Frett

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commentaires de Article posté(e)s par Frett

  1. yop

     

    Il y a 3 heures, Auto_Eco_Nome a dit:

    Ça fou le moral quand thabite à côté de la frontière de savoir que 

    Deux pays à côté font la foire à la Weed 

    Pendant que le tient réfléchis si on devrait pas re interdire le cbd 

    Attends, attends. Rien n'est fait, c'est juste une proposition comme on en a régulièrement. Un peu comme chez vous, rien ne channgera

     

    ++

  2. Yop,

     

    Intéressant tout cela mais j'ai bien peur que cet appel reste lettre morte. En Belgique, nous avons déjà vécu des appels qui sont restés sans réponses, malheureusement. Tant que les "bons" politiques ne seront pas au pouvoir, malheureusement rien ne changera. Et si c'était le cas, l'issue positive n'est pas certaine.

    Regarde ce qu'il se passe avec le glyphosate, qui si mes souvenirs sont bons, était une promesse électorale, on allait l'interdire chez vous. Revirement semaine dernière, l'interdiction ne sera pas proposée.

     

    Mais, étant d'un naturel optimiste, j'y crois. Un peu (pour les connaisseurs) comme à une mise à jour de Red Dead Online par Rockstar ;-)

     

    Bises

  3. Yop les gars,

     

    Doucement, pas taper, svp, pas faire mal. Je trouvais intéressant de faire le débat tout en sachant que le média était limite. La réflexion était intéressante dans le sens ou, pour le moment, c'est la course à qui a le plus haut taux de THC et, nous ne pouvons faire confiance qu'aux informations du breeder.

    J'ai d'ailleurs du mal avec ça, car quand j'ai commencé à fumer, on n'avait pas toutes ces infos sur les beuh. On prenait car le nom nous semblait sympa et suivant le prix (tout ça ne me rajeunit pas)

     

    ++

  4. Info reprise par Slate.fr

     

    Bon l'article suggéré n'aide pas trop à prendre l'info au sérieux

    Révélation

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    Révélation

     

     

    Un cannabis plus chargé en THC ne garantit pas une plus forte défonce

    Repéré par Louise Beda-Akichi — 18 juin 2020 à 16h21 — mis à jour le 18 juin 2020 à 16h40

    ll n'est pas non plus le signe d'une meilleure qualité du produit.

    Un cannabis cher et avec un fort taux de THC n'est pas forcément gage de qualité, selon une étude. | Add weed via Unsplash
    Un cannabis cher et avec un fort taux de THC n'est pas forcément gage de qualité, selon une étude. | Add weed via Unsplash
    Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Forbes

    Il n'existe aucune corrélation entre le taux de tétrahydrocannabinol (THC) et la faculté psychotrope du cannabis. Une récente étude prouve que cette croyance fermement ancrée dans les mentalités est en fait erronnée. Le cannabis est composé d'un mélange de différentes substances, il ne se limite pas au THC.

    Aux États-Unis, les révélations exposées dans cette étude pourraient faire l'effet d'une bombe, car de nombreux coffee shops utilisent ce critère pour vendre leurs produits au prix fort. En réalité, une multitude de facteurs entrent en jeu dans l'intensité du cannabis, excepté dans le cas de la nourriture qui est cuisinée à partir de sa plante. Prenez garde au niveau de THC de votre herbe, car il influera sur l'effet psychotrope de votre plat.

    Pour arriver à ce constat, des scientifiques de l'université du Colorado se sont appuyé·es sur un échantillon de 121 consommateurs et consommatrices. La population test a été séparée en deux groupes, consommant la drogue de façon distincte. Le premier groupe a utilisé uniquement des concentrés de la substance, riches en tétrahydrocannabinol; le second uniquement des fleurs de cannabis, plus légères en THC.

    Les fonctions cognitives des participant·es ont été observées avant, pendant et après leur prise de substance. Les résultats ont montré que les personnes ayant pris la drogue la plus riche en THC n'étaient pas forcément les plus défoncées. «Les personnes ayant pris de fortes doses de THC étaient bien moins affectées que ce que nous pensions», confirme le co-auteur de l'étude, Kent Hutchinson.

    Avoir du flair

    Pour savoir si vous vous apprêtez à fumer un joint de bonne qualité, sentez votre cannabis. Cela n'est malheureusement pas toujours possible car aux États-Unis, par exemple, les boutiques qui en vendent le commercialisent dans de petits sachets.

    De nombreux commerces sont équipés de petits pots «testers» faits pour humer les produits. La crise sanitaire implique cependant que ces échantillons risquent de ne plus être mis à disposition.

    Une combine commerciale

    Si le mythe du taux de THC persiste, c'est surtout parce que cela arrange bien les commerçant·es, explique Chris Roberts, dans un article pour Forbes. Les acteurs de la filière exploitent ce secret de polichinelle pour gagner plus d'argent. Ils n'ont aucun intérêt à révéler que cette croyance n'est qu'un écran de fumée.

    Neil Dellacava, fondateur de sa propre entreprise de cannabis, confirme: «Quand les gens font leurs emplettes, ils cherchent deux choses: le prix et le niveau de THC En attendant que les consommateurs et consommatrices lambda ne réalisent que le taux THC n'a rien à voir avec la qualité de la drogue qu'elles achètent, les personnes qui s'y connaissent peuvent profiter de produits à moindres coûts.

  5. Yop,

     

    Voici un article un peu plus détaillé
    Source

     

    Selon des chercheurs de l’Alberta le CBD promet de bloquer l’infection du coronavirus

    Après avoir passé au crible plus de 400 souches de cannabis, des chercheurs de l’Université de Lethbridge se concentrent sur une douzaine qui montrent des résultats prometteurs pour assurer un terrain moins fertile au coronavirus, a déclaré le biologiste Igor Kovalchuk dans le Calgary herald. L’hypothèse selon laquelle le cannabis avait la capacité de moduler les récepteurs dans notre corps, par conséquent, une quantité moins importante du virus pénètre dans les récepteurs et donc empêche la propagation, se confirme : Les extraits de cannabis montrent qu’ils peuvent rendre les gens plus résistants au nouveau coronavirus.

    Dr.-Igor-Kovalchuk.jpgDr. Igor Kovalchuk

    Un certain nombre d’entre eux ont réduit le nombre de ces récepteurs (du virus) de 73 %, la probabilité qu’il s’y installe est beaucoup plus faible. S’ils peuvent réduire le nombre de récepteurs, le risque d’infection est beaucoup plus faible ». a déclaré M. Kovalchuk.

    En utilisant des souches de cannabis sativa au cours des trois derniers mois, le chercheur a déclaré que l’équilibre efficace entre les composants du cannabis THC et CBD n’est toujours pas clair pour bloquer le nouveau coronavirus mais ce sont généralement les propriétés anti-inflammatoires d’une forte teneur en CBD qui se sont révélées les plus prometteuses, a-t-il ajouté.

    Il faudra beaucoup de temps pour trouver le principe actif, il pourrait y en avoir beaucoup. Nous nous concentrons davantage sur les taux élevés de CBD parce que les gens peuvent prendre des doses plus élevées sans être affaiblis.

    a déclaré M. Kovalchuk, qui s’est associé à la société albertaine de recherche sur le cannabis Swysh et Pathway RX, cette dernière appartenant en partie à Sundial Growers, un producteur de cannabis sous licence basé à Olds.

    L’étude menée sous licence de Santé Canada à l’aide de modèles de tissus humains artificiels en 3D a cherché des moyens d’empêcher le nouveau coronavirus, très contagieux, de trouver un hôte dans les poumons, les intestins et la cavité buccale. En cas de succès, les travaux pourraient trouver une utilisation médicale pratique sous forme de bain de bouche, de gargarismes, d’inhalants ou de gel.

     Ce serait moins cher pour les gens et aurait beaucoup moins d’effets secondaires. L’absence d’essais cliniques reste un obstacle, et le financement d’une industrie du cannabis de plus en plus à court d’argent n’est pas là pour alimenter cela. Nous avons des cliniciens qui sont prêts à travailler avec nous, mais pour beaucoup de sociétés du secteur du cannabis, c’est une somme importante qu’elles ne peuvent pas se permettre », a-t-il déclaré.

    Le scientifique a souligné que les découvertes ne mèneraient pas à un vaccin mais quelque chose de « moins spécifique et précis » néanmoins une autre arme possible contre le COVID-19.

    « Les extraits de nos lignées sativa à haute teneur en CBD sont les plus réussies et les plus novatrices, en attendant des recherches plus approfondies, pourraient devenir un complément utile et sûr au traitement de COVID-19 en tant que thérapie d’appoint. Compte tenu de la situation épidémiologique actuelle, qui est désastreuse et évolue rapidement, toutes les possibilités thérapeutiques et toutes les avenues possibles doivent être envisagées ».

    Les chercheurs israéliens ont commencé les essais cliniques du CBD comme traitement pour réparer les cellules endommagées par COVID-19 en utilisant ses capacités anti-inflammatoires. On pense que le CBD pourrait renforcer l’effet traditionnel des stéroïdes dans ce type de traitement des patients en danger de mort et également renforcer le système immunitaire.

    C’est ce genre de recherche qui mérite un financement gouvernemental au Canada, a déclaré le scientifique.

    « Notre travail pourrait avoir une influence énorme – il n’y a pas beaucoup de médicaments qui ont le potentiel de réduire l’infection de 70 à 80 % », a-t-il déclaré.