas «fermée» à accueillir plus de producteurs de cannabis. Mais des conditions s’appliquent.

    Même si le cannabis est légal depuis bientôt cinq ans, la filière de production reste très encadrée partout au Québec. Et pour se trouver un pied-à-terre, toutes les conditions doivent être remplies par les producteurs.

    Comme à Lévis, où Ono Cannabis pourrait avoir ouvert la porte à un nouveau créneau pour le développement économique de la Rive-Sud (voir l’autre texte plus bas).

    Le maire lui-même n’est pas en terrain inconnu chez Ono Cannabis. Gilles Lehouillier a visité les installations à deux reprises dans les derniers mois et, chaque fois, il en est ressorti impressionné.

    «C’est incroyable ce qu’ils font. Tout est robotisé. Quand je suis arrivé là, je m’attendais à voir des pots avec de la terre, mais tout était vertical, raconte-t-il. Il n’y a pas une once de terre. Tout est contrôlé par des ordinateurs, et ça fonctionne tellement bien.»

    Actuellement, seule cette entreprise de Saint-Nicolas fait des affaires sur le territoire lévisien.

    Mais l’administration reste ouverte à accueillir les nouveaux projets, «dans la mesure où ils respectent la législation en vigueur, les exigences des organismes réglementaires, la réglementation municipale ainsi que le zonage», explique Étienne Talbot, directeur du développement économique à la Ville de Lévis.

    Le territoire de Lévis est avantageux pour les producteurs de cannabis qui cherchent à planter leur graine, notamment puisque le zonage de plusieurs parcs industriels, ainsi que «la zone située sur la rue J.-A.-Bombardier», autorise ces cultures.

    «En vertu du Règlement sur le zonage et le lotissement en vigueur, la transformation de ce produit à des fins médicales est assimilable à un usage industriel lié aux produits pharmaceutiques et aux médicaments», résume le porte-parole Patrick Hamelin, directeur de l’urbanisme et du bureau de projets à la Ville de Lévis.

    Bientôt un terreau fertile?

    Les entreprises productrices de cannabis au Québec ne sont pas limitées à la Société québécoise du cannabis. Il leur est aussi possible de fournir ce produit aux autres provinces.

    Et la Rive-Sud a l’avantage d’être bien positionnée dans la chaîne d’approvisionnement, selon M. Talbot, en raison des grands axes routiers facilitant la distribution.

    «Lévis dispose d’atouts importants, notamment l’accès au réseau autoroutier et hydroélectrique, ainsi que les équipes en place pour soutenir l’implantation.»

    —  Étienne Talbot, directeur du développement économique à la Ville de Lévis

    Mais la rétribution ne s’arrête pas aux entreprises. Le maillage entre cette industrie et Lévis pourrait également donner un élan supplémentaire au «dynamisme» de la ville.

    «Il s’agit d’un type d’entreprise qui génère de l’emploi de qualité, diversifiant ainsi le profil d’emploi recherché sur le territoire et ayant des pratiques qui minimisent l’impact sur l’environnement», souligne Étienne Talbot.

    Ono Cannabis n’est pas la première entreprise à choisir Lévis pour établir sa production.

    L’entreprise de production de cannabis Exflora avait également de grandes ambitions, bien avant la légalisation. En 2018, le propriétaire, Dany Leclerc, désirait ouvrir la première usine de production de cannabis de la région de Québec à Pintendre.

    Mais le projet est mort dans l’oeuf, à la suite d’un «désistement du promoteur», malgré le feu vert donné par Santé Canada.

     

    L’EXEMPLE D’ONO CANNABIS

    Ono Cannabis a profité de l’ouverture de la Ville de Lévis au développement de la filière de production de cannabis. Récemment installée dans le secteur Saint-Nicolas, l’entreprise, fondée il y a six ans, produit ses plants en utilisant une technologie récente, celle de l’aéroponie.

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    Ce procédé se fait entièrement à l’intérieur, et les plantes poussent à la verticale dans un climat contrôlé. Leurs racines sont en suspension dans l’air, et elles sont vaporisées par de l’eau et des nutriments propres.

    Pour terminer, les plants de cannabis sont séchés tranquillement, la tête en bas, et ils sont affinés pour atteindre un niveau d’humidité optimal. Cela permet de conserver le profil de cannabinoïdes et les terpènes – le profil aromatique de la plante – contenus dans le cannabis. Cela maximise les propriétés du produit.

    Les nouvelles installations de 40 000 pieds carrés d’Ono Cannabis, situées dans un bâtiment complètement remis à neuf et ultra-sécurisé, sont le fruit d’un investissement privé de 25 millions $.

    Dans un contexte où le financement des entreprises de production de cannabis par les institutions financières est difficile, les proches des fondateurs ont été d’une aide précieuse. «Au début, on a eu l’aide de notre famille, et on a eu aussi beaucoup de love money», avait déclaré au Soleil Steeven Sirois, président de la firme, lors de la Conférence canadienne sur le cannabis, à Québec, en mai dernier.

    Bien qu’Ono Cannabis fasse maintenant partie des fournisseurs de la Société québécoise du cannabis (SQDC), cela s’est concrétisé au terme d’un long processus de sélection.

    Mais cela ne signifiait pas que les produits d’Ono seraient automatiquement vendus dans toutes les succursales de la société d’État. «La SQDC fait une introduction progressive des produits. Même s’ils sont acceptés, ils sont testés avant d’être offerts à la grandeur du réseau», expliquait William Rousseau, vice-président aux ressources humaines d’Ono Cannabis, en mai.

    Il ajoutait qu’Ono avait obtenu un permis de production de cannabis pour les applications récréatives et médicales. «Car nous privilégions l’angle du bien-être et de la santé des gens», précisait M. Rousseau.

    Au moment de la relocalisation de l’entreprise à Lévis, Ono employait une trentaine de personnes. Lorsque la phase deux de ses installations sera complétée, une cinquantaine d’employés supplémentaires se joindront à l’équipe actuelle. Avec la phase trois, la firme vise une production plus soutenue de produits pour un usage médical.

     

    Source: https://www.lesoleil.com/magazines/le-soleil-affaires/special-levis/2023/09/23/levis-ouverte-aux-jeunes-pousses-de-cannabis-JYGPNTOJQBE6HJCNZHXNDLVUOY/

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  7. Re,

     

    Alors attention tout de même.

    On est d'accord que ça peut "énerver" a force d’être repris façon maitre Capelo. Mais Francky n'a pas forcement tort sur tout.

    Par exemple, l'usage du terme phénotype et autre variante est effectivement une erreur d'utilisation du terme.

     

    Là dans le cas de strain on est plus sur un problème type contextualisation / trad littérale / trad usuel.

    Certains mots anglais (surtout sur des sujets un peu nouveau/underground etc) se retrouve utilisé sans que l'on puisse leur donner un sens en traduction littérale.

    Il faudra donc passer par une traduction de contexte / usuel.

     

    Par exemple le terme "Stone" que l'on utilise souvent pour définir l’état de défonce, si on le traduit littéralement comme le fait Francky on obtient "pierre" ce qui ne veut rien dire sans le contexte derrière. (et y en a un paquet comme ça rien que dans le monde du canna...)

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  8. Bonjour

     

    C'est surtout que le terme "Strain" est utilisé depuis des décennies dans le sens variété.

     

    Si vous allez sur des seedbank anglaise/us vous ne verrez jamais le terme "variety" mais vous verrez le terme "strain".

    Je ne suis pas expert en anglais, mais si les anglophones l'utilisent ainsi c'est pas nous petit frenchy qui allons leurs apprendre leur langue.

     

    Ps j'ai taffé dans le milieu du canna en tant que traducteur pour divers breeder, je n'ai jamais vu le terme "variety" mais toujours "strain".

    Et selon la sémantique, Strain peut avoir beaucoup de traduction différente.

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  9. Il y a 3 heures, X-ChrOniC-X a dit:

    Bonjour à tous !

     

    Question pour les modos, est il autorisé ou juste toléré de poster de la publicité vers ses produits directement sur le le fofo ?

     

    (comme le post précédent le mien ?)

     

    Il me semblait que non mais je peux me tromper.

     

    A+

    Hello

     

    Pas sur d'avoir bien compris^^

    Un pro peut poster des publicités pour ses produits sur le site via son topic unique.

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  10. Hello

     

    C'est pas pour défendre GHS, mais quand je vois certains revendeurs qui conserve ça en tiroir dans la boutique ou en vitrine sur comptoir...

    Faut pas s’étonner que ça foire derrière. Et cela quelque soit la marque.

     

    J'ai vu un shop... Le Best of THE best. Le gars a ses seeds en frigo mais le frigo n'est pas branché et il est collé a la vitrine. sous le soleil toutes la journée et sans électricité...

     

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  11. Bonjour

     

    Je plussoie @Lamictal sur ses réponses.

     

    Il faudrait savoir avant de répondre:

    - Mode de consommation (Il est fortement déconseillé de fumer avec une maladie de Crohn, il faut donc envisager d'autres modes de consommation, la vaporisation n’étant pas non plus optimale dans ce type de pathologies si je ne me trompe pas)

    - Pourquoi inférieur a 1% ?  (cf réponse de Lamictal )

     

    Et j'en profite pour invoquer @Ex-UFCM-I Care , notre druide local.

  12. Re,

     

    Le HLVD a besoin d'un système vasculaire hors le méristème n'en a pas. C'est donc une zone sans virus (viroïde exactement).

     

    Je lisais un texte ou ils parlent de traitement froid ou chaud et ils disent que c'est sans effet probant. (ils disent aussi que de part la difficulté d'avoir un méristème propre, la CIV ne fonctionne pas a tout les coups....)

  13. il y a une heure, Beuze Z Hache a dit:

    C'est ce que j'ai compris aussi, maintenant, où est cette partie ? Existe elle ? 

    Hello

     

    Les méristèmes sont présents au niveau racinaire et au niveau des bourgeons (apex).

    Mais de ce que j'ai compris il n'est pas atteignable avec une loupe et un cutter XD , c'est LA difficulté du truc...

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  14. il y a une heure, leonotis a dit:

    Je comprend donc que la solution pour éliminé le virus serait de faire de la micro-propagation ?

    Re,

     

    Non, justement. Il faut faire une culture in vitro des méristèmes qui ne sont pas vascularisé mais contiennent le code genetique. (encore une fois suis pas expert)

     

    La micro propagation est encore différent, tu parts d'un bout de plante, donc infecté.

     

    En tout cas c'est ce que j'ai compris.. si un expert passe dans le coin... coin coin! :help:

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  15. Hello

     

    Alors je crois que tu vas avoir un soucis..

    D’après ce que j'ai lu c'est pas juste une culture de tissus, ça passe par une purée, centrifugé, séparé, reconstitué etc. (et ça doit être fait sur une partie non vascularisé de la plante etc...) (mais suis pas du tout un expert du sujet.. donc... pincette)

     

    Je crois que c'est Botafarm qui en parlé récemment et qui disait que seul ce mode de culture in vitro fonctionnais etc.

     

    Sinon tu as les kits amazon (ouille ca douille..) 400e au bas mots. 

    https://phytotechlab.com

    Si tu trouve une correspondance, ils ont des kits pas trop chers.

     

     

    https://www.ebay.fr/itm/223592112482

    Celui là est aux Us, mais il semble livrer en Europe et le kit est pas très onéreux.

    Sans compter qu'il précise Most Plants Include Cannabis .

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