Indi-Punky

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Messages posté(e)s par Indi-Punky

  1. Comment l'employeur pourrait pister la consommation de drogue de ses salariés

     

     

     

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    Un plan gouvernemental, des groupes de travaux, des assises régionales, des états généraux, un baromètre largement médiatisé avant une conférence internationale prévue au mois de mai : impossible d'ignorer le récent intérêt des autorités sanitaires pour la drogue au travail. "C'est un tabou qui va être levé", motive Etienne Apaire, de la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt). Cela reflète "une problématique qui est de plus en plus importante dans le débat publique", estime de son côté François Beck de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes), institut auteur du baromètre. Mais derrière cette thématique émerge un enjeu crucial : le rôle que peut jouer l'entreprise dans la prévention et le contrôle des pratiques addictives.

     

    Lire : "La drogue au travail : les dopés du quotidien"

     

    Pour les autorités sanitaires, l'argument central est la sécurité : selon la Mildt, "près de 15 % à 20 % des accidents professionnels, d'absentéisme et de conflits interpersonnels au travail seraient liés à l'usage d'alcool, de psychotropes ou de stupéfiants". D'après le baromètre de l'Inpes, la plus forte consommation d'alcool quotidienne correspond aux secteurs de l'agriculture, de la pêche et de la construction. Or, note François Beck, "ce sont des métiers où la prise de risque est plus fréquente, pour quelqu'un qui manipule une grue ou fait des travaux en équilibre par exemple". Et la Mildt de noter la responsabilité juridique de l'employeur en cas d'accident. Enfin, l'usage de substances illicites, comme la cocaïne, "pose un problème de vigilance et de légalité pour un employeur qui est face à un comportement interdit", souligne François Beck. Certaines entreprises comme la SNCF pratiquent ainsi des dépistages pour les postes de sécurité.

     

    "APTE" OU "INAPTE" : LE DÉPISTAGE

     

    "La mise en place de dépistages est un outil comme un autre pour savoir si quelqu'un est apte à occuper un emploi", considère Etienne Apaire. Dépistage à l'embauche, dépistage aléatoire : l'entreprise peut ainsi déterminer, sans connaître le détail des résultats, si un employé est "apte" ou "inapte". En mai 2011, le Comité consultatif national d'éthique avait rendu son avis sur le dépistage de substances illicites sur le lieu de travail : il l'avait étendu mais autorisé uniquement pour des "postes et fonctions de sûreté et de sécurité", établis au cas par cas par les entreprises. En des termes sibyllins, Etienne Apaire encourage "les partenaires sociaux" de toutes les entreprises à "débattre de ce sujet" et mettre en place des "politiques de prévention", ce que font déjà certaines entreprises avec des affichages et des campagnes de sensibilisation. D'autres pays vont bien au-delà, "aux Etats-Unis, un salarié sur deux est dépisté", révèle ainsi Astrid Fontaine, sociologue et auteure de Double vie: les drogues et le travail.

     

    Le dépistage généralisé en entreprise "pose des questions éthiques pas simples", évoque François Beck, dubitatif. Un médecin du travail rattaché à une entreprise pratiquant des test de dépistages sur des postes dits de sécurité partage également son scepticisme : "cela n'est pas d'une grande utilité si ce n'est de faire peur et faire perdre confiance : il vaut mieux en parler". Pour Astrid Fontaine, c'est l'enjeu économique qui motive une telle volonté, "le lobby pharmaceutique produit et cherche à vendre des tests de dépistage en entreprise, c'est un marché énorme". Face à "un marché américain saturé", l'industrie pharmaceutique s'intéresserait à l'Europe. "D'autant plus qu'en parallèle, les laboratoires produisent aussi les produits qui permettent de falsifier les tests, ce qui représente un marché", dénonce la sociologue. Alors que tests et campagnes de prévention sont financés par les entreprises les pratiquant, la Mildt se défend de tout transfert de responsabilité.

     

    LIMITER LES POTS EN ENTREPRISE, DONNER L'ALERTE

     

    Sans aller jusqu'à pratiquer des tests pour cibler les substances illicites, Philippe Hache, de l'Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles, questionne la consommation d'alcool sur le lieu de travail. Le code du travail l'autorise mais l'entreprise peut l'interdire. "Il faut éviter les pots avec alcool lorsqu'on a identifié des personnels ayant des problèmes avec cette substance." Qu'en est-il de la convivialité, du libre-arbitre de l'employé ? "Il s'agit d'aider, de soutenir, il faut que la convivialité reste sans montrer du doigt", tente Philippe Hache. Le pilote de la thématique drogue au travail à l'institut préconise également la signalisation de collègues alcooliques auprès du médecin du travail. "Ce n'est pas de la délation, c'est une alerte face à quelqu'un en danger pour lui-même et l'équipe," justifie Philippe Hache.

     

    "Je crois beaucoup à la médecine du travail", avance de son côté François Beck. "ll faut faire passer des questionnaires de façon systématique" pour cerner ce que le salarié "ne dévoile pas car cela peut être considéré comme une faiblesse", estime le spécialiste. Astrid Fontaine doute quant à elle de l'efficacité de l'action des médecins du travail, déjà "en sous effectif énorme" et en déficit de formation sur la question des drogues. A l'appui du cas pratique d'un salarié licencié de son entreprise peu après un test positif au cannabis, la sociologue s'inquiète de l'ingérence de l'entreprise dans l'addiction des individus : "le risque est que, sous le prétexte d'aider, on fragilise".

     

    Flora Genoux

     

     

     

     

    Source: Le Monde

     

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  2. L’Amérique latine veut faire la paix des drogues

     

     

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    Alors que les principaux candidats à la présidentielle française font de leur mieux pour éviter le sujet, la question du statut légal des drogues sera l’un des principaux points abordés au Sommet des Amériques, qui se déroule -tout un symbole- en Colombie ce weekend, en présence de chefs d’Etat de tout le continent. Et le Président Obama, attendu ce vendredi à Carthagène, pourrait ne pas être à la fête, alors que de nombreux dirigeants latino-américains mettent aujourd’hui ouvertement en cause la guerre à la drogue impulsée depuis quarante ans par les Etats-Unis.

     

    Histoire de donner le ton des discussions à venir, le nouveau président du Guatemala, Otto Perez Molina, lançait le 7 avril dans les colonnes du Guardian, un appel à la « régulation » du marché des drogues, soit une légalisation contrôlée de toutes les drogues. Ancien général et responsable des services secrets, Perez n’est pas précisément un idéaliste hippie mal redescendu de son nuage de fumée.

     

    Mais le Guatemala se trouve sur la route du trafic qui mène de Colombie aux Etats-Unis et paie de ce fait un lourd tribu à la guerre à la drogue: « Nous sommes juste un petit territoire qui se trouve être géographiquement situé entre les plus grands marchés de la drogue et les principaux producteurs », résume le chef d’Etat, qui constate qu’après vingt ans de guerre à la drogue dans son pays, consommation et production sont toujours à la hausse.

     

    « Nous sommes tous d’accord pour dire que les drogues sont mauvaises pour la santé et que pour cette raison nous devons combattre leur consommation, comme nous combattons le tabagisme ou l’alcoolisme. Mais personne au monde n’a jamais suggéré d’éradiquer les plantations de cannes à sucre, de patates ou d’orge parce qu’ils entrent dans la composition du rhum, de la bière ou de la vodka. Or nous savons tous que l’alcoolisme et le tabagisme tuent des milliers de gens chaque année dans le monde. »

     

    Il ne s’agit pas, précise Otto Perez Molina, de mettre les drogues en vente libre, ce qui serait « irresponsable ». Mais « la consommation et la production devraient être légalisées dans certaines limites et conditions. La légalisation ne veut pas dire libéralisation sans contrôles »:

     

    « Nous ne pouvons pas éradiquer le marché de la drogue, mais nous pouvons certainement le réguler comme nous l’avons fait pour le tabac et l’alcool. L’abus de drogues, l’alcoolisme et le tabagisme devraient être traités comme des problèmes de santé publique, pas de justice pénale. »

     

    Dans une région du Monde où les morts se comptent par milliers chaque année pour tenter, en vain, de protéger la jeunesse des Etats-Unis du fléau de la drogue, ce discours est loin d’être isolé. En octobre dernier, le président colombien, Juan Manuel Santos, ancien ministre de la Défense, appelait de son côté à la légalisation mondiale de la marijuana et serait aujourd’hui prêt à ouvrir le dialogue sur la base des propositions de son homologue guatémaltèque. Dans une récente interview au Washington Post, il déclarait ainsi:

     

    « Personne au monde n’a combattu les cartels et le trafic de drogue tel que je l’ai fait. Mais il faut être honnête: après quarante années passées à ramer, et ramer très dur, parfois vous regardez à droite, vous regardez à gauche et vous réalisez que vous n’avez pas avancé. Alors vous devez vous demander: faisons-nous les choses de la bonne manière? »

     

    Une position également défendue début mars par la présidente du Costa Rica, Laura Chinchilla et, à en croire le président colombien, par de nombreux autres leaders latino-américain qui hésitent encore à sortir du bois, inquiets des réactions de leur opinion publique et de Washington.

     

    Plus étonnant encore, le président mexicain, Felipe Calderon, engagé dans une sanglante guerre contre les cartels de la drogue de son pays (une guerre qui a causé plus de 50 000 morts), a lui-même suggéré en septembre dernier qu’il serait peut-être temps d’envisager des « alternatives de marché » pour affaiblir les narcotrafiquants:

     

    « Nous devons tout faire pour réduire la consommation de drogues. Mais si elle ne peut être limitée, alors les décideurs devront rechercher d’autres solutions – y compris des alternatives de marché – pour réduire les revenus astronomiques des organisations criminelles. »

     

    Des prises de position qui ne sont pas du goût de Washington, accusé par ses voisins du Sud d’être la cause de tous leurs maux, en raison de l’appétit immodéré des Américains pour les substances illicites. Début mars, à l’occasion d’un voyage au Mexique, le vice-président Biden a ainsi, poliment, fermé la porte à toute discussion sur le sujet:

     

    « Je pense que ça mérite une discussion. C’est totalement légitime. Et la raison pour laquelle cela mérite une discussion est qu’après examen, on réalisera que la légalisation pose plus de problèmes qu’elle n’en résout. »

     

    Avant de préciser sa pensée:

     

    « Il n’y a aucun moyen que l’administration Obama-Biden ne change sa position sur la légalisation. »

     

    Peu de chances, donc, de voir le rendez-vous de Carthagène accoucher de propositions concrètes sur la sortie de la guerre à la drogue. Mais le Sommet pourrait toutefois rester comme le premier de l’histoire au cours duquel plusieurs présidents en exercice, qui plus est en première ligne de ce conflit, auront officiellement appelé à la paix des drogues.

     

    Arnaud Aubron

     

     

     

     

    Source:Les inrocks

     

    A lire aussi:

     

    Chavez Absent du sommet des Amériques

     

    Le florissant marché de la drogue en Amérique Latine

     

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  3. Du cannabis commandé par téléphone à Bordeaux, livré à Guéret

     

    Originaires de Bordeaux, un livreur de résine de cannabis a été condamné à 4 mois de prison avec sursis et l’expéditeur à 8 mois de prison avec sursis mise à l’épreuve... à la suite d’une étonnante affaire découverte lors d’un contrôle routier organisé en Creuse. La commande, 14 barrettes de résine de cannabis, devait être réceptionnée à Guéret par une jeune femme dont le copain est écroué à la maison d'arrêt. Cette commande devait ensuite être livrée à un ami incarcéré dans un centre pénitentiaire, en dehors de la Creuse.

     

    La montagne

     

     

    Un atelier de production de cannabis découvert chez un prof qui avait proposé un joint à un élève

     

    Le professeur de 29 ans a été dénoncé par des élèves d'un établissement pour apprentis d'Emerainville, en Seine-et-Marne. Les policiers ont perquisitionné son domicile et y ont découvert un atelier de production d'herbe de cannabis.

     

     

     

     

    Un professeur d'histoire-géographie à Emerainville, en Seine-et-Marne, cultivait du cannabis chez lui où des champignons hallucinogènes ont également été découverts. Il a été condamné à 6 mois de prison ferme.

     

    Il ne partageait pas seulement son savoir. Un professeur d'histoire-géographie de 29 ans a été récemment condamné à six mois de prison ferme et à une interdiction d'enseigner de cinq ans après avoir proposé un joint à un élève et la saisie de cannabis à son domicile, a-t-on appris jeudi de source policière.

     

    Cet homme, interpellé le 4 avril, avait été dénoncé par des élèves d'un établissement pour apprentis d'Emerainville, en Seine-et-Marne. Les policiers ont perquisitionné son domicile et y ont découvert un atelier de production d'herbe de cannabis, équipé de lampes, de ventilateurs et de pompes à eau, ainsi que 3 kilos de beurre de cannabis, 2,5 kilos d'herbe de cannabis en cours de séchage et des champignons hallucinogènes, a précisé cette source, confirmant une information du Parisien.

     

    Le 6 avril, l'enseignant a été condamné par le tribunal correctionnel de Meaux a une peine de six mois de prison ferme, sans mandat de dépôt à l'audience. Il a également écopé d'une interdiction d'enseigner de cinq ans, a-t-on poursuivi de source policière.

     

     

    L'Express

     

     

     

     

     

    15 kg d'herbe de cannabis trouvés chez lui

    B.Dls France-Antilles Martinique 10.04.2012

     

     

    Gaël et Pierre-Louis comparaissaient devant le tribunal correctionnel pour une affaire de stupéfiants. Une grosse quantité de cannabis a été retrouvée chez le premier.

    Le 22 mars dernier, Gaël G., 25 ans et Pierre-Louis E., 29 ans, sont arrêtés lors d'un banal contrôle routier. Le deuxième, un Sainte-lucien, n'a aucune pièce d'identité sur lui. Après palpation, les policiers découvrent de l'herbe de cannabis. Au domicile de Gaël, on retrouve 15 kilos d'herbe de cannabis, une liste et une balance. Le jeune Foyalais offre plusieurs versions durant sa garde à vue. Il finit par avouer l'existence d'un trafic avec une certaine personne.« Les 15 kilos sont à Pierre-Louis, je suis en commerce avec lui » , déclare-t-il à la barre du tribunal, comme nouvelle version. De son côté, le Sainte-lucien explique que le trafic lui sert à récolter de l'argent pour acheter des médicaments à sa fille extrêmement malade.« ILS ONT PEUR D'ÉVENTUELLES REPRÉSAILLES » « Je suis arrivé par bateau et j'ai prévenu Gaël qui a envoyé un ami me récupérer » , traduit l'interprète pour ce dernier. Durant la garde à vue, le jeune en situation irrégulière sur le territoire français a tenu les mêmes propos que son complice. Cependant, à la barre, lui aussi revient sur son témoignage : « J'ai emmené les 15 kilos en 3 fois. Je suis vraiment désolé » , affirme-t-il.Les deux individus comparaissent pour la première fois dans une affaire de stupéfiants.« Il y a beaucoup de versions dans cette affaire » , constate la procureur. Selon la représentante du parquet, il y a trop de détails pour paraître faux, elle rappelle la quantité de drogue retrouvée chez Gaël. Le ministère public requiert trois ans de prison ferme.Les avocats de la défense surprennent en allant dans le sens contraire des déclarations de leurs clients. Un constat s'impose, selon eux : ils ont peur d'éventuelles représailles.« Mon client risque un danger de mort s'il reste ici » , souligne Me Tinot, avocate de Pierre-Louis. Selon elle, les deux versions présentées par les prévenus à la barre sont absurdes.Le conseil de Gaël insiste sur les excellents dossiers scolaires et casier judiciaire de son client. Il ne faut pas charger la barque, son client avait simplement besoin d'argent à ce moment.« Sa garde à vue lui a servi de leçon, trois ans de prison c'est trop dur. Il a compris » , plaide Me Auteville.Le tribunal coupe la poire en deux et condamne les deux prévenus à 18 mois de prison ferme. Une peine qu'ils effectueront derrière les barreaux.Pour Pierre-Louis, s'ajoute aussi une interdiction de territoire pendant cinq ans.Compte-rendu d'audience : B.Dls

     

    France Antilles

     

     

  4. Le rappeur Snoop Dogg invente le livre... qui se fume

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    Le rappeur américain Snoop Dogg publie aux États-Unis, "Rolling Words", un livre à fumer imprimé sur du papier à rouler, dont la couverture est en chanvre et le dos en grattoir d'allumettes.

    Ce premier ouvrage de Snoop Dogg réunit les paroles de ses plus grands succès, entièrement imprimées avec une encre non toxique sur du papier à rouler, indique mardi le magazine français spécialisé Livres Hebdo.

    Les pages sont pré-découpées pour pouvoir les détacher plus facilement et les fumer intégralement. Tout est donc prêt pour ceux qui souhaitent humer la littérature de l'interprète de "Stoners" ("défoncés" en français), plusieurs fois arrêté pour possession de marijuana.

    Ce livre qui se fume sera en vente au festival de rock Coachella Valley Music & Arts, en Californie, à partir du 13 avril, puis en tirage limité dans le commerce. Une idée à creuser pour faire un tabac en librairie ?

     

    Source: Le parisien

    La montagne

     

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  5. Bonjour

    Encore un amalgame....

    Le peyotl au États-Unis est soumis a un permis fédéral limité au ethnies historique ( loi de 73 Act sur la religion des indiens d'Amérique)

     

    Le permis fédéral n'est délivrer qu'aux indiens de souche ou vivant en réserve (les rites shamaniques étant interdit a l'extérieur des réserves et terres sacré)

     

    En clair les Us le tolère religieusement parlant mais sa s’arrête là. Un non indien qui se fait gauler avec prendra cher...

     

    Pour le canna c'est différent, déjà parce-que le canna est une plante religieuse/sacré dans certaine religion/philosophie et aussi parceque la plupart des religions revendiquant l'usage du cannabis sont des religions jeunes qui n'ont pas le recul des indiens avec le peyotle (la prise se fait dans un cadre bien précis : hutte de sudation, contrôle par les chamanes, pas plus de 3 personnes sous "vision" culture limité a certaines ethnies etc).

    Y a pas si longtemps un groupe de soit disant rastafari a tenter exactement la même chose arguant que le cannabis faisait parti intégrante de leur religion etc.

    Ils ont été débouter, normal les "vrais" Rastafari se sont lever contre ça, arguant que le cannabis était un outil mais n’était en rien indispensable a la communion de leur religion.

     

     

    Qu'on dépénalise le thérapeutique, que des religions philosophies utilisant le cannabis depuis des millénaires ai des avantages a s'en procurer etc normal

    Mais là on vas droit vers un système ou pour contourner le truc on vas dire: je crois en ça donc je peu fumer.....

    C'est comme la fille qui faisait faire le tour de oaksterdam university et quant le gars de capital lui demande pour quel maladie elle prend du canna .....de l'asthme. A ce rythme tout le monde vas avoir de l'asthme....

  6. Hello

     

    Mouais alors le ton de l'article est a chier! Parler de chômeurs en terme de loque, feignasse etc.... y a mieux.

    Certes il faut changer des trucs, ca reste inadmissible que des personnes abusent du système comme cette femme qui ne comprenait pas qu'on lui sucre sont Rsa alors que son mari touche 35000e par an...

     

    Certes, outre-atlantique, celui qui perd son job pour usage de came est licencié pour « juste cause » ;

    il n’a donc déjà plus droit aux alloc’

    C'est déjà le cas en France: perdre sont emploi pour cause d'alcoolisme ou de prises de drogues est constater comme une faute lourde, ce qui ne donne pas droit aux chômage (au mieux vous pourrez demander une révision sous 3mois et a eux d accepter ou non d'indemniser).

     

    Bref beaucoup de choses a changer dans "l'assistanat" Français, mais il ne faut pas oublier que certaines personnes ne choisissent pas leur chômage mais le subissent.

  7. Le président du Guatemala veut légaliser toutes les drogues

     

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    Le président du Guatemala, Otto Perez, a lancé samedi 7 avril dans le quotidien britannique The Guardian un appel à la dépénalisation des drogues comme "alternative" pour lutter contre la violence qui déferle sur l'Amérique centrale. Partant du constat que "la consommation et la production de drogue sont toujours plus importantes" malgré des années de lutte gouvernementale, Otto Perez en appelle à "abandonner toute position idéologique - que ce soit celle de la prohibition ou de la libéralisation - et lancer un vaste dialogue international basé sur une approche pragmatique : la régulation du marché de la drogue."

     

    L'ancien général, élu au début de l'année, affirme en effet qu'il est aujourd'hui "impossible de mettre fin au marché de la drogue, mais qu'il est certainement possible de le réguler, comme nous avons pu le faire pour l'alcool ou le tabac".

     

    Prolongeant la comparaison, Otto Perez souligne que "le fait que les drogues sont mauvaises pour la santé n'est pas une raison suffisante pour les interdire", dans la mesure où "tout le monde sait que l'alcoolisme ou le tabagisme font plusieurs milliers de morts chaque année dans le monde", et que "personne n'a jamais proposé d'interdire les plantations de sucre de canne, de pommes de terre ou d'orge, même si elles servent à la production de rhum, de vodka et de bière."

     

     

     

     

    "LÉGALISATION NE SIGNIFIERAIT PAS LIBÉRALISATION"

     

    La proposition du président guatémaltèque, dont le pays est particulièrement touché par la violence liée au trafic de drogue, propose donc que "la consommation, la production et le trafic de drogue fassent l'objet de mesures internationales de régulation, ce qui signifie que la consommation et la production devraient être légalisés mais dans un certain cadre et sous certaines conditions". "Dans ce cas, légalisation ne signifierait pas libéralisation sans aucun contrôle" résume Otto Perez.

     

    Otto Perez avait déjà rouvert ce débat mi-février, relayant les conclusions d'un rapport rendu public à l'été 2011, dans lequel de nombreuses personnalités (intellectuels, anciens présidents latino-américains, diplomates, etc.) affirmaient que "la lutte mondiale contre les drogues a échoué" et suggéraient de "mettre fin à la criminalisation" des consommateurs.

     

    LA VIOLENCE ATTEINT "DES NIVEAUX ALARMANTS"

     

    Selon Washington, 90 % de la drogue (cocaïne et marijuana principalement) à destination des Etats-Unis transite par l'Amérique centrale, par voie terrestre ou maritime. Un constat partagé par l'Office international de contrôle des stupéfiants (OICS), une agence onusienne ayant présenté son rapport annuel fin février à Vienne.

     

    D'après l'organisation internationale, la violence atteint "des niveaux alarmants et sans précédent, aggravant ainsi la sécurité et faisant de la sous-région une des zones les plus violentes au monde". Les chiffres sont particulièrement éloquents dans la zone dite du "Triangle du nord", comprenant le Honduras (82 homicides pour 100 000 habitants en 2011, record mondial), le Salvador (65) et le Guatemala (40), selon l'ONU.

     

    Si la proposition d'Otto Pérez a suscité un rejet immédiat des grandes puissances - Etats-Unis en tête, suivis par la Russie et la Grande-Bretagne - le Guatemala espère établir une proposition de dialogue commune avant le sommet de l'Organisation des Etats américains (OEA), les 14 et 15 avril à Carthagène, en Colombie. Otto Perez affirme que les présidents de la Colombie et du Costa Rica se sont montrés intéressés par la proposition.

     

     

     

    Source: Le Monde

    A lire/complément

     

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  8. Hello

    Comme dit à l'époque: le titre est mensonger, il y a une grande différence au niveau juridique entre dépénaliser et de-pénaliser

    l'un induit un changement de la loi, l'autre un simple choix / avis du tribunal .

     

    Les tribunaux français dépénnalisent le cannabis médical devrait être : les tribunaux Français de-pénalisent le cannabis médical .

     

    Par contre cela reste énorme pour la France, enfin un pas.

    C'est ce genre de jugement qui permettras d'avoir une vrai dépénalisation.

  9. Hello

    Bon ben au moins tu es fixer c'est sure que tu pourras difficilement conserver une T° adéquate avec deja 25° de base

    Bonne idée la tente 60x60 tu peu en trouver des pas trop cher. 2x250w eco dedans oui pareil nickel.

    Le Filtre monté sur l'intracteur mauvaise idée, il va peiner a la tache pour pas grand chose.

    Au pire tu laisse ton intracteur en haut le temps de la cro etc et quant tu commence a sentir la bonne odeur dans la pièce ben hop tu colle ton rvk et ton filtre.

     

    et pour ton filtre ne t inquiète pas c'est pas ce qui est au top niveau filtration mais il fera très bien sont rôles^^

  10. Quelqu'un a remarqué cette phrase présent sur la page wiki du THCV?

     

     

     

    Quelle magnifique argument pour contrer l'habituel: "le cannabis des hippies n'était pas le cannabis d'aujourd'hui qui est beaucoup plus fortement dosé!".

     

    Hello

     

    Ca ne change rien: le cannabis de nos papy était moins charger en THC mais plus en THCV

    Alors que de nos jours c'est l'inverse plus de THC moins de THCV

     

    Donc la phrase "culte" reste d'actualité tant qu'il ne la précise pas plus que sa.

     

    De plus les effets de l'un sont radicalement différent de l'autre

  11. Hello

    A savoir que toutes les enseignes de growshop ne sont pas soumis a ce retrait.

    A priori cela ne touche qu'une chaine de grow spécialiser dans l'hydro..

     

    Pour avoir fait 5 grow différent hier je peu dire que les produits restent présent dans 4 enseignes sur 5 et les 4 n'ont rien reçu concernant le retrait de ces produits.

    Même si ils admettent que d'ici peu ils y passeront certainement aussi.

     

    Edit: Pour répondre a P4i le grow concerner m'a dit que c'était simplement pour faire chier la dite enseigne vu qu'ils ont été les seules a être contrôler au niveau français. info/intox?

  12. Pour completer:

     

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    La plantation de cannabis pour l'autoconsommation est légale en Espagne.

     

    Du cannabis pour combler le déficit d'un village espagnol

     

     

    Le conseil municipal d'un village catalan doit décider ce mercredi s'il choisit de louer ou non des terrains à une association de consommateurs de marijuana.

     

    Le village de Rasquera, dans la province de Tarragone en Catalogne, va décider ce mardi s'il choisit de louer ou non des terrains à une association de consommateurs de marijuana, rapporte El Pais. Cela permettrait au village de 900 habitants de combler en partie la dette de la municipalité, qui s'élève à 1,3 millions d'euros, voire de créer quelques emplois. La plantation de cannabis pour l'autoconsommation est légale en Espagne.

     

    Le maire, affilié au parti indépendantiste Esquerra Republicana, négocie depuis huit mois avec une association basée à Barcelone, L'Association barcelonaise pour l'autoconsommation de cannabis. L'ABCDA, qui prône l'usage " thérapeutique et ludique " du cannabis proposerait quelque 30.000 euros de loyer, selon le Periodico de Catalunya.

     

    Pour parer aux problèmes juridiques, le conseil municipal créerait une entité publique qui servirait d'intermédiaire entre les propriétaires de terres et l'association. La municipalité ne serait ainsi pas directement impliquée dans la culture de cannabis, explique le site du quotidien ABC.

     

    L'association ABCDA, espère profiter d'une " brèche légale", explique le Periodico : en implantant des cultures collectives, elle jouerait sur l'ambigüité de la loi qui tout en permettant l'autoconsommation, ne prévoit pas la culture pour une communauté de consommateurs. Chaque membre de l'association signerait une déclaration de consommation responsable en temps que membre d'une structure créée à cet effet. Mais la police ne l'entend pas de cette oreille, soulignent les médias espagnols. Le code pénal interdit en effet la culture, l'élaboration et le trafic de drogue, rappelle El Pais. "Il faudrait pouvoir démontrer que chaque parcelle est individualisée à des fins d'autoconsommation ", ajoute le quotidien. Et ABCDA est surveillée de très près par la police catalane...

     

     

     

     

     

    L'Express

  13. Hello

    Alors petite commande de female seed Mix et special skunk (valeurs sure) j’attends réception^^

     

    Sinon faite gaffe pour les commandes, Fs va être en vacances:

     

    NOTE: AUCUNE COMMANDE NE SERA EXPÉDIÉE DU 8 AVRIL AU 15 AVRIL POUR CAUSE DE VACANCES DE PÂQUES

     

    Après quelques mois en test line voici l'arrivée de la Big Grapefruit en Xline :

     

    GFxSS_kopie.jpg

    This strain started as a gift seed in our shop. But after many requests she is now available to buy.

     

    She is a cross of one of our best Grapefruit x (Grapefruit x a sativa dominant Big Bud). Expect a faster and bigger Grapefruit with a hashy fruity taste.

     

    Stability: 3 to 5 pheno's

     

    Indica/sativa : 90% fast sativa

     

    10 - 11 weeks from seed to harvest, 8 weeks 12/12 included. Extreme fast sativa dominant strain.

     

    @Maas hésite pas a contacter Francine

  14. Hello

     

    Perso j'aurais peur que les pots plus les plantes, la terre, l'arrosage etc a force ça fasse bcp pour les easy rollers.

     

    Par contre je revient sur ceci:

     

    Par contre en le faisant, enfin plutot une fois fait, jme suis demander comment j'allais faire monter mes pot et mon grillage en hauteur ???

    J'ai d abord penser utiliser une etagere et des taquets, mais vu que mon intra est en bas, ca me fait arreter ma circulation d'air ...... Faut que je trouve une solution du style morceau de grillage, mais du gros et rigide pour soutenir 4 plant et sans avoir a en acheter 1 tonne.

     

    Pourquoi ne pas utiliser une grille rigide comme celle que l'on trouve pour les évacuations des jardins etc

    type Caillebotis métallique?

    P12_2.jpg

     

    ou alors carrément prendre une treillis de construction (le truc qu'on mets dans le béton pour solidifier l'ensemble) et le découper a ta mesure (coute 3€ en 2m/2m..) poser sur un cadre de bois il n’arrêtera pas le souffle de ton intraction.

     

     

    Ps: je trouve que tu te casse beaucoup la tête pour pas grand chose.

    Perso j'aurais mis le Rvk a l’extérieur sur la planche du haut avec un circuit de gaine qui irais directement au cooltube, le filtre a charbon directement sur le Rvk en sortie et voila.

    Ainsi tu gardais la mobilité de l'ampoule, et tes plantes restais sur la planche du bas.

    Parce-que une fois que les plantes seront costauds faudra faire gaffe a ce que ta planche, grille etc ne s'effondre pas sous le poids (ce qui serais dommage.

  15. Hello

    installe bien sympathique^^

     

    Se je peu me permettre:

    Le rvk c est 24/24 les plantes respirent même la nuit^^

    Évite aussi l'eau minérale préfère lui l'eau du robinet que tu laisse décanter 24h pour enlever le clore.

     

     

    Je me pose dns un coin si tu le permet^^

  16. Hello

    Pour Female seeds:

    Leur Skunk.Spe n est pas particulièrement odorante, bien moins que leur C99 / Nev.haze / grapefruit.

    Bien travailler elle s adapteras bien au scrog.

     

    ps: le filtre se place à l'interieur sinon ça sert pas à grand chose ... <_<

     

    Tout dépend le Fac peu se mettre en début de ligne comme en fin de ligne.

    Donc il peu très bien le mettre en fin de ligne et a l’extérieur

  17. Hello

     

    Pour un scrog tu peux partir sur une tropical ice (Xline) ou sinon une ice normale ou autre... C'est pas cher pour des féminisées et sont sérieux...

     

    Je confirme le sérieux de Fs ainsi que leur rapport qualité prix, par contr la Ice n'est absolument pas indiquer en scrog au contraire elle est parfaite pour du one bud. Les branches secondaires sont peu nombreuses la plante se développe beaucoup le long du tronc.

  18. Tip Top exactement ce que je cherchais merci à toi.

    Cette pommade entraine elle des "effets secondaires" type endormissement des mains etc

    La personne pour qui c'est destiner conduit beaucoup et souhaiterais soigner son arthrose ainsi.

     

    Autre question :

    Une variété conseillez ou une grande ligne ?

    Je dois avouer débuter complétement sur le sujets thérapeutiques et je lis tout ce qui passe mais là a part que le taux de cbd doit être élever.

    Edit: Merci a toi ^^

  19. Salut,

     

    Moi j'ai cultivé en exterieur c99 outdoor! J'ai récolté des tête monstre en septembre avec un odeur de peach un peut! Et des effet bien psycé ^^

     

    Te la recommande .. D'ailleur j'ai cultivé un maroc en exté l'été dernier aussi, et ca ma pas tres impressioné.

     

    La maroc est impressionnante dans sa résistance a la moisissure.

    Elle peu être récolter tard dans la saison.

  20. Hello

     

    La C99 est en rupture jusque fin Mars, comme indiqué sur leur site.

    La version hybride (Xline ) est pas mal aussi un peu plus sativa dans sont comportement (stretch etc)

     

    @MrD: je suis plus souvent tomber sur des phenos pineapple chez Fs que chez Mosca de plus je trouve la C99Fs bcp plus stable en terme de pheno que celle de mosca.

     

    D’ailleurs Fs vas ressortir certain cross a base de C99....Wait n see^^

  21. Tu n'es pas obliger de passer par l'un et l'autre, le sénat peu valider une loi sans passer par l'assemblée.

    Oui le président peu "pousser" une loi via la commission paritaire ou en donnant priorité à l'assemblée nationale

    Mais en règle générale le président suis l'avis du conseil d'etat et rarement ne se dresse contre le parlement/sénat

    La plupart du temps le circuit est:

    Gouvernement->conseil d’états->Assemblée->Sénat->loi promulguer (la loi peut être présenter au sénat comme a l'assemblée mais doit passer par l'un ou l'autre) (le conseil d’état n'a que valeur d'avis il ne décide ne bloque rien)

     

    Je peu me planter mais je dois pas être très loin.

  22. Non mais là le soucis c'est ton extraction:

    Elle est trop faible et tu la diminue encore via les coudes de la gaine.

    Là tu dois bien perdre 150m3h avec tout les coudes /spirales

     

    Faut soit changer d'extra pour un de +400m3h soit changer de système lumineux et optimiser le flux d'air .