Ex-UFCM-I Care

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Messages posté(e)s par Ex-UFCM-I Care

  1. Hey

     

    Cool

    Il y a 14 heures, R4ptoR a dit:

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    Coucou R4ptoR Tu crois que la faire sous leds c'est jouable .... (Pffffff okay  :jesors:)

     

     

     

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  2. Hey

     

    Le 13/10/2023 à 14:09, XomaxSo a dit:

    Une chose est sure c’est que nos politiques et nos parlementaires aiment parler …

     

    La preuve par l’amendement .... Ok :dejadehors:

     

    Plusieurs amendements déposés pour inclure le cannabis médical au PLFSS 2024

    Comme nous vous le révélions en deux temps la semaine dernière, plusieurs amendements ont finalement été déposés (PDF) pour tenter d’inclure par la petite porte le cannabis médical au Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) pour l’année 2024. Avec le même but : généraliser le cannabis médical en France pour tous les patients potentiels.

     

    Un premier amendement est porté par une députée Renaissance, Caroline Janvier, précédemment rapporteure de la Mission d’informations sur les usages du cannabis. Elle propose d’ajouter un statut « ad hoc » autour du cannabis médical, à savoir « tout médicament issu du cannabis, sa plante et sa résine, les produits qui en contiennent ou ceux qui sont obtenus à partir du cannabis, sa plante ou sa résine produit selon les bonnes pratiques de culture et les bonnes pratiques de fabrication en vue d’un usage médical conformément aux dispositions relatives aux plantes médicinales […] ».

     

    Les modalités de production, de distribution et de remboursement du cannabis médical seraient établis par voie réglementaire. Le financement du remboursement serait, lui, pris sur les taxes prélevées sur le tabac, les boissons sucrées et les boissons alcooliques, dont elle propose de supprimer les limites de relèvement annuel.

    Le député LR Yannick Neuder propose par ailleurs le même amendement que Caroline Janvier, signe d’un intérêt partagé par les 2 bords majoritaires de l’hémicycle et dépassant les frontières habituelles des partis plus minoritaires.

     

    Olivier Faure, député PS, propose, lui, « de prolonger l’expérimentation de l’utilisation du cannabis thérapeutique » pour ne pas laisser les patients actuellement inclus dans l’expérimentation sans solution, « avant sa généralisation ».

     

    Côté LFI, un amendement porté par la député Karen Erodi demande à ce que « dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement [remette] au Parlement un rapport sur l’opportunité de généraliser l’expérimentation relative à l’usage du cannabis médical » afin de rendre le cannabis médical « véritablement accessible pour traiter les 5 pathologies » de l’expérimentation.

     

    L’écologiste Julien Bayou, a soumis un amendement pour légaliser le cannabis pour les adultes. Aurélien Taché présente, lui, un amendement de la Fédération Addiction pour dépénaliser l’usage de drogues en France.

     

    Le sort des amendements sera fixé lors de la première lecture du PLFSS 2024 qui commence le mardi 17 octobre 2023.

     

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  3. Hey

     

    Attendons la suite .... Espérons pour les malades ....

     

    Généralisation du cannabis médical : la proposition "encourageante" du ministre

     

    « Le grand risque est que tout s’arrête », s’inquiète la députée (Renaissance) Caroline Janvier, qui a interrogée le ministre de la Santé mercredi 11 octobre 2023, au sujet de la généralisation de la prescription du cannabis médical en France. Et la parlementaire a trouvé la réponse d’Aurélien Rousseau « encourageante ».

     

    Pourtant, le ministre exclu toute idée de généralisation en 2024, alors même que l’expérimentation qui est en cours dans notre pays s’arrête en mars prochain. En l’absence d’autorisation de mise sur le marché européenne, Aurélien Rousseau a pris l’engagement devant les membres de la commission des affaires sociales de déposer « un amendement pour que tous les bénéficiaires puissent continuer [leur traitement] et qu’on ait un statut ad-hoc pour le cannabis thérapeutique ».


    Le ministre de la Santé a exclu l’idée d’une généralisation du cannabis médical en 2024, mais propose une alternative qui semble ouvrir la voie à cette possibilité pour plus tard.

     

    « Je voudrais une généralisation tout de suite, mais comme il n’y a pas d’autorisation de mise sur le marché au niveau européen, on est obligé de créer ce statut ad-hoc ; ce qui est une bonne chose », indique la députée Janvier auprès d’Enquêtes d’actu qui révèle qu’elle déposera tout de même un amendement pour la généralisation du cannabis médical dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) qui sera discuté dès mardi 17 octobre. Un projet de loi qui aujourd’hui ne comporte pas une ligne sur ce « sujet sensible », comme le décrit lui-même le ministre.


    Une tribune pour réclamer la généralisation


    La parole d’Aurélien Rousseau était attendue par tous les acteurs de cette expérimentation est surtout par les milliers de patients qui bénéficient de cette expérimentation lancée en France en 2021.

     

    La veille de cette intervention, des politiques de tous bords et des spécialistes avaient signé une tribune dans Libération pour demander cette généralisation de la prescription dans le PLFSS.


    Les signataires ne voulaient pas d’un prolongement de l’expérimentation qui a fait ses preuves quant aux bénéfices pour les patients. Nous l’avions démontré dans notre enquête consacrée au cannabis médical. « Un nouveau report de la généralisation du cannabis médical, comme cela avait déjà été le cas l’année dernière, n’est plus envisageable », écrivaient les signataires.


    Ignorer les résultats positifs de l’expérimentation et ne pas généraliser l’accès au cannabis médical en 2024 serait une trahison pour ceux qui souffrent, notamment de cancer, d’épilepsie, de sclérose en plaques ou d’autres douleurs chroniques.

     

    « Plutôt une ouverture »


    Alors que la généralisation est exclue dans l’immédiat, cette prolongation de l’expérimentation avec à l’issue un « statut ad-hoc », « ce n’est peut-être pas si mal que cela », concède le professeur Nicolas Authier, chef du service de pharmacologie médicale au CHU de Clermont-Ferrand, signataire de la tribune dans Libé.

    L’expérimentation ne concerne que cinq indications thérapeutiques :


    - douleurs neuropathiques réfractaires (c’est-à-dire résistantes aux médicaments), - effets indirects de la chimiothérapie comme les nausées et la perte d’appétit, - épilepsie réfractaire, - soins palliatifs, - sclérose en plaque.
    Si en entendant le ministre, de prime abord, celui qui est aussi président du comité scientifique consacré au cannabis médical a déchanté, avec le recul l’alternative annoncée pourrait se révéler être « plutôt une ouverture ».
    Ce qui semble se profiler, c’est une prolongation pour les patients déjà inclus. Il n’y aura pas de nouveaux patients jusqu’à la création de ce « statut ad-hoc », qui permettrait de donner une autorisation de médicaments.


    Nicolas Authier, médecin.

     

    Cependant, le pharmacologue reste « vigilant quant au contenu de l’amendement qui sera déposé par le gouvernement et la manière dont il sera appliqué ». Parce qu’à ce stade, ce qui reste flou ce sont les conditions de prescriptions et de dispensation. « Il faut continuer sur le modèle de l’expérimentation avec une prescription à l’hôpital et ensuite un renouvellement par tous les médecins, sinon les patients du milieu rural seront exclus », insiste le professeur Authier auprès d’Enquêtes d’actu.
    Les zones d’ombres devraient s’éclaircir dans les prochains jours, avec l’examen du PLFSS par les parlementaires.


    Entre 100 000 et 300 000 patients


    En mai 2023, 1 650 patients étaient encore suivis par les structures hospitalières volontaires. Au total, près de 3 000 patients ont été suivis dans le cadre de cette expérimentation. La généralisation de la prescription, si elle voyait le jour, pourrait concerner jusqu’à 300 000 patients.


    En France, la réflexion sur l’usage du cannabis dans un cadre médical est engagée depuis 2018. L’expérimentation a été enclenchée en 2021 par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Le comité scientifique, présidé par le Pr Nicolas Authier, s’est très vite positionné en faveur de l’utilisation de ces nouveaux médicaments.


    Sur ce sujet la France fait figure de conservatrice, alors que de nombreux pays dans le monde utilisent ces médicaments à base de cannabis. Les États-Unis une amorcé une réflexion en 1990 et aujourd’hui, le cannabis médical est prescrit dans 38 États. En 1999, le Canada s’est lancé dans cette voie. Le cannabis thérapeutique est légal en Israël depuis 2001, depuis 2003 aux Pays-Bas. La Suisse a légiféré en 2011, la République Tchèque en 2013, l’Australie en 2016 et l’Allemagne s’est positionnée en faveur de ce traitement en janvier 2017.

     

    https://actu.fr/societe/generalisation-du-cannabis-medical-la-proposition-encourageante-du-ministre_60205474.html?fbclid=IwAR1_x6trub4mH885c_NDu3WaTccNiUH-PjSM28_jiJDeV-HmCmALxiOIGfg

     

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    Oui bon le sujet a déjà été évoqué sur ce topic

     

     

    Je ne vais donc pas aller plus loin dans ce débat ....

    Pour être clean au volant il ne faut juste pas consommer de weed à CBD puisqu'elle contiennent toutes un minimum de THC.

    ça n'est pas le CBD en lui même qui est interdit mais les traces de THC qui, même à dose infimes, sont prohibées.

    Par contre les huiles de CBD et e liquide qui ne contiennent aucunes traces de THC sont autorisées.

    Le problème c'est à la base d'appeler tout et n'importe quoi du CBD comme si le CBD était une plante (alors que non .... quand tu consommes une weed à CBD tu consommes aussi du THC et il n'y a pas de seuil en dessous duquel il serait autorisé de consommer), mais c'est bien le cannabis contenant du THC qui est interdit, donc le cannabis à CBD contenant du THC fait partie des plantes prohibées à la consommation et ça que se soit au volant ou en tapis volant.

     

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    Bon cette fois c'est la bonne..... Ou du moins elle coche les cases pour lui permettre d’intégrer ce concours qui fait la renommée mondiale de cannaweed ....

     

    Une "je ne sais pas la variété vue qu'elle n'est pas donnée par knb3159"  (donc si knb peut completer cette information capitale)

     

    Le breeder en tout cas est bien connu sur le forum ..... petit indice il miaule, (non ça n'est pas Nounoutte)

     

    Sur le topic dedié

     

     

     

     

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  6. Hey

     

    Bon il semble que, de nouveau, les choses semblent évoluer, mais, en France, on a l'habitude de danser..... Un pas en avant 2 pas en arrière, un trois quart de coté un demi tour de l'autre, une jambe en l'air et l'autre dans le paté .... bref on est pas (encore) sortie du bouzin ....

     

    L’heure du cannabis thérapeutique en France est venue


    Des parlementaires issus du camp présidentiel comme des oppositions appellent le gouvernement à ne plus repousser la généralisation de l'usage du cannabis médical pour les patients en « impasse thérapeutique », dans une tribune publiée en ligne ce 10 octobre par Libération.


    Pour l'heure, pas une ligne du PLFSS 2024 (projet de loi de financement de la Sécurité sociale) ne concerne le cannabis thérapeutique, alors même que l’expérimentation actuellement menée par l'Agence nationale du médicament (ANSM) doit prendre fin le 25 mars 2024 et que rien n'est encore annoncé en ce qui concerne la continuation de la prescription au-delà de cette date.


    Alors que l'expérimentation du cannabis médical en France est entrée dans sa troisième année, la quinzaine de députés et le sénateur co-signataires du texte, aux côtés d'un médecin pharmacologue et d'un pharmacien addictologue, estiment que « nous nous trouvons à un tournant décisif ».


    « Plus que jamais, nous avons l'occasion d'améliorer la vie de plusieurs milliers de patients en situation d'impasse thérapeutique, par ailleurs souvent en fin de vie », expliquent-ils, soulignant que l'expérimentation a été un succès, avec notamment « une sécurité d'emploi rassurante concernant les effets indésirables ».


    Déjà autorisé dans d'autres pays européens pour calmer la douleur et l'anxiété de certains patients, le cannabis médical ne l'est en France que dans le cadre d'une expérimentation lancée en 2021 pour deux ans, et reconduite en 2023 par le ministre de la Santé de l'époque, le Dr François Braun, qui estimait les données obtenues encore insuffisantes. Selon les médecins de l'expérimentation contactés par le Quotidien, l'expérience est pourtant couronnée de succès.


    Une « trahison » pour ceux qui souffrent


    « Ne pas généraliser l'accès au cannabis médical en 2024 serait une trahison pour ceux qui souffrent, notamment de cancer, d'épilepsie, de sclérose en plaques ou d'autres douleurs chroniques », jugent les signataires, appelant à distinguer cette question de celle du « cannabis récréatif ».


    En cas de report de la généralisation de l'usage médical, « les acteurs de l'industrie, ayant fourni gratuitement du cannabis à usage médical les deux premières années de l'expérimentation, ne se réengageront a priori pas pour une quatrième année », poursuivent-ils, avec le risque d'« interruptions de traitement pour près de 2 000 patients participant en ce moment à l'expérimentation ».


    La députée Renaissance Caroline Janvier, le député et patron du PS Olivier Faure, le député écologiste Julien Bayou, le député LR Antoine Vermorel-Marques, le député LFI Christophe Bex ou encore le sénateur socialiste Rachid Temal font partie des signataires de cette tribune, avec le médecin Nicolas Authier et le pharmacien addictologue René Maarek.
    La tribune des parlementaires a été saluée par l'Union des industriels pour la valorisation des extraits de chanvre (UIVEC) qui milite depuis des années pour la création d'une filière française de production du cannabis thérapeutique (la réglementation française très restrictive en la matière a obligé l'ANSM à faire appel à des fournisseurs étrangers pour son expérimentation).


    « L’entrée dans le droit commun des médicaments à base de cannabis dès la fin de l’expérimentation en 2024 et leur remboursement doivent impérativement être actés au travers du vote du PLFSS, peut-on lire dans un communiqué de l'UIVEC. Dès lors que le cannabis à usage médical ne figure pas dans le texte final, c’est l’ultime espoir de milliers de patients sans alternative thérapeutique qui sera anéanti. »


    Le cannabis thérapeutique fait l'objet d'un consensus assez large dans le monde politique, comme le reflète la tribune. Aucun élu du Rassemblement national ne l'a signée, mais la présidente du RN, Marine Le Pen s'était prononcée en mars 2022 « contre la légalisation du cannabis mais pour le cannabis thérapeutique ».

     

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    Bulletin du 8 Octobre 2023

     

    Bulletin IACM du 8 octobre 2023

    Science/Homme : La consommation de cannabis est courante chez les patientes atteintes d’un cancer du sein

    Selon une enquête menée par des chercheurs du département de radio-oncologie de l’université du Michigan à Ann Arbor (États-Unis), une grande partie des patientes atteintes d’un cancer du sein au stade précoce consomment du cannabis pour traiter l’insomnie et la douleur. Parmi les 2 462 patientes qui ont répondu à la question sur la consommation de cannabis, 14,8 % ont déclaré avoir consommé cette drogue au cours des 30 derniers jours et 59,4 % ont déclaré n’avoir jamais consommé de cannabis.

    Sur les 364 patients ayant déclaré avoir consommé du cannabis au cours des 30 derniers jours, 24,5 % l’ont fait pendant 1 ou 2 jours sur l’ensemble de la période de 30 jours, 19,8 % pendant 3 à 5 jours, 8,0 % pendant 6 à 9 jours, 18,1 % pendant 10 à 19 jours, 8,2 % pendant 20 à 29 jours et 21,4 % pendant l’ensemble des 30 jours. Les produits utilisés contenaient du THC (26,3 %), du CBD (19,7 %), des niveaux équilibrés de THC et de CBD (19,7 %) ou des ingrédients actifs inconnus du patient (34,2 %). Les patients ont fréquemment déclaré utiliser le cannabis pour lutter contre l’insomnie, l’anxiété et la douleur.

    Cousins MM, Dykstra MP, Griffith K, Mietzel M, Kendrick D, Trumpower E, Dusseau D, DominelloMM, Boike TP, Hayman JA, Walker EM, Jolly S, Mierzwa ML, Jagsi R, Vicini FA, Pierce LJ. Cannabis Use Patterns among Patients with Early-Stage Breast Cancer in a Large Multicenter Cohort from a State with Legalized Adult Non-Medical Cannabis. Redjournal.2023;117(2):E95.

     

    Science/Homme : Le CBN peut être utile pour les troubles du sommeil

    Dans une étude contrôlée par placebo menée auprès de 293 participants par des chercheurs de Canopy Growth Corporation, Canada, le CBN (Cannabinol) peut améliorer la qualité du sommeil. Les participants ont reçu un placebo, 20 mg de CBN, 20 mg de CBN + 10 mg de CBD, 20 mg de CBN + 20 mg de CBD ou 20 mg de CBN + 100 mg de CBD pendant 7 nuits consécutives. Les participants étaient âgés de 18 à 55 ans et estimaient que la qualité de leur sommeil était « très mauvaise » ou « mauvaise ».

    Par rapport au placebo, 20 mg de CBN ont eu un effet non significatif mais potentiellement significatif sur la qualité du sommeil et ont réduit de manière significative le nombre de réveils et les troubles du sommeil en général. Il n’y a pas eu de différence par rapport au placebo, quel que soit le groupe, en ce qui concerne la latence d’endormissement ou la fatigue diurne. Les personnes recevant 20 mg de CBN ont montré une réduction des réveils nocturnes et de la perturbation globale du sommeil par rapport au placebo, sans impact sur la fatigue diurne. L’ajout de CBD n’a pas eu d’effet positif sur les effets du traitement par CBN.

    Bonn-Miller MO, Feldner MT, Bynion TM, Eglit GML, Brunstetter M, Kalaba M, Zvorsky I, Peters EN, Hennesy M. A double-blind, randomized, placebo-controlled study of the safety and effects of CBN with and without CBD on sleep quality. Exp Clin Psychopharmacol. 2023 Oct 5. [sous presse].

     

    Science/Homme : De nombreux patients atteints de cancer utilisent le cannabis pour soulager leurs symptômes

    Des chercheurs de la division d’oncologie médicale de l’Ohio State University College of Medicine à Columbus (États-Unis) ont mené une enquête auprès de 934 patients atteints d’un cancer invasif et traités au cours des 12 derniers mois.

    Environ 15 % (n = 142) des patients consentants ont déclaré une consommation actuelle de cannabis, définie comme une consommation au cours des 12 derniers mois. Parmi eux, 75 % ont déclaré avoir consommé du cannabis au cours de la semaine écoulée. Parmi les consommateurs actuels de cannabis, 39 % utilisaient des produits à base de CBD. Les consommateurs actuels ont déclaré avoir consommé du cannabis en moyenne 4,5 jours par semaine, 2,0 fois par jour, et ce pendant 3 ans. Les auteurs ont noté que « les patients ont fait état d’un soulagement modéré à important des symptômes grâce à l’utilisation du cannabis ».

    Brasky TM, Newton AM, Conroy S, Adib A, Adley NC, Strassels SA, Hays JL, Cooper ZD, Wagener TL, Stevens E, Plascak JJ, Krok-Schoen JL. Marijuana and Cannabidiol Use Prevalence and Symptom Management Among Patients with Cancer (Prévalence de la consommation de marijuana et de cannabidiol et gestion des symptômes chez les patients atteints de cancer). Cancer Res Commun. 2023;3(9):1917-1926

     

    Science/Homme : Le cannabis peut être utile pour gérer les envies de stimulants chez les personnes qui consomment des drogues non réglementées

    Des enquêteurs du British Columbia Centre on Substance Use de Vancouver, au Canada, ont administré un questionnaire aux « personnes qui consomment simultanément du cannabis et des stimulants non réglementés à Vancouver, au Canada ». Au total, 297 personnes ont été incluses dans l’étude.

    134 (45 %) participants ont déclaré avoir consommé du cannabis pour gérer les envies de stimulants et 104 (78 %) d’entre eux ont déclaré avoir diminué leur consommation de stimulants pendant les périodes de consommation de cannabis.

    Dans les sous-analyses, la consommation de cannabis pour gérer les envies de stimulants était significativement associée à une réduction de la consommation de stimulants chez les personnes qui consommaient quotidiennement de la méthamphétamine en cristaux et n’était pas significativement associée à une réduction de la consommation de stimulants chez les personnes qui consommaient quotidiennement du crack/de la cocaïne.

    Reddon H, Socias ME, DeBeck K, Hayashi K, Walsh Z, Milloy MJ. Cannabis use to manage stimulant cravings among people who use unregulated drugs. Addict Behav. 2023;148:107867.

     

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    De pire en pire, le gouvernement actuel (comme les précédents) lâche les malades qui, encore une fois, se retrouvent seuls face aux problèmes qu'engendrent leurs pathologies.

    Être en situation de handicape ou d'invalidité en France en 2023 et avoir besoin de cannabis pour se soulager c'est une galère sans nom.

    En plus d'être jugé par une large part de la société.

     

    Le gouvernement ne proposera pas la légalisation du cannabis médical en 2024 en France

    Selon nos informations, la légalisation du cannabis médical pour 2024 ne sera pas portée par le gouvernement Macron. Le futur Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) ne comprendra en effet pas de ligne budgétaire pour généraliser le cannabis à usage médical, dont la dispensation est aujourd’hui limitée à quelque 2000 participants à l’expérimentation du cannabis thérapeutique.

     

    Interrogée par nos soins sur les raisons de cette absence, la Direction Générale de la Santé ne nous a pour l’instant pas répondu. D’autres sources nous indiquent tout simplement l’opposition de la Mildeca et du ministère de l’Intérieur.

     

    Franck Milone, fondateur du producteur de cannabis médical LaFleur, a pu nous répondre et nous confier qu’ils s’étaient « mobilisés auprès des autorités ces derniers mois afin de participer aux différents groupes de travail pour l’intégration du cannabis médical dans le droit commun. Les textes législatifs sont prêts, les patients et professionnels de santés sont en attentes d’un cadre clair, permettant un accès sécurisé au cannabis médical. La situation pour les patients est critique, beaucoup ont déjà été impactés l’année dernière avec les ruptures produits. Il faut que le gouvernement s’implique davantage pour cette problématique de santé publique ! La France ne devrait pas être un sous-marché. »

     

    Pour Mado Gilanton, présidente de l’association Apaiser S&C, « c’est une décision politicienne. Les personnes qui ont pris la décision n’ont pas pu lire les différents rapports de l’expérimentation, n’ont pas été confrontées aux retours positifs des patients et à leur situation d’extrême difficulté lors des ruptures de produits. Après 5 ans de travail et des retours extrêmement positifs, c’est incompréhensible. Il subsistera peut-être des amendements qui permettront un accès compassionnel pour les personnes qui en auront les moyens, mais c’est très décevant pour les personnes impliquées et les malades. »

     

    Le Pr Nicolas Authier pointe aussi du doigt les oppositions : « Après cinq années d’un travail sérieux sur cette question, se réveillent des forces contraires, avec leur cortège de fantasmes et aux éléments de langage irrationnels dignes des platistes. Ils vont tout faire pour restreindre au maximum l’accès de ces médicaments pourtant destinés à des patients en impasse thérapeutique et souffrance sévère. Nous devons être convainquant dans les prochaines semaines et opposer à leur idéologie, la pertinence et la rigueur de la démarche engagée lors de ces 5 années de travail et d’expérimentation. »

     

    Selon Frantz Deschamps, président de Santé France Cannabis, « les discussions autour du PLFSS étaient déterminantes pour la filière et pour les patients. Notre crainte essentielle, c’est qu’il y ait une prolongation ou une entrée dans le droit commun, avec un statut qui n’offre pas une réelle accessibilité aux patients. La DGS a pourtant fait un travail conséquent sur le statut ad hoc pour ces médicaments et les patients en impasse thérapeutique. Contrairement à ce qui peut être dit par certains, la filière française est prête à fournir ses premiers lots aux patients. Le combat reste aujourd’hui l’entrée dans le droit commun et une réelle accessibilité. »

     

    Pour Frédéric Prat, président de Principes Actifs : « Après cinq années, l’expérience du cannabis médical en France nous livre des faits indéniables : une lueur d’espoir pour 70% des patient.e.s en impasse thérapeutique. Leur qualité de vie s’améliorant de façon significative, avec une réduction voire une complète élimination de leurs souffrances. Le simple constat que des individus endurent une douleur inutile, tout cela au nom de considérations purement politiques, est insupportable. L’intégration de la légalisation du cannabis médical dans le PLFSS 2024 représente la seule et meilleure voie à suivre pour assurer l’accès à cette nouvelle thérapie bénéfique pour nos patient.e.s. »

     

    Pascal Douek, médecin et patient inclus dans l’expérimentation depuis avril 2021 ,déjuge aussi la décision. « Je ne peux qu’être inquiet devant l’inertie du gouvernement. L’enjeu n’est pas seulement les 2000 patients qui font partie de l’expérimentation mais aussi et surtout les dizaines de milliers de malades chroniques qui sont en attente de soulagement. Il est incompréhensible que les excellents résultats de l’expérimentation ne soient pas pris en compte pour un accès plus large au cannabis médical. »

    Quelle chance reste-t-il pour le cannabis médical en France ?

    L’inclusion de la généralisation du cannabis médical dans le PLFSS 2024 était la voie royale pour sortir de l’expérimentation et aboutir à une délivrance pour les malades atteints d’au moins une des 5 pathologies éligibles (épilepsie, oncologie, douleurs neuropathiques, soins palliatifs et spasticité douloureuse).

     

    La légalisation du cannabis médical pourra encore être proposée par amendement lors des débats autour du PLFSS, comme nous le confirme le Pr Nicolas Authier : « Faute d’arbitrage, il y aura donc un amendement du gouvernement a minima pour le faire entrer dans le droit commun – car il semble acté que l’expérimentation se termine en mars 2024 – voire un amendement transpartisan en préparation avec Caroline Janvier, comme contre-proposition si le premier ne semble pas adapté et surtout trop restrictif. »

    Quel avenir pour l’expérimentation du cannabis médical ?

    Deux scénarios s’offrent ici.

     

    L’expérimentation pourrait être prolongée pour continuer d’accompagner les patients actuels et leur fournir les médicaments dont ils ont besoin. Dans ce cas, elle ne serait pas en mesure d’incorporer davantage de personnes malades.

     

    Elle pourrait également se terminer, sans accès aux médicaments à base de cannabis pour les patients, sauf si une solution était trouvée par ailleurs via les amendements.

     

    __________________________________________________________________

     

    Combien pourrait rapporter le cannabis médical à la France ?

    Il est des questions qui passent généralement après le reste. La légalisation du cannabis médical est un sujet qui tient le plus souvent aux besoins des patients et qui ne s’arrête pas seulement à la sécurité publique ou à des possibilités de financement.

     

    Si la France décidait de généraliser le cannabis médical, elle aurait alors le choix de s’en tenir à des importations, généralement complexes et coûteuses, ou de favoriser l’émergence d’une filière nationale qui, en plus d’engager la souveraineté de l’Etat, permettrait l’accès à des matières à usage et de qualité médicales à bien meilleur coût que sur les marchés internationaux.

    Se pose alors une question importante : combien pourrait rapporter le cannabis médical à la France ?

     

    Les références en la matière manquent. Une méthode pourrait être de partir du nombre de patients, de leurs besoins moyens par mois, d’en déduire le nombre de sites de culture, d’analyse et de transformation nécessaires à la production de ce cannabis à usage médical et de calculer, selon un prix moyen, le chiffre d’affaires généré par le secteur. Une tannée et Newsweed n’a pas le temps et les moyens d’un institut de sondage français.

     

    Proche de nous, en Allemagne, sont connus le nombre d’ordonnances délivrées pour du cannabis, environ 400 000, sans dimension de nombre de patients. Les estimations vont de 100 à 150 000. Sont connues aussi les quantités importées par le pays, 20,6 tonnes, en plus de 2,6 tonnes produites localement. Une partie des importations est toutefois réexpédiée dans d’autres pays, ne rendant ainsi pas compte des quantités réellement consommées. Les montants versés par l’assurance maladie sont connus, environ 200 millions d’euros pour l’année 2023, mais sans lien direct avec le chiffre d’affaires de l’industrie allemande du cannabis, encore toute petite et très majoritairement importatrice, donc sans création de valeur autre qu’une marge distributeur sur le sol fédéral.

     

    Le statut médical du cannabis étant très différent selon les Etats aux Etats-Unis, il semblerait plus opportun de regarder vers le Canada. Là aussi les estimations divergent. Une partie des patients médicaux s’approvisionne sur le marché adulte, l’autre fait pousser avec des autorisations de plante à faire pâlir la PQR française : techniquement sans limite, et dans les faits, jusqu’à quasiment 500 plantes par patient dans certaines provinces anglophones. Les enquêtes déclaratives tournent autour de 75$CA dépensés par mois par un patient canadien, mais les quantités annoncés par Statistique Canada sont de l’ordre de 2 grammes de cannabis par jour pour un patient, soit environ 300$CA par mois. Bien que l’office statistique canadien rende bien compte des ventes et de l’impact du cannabis dans le pays, la vue est limitée.

     

    Mais, puisqu’il y a un mais, un rapport de 2022 de Deloitte pourrait nous éclairer. Au global, l’industrie canadienne a vendu en 2021 2,7 milliards d’euro de cannabis, ventes non-médicales incluses. A cette date-là, le marché médical représentait grosso modo 10% du marché total, soit 270 millions d’euros pour 200 000 patients.

     

    La contribution à l’économie du secteur du cannabis est encore plus grande. Alors que les ventes depuis 2018 de cannabis sont estimées par Deloitte à 7,6 milliards d’euros, la contribution du secteur, en prenant en compte l’activité économique directe, indirecte et induite s’élève là-bas à 30,3 milliards d’euros et 151 000 emplois. Soit, si on garde la proportion précédente de 10%, de 3 milliards d’euros et 15 000 emplois pour la seule industrie médicale du cannabis en 4 ans.

     

    Alors évidemment, ce ne sont que des produits en croix sur un bout de table. Mais puisque les arguments de raison n’ont pas su faire mouche, quid de l’intérêt financier ?

     

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    Le Portugal passe la vitesse supérieure ....

     

    Je vais arrêter de poser la question : Et la France dans tout ça ???

     

     

    Le Portugal s’oriente vers la légalisation du cannabis

     

     

    Dans le cadre d’un changement significatif du discours politique portugais, un consensus se dégage de plus en plus en faveur de la légalisation du cannabis pour un usage adulte au Portugal.

     

    Lors d’un débat à l’Assemblée de la République (AR), des représentants de divers partis et organisations politiques ont exprimé leur soutien à la régulation du cannabis plutôt qu’au maintien de politiques prohibitionnistes.

     

    Cette évolution fait suite à l’annonce récente du Parti socialiste (PS), qui détient actuellement la majorité au sein du gouvernement portugais, concernant la formation d’un nouveau groupe de travail chargé de discuter de la légalisation de l’usage personnel du cannabis.

     

    La conférence, intitulée « Exposition au cannabis pendant l’adolescence et santé » et organisée par le Groupe d’activistes pour le traitement (GAT), semble indiquer qu’un consensus est en train de se dégager dans différents milieux pour aller de l’avant vers la régulation de l’usage personnel du cannabis.

     

    Placée sous la coordination scientifique du professeur Teresa Summavielle, elle réunissait des experts nationaux et internationaux qui sont par exemple intervenus sur la compréhension et la prise en compte des risques associés à la consommation de cannabis, en particulier chez les adolescents.

     

    Perspectives politiques sur la régulation du cannabis

    António Maló de Abreu, président de la commission de la santé et membre du parti social-démocrate, a reconnu la complexité de la question du cannabis. Il a souligné l’importance de protéger les jeunes des dommages potentiels de la consommation de cannabis tout en reconnaissant l’évolution des tendances internationales en faveur de la réglementation. Toutefois, il a également exprimé des inquiétudes quant au fait que la légalisation pourrait involontairement augmenter la consommation de cannabis chez les mineurs, ce qui ne semble pas se voir à l’étranger.

     

    Carlos Alves, vice-président d’Infarmed, l’autorité portugaise pour les médicaments et les produits de santé, a souligné la nécessité pour le Portugal de s’engager dans des discussions sur la consommation non médicale de cannabis, car il s’agit d’un sujet mondial. Il a souligné l’importance d’aborder les risques associés à la consommation de cannabis, en particulier les maladies psychologiques, tout en reconnaissant la diversité des approches adoptées par les différents pays.

     

    João Goulão, du SICAD (Service d’intervention en matière de conduites addictives et de dépendances), a adopté une position plus souple sur la réglementation de la consommation de cannabis chez les adultes. Il a insisté sur la nécessité de minimiser les effets nocifs du cannabis, en particulier chez les adolescents, et a suggéré d’envisager un paradigme réglementaire plus large pour diverses substances. M. Goulão a insisté sur le fait que, même si les intérêts économiques peuvent jouer un rôle, l’accent doit être mis avant tout sur la santé et sur la prise de décision fondée sur des données probantes.

     

    Vers une réglementation responsable du cannabis

    Luís Mendão, directeur de l’initiative citoyenne du GAT, a modéré les discussions et a souligné l’engagement de l’organisation en faveur d’une réglementation responsable fondée sur la connaissance et la protection de la santé. Il a rappelé le soutien de trois recteurs d’université à la régulation du cannabis dans une lettre adressée au Parlement.

     

    Maria de Lurdes Rodrigues, rectrice de l’ISCTE et ancienne ministre de l’éducation, a exprimé son soutien à la réglementation du cannabis, soulignant l’importance de fonder les politiques sur des faits empiriques plutôt que sur des opinions personnelles. Elle a également établi des parallèles avec l’alcool, soulignant les effets négatifs de la consommation d’alcool sur la santé et le comportement.

     

    Le Portugal est témoin d’un changement significatif dans son approche de la régulation du cannabis, avec un soutien croissant à la légalisation de l’usage adulte. Les discussions au sein de l’Assemblée de la République indiquent une volonté d’explorer des approches de la politique du cannabis fondées sur des données probantes, qui donnent la priorité à la santé et à la sécurité, en particulier chez les jeunes.

     

    Bien que des considérations économiques soient à l’ordre du jour, l’objectif principal reste la réduction des risques potentiels associés à la consommation de cannabis, ce qui reflète l’évolution des tendances internationales en faveur de la réglementation plutôt que du prohibitionnisme.

     

    https://www.newsweed.fr/portugal-pas-vers-legalisation-cannabis/?fbclid=IwAR3-X7HAKaIMYDohaqH5CEa3D1zCJ5gLiETCBBIAuSeBGDFzqofllOy4o00

     

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    Le 17/09/2023 à 12:02, Savoibien a dit:

    je vois ces bestioles comme la perfection de la nature!!

     

    oui, les araignées et autres insectes sont tellement "perfect" ...

     

    Le 17/09/2023 à 12:02, Savoibien a dit:

    Ça c'est 20/25cm ...

     

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    Outch, le genre de copine que tu n'as pas forcement envie d'avoir dans ton duvet ....

     

    Le 17/09/2023 à 12:02, Savoibien a dit:

    il y a vraiment de endroits magnifique dans ce monde de merde ... ça serait quand-même con de tout bousiller ...

     

    yeap, on est d'accord.

     

    Allez zoupla pour quelques photos ....

     

     

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  11. Hey

     

    Avant qu'un des terribles modos te reprennes, n'oublie pas les formules de politesses .... un minimum de courtoisie est bienvenue sur le forum.

     

    Aussi tu aurais pu trouver, avec un minimum de recherche, la réponse avec google ...

     

    https://www.dinafem.org/fr/blog/huile-olive-cannabique-cbd/

     

    https://www.cibdol.fr/encyclopedie-du-cbd/quel-est-le-meilleur-moyen-d-extraire-le-cbd-du-chanvre

     

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  12. Hey

     

    nouveau bulletin IACM 24 Septembre 2023

     

    Bulletin de l'IACM du 24 septembre 2023

    IACM : WeCann et IACM organisent la plus grande conférence d'Amérique latine sur les cannabinoïdes dans la médecine en novembre 2023 au Brésil

    Le WeCann Summit 2023 est le principal congrès des médecins sur la médecine endocannabinoïde en Amérique latine. Il est organisé en coopération avec l'IACM.

    Organisé par la WeCann Academy, une plateforme pour l'éducation et la formation des médecins dans ce domaine, le WeCann Summit offrira un contenu technique hautement qualifié sur les avancées scientifiques les plus importantes dans ce domaine, ce qui est sans précédent au Brésil.

    Conférence au Brésil 2023

    Thaïlande : Le nouveau Premier ministre veut restreindre la consommation de cannabis

    Le nouveau premier ministre thaïlandais s'est engagé à restreindre l'usage du cannabis à des fins médicales après que le pays est devenu le premier en Asie à dépénaliser le cannabis il y a un an. Le gouvernement cherchera à "rectifier" sa politique en matière de cannabis et la multiplication des dispensaires qui vendent librement cette drogue dans un délai de six mois, a déclaré le Premier ministre Srettha Thavisin dans une interview.

    "La loi devra être réécrite", a déclaré M. Srettha. "Elle doit être rectifiée. Nous pouvons réglementer l'usage du cannabis à des fins médicales uniquement", a-t-il ajouté. Bien que M. Srettha ait déclaré que la coalition de 11 partis qu'il dirige s'accordait largement sur la nécessité de restreindre la consommation de cannabis, la manière dont son administration procédera exactement reste incertaine.

    Heure du 21 septembre 2023

    Science/Homme : Une méta-analyse n'a pas permis de déterminer si le cannabis est nuisible ou bénéfique pour les patients atteints de psychose

    Des chercheurs de plusieurs pays européens, américains et africains ont réalisé une méta-analyse sur l'association entre la consommation de cannabis et la schizophrénie. Ils ont conclu que les résultats ne permettaient pas de déterminer si le cannabis était nuisible ou bénéfique pour les symptômes de la maladie. Ils ont contacté les auteurs des études pertinentes afin d'extraire des ensembles de données brutes et de réaliser une méta-analyse des données individuelles des participants.

    Parmi les 1149 études identifiées, 65 étaient éligibles et 21 ensembles de données ont été partagés, totalisant 3053 cas complets. La consommation de cannabis était associée à une plus grande sévérité des symptômes positifs, à une plus faible sévérité des symptômes négatifs et à une plus grande sévérité de l'excitation. Aucune association n'a été trouvée entre la consommation de cannabis et la désorganisation ou la dépression. Ils ont conclu qu'"aucune relation de cause à effet ne peut être déduite des résultats actuels. Les résultats pourraient être en faveur d'un effet à la fois préjudiciable et bénéfique du cannabis sur les symptômes positifs et négatifs, respectivement".

    Argote M, Sescousse G, Brunelin J, Baudin G, Schaub MP, Rabin R, Schnell T, Ringen PA, Andreassen OA, Addington JM, Brambilla P, Delvecchio G, Bechdolf A, Wobrock T, Schneider-Axmann T, Herzig D, Mohr C, Vila-Badia R, Rodie JU, Mallet J, Ricci V, Martinotti G, Knížková K, Rodriguez M, Cookey J, Tibbo P, Scheffler F, Asmal L, Garcia-Rizo C, Amoretti S, Huber C, Thibeau H, Kline E, Fakra E, Jardri R, Nourredine M, Rolland. Association entre la consommation de cannabis et les dimensions des symptômes dans les troubles du spectre de la schizophrénie : une méta-analyse de données individuelles sur 3053 personnes. EClinicalMedicine. 2023;64:102199.

    Science/Homme : Le cannabis pourrait être utile aux patients atteints de démence

    Selon une étude menée auprès de 50 patients atteints de démence diagnostiquée et examinés en psychiatrie gériatrique au centre médical de l'université de Chicago (États-Unis), le THC pourrait améliorer les symptômes neuropsychiatriques et réduire la prise de neuroleptiques. Les chercheurs ont évalué l'efficacité du THC obtenu en dispensaire.

    L'utilisation par les soignants du THC obtenu en dispensaire était élevée (76%). La majorité des patients (79%) qui ont pris du THC ont vu leurs symptômes neuropsychiatriques s'améliorer selon leurs soignants. Le THC a été recommandé le plus souvent pour l'agitation, l'agressivité, l'irritabilité, la labilité, l'anxiété et l'insomnie. Parmi les 20 patients qui prenaient des antipsychotiques au départ et qui ont pris du THC, plus de la moitié (60%) ont pu diminuer ou arrêter l'antipsychotique.

    Sawicki SM, Hernandez C, Laiteerapong N, Zahradnik EK. The Use of Dispensary-Obtained Tetrahydrocannabinol as a Treatment for Neuropsychiatric Symptoms of Dementia. J Clin Psychiatry. 2023;84(6):23m14791.

    Science/Homme : Une petite étude clinique montre que le cannabis vaporisé est efficace dans le traitement du syndrome de stress post-traumatique

    Un petit essai clinique mené par des chercheurs du département de psychologie de l'université de Colombie-Britannique à Kelowna, au Canada, a montré des résultats positifs dans le traitement du syndrome de stress post-traumatique (SSPT). L'essai a évalué les effets d'un chimiovar disponible dans le commerce et administré par vaporisation. L'étude a été conçue comme une étude croisée randomisée contre placebo avec trois conditions.

    Cependant, seules cinq personnes ont terminé l'essai et l'analyse de l'effet placebo n'a pas été possible. Les résultats ont mis en évidence des changements positifs compatibles avec des effets intra-sujet de taille moyenne pour le cannabis dans le traitement du syndrome de stress post-traumatique.

    Walsh Z, Mitchell I, Crosby K, St Pierre M, DeClerck D, Ong K, Lucas P. A small clinical trial of vaporized cannabis for PTSD : suggestive results and directions for future study. Trials. 2023;24(1):578.

    Nouvelles en bref

    Nations unies : appel à passer des mesures punitives à la santé publique pour lutter contre la consommation de drogue

    Un représentant des droits de l'homme de l'ONU rapport appelle à abandonner les mesures punitives pour s'attaquer au problème mondial de la drogue au profit de politiques fondées sur les droits de l'homme et la santé publique, estimant que le recours disproportionné aux sanctions pénales est préjudiciable.

    Nations Unies du 20 septembre 2023

    Science/Homme : le CBD sublingual présente un profil pharmacocinétique similaire à celui du CBD oral

    Dans une étude portant sur 8 hommes, le CBD dit sublingual a montré un profil pharmacocinétique similaire à celui du CBD administré par voie orale. Les auteurs ont noté que cela "implique que l'huile de CBD délivrée par voie sublinguale est avalée avant que l'absorption du CBD par la muqueuse buccale ne se produise".

    Centre national pour la médecine du sport et de l'exercice, École des sciences du sport, de la santé et de l'exercice, Université de Loughborough, Royaume-Uni.

    Johnson DA, et al. Cannabis Cannabinoid Res. 2023 Sep 22. [in press]

    Science/Cellules : Le CBD a des effets antiviraux étendus

    Les chercheurs ont démontré des effets antiviraux contre le virus Zika et d'autres virus dans des expériences cellulaires. Les auteurs ont conclu qu'il "a été démontré que le CBD inhibe des virus structurellement dissemblables, ce qui suggère que ce produit phytochimique a un effet antiviral à large spectre, représentant une alternative précieuse dans les situations d'urgence lors d'épidémies virales, comme celle causée par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère en 2020."

    Laboratorio de Virología, Departamento de Química Biológica, Facultad de Ciencias Exactas y Naturales, Universidad de Buenos Aires (UBA), Argentine.

    Marquez AB, et al. Cannabis Cannabinoid Res. 2023 Sep 8. [in press]

    Science/Cellules : Le rimonabant et le CBD pourraient être utiles dans le traitement du cancer du sein

    Sur des cellules de cancer du sein, les chercheurs ont "démontré le potentiel antimétastatique des deux composés, et les analyses des réseaux de membranes ont mis en évidence leur capacité à modifier la libération de facteurs impliqués dans la régulation autocrine et paracrine de la prolifération tumorale, de l'angiogenèse et de la reprogrammation immunitaire".

    Département de pharmacie, Université de Salerne, Fisciano, Italie.

    Proto MC, et al. Int J Mol Sci. 2023;24(17):13427.

    Science/Animal : Le CBD inhibe la croissance du cancer du sein chez la souris

    Dans un modèle murin de cancer du sein, "les résultats confirment que le CBD bloque in vivo le développement de tumeurs du cancer du sein formées par des cellules induites en malignité par l'IL-1β, ce qui confirme son potentiel thérapeutique pour le traitement du cancer".

    Département de biomédecine moléculaire, Centro de Investigación y de Estudios Avanzados del Instituto Politécnico Nacional, Mexique.

    García-Morales L, et al. Int J Mol Sci. 2023;24(17):13235.

    Science/Animal : Le CBD améliore les symptômes des troubles du développement neurologique chez la souris

    Dans un modèle murin de troubles neurocomportementaux, le CBD a amélioré les anomalies neurocomportementales en rétablissant l'équilibre excitation-inhibition du cortex préfrontal.

    École des sciences médicales fondamentales, Université de médecine traditionnelle chinoise de Chengdu, Chengdu, Chine.

    Zhang L, et al. Neuropharmacology. 2023;240:109715.

    Science/Animal : Le CBD peut réduire le stress chez les poissons d'aquaculture

    Dans une étude portant sur des tilapias du Nil (Oreochromisn niloticus) stressés et non stressés, élevés dans un système d'aquaculture en circuit fermé, le CBD ajouté à faible dose à l'alimentation a réduit le stress.

    Département de biologie, Université Purdue Fort Wayne, Fort Wayne, États-Unis.

    Mortuza A, et al. PLoS One. 2023;18(9):e0290835

    Science/Cellules : Le CBD inhibe la prolifération et l'invasivité des cellules cancéreuses de la prostate

    Dans une étude portant sur des cellules cancéreuses de la prostate, le CBD a montré des effets anticancéreux. Les auteurs ont noté que "la capacité du CBD à inhiber la prolifération et l'invasivité des cellules du cancer de la prostate suggère que le CBD pourrait avoir un potentiel en tant que futur agent chimiothérapeutique".

    UCD School of Biology and Environmental Science, University College Dublin, Irlande.

    O'Reilly E, et al. J Nat Prod. 2023 Sep 13. [sous presse].

    Science/Animal : Une combinaison de THC et de CBD peut réduire l'anxiété et la dépression

    Dans une étude sur des rats, qui ont reçu une combinaison de THC et de CBD dans un rapport de 1 à 100 dans une formulation comestible, la préparation a réduit le stress. Les auteurs ont conclu que ces "résultats démontrent un nouveau potentiel synergique pour les formulations comestibles de THC:CBD dans les pathologies liées au stress".

    Groupe de recherche sur les addictions, École de médecine et de dentisterie Schulich, Université de Western Ontario, Canada.

    Pérez-Valenzuela E, et al. Curr Neuropharmacol. 2023 Sep 13. [sous presse].

    Science/Cellules : Plusieurs cannabinoïdes non psychédéliques pourraient être utiles dans la maladie d'Alzheimer

    Dans un modèle cellulaire de la maladie d'Alzheimer, "le cannabinol, la cannabidivarine et le cannabigérol assurent une neuroprotection", alors que le CBD n'est pas efficace. Le cannabichromène, le cannabigérol et le cannabinol ont inhibé la neurotoxicité causée par la protéine bêta-amyloïde, un marqueur clé de la maladie d'Alzheimer.

    Discipline de pharmacologie, École de biomédecine, Faculté de santé et de sciences médicales, Université d'Adélaïde, Australie.

    Marsh DT, et al. Basic Clin Pharmacol Toxicol. 2023 Sep 11. [sous presse].

    Science/Human : Le taux sanguin d'anandamide peut distinguer la cystite interstitielle de la vessie hyperactive

    Les chercheurs ont comparé les taux d'anandamide chez 20 patients atteints de cystite interstitielle, 20 patients souffrant du syndrome de la douleur vésicale et 20 patients souffrant d'hyperactivité vésicale, ainsi que chez 15 témoins ne souffrant pas de ces problèmes. Les auteurs ont noté que "l'anandamide sérique peut être un biomarqueur diagnostique réalisable pour la cystite interstitielle/le syndrome de la douleur vésicale. La réduction des niveaux d'anandamide sérique peut être associée à l'initiation de la douleur et de l'inflammation, reflétant la pathologie de la cystite interstitielle/syndrome douloureux de la vessie".

    Département d'urologie, Université médicale de Nara, Japon.

    Torimoto K, et al. Low Urin Tract Symptoms. 2023 Sep 8. [in press]

     

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  13. Hey

     

    je ne suis pas adepte de l'extraction à l'huile d'olive et il est difficile de répondre aux questions que tu poses.

     

    Il y a 3 heures, card15nod2 a dit:

    Quel est le dosage pour un litre d'huile ?

     

    On ne prépare pas un litre, la conservation de ton extrait huileux dans les meilleurs conditions c'est 3 à 4 mois.

     

    Commence par évaluer ta consommation, combien de prises quotidienne, combien de gouttes par prises, tu saura ainsi quel est ton besoin et en fonction de cette information il sera possible de quantifier la masse végétale nécessaire et la quantité d'huile à prévoir.

     

    Il y a 3 heures, card15nod2 a dit:

    Ca donnera un pourcentage de CBD d'environ combien de pourcent ?

     

    Impossible de répondre sans connaitre la variété utilisée et de toute façon, même en connaissant le pourcentage de cannabinoïdes contenu dans la fleur, ce serait pas serieux de ma part de te donner une information non fiable.

     

    L’extraction à l'huile d'olive est une extraction artisanale simple qui ne demande pas de connaissances spécifiques mais qui ne donnera jamais un titrage de cannabinoïdes élevé.

     

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  14. Hey

     

    Il y a 2 heures, Marius1793 a dit:

    J’ai fabriqué des huiles à base d’huile de coco que j’ai fait infusé avec de la fleur et extract ( bonne decarbo avant  etc). 

     

    Déjà tu utilises les fleurs c'est plutôt bien pour préparer une huile de qualité. Les résidus de vaporisation, ça marche, mais franchement c'est loin d’être le top pour un usage médical/thérapeutique (avec les résidus tu n'auras jamais un full spectrum, ce qui est justement recherché pour l'usage méd.) .... mais qu'est ce que tu entends par "extract" (quels type d'extract???)

     

    Il y a 2 heures, Marius1793 a dit:

    je consomme que très peu d’huile . (2/3 gouttes et je suis très bien pour 4h). J’en ai fait pour 2 ans au moins.

     

    Alors la c'est dommage .... Les principes actifs du cannabis se dégradent, donc sur de la longue voir très longue conservation tu perdras de la puissance, les effets changeront, mais ton huile sera rance avant que la dégradation ne soit à son terme.

     

    Il y a 2 heures, Marius1793 a dit:

    L’huile de coco est super car elle se fige. J’ai tout mis dans des flacons noir contre lumière puis dans une boîte compartiment frigo. Vous pensez qu’elle gardera sa puissance avec le temps ?

     

    C'est étonnant le choix de l'huile de coco pour des prises en gouttes, justement parce qu'elle fige et que, pour pouvoir la consommer, tu dois la réchauffer.... Ce qui à la finale agit à la fois sur la dégradation des cannabinoïdes, terpènes et autre composants du cannabis flavonoïdes etc.... mais aussi sur celle de ton huile.

    Je ne te vois pas réchauffer 2 ou 3 gouttes à la fois (mais je peux me tromper) ... D'ailleurs si tu peux préciser comment tu procèdes ça serait pas mal ....

    Dans ton cas et si tu tiens tant que ça à une huile qui fige je te conseillerais de la conserver non pas en bocal, mais en gélules. Une gélule correspondant à une prise, ça te permet de, soit réchauffer pour une absorption en sublingual soit prendre la gélule comme un medic et simplement l'avaler, les effets seront plus long à venir et seront également différents puisque l'huile sera métabolisée par le foie.

     

    Il y a 2 heures, Marius1793 a dit:

    J’ai tout mis dans des flacons noir contre lumière puis dans une boîte compartiment frigo

     

    Bien joué....

     

    Il y a 2 heures, Marius1793 a dit:

    Après pour avoir eu déjà de l’huile d’olive qui ne se figeait pas dans le frigo , l’effet restait le même jusqu’à 6 mois après …

     

    L'huile d'olive ne fige pas même au frigo, quand à l'effet qu'elle ai gardé ses effets au bout de 6 mois n'a rien d’étonnant, avec l'huile comme avec le Hash le pique du curing se situe entre 9 mois et un an (en fonction aussi des variétés et des modes d'extractions), après ça commence à se dégrader lentement mais surement.

     

    Il y a 2 heures, Marius1793 a dit:

    peut être le congèle est le mieux ? 

     

    oui et non, tu pourras effectivement mieux conserver les principes actifs et composants, mais une fois décongelée, tu ne peux pas recongeler (les gélules seraient donc plus adaptées à la fois pour la conservation en congélo (de l'huile et des principes actifs) et aussi parce que tu ne sortirais que ce dont tu as besoin quotidiennement)

     

    @bob67 "un ptit lien intéressant où peut être tu pourrais avoir + de réponses"

     

    Pas pour un usage médical.

     

    Pour juste avoir un produit qui décalque oui, encore que la filtration avec une serviette c'est pas le top, il vaut mieux utiliser un bas et se cramer un peu les mains pour bien presser la masse végétale..

     

    @+

     

    :bye:

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  15. Hey

     

    Retour dans le Bas Rhin. De Strasbourg à Eckbolsheim en passant par Schiltigheim .... Bienvenue au pays des "Heim" ...

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    @+

     

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