Ce que nous avons retenu...

Belgique = Légalisation
Par Invité,

La Belgique a adopté une loi autorisant la consommation de drogues douces en petites quantités et dans un cadre privé, ont rapporté vendredi des responsables belges.
Les sénateurs ont adopté cette mesure par 30 voix contre 19, tandis que sept s'abstenaient. La Chambre des représentants avait déjà approuvé ce texte le mois dernier.
 
Les consommateurs seront autorisés à posséder jusqu'à cinq grammes de cannabis pour leur usage personnel, sans risquer de poursuites. La vente de drogues douces n'a toutefois pas été légalisée.
 
Source : Yahoo!Actualité - vendredi 28 mars 2003, 17h30
 
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Nouveau journal de culture !
Par Invité,
Le journal de culture par Growman a rejoints les deux autres dans la rubrique 'Journaux de culture'. Comme le dit son auteur, il sera mis à jour toutes les semaines :
 
Si vous souhaitez nous faire parvenir le votre, deux solutions :
- Par mail (alexandre@canaweed.com - Webmaster)
- Par le formulaire d'article et par le formulaire d'upload pour mettre vos photos online :
page d'upload de fichiers
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Le journal de ma culture
Par Invité,
Le journal de ma culture
 
 
 
Bonjour tous le monde voici mais plant sa fais seulement une journée qu'il sont sorti.Se son des variétés de semence inconnu.
 
 
 
2003-03-28
 
je changeré les photo a chaque semaine.
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Le cannabis à usage médical s'apprête à faire son entrée en Europe
Par Invité,
GW Pharmaceuticals assure qu'il aura le feu vert pour vendre ses médicaments avant la fin de l'année au Royaume-Uni, puis en Allemagne.
 
C'est une première stupéfiante. Dans quelques semaines, le laboratoire britannique GW Pharmaceuticals espère être autorisé à mettre sur le marché sa première gamme de médicaments à base de cannabis, destinés à traiter les symptômes des personnes atteintes de sclérose en plaques (2,5 millions de cas dans le monde). Cette société, créée en 1998 et cotée à Londres (115 salariés), sera la seule au monde à produire des médicaments sur ordonnance à base de......cannabis non destiné à être fumé. Le docteur Geoffrey Guy, son président-fondateur, affirme que cette autorisation officielle lui assurera une ouverture sur le marché allemand. Son arrivée dans l'Hexagone devrait être moins rapide, mais c'est une usine française du groupe Valois qui assurera la production des aérosols, l'une des techniques choisies pour diffuser le produit dans l'organisme.
 
GW Pharmaceuticals, qui a déjà consacré plus de 17 millions de livres (25 millions d'euros) à la recherche et au développement sur ses deux derniers exercices, ne veut pas se contenter des résultats obtenus avec la sclérose en plaques. Les essais cliniques pour la lutte contre la douleur chez les cancéreux sont bien avancés. Geoffrey Guy se montre confiant sur l'avenir du cannabis à usage médical car il s'agit, selon lui, d'un principe actif au profil idéal avec peu d'effets secondaires, un sevrage aisé et une innocuité qui a fait ses preuves : "Depuis un siècle, on n'a jamais vu personne mourir à la suite de l'ingestion de cannabis."
 
Marketing.
 
GW Pharmaceuticals devra en revanche faire preuve de retenue dans le marketing autour de ce produit qu'il souhaite commercialiser avec l'appui de partenaires via une licence. "Le ministère de l'Intérieur britannique nous a demandé de ne pas choisir un nom faisant référence au cannabis", reconnaît-il. Pas question non plus de faire figurer les feuilles de la plante sur les boîtes. Les tabous autour de ce stupéfiant garantissent en revanche à Geoffrey Guy un relais médiatique exceptionnel. "Cela constitue aussi un handicap dans la mesure où certains patients peuvent se montrer réticents à se soigner avec du cannabis", tempère-t-il.
 
Source : La Tribune (Desfossés) du vendredi 21 Mars
 
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L'affaire du joint "surdosé" enfin jugé
Par Invité,
Les quatre jeunes qui avaient offert un joint aux effets désastreux à l'un de leurs camarades de lycée seront enfin fixés sur leur sort judiciaire aujourd'hui au tribunal correctionnel de Créteil. Le 15 mars 2000, ils avaient fourni une « moustache » (un double joint) contenant du haschisch de très bonne qualité à Patrick Dutertre. Pris de délire, le jeune homme, alors âgé de 18 ans, s'était jeté quelques minutes plus tard par la fenêtre du troisième étage. D'abord atteint de paraplégie, la victime a aujourd'hui retrouvé l'usage de ses jambes. Le procès de ses camarades a déjà été renvoyé à trois reprises, pour complément d'information. Outre une forte concentration en THC (le principe actif du cannabis), les analyses avaient en effet révélé dans le sang de la victime la présence d'éphédrine, un produit présent dans certains médicaments qui pourrait expliquer son geste fou. Lors de la précédente audience, le parquet avait requis de quatre à six mois de prison avec sursis contre les « dealers ».
 
Source : Le Parisien - lundi 17 mars 2003
 
Jeudi 20 Mars, du nouveau :
 
Patrick, 19 ans, avait sauté par la fenêtre: il accuse le cannabis que lui avait proposé un copain.
 
Il y a ce geste. Patrick, 19 ans, sportif et réservé, a sauté par la fenêtre après avoir fumé un joint chez Gaël, un copain de lycée. C'était le 15 mars 2000 à 13 h 15 à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne).
 
Trois ans après les faits, les voilà ensemble, mercredi soir, à la barre du tribunal correctionnel de Créteil. Côte à côte. Mais les deux jeunes n'échangent aucun regard. Pas un mot. L'un est du côté des prévenus avec son frère aîné et le camarade à qui il avait acheté le cannabis ; l'autre est la victime : Patrick accuse Gaël de l'avoir incité à fumer une "moustache", un double joint de cannabis fortement dosé, et d'être responsable de sa chute du troisième étage, de ses mois de paraplégie, de son calvaire pour remarcher, de l'appareillage qui lui tient toujours la jambe gauche. Bref, d'être coupable de "délit de blessure involontaire", selon le procureur et l'avocat de la victime.
 
Geste inexplicable. Patrick n'assume pas un geste qui reste inexplicable, malgré les PV d'auditions lors de l'enquête policière, puis les expertises médico-psychologiques, mais aussi les connaissances scientifiques établies sur les effets du cannabis et, mercredi, les différents témoignages à l'audience. "Vous vous êtes senti mal, mal, mal. Des palpitations, une angoisse formidable. Vous avez eu l'impression de devenir fou, qu'il fallait que cela s'arrête et vous vous êtes défenestré ?", interroge la présidente. Patrick acquiesce. Cela faisait deux mois que Gaël lui disait que la fumette, c'était cool. Ce midi-là, Gaël l'invite chez lui avec Nicolas, un autre camarade. Sort une "moustache". Gaël et Patrick en prennent, pas Nicolas, qui préfère jouer à l'ordinateur. "Je ne l'ai pas incité, j'ai proposé", précise le prévenu.
 
Sobre. Très vite, tout tourne pour Patrick. Il s'allonge sur le lit, la musique "lui fait mal à la tête". Gaël, lui, fait chauffer les croque-monsieur à la cuisine : "Vous n'avez pas vu qu'il allait mal, qu'il était blanc, vous planiez peut-être ?", interroge la présidente. "Il est assez pâle de nature", lâche Gaël. Les trois s'attablent. "Soudain, nous avons vu Patrick aller vers la fenêtre. Nous nous sommes retournés, nous ne l'avons pas vu sauter", témoignera Nicolas, le seul sobre à ce moment-là. "Vous n'avez pas imaginé le retenir ?", interroge la présidente du tribunal. "Ça s'est passé tellement vite. Je n'ai pas réalisé, je n'ai pas vu sa détresse", murmure Gaël. Y a-t-il eu "harcèlement" d'un jeune "clean" piégé par un camarade pervers, comme le dépeint l'avocate de la victime ? Ou Patrick a-t-il mal usé de son libre arbitre ?
 
La défense invite le tribunal à ne pas faire de ce cas "unique et exceptionnel le procès des effets pervers du cannabis. Comment Gaël pouvait-il avoir conscience du risque qu'il faisait prendre ?". Alors que ce type de crise d'angoisse aiguë reste exceptionnel et mal expliqué.
 
Le procureur a requis deux ans de prison avec sursis pour Gaël et son frère. Jugement le 28 avril.
 
Source : Libération du 19 mars 2003
Lien : https://www.liberation.fr/page.php?Article=96694
 
 
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La tolérance pour le cannabis minerait la lutte contre la drogue
Par Invité,
« Comment lutter contre la drogue quand l'usage du cannabis est toléré dans plusieurs pays d'Europe et le sera bientôt au...Lisez la suite ! Canada ? » Dans son dernier rapport, l'Organisation internationale de contrôle des stupéfiants (OICS) dénonce cette incohérence.
 
L'assouplissement de la législation sur le cannabis, voire sa légalisation dans plusieurs pays, menaceraient en effet les résultats des efforts menés pour lutter contre la drogue. L'agence onusienne chargée du contrôle des stupéfiants critique ainsi l'Italie, le Luxembourg, le Portugal et l'Espagne pour avoir dépénalisé la culture et la possession de cannabis à des fins personnelles.
 
Elle accuse également les Pays-Bas et la Suisse de se mettre en contravention avec les conventions internationales des Nations unies, parce qu'elles ont permis la vente de cannabis dans les coffee-shops et partiellement légalisé sa détention. La plus grande tolérance de ces pays pour le cannabis « mine la loi internationale », affirme le président de l'OICS Philip Emafo. L'inquiétude de l'organisation est d'autant plus vive que d'autres pays s'apprêteraient à autoriser le cannabis. En janvier, le Canada a indiqué que poussé par l'évolution des mentalités, il allait libéraliser prochainement la loi sur la possession de cette substance.
 
La Grande-Bretagne, qui compte plus de 3 millions de fumeurs occasionnels de marijuana, a elle aussi décidé d'assouplir sa législation antidrogue. Elle a notamment déclassé le cannabis comme drogue dure, l'assimilant à un simple antidépresseur. La France elle, se démarque de ses voisins européens. Et elle continue de mener une politique d'interdiction de vente et de possession.
 
Source : Le Quotidien du Médecin, n°7284, p.12
 
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Le cannabis, un produit non neurotoxique
Par Invité,
Selon la Mildt, l'expertise collective de l'Inserm (Libération du 22 novembre 2001) reste la référence. Fumer du cannabis procure pendant deux à dix heures une... Lisez la suite euphorie, une sensation de bien-être, modifie la perception de l'espace-temps, diminue la faculté de concentration et de mémoire. Et n'a jamais tué personne, sauf au volant où il est fortement déconseillé, surtout mélangé à l'alcool. Ses effets sur le cerveau sont réversibles, même dans les cas, rarissimes (0,1 %, selon une étude suédoise), où il entraîne des bouffées délirantes. «Le cannabis n'est pas neurotoxique», rappelle Jean-Pol Tassin, du Collège de France : en clair, on ne grille pas ses neurones en fumant. L'inconnue se trouve dans les effets à long terme d'un usage régulier. Plusieurs études récentes ont mis en évidence une corrélation entre schizophrénie et usage du cannabis, sans établir un lien de causalité : on ne peut pas dire que fumer des joints déclenche cette maladie qui reste rare (0,8 % de la population). Le principal danger du cannabis réside, selon les experts, dans le fait que ce produit est le plus souvent brûlé avec du tabac : son principe actif pourrait amplifier les effets cancérigènes des goudrons sur les poumons. Fumer plusieurs joints par jour, seul ou le matin, a par ailleurs été retenu comme un critère de consommation problématique par l'Observatoire européen des drogues et toxicomanies (OEDT).
 
Source : Libération - vendredi 14 mars 2003 - Matthieu ECOIFFIER
 
 
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Un test de dépistage rapide des drogues bientôt sur le marché
Par Invité,
Paris, Le premier test de dépistage rapide des principales drogues à partir de la sueur ou de l'urine sera sur le marché en France à partir du mois d'avril, a annoncé vendredi, au 31e MEDEC (Salon de la médecine), la société ID Pharma qui le commercialisera.Ce test, baptisé Narcotest, bénéficie de l'agrément de l'Agence de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) et sera vendu sur prescription médicale en pharmacie mais son prix n'a pas encore été fixé, a précisé son fabricant.
 
Fiable à plus de 99% selon ID Pharma, le Narcotest peut détecter en quelques minutes la présence dans l'urine ou la sueur des principales drogues : cannabis, ecstasy, cocäne, héroäne, morphine, mais aussi la méthadone, la benzodiazépine ou les barbituriques. Le test permet de dépister simultanément jusqu'à neuf familles de stupéfiants. S'il est positif, il doit être suivi d'une prise de sang, seule capable de déterminer avec précision la quantité de drogue présente dans le sang.
 
Toutefois, souligne son fabricant, le test ne permet pas d'affirmer que la personne était sous l'influence de la drogue au moment du prélèvement, contrairement à la prise de sang. Le cannabis, rappele-t-on, peut être retrouvé dans l'organisme plusieurs semaines après usage.
 
La commercialisation de ce test intervient après l'adoption de la loi du 3 février 2003 créant un délit de conduite sous l'emprise de stupéfiant, puni d'une peine pouvant aller à deux ans de prison et 4.500 d'euros d'amende. Cette loi rend également obligatoire le dépistage des stupéfiants en cas d'accident mortel.
 
Selon les chiffres officiels, 1 million de Français, dont 600.000 adolescents, sont des consommateurs réguliers de cannabis et 14% des conducteurs impliqués dans un accident mortel sont sous l'emprise de produits au moment des faits.
 
Cette proportion grimpe à plus de 27% chez les conducteurs de moins de 27 ans, tranche d'âge pour laquelle la route est la première cause de mortalité. Quelque 1.500 jeunes conducteurs meurent chaque année en France à cause de la drogue au volant.
 
Source : AFP, Yahoo!Actualités
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A propos du dossier paru dans la Recherche du mois de mars
Par Invité,
Le Collectif d'information et de recherche cannabique (CIRC) de Paris tient à saluer le dossier paru dans la revue la Recherche de ce mois de mars, et invite toute personne intéressée par la question des drogues et du cannabis à le lire avec attention. Intitulé "La vérité sur le cannabis", ce dossier ne peut être accusé de parti pris idéologique ou politique, se voulant seulement informatif avec la rigueur scientifique et le sérieux reconnu de cette publication.
 
Le dossier présente une synthèse claire des connaissances sur le cannabis reposant sur des études françaises et étrangères récentes, régulièrement citées en références par le CIRC. Il l'ajoute donc aux publications françaises sur lesquelles nous souhaitons attirer votre attention, tels le rapport de la commission Henrion, l'avis de la Commission nationale consultative d'éthique, le rapport Roques ou pour l'étranger le rapport du Sénat canadien.
 
Toutes ces données sont en désaccord avec le tableau catastrophique que nous dressent de nombreux médias depuis l'arrivée de l'ére Raffarin. Ainsi, ce gouvernement a préféré semer le trouble et la confusion dans la connaissance qu'a la population du cannabis pour créer le climat propice à la mise en place de son dispositif sécuritaire. En mettant le doigt sur la fragilité de la démarche du professeur Mura, l'auteur confirme les doutes que nous entretenions sur le dispositif de répression du cannabis au volant, voté à la va-vite sur des études inachevées ou contradictoires, dans une atmosphère d'urgence et de peur. Tout ceci renforce donc la conviction du CIRC que la législation en matière de cannabis en France repose bien plus sur la volonté de répression et de contrôle des gouvernements que sur des motifs de santé publique, d'éducation et de sécurité.
 
La conclusion de l'auteur de ce dossier s'appuie sur une citation de l'actuel ministre de la Santé, M. Mattei, qui déclare sans rire que la vérité scientifique sur le cannabis ne l'est pas dans la pratique, citation commentée d'un "tiens donc !" qui souligne bien l'absurdité du propos gouvernemental. Sophisme ministériel qui ferait sourire s'il n'avait pas pour conséquences directes près de 90.000 interpellations l'année dernière et quelques milliers de condamnations pénales scandaleuses, qui n'ont en rien fait reculer l'insécurité. Bien au contraire.
 
Source : CIRC
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Xavier Darcos : "Il n'existe pas de drogues douces"
Par Invité,
Paris, Le ministre de l'Enseignement scolaire, Xavier Darcos, a souligné mardi devant l'Assemblée nationale qu'il n'existait "pas de drogues douces, toutes les drogues sans exception étant néfastes".
 
Répondant à Jean-Paul Garraud (UMP) qui lui demandait quelles mesures prendre à l'école pour informer les jeunes des dangers des drogues et qui dénonçait une "résistance à gauche", le ministre a affirmé : "Il n'existe pas de drogues douces, elles sont toutes néfastes". "Et dire que le cannabis est une drogue douce est en contradiction avec l'idéal éducatif, contrairement à ce que certains ministres du gouvernement précédent ont dit", a-t-il ajouté.
 
"Nous prenons le problème à bras le corps", a encore déclaré M. Darcos, annonçant que l'an dernier dans le système scolaire 740 dealers avaient été arrêtés.
 
Il a également évoqué un budget de 3 millions d'euros (11% d'augmentation) cette année pour la lutte contre la toxicomanie en milieu éducatif.
 
Source : AFP Général - mardi 11 mars 2003
 
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(Equateur) L'usage personnel de drogues décriminalisé
Par Invité,
Un haut conseiller de la coalition politique du nouveau président de l'Equateur, Lucio Gutierrez, a déclaré à Reed Lindsay, journaliste de Narco News, que "selon la loi Equatoriale, la consommation de drogues n'est pas pénalisée. Elle est considérée comme une maladie, et l'usager n'est ni persécuté ni puni, tandis que le trafiquant l'est..."
 
Donc l'usage personnel est déjà décriminalisé en Equateur.
 
Fernando Buendia, conseiller du ministre de l'Economie équatorien, qui nous a rejoint comme invité spécial le mois dernier au sommet sur la légalisation des drogues à Mérida (Yutacan, Mexique), a accordé une interview à Lindsay, publiée aujourd'hui dans Narco News. Buendia dit :
 
"La criminalisation a provoqué de graves conséquences pour l'Amérique Latine et pour l'Equateur. Nous payons un coût extrêmement élevé pour la prohibition... Dans le cas de l'Equateur, il y a des centaines de personnes incarcérées pour avoir été des "mules", ou petits transporteurs de drogues, qui n'ont pas trouvé d'autre opportunité et se sont convertis au trafic comme moyen d'échapper à la pauvreté. Les prisons équatoriennes sont pleines de gens liés d'une manière ou d'une autre au trafic de drogue."
 
"L"autre problème qui est au coeur du sujet est la politique étrangère. Nous devons commencer à construire un ordre international qui soit plus équilibré face à l'unilatéralisme (des Etats-Unis), et dans ce contexte survient le problème de la décriminalisation du commerce des drogues. Pour cette raison, il est important que nous construisions des espaces d'alliances parmi les pays d'Amérique Latine, parmi les pays du Sud... Nous pensons que nous sommes sur l'offensive et que dans les années à venir il y aura d'importants changements ne Equateur, au Brésil, au Vénézuela et même en Argentine, Chili, Paraguay et Uruguay, qui sont derrière les autres, mais dont les mouvements sociaux commencent à faire d'importantes avancées."
 
Source : Narconews - lundi 10 mars 2003 - traduit par Raph
 
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Les passeurs défient la sécurité aux douanes
Par Invité,
Montréal - La demande américaine pour le " Québec Gold ", de la marijuana hydroponique de qualité, est si forte que les contrebandiers n'hésitent pas à défier la sécurité accrue aux frontières canado-américaines, selon la GRC.
 
La surveillance accrue et des peines d'incarcération sévères ne ralentissent pas les ardeurs des Québécois qui utilisent leurs véhicules, la course à pied et même la voie aérienne afin d'acheminer leurs " cargaisons " de l'autre côté de la frontière, explique le sergent Normand Houle, de la GRC.
 
Apparemment, les contrebandiers québécois " manqueraient de marijuana tellement la demande est forte ", dit M. Houle en se rappelant une récente opération où un groupe de producteurs de marijuana québécois avaient dû en obtenir de l'extérieur du Québec pour répondre aux commandes.
 
" C'est par contre plus difficile pour les trafiquants depuis que nous avons renforcé la sécurité il y a un an et demi pour contrer le terrorisme. "
 
Pour illustrer l'audace des contrebandiers, Norman Houle cite l'arrestation d'un Montréalais survenue vendredi dernier après que des motoneigistes eurent signalé aux autorités la présence d'un hélicoptère qui laissait tomber à basse altitude des balles de marijuana près du village de Lowell, au Vermont.
 
Liborio Sciascia, âgé de 33 ans, a été épinglé à Glover, au Vermont, après qu'un agent de police eut identifié un véhicule correspondant à la description donnée par les motoneigistes. Le coup de filet a permis la saisie de 110 kilogrammes de marijuana.
 

 
 
 
C'était le premier cas rapporté de trafic de stupéfiants à l'aide d'un hélicoptère, selon les autorités, mais pas la première fois qu'une organisation criminelle tentait de traverser les frontières avec de la drogue dans les États du Vermont et de New York.
 
Le procureur du Vermont, David Kirby, affirme que 5 à 10 cas d'individus tentant d'exporter de la marijuana à pied ou en camion sont à l'étude en ce moment. " Dans un certain nombre de cas, les Hells Angels seraient impliqués ", précise M. Kirby.
 
Normand Houle rappelle que l'année dernière les douaniers de deux postes frontaliers ont arrêté 30 conducteurs de camion qui tentaient d'entrer aux États-Unis avec de la marijuana et que jusqu'ici cette année 10 arrestations ont eu lieu pour des motifs similaires.
 
Le sergent Mark Pearson, de la GRC à Kinston, en Ontario, soutient que les incitatifs sont de taille pour les producteurs. Une livre de marijuana hydroponique du Québec rapporte environ 3500 $ au Québec, mais jusqu'à 5600 $CAN dans l'État de New York et 7000 $CAN en Californie.
 
Source : Le Soleil (Canada) - Edition du jeudi 6 mars 2003
 
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A Tahiti, le juge prescrit la tisane au cannabis
Par Invité,
Un malade qui l'utilisait comme antidouleur a été relaxé.
 
Un juriste de l'université de Polynésie critique la décision de la cour d'appel de Papeete. Celle-ci avait invoqué l'excuse de «nécessité» pour relaxer un homme de 55 ans, paraplégique, cultivateur de cannabis.
 
C'est un arrêt censé faire jurisprudence, pas une citation tirée d'un tract : «La consommation de cannabis est nécessaire à la sauvegarde de la santé.» Il a été rendu le 27 juin 2002 par la cour d'appel de Papeete, sous l'autorité du président de chambre, Brieuc de Mordant de Massiac. L'éloignement de cette juridiction française explique sans doute que la décision soit passée inaperçue. Un juriste de l'université de Polynésie la critique dans le Recueil Dalloz du 27 février, jugeant les propos de la cour «provocateurs». Celle-ci invoque l'excuse de «nécessité» pour relaxer un homme de 55 ans, paraplégique à la suite d'un accident et cultivateur de cannabis, et s'appuie sur l'article 122-7 du code pénal : «N'est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la personne.»
 
305 pieds. Loäc M. avait été condamné à six mois de prison dont trois ferme par le tribunal de grande instance de Papeete pour avoir «détenu sans autorisation administrative des plantes vénéneuses classées comme stupéfiants». Soit 305 pieds de cannabis hauts de 90 cm à 3 m et 84 pousses de 10 à 15 cm plantés dans son jardin. Loäc M. a expliqué que cela lui permettait de confectionner des tisanes, seul moyen de calmer ses douleurs, les autres médicaments lui abîmant les reins.
 
Plantes femelles. «Il est de notoriété publique que le cannabis est parfois utilisé comme médicament pour soulager des douleurs, justifie la cour. Il n'est pas reproché au prévenu d'avoir fait commerce ni d'avoir offert ses plants. Leur nombre était dû à la nécessité d'obtenir des plantes femelles, seules à lui procurer la grande qualité de fleurs nécessaires à ses tisanes.» Donc, conclut la cour, Loäc M. est bien menacé par un danger actuel, ses souffrances. La détention de cannabis est nécessaire à la sauvegarde de sa santé, et donc de «sa personne».
 
Selon Pascal Gourdon, professeur de droit à Papeete, l'état de nécessité doit s'envisager comme la protection de certains intérêts moraux supérieurs, comme «l'hon neur ou la dignité» : «La cour de Papeete a fait du refus de la souffrance un objectif supérieur à celui du respect de la loi sur le trafic des stupéfiants, alors que ses souffrances ne mettent pas en jeu le pronostic vital.»
 
L'usage du cannabis à des fins thérapeutiques est autorisé en Suisse, en Australie, au Canada, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et dans 35 Etats américains... Mais pas en France. Le tribunal administratif de Paris l'avait rappelé en mai 2001. Bernard Kouchner, alors ministre de la Santé, s'était montré favorable à cet usage.
 
Source : Libération - lundi 3 mars 2003 - Blandine GROSJEAN
 
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le Maroc premier exportateur africain
Par Invité,
Le Maroc serait le premier pays exportateur de drogue selon plusieurs études internationales. Dans le royaume, la question reste complètement taboue. Le cannabis rapporterait aux trafiquants près de deux milliards de dollars. Un million de Marocains vivrait des revenus de la droge.
 
Les rapports se multiplient sur la drogue, en particulier sur le premier producteur africain qui est… le Maroc ! Mais au Maroc même, le sujet est tabou. Les Nations unies, elles-mêmes, viennent de sortir leur rapport annuel, le 26 février dernier. Dans ce rapport annuel de l'OICS (Organe international de contrôle des stupéfiants), le cannabis continue d'être "cultivé illicitement à grande échelle au Maroc". Les données des Nations Unies confirment les analyses réalisées par l'Observatoire international de la criminalité de l'Université belge de Louvain, qui lui aussi dit que le Maroc est devenu le premier producteur.
 
Mutisme des autorités
 
Mais essayez de confirmer ou d'infirmer ces données auprès des services marocains ! Personne pour répondre. La Douane ? "Ne coupez pas, votre appel va être transféré dans un instant..., ne coupez pas, votre appel va être transféré dans un instant... ne coupez pas, votre appel va être transféré dans un instant...". Au bout d'un moment, fatigué d'attendre, vous raccrochez. A la Régie des Tabacs ? "Vous devez nous écrire selon la voie hiérarchique pour contacter les responsables. " A la Gendarmerie royale, le gentil gendarme, qui répond aux questions, avait l'air de ne pas savoir qu'il existait un service spécialisé.
 
Tout le monde est très gentil mais la protection des informations est absolue. Absolue? Pas tout à fait, l'Agence du Nord, qui a plus le sens du service aux citoyens, répond. Le rapport de l'ONU analyse la situation mondiale en matière de contrôle de drogue. Objectif : tenir les autorités nationales informées des problèmes réels et potentiels qui risquent de compromettre la réalisation des objectifs des traités internationaux relatifs au contrôle de drogue. C'est lui qui met le Royaume du Maroc en haut de la liste africaine, comme premier producteur et premier exportateur.
 
" Principale activité agricole du Rif "
 
Un autre rapport réalisé en février 2002 par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies dresse un bilan alarmant sur le trafic du cannabis au Maroc. En effet, selon ledit rapport, "environ 90% du haschisch saisi en Europe en 1999 provenait du Rif marocain où il constitue la principale activité agricole". Les aléas climatiques sont des facteurs déterminants dans la production du cannabis. Selon l'Observatoire géopolitique des drogues (OGD), les superficies pour l'année 95 étaient de 79.846 ha. Ceci avait été plus ou moins reconnu par le ministre de l'Intérieur de l'époque, Driss Basri. Il avait même donné une évaluation de l'argent mobilisé dans les réseaux du cannabis marocain: 2 milliards de dollars, soit 20 milliards de DH environ.
 
Les autorités marocaines avaient entrepris diverses démarches pour obtenir de l'aide de la part du l'Union européenne et des pays membres, pour lutter contre la drogue. La récolte d'argent avait été mince, infiniment plus mince que les revenus tirés de la drogue, non pas par les agriculteurs, mais par les intermédiaires. Le rapport de l'ONU souligne d'ailleurs que les pays consommateurs tirent 98% des revenus de la drogue, alors que les pays producteurs doivent se contenter du reste.
 
"Cultures industrielles!"
 
En 2000, et selon des données rendues semi-publiques par le ministère de l'Agriculture marocain, le cannabis figurait sous la rubrique "Cultures industrielles" : cela ne s'invente pas ! Les cultures ont atteint 90 000 hectares, en l'an 2000. Quant aux quantités de haschisch produites, l'OGD fournit différents chiffres se basant sur des études réalisées par des pays concernés. Le voisin espagnol fait état de 1 750 tonnes, le département d'Etat des Etats-Unis 2 000 t. Pour l'Observatoire de la criminalité, basé à l'Université de Louvain, les chiffres sont plus alarmants. Ces recherches font état de 200.000 ha en culture au cours de l'année 2001-2002 (...) Ces données ont été rendues publiques lors du World Economic Forum à Davos.
 
Les saisies en Europe ces dernières années se situent autour de 700 t. Quant aux familles concernées par cette culture, le nombre est effrayant. L'unique source d'argent de plus de 200.000 familles provient directement du haschisch, soit 1 million de personnes. L'agronome espagnol, Pascual Moreno, note une grande différence des bénéfices que génère la culture du cannabis entre paysans et grands trafiquants.
 
En 1997, la somme a atteint plus de 1,8 milliard de dollars. Basri l'avait d'ailleurs "officieusement" confirmé. Or, les paysans n'encaissaient que 13% de cette somme. Bon nombre de trafiquants marocains disposent de la nationalité espagnole et opèrent à l'étranger puis rapatrient leurs profits au Maroc: il n'y a pas de législation qui oblige les banques à déclarer les mouvements suspects de fonds. Pas besoin de grande sophistication pour blanchir l'argent sale. Pour rendre le blanchiment encore plus facile, le Maroc a une forte économie souterraine, dans laquelle il est aisé de faire disparaître puis réapparaître l'argent suspect (...)
 
Source : L'économiste (Maroc) - dimanche 2 mars 2003 - Hayat KARIM ALLAH
 
 
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L'ONU contre la dépénalisation des drogues
Par Invité,
https://www.cannaweed.com/images/onu.gif[/img]Résolument prohibitionniste, le rapport 2002 de l'Organe international de contrôle des stupéfiants a été publié mercredi. Les profits issus du trafic sont en quasi-totalité réalisés dans les pays consommateurs, regrette l'OICS. L'Office pourfend aussi l'usage et la légalisation du cannabis en Europe.
 
L'attitude des pays "légalisateurs" à l'égard du cannabis «mine la loi internationale», affirme l'OICS.
 
Les profits de la drogue vont aux riches et non aux pauvres, certains pays développés sont irresponsables de dépénaliser car ça contrecarre la lutte mondiale contre la drogue, et ce n'est pas bien de prendre des drogues... Voilà ce que nous apprennent les experts de l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS, un organisme dépendant de l'ONU), dans leur rapport 2002.
 
Les profits, en premier lieu: ils sont réalisés à 98% dans les pays consommateurs, et non dans les pays producteurs. A partir d'estimations faites sur le trafic mondial d'héroäne et de cocäne, drogues ayant «les plus fortes incidences socio-économiques», l'OICS a calculé que les dépenses consacrées en 2000, aux Etats-Unis et en Europe, à l'achat d'héroäne et de cocäne, ont avoisiné les 60 milliards de dollars. Parallèlement, le revenu global des agriculteurs cultivant le pavot en Afghanistan et la coca en Colombie s'était établi en 2000 à 1,2 milliard de dollars (environ 1,15 milliard d'euros), soit «tout juste 2%» de l'aide mondiale au développement –qui est de 54 milliards de dollars.
 
En Afghanistan, où l'apport de capitaux liés à la culture du pavot «est relativement important par rapport au produit intérieur brut», le rang de premier producteur d'opium (au début des années 90) a servi à «alimenter les guerres civiles mais n'a manifestement pas contribué au développement socio-économique» – les experts notent par ailleurs que l'Afghanistan a retrouvé en 2002 son rang de premier producteur mondial (3.400 tonnes récoltées), après la guerre menée par les Etats-Unis contre les talibans.
 
Quantaux pays industrialisés et consommateurs, ils marchent sur la tête, martèlent les experts de l'ONU. Ainsi visés l'Italie, le Luxembourg, le Portugal et l'Espagne, pour avoir dépénalisé la culture et la possession de cannabis à des fins personnelles. Mais aussi Pays-Bas et Suisse, pour avoir permis la vente de cannabis dans des «coffee shops», et pour vouloir légaliser partiellement sa détention. L'attitude de ces pays à l'égard du cannabis «mine la loi internationale», affirme l'OICS. En substance: on essaie d'ordonner aux pauvres de ne plus cultiver de drogues, et pendant ce temps les riches assouplissent leurs lois (prochains sur la liste: Canada et Pays-Bas).
 
La publication de ce rapport, à sens unique, manque toutefois de comparaisons: quid par exemple des effets, sur les économies parallalèles ou sur la santé des toxicomanes et des simples consommateurs, des politiques menées par ces pays trop «libéraux»? Le patron de l'OICS estime que «la communauté internationale ne doit pas dépenser davantage pour soigner les dégâts causés par le cannabis, la drogue la plus répandue et la plus consommée dans le monde», allant jusqu'à condamner son utilisation à des fins thérapeutiques, dans certains pays. L'organisme est tellement remonté contre le cannabis, qu'il ne cite ni le tabac, drogue bien plus addictive selon un récent rapport français, ni l'alcool, ni les tranquillisants, anxiolytiques et autres calmants.
 
Source : Liberation.fr - mercredi 26 février 2003 - F.-M. S.
 
 
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Gouttes anti... yeux rouges
Par Invité,
BRUXELLES Le phénomène a atteint une telle ampleur que l'Association pharmaceutique belge (APB) a estimé nécessaire d'adresser un avis à ses membres. «De plus en plus de pharmaciens prennent contact avec nos services pour nous signaler une recrudescence notable de la vente de... Minhavez parmi les jeunes», intervient Martin Warnez, auprès de l'APB. «Ce médicament, disponible en vente libre, se présente sous la forme de gouttes pour les yeux. En fait, il intervient dans le traitement des irritations oculaires bénignes».
 
Cette indication classique concerne évidemment aussi les jeunes, qui peuvent souffrir, comme les adultes, de légères conjonctivites. Sauf qu'ici, l'accroissement de la demande, dans leur chef, ne peut pas s'expliquer par une soudaine augmentation de ces troubles.
 
«Après avoir mené notre enquête, il nous est apparu que ce médicament - à base de naphazoline - était utilisé par pas mal de consommateurs de... cannabis, afin de camoufler les irritations oculaires qui peuvent être occasionnées par l'usage de cette drogue», poursuit M. Warnez. «Du reste, dans les forums Internet, où se retrouvent les amateurs de cannabis, on évoque cette propriété du Minhavez».
 
Dans la mesure où il s'agit d'un médicament disponible sans ordonnance (prix: 3,94 €), et qui ne présente pas de danger immédiat, il n'appartient pas à l'APB d'en déconseiller la vente aux jeunes. «Dans le cadre du rôle d'information dévolu aux pharmaciens, nous appelons toutefois nos membres, s'ils constatent qu'un client demande fréquemment ce produit, à le mettre en garde contre les conséquences indésirables possibles en cas d'utilisation intensive et prolongée. La naphazoline peut augmenter la pression intra-oculaire, et provoquer des rougeurs aux yeux. Le patient obtiendrait alors l'effet inverse de celui qui est recherché!».
 
Source : La Dernière Heure (Belgique) - vendredi 28 février 2003 - J. M.
 
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Le site est dispo pour Pocket PC- PDA et SPV
Par Invité,
https://www.cannaweed.com/images/pda.gif[/img]A cette adresse : www.canaweed.com/pda.php
Si vous rencontrez le moindre problème de compatibilité, [mail]alexandre@canaweed.com[/mail]
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Raids de la DEA chez les Headshops
Par Invité,
"High times" alerte l'opinion sur les arrestation massives d'activistes américains en faveur de la marijuana. 55 personnes sont poursuivies pour vente de matériel destiné à l'usage de drogue (comprenez des bangs vendu dans des hedshop ou growshop)dont Jerome Baker Designs d' Eugene, OR; the Zong bong et Seedless clothing companies de San Diego; Colorchangingglass.com, of Forestville, CA; et le légendaire commédien Tommy Chong (cheech and chong) , dont la maison a été perquisitionnée... ainsi que le HIGH TIMES staffer Randy Przekop, qui tient un headshop à Pittsburgh.
L'administration Bush va t'en guerre persiste dans son abrutissement et ses manipulations... Rapellons au passage que Ed Rosenthal a été reconnu coupable lors de son procés mais que 7 jurés sur 12 ont déclaré ne pas avoir été correctement informé lors du procés et qu'il ne l'auraient pas condamné si ils avaient eu tout le dossier !! Ils se sont même excusés !!! Abérant... Espéront que Ed aura plus de chance pour son appel...
High times commence son article par : "Les gars, on dirait que le bon vieux temps de la fumette tranquile est bien fini !"
lien URL de l'article sur high times
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Expo cannatrade en Suisse
Par Invité,
https://www.cannaweed.com/images/cannatrade.jpg[/img]Cannatrade c'est l'exposition internationale sur le chanvre de Berne en Suisse.
Ca commence le 28 Février 2003 jusqu'au 2 marscf le calendrier des évenements
 
Voici l'URL pour en savoir plus : c'est quoi cannatrade ??
 
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La position des francais par rapport au cannabis
Par Invité,
Un quart des Français favorables à la vente libre du cannabis
 
PARIS, 7 fév (AFP) - Près d'un Français sur quatre (23 %) est favorable à la vente libre du cannabis, contre un sur six (17 %) il y a trois ans, selon une enquête sur les Français et les drogues, présentée vendredi par l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).
 
L'évolution de l'opinion publique sur le cannabis touche tout le monde, les jeunes (39 % de partisans de la vente libre chez les 18-24 ans, contre 24 % en 1999), les "expérimentateurs" (55 % contre 45 %) et les "abstinents" (14 % contre 10 %).
Dans la hiérarchie de la dangerosité, le cannabis (jugé "produit le plus dangereux" par 2 % des Français, contre 3,4 % il y a trois ans) a cédé encore un peu de terrain. En 1999, il se classait en avant-dernière position, entre l'alcool et le tabac. Trois ans plus tard, il est jugé moins dangereux que le tabac. Car dans le même temps, le jugement des Français s'est durci vis-à-vis des produits licites que sont l'alcool et le tabac, tous deux jugés plus "addictifs" que le cannabis. Pour le tabac, le "seuil moyen de dangerosité" est passé en trois ans de 11 à 10 cigarettes par jour. Pour l'alcool, il a également baissé, passant de 3,6 à 3 verres quotidiens.
 
Plus de deux Français sur trois (70%) estiment que l'abus d'alcool est plus dangereux pour la société que les drogues illicites. 62% pensent de même pour le tabac. Plus des trois quarts (77%) sont favorables à l'interdiction de vente de tabac aux mineurs.
 
Au palmarès de la dangerosité, l'héroäne reste en tête avec 42,6% de réponses. Mais la deuxième place est désormais occupée par l'ecstasy (21,4%), qui a "doublé" la cocäne (19,3%).
 
L'enquête sur les Représentations, Opinions et Perceptions sur les Psychotropes (EROPP 2002) a été menée en décembre 2001 auprès de plus de 2.000 personnes âgées de 15 à 75 ans. C'est la deuxième étude de ce type, après une première présentée en 1999.
 
Source : AFP
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Une demi-tonne de cannabis pêchée dans le canal du Midi
Par Invité,
https://www.centre-congres-toulouse.fr/images/toulouse/canal.jpg[/img]C'est une pêche des plus miraculeuses que les policiers carcassonnais ont effectuée, hier après-midi, dans les eaux du canal du Midi, sous le pont de l'écluse Saint-Jean, après la Someca.
Au total, plus d'une demi-tonne de résine de cannabis a été sortie de l'ouvrage historique de Pierre-Paul Riquet par trois pompiers plongeurs, dans une eau à 8 °. La drogue était soigneusement conditionnée par "savonnettes" de 250 grammes dans des ballots en nylon pouvant peser jusqu'à 70 kilos, mais aussi dans des gros sacs en toile et même des cartons.
« Fin 2001, nous avions déjà trouvé quatorze kilogrammes de résine dans le Canal, mais c'était un peu plus bas. Là, c'est monstrueux. C'est la première fois qu'on en trouve autant », soulignait, hier, le commissaire Ménard.
En fait, c'est un retraité qui a l'habitude de venir pêcher dans le secteur qui a été intrigué par les ballots de nylon qui émergeaient légèrement de la surface de l'eau. « Il a vu le reportage consacré aux milliardaires du cannabis qui a été diffusé le week-end dernier sur M6. Il trouvait que ces sacs ressemblaient beaucoup à ce qu'il avait vu à la télé, et il nous a alors appelé », expliquait un fonctionnaire de police.
De la berge, on pouvait distinguer des ballots. Il a fallu faire appel aux pompiers plongeurs pour récupérer le précieux butin. Il faut dire que la valeur marchande de la drogue saisie hier est estimée, au pire, à plus de 762 245 d'€ (soit plus de 5 MF). Pour l'heure, rien ne permet de dire exactement comment la drogue est arrivée à cet endroit. Pour la police, aucune piste n'est écartée : ou les ballots ont été largués d'une péniche, ou ils ont été perdus par des plaisanciers trafiquants, ou bien encore ils étaient entreposés là dans le but d'alimenter un trafic local. Toujours est-il que la résine de cannabis, encore bien dure dans son emballage en plastique, était plutôt bien conservée. Selon les enquêteurs, la drogue n'était pas là depuis si longtemps que ça.
La plus grosse saisie de résine de cannabis à Carcassonne remonte au début de l'année 1988. Six cent cinquante kilogrammes de "H" avaient alors été découverts par les policiers dans un camion espagnol qui venait du Maroc.
 
 
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Un militant pro-cannabis @ Nouvel Obs
Par Invité,
https://www.cannabistrot.net/mauvaisegraine/movez.GIF[/img]A Montpellier, Stéphane Karscher propose depuis plus d'un an, dans son magasin, un nécessaire pour cultiver le cannabis chez soi : il est poursuivi pour provocation et incitation à l'usage de stupéfiants.
 
Le militant pro-cannabis et gérant du magasin "Mauvaise Graine" à Montpellier, Stéphane Karscher, a été mis en examen mardi pour provocation et incitation à l'usage de stupéfiants, pour avoir vendu dans son établissement des tee-shirts conseillant aux "fumeurs" de joints à cultiver leur propre chanvre.
Les articles incriminés avaient été saisis le 9 janvier 2003 par les hommes de la brigade des stupéfiants lors d'une perquisition dans les locaux du magasin de Stéphane Karsher, surnommé "K'Shoo", par ailleurs porte-parole national du Collectif d'information et de recherche cannabique (CIRC).
Les policiers avaient notamment emmené des tee-shirts marqués du slogan: "Fumeurs, cultivez plus, risquez moins" ainsi que des produits alimentaires aromatisés au chanvre. Lors de la perquisition, Stéphane Karscher avait été placé en garde à vue puis relâché dans la journée.
 
Engrais, manuels et chocolat
 
Le magasin de "K'shoo" propose également tout le matériel pour cultiver chez soi, en intérieur et en extérieur, ses propres plans de chanvre: tubo-néon, engrais, systèmes de culture hors-sol, matériels de bouture, manuels. Mais le magasin propose également d'informer sur toutes les vertus gastronomiques et thérapeutiques du chanvre qui, même dépourvu de sa substance psychotrope, est utilisé pour fabriquer du chocolat, des boissons, des pâtes ou encore de l'huile.
Comme plusieurs autres magasins de ce type en France, ce militant s'abrite derrière le fait que la loi n'interdit que le fait de fumer et non de cultiver. Cependant, l'article L.630 du code de la santé publique interdit les "présentations des drogues sous un jour favorable" ainsi que "l'incitation à la consommation" même si "cette provocation n'a pas été suivie d'effets". Convoqué mardi par le juge d'instruction qui lui a notifié la mise en examen, Stéphane Karscher, âgé de 36 ans, risque cinq ans de prison et 76.225 euros d'amende.
 
Source : Nouvel Obs, Le journal permanent
 
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La drogue au volant désormais passible d'une peine de prison
Par Invité,
https://eur.news1.yimg.com/eur.yimg.com/xp/reuters_ids/20030123/t/1654471368.jpg[/img]PARIS (AP) - Le Parlement a définitivement adopté jeudi la proposition de loi du député UMP Richard Dell'Agnolla créant un nouveau délit de conduite sous l'emprise de drogue, passible d'une peine de deux ans d'emprisonnement et de 4.500 euros d'amende. Des opérations "coup de poing" pourront être organisées sur les routes.
 
L'Assemblée nationale a adopté sans le modifier le texte qui avait été validé par le Sénat le 19 décembre dernier. Alors qu'ils s'y étaient opposés lors de la première lecture le 8 octobre, les députés PS et PCF ont cette fois préféré s'abstenir.
 
L'Assemblée nationale a adopté sans le modifier le texte qui avait été validé par le Sénat le 19 décembre dernier. Alors qu'ils s'y étaient opposés lors de la première lecture le 8 octobre, les députés PS et PCF ont cette fois préféré s'abstenir.
 
Le fait de conduire sous l'emprise de "paradis artificiels" sera désormais considéré comme un délit passible des mêmes peines que pour l'alcool au volant, soit deux ans d'emprisonnement et 4.500 euros d'amende si les analyses sanguines s'avèrent positives. Les sanctions pourront être portées à trois ans de prison et 9.000 euros d'amende en cas de mélange avec de l'alcool.
 
De plus, les dépistages seront systématiques en cas d'accident mortel ou corporel s'il existe "une ou plusieurs raisons de soupçonner" que le conducteur a fait usage de stupéfiants, comme des "troubles de l'équilibre" ou des "difficultés d'élocution".
 
Cette liberté d'appréciation laissée aux forces de l'ordre vise à éviter un engorgement des services chargés des contrôles et des analyses, près de 120.000 accidents corporels se produisant chaque année pour 8.000 accidents mortels. Des opérations "coup de poing" pourront également être menées sur les routes, à l'instar des contrôles inopinés d'alcoolémie.
 
Saluant un texte "complet, clair et cohérent", le ministre de la Justice Dominique Perben a assuré que le décret d'application serait pris "dans les prochaines semaines". Faisant de la sécurité routière l'un des grands "chantiers" de son quinquennat, Jacques Chirac s'était prononcé pour un alourdissement des sanctions contre la drogue au volant le 27 septembre. Soit deux jours après la condamnation par le tribunal de Bobigny d'un chauffard sous l'emprise de stupéfiants qui avait tué une fillette de neuf ans.
 
Citant plusieurs études, le rapporteur Richard Dell'Agnolla a indiqué qu'"environ 20% des accidents mortels sont dus à une consommation de psychotropes illicites, soit près de 1.600 personnes par an, et l'on peut atteindre 33% chez les conducteurs de moins de 27 ans". La prise de cannabis augmenterait la fréquence des accidents chez les moins de 27 ans par 2,5, par 3,8 pour l'alcool et par 4,8 en cas de mélange. Un député a également assuré qu'"un joint équivaut à un taux d'alcoolémie de 0,8 gramme".
 
Reste qu'il est difficile d'évaluer avec fiabilité à quand remonte une consommation de drogue et de mesurer son taux exact. Son coût est également élevé: 25 euros pour un test d'urine, plus le coût de la consultation médicale, 241 euros pour un test sanguin. Sans compter que la question des médicaments psychotropes au volant reste encore en suspens. Une étude de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) doit rendre ses conclusions sur ces questions en 2004.
 
Source : Yahoo! Actualités du Jeudi 23 janvier 2003, 15h25
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De vrais policiers pour notre sécurité !
Par Invité,
France: son décor de théâtre ressemble à du cannabis, il est interpellé.
 
METZ (AFP), le 14-01-2003
Un homme qui transportait un décor de théâtre, notamment un arbre en plastique aux feuillages faisant penser à du cannabis, a été interpellé par la gendarmerie pour incitation à la consommation de stupéfiants.
 
James Van der Straeten, marionnettiste de son état, a rapporté mardi avoir été interpellé par des gendarmes à son domicile d'Abreschviller (Moselle) dimanche: dans sa fourgonnette garée devant chez lui, les gendarmes avaient vu à travers la lunette arrière des feuilles dentelées ressemblant à du chanvre. Malgré ses dénégations, il a été entendu pendant deux heures à la gendarmerie.
 
L'objet du délit, un arbre en plastique de 1,50 m de haut imitant, selon lui, "des feuilles de marronnier rétréci", a été saisi, mis sous scellé et "sera détruit par le parquet", a-t-il expliqué.
 
Le marionnettiste ne devrait toutefois pas être poursuivi, a-t-on indiqué au parquet de Metz. La gendarmerie ne communiquait pas sur le sujet.
 
"Je fais ce spectacle depuis huit ans, j'ai fait des représentations pour des gendarmes, des CRS, on ne m'avait jamais rien dit", s'est-il étonné avant d'ajouter qu'un arbre factice de la même essence trône dans le hall de la caisse d'épargne de Sarrebourg.
:-x
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Vivre vieux : on cherche
Par Invité,
Par handiplus.com- le 02/08/2002
Récemment, le journal "Science" nous indiquait que la longévité était question de température du corps et de chimie dans le sang (insuline et DHEA): plus la température et les taux sont bas, plus la longévité s'en trouverait accrue. Quelques "recettes".
 
Petit problème (hic!), l'expérience menée sur 1500 personnes depuis 1958 ne nous dit pas la raison pour laquelle des animaux étudiés en parallèle et soumis à un régime alimentaire stricte vivaient plus longtemps sans que soient tenus en compte, un seul instant, aucun des deux paramètres biologiques cités plus haut.
 
Bien sûr, nous ne sommes pas des rats de laboratoire mais, une chose semble évidente, il y a bien quelque chose d'autre qui entre ici en ligne de compte. Une "magie" que certains disent trouver dans le sommeil. En effet, les femmes qui sont de plus grosses dormeuse que les hommes vivent aussi plus vieilles. Ainsi, des chercheurs de Pennsylvanie, on démontré que le manque de sommeil affecte le niveau de certaines hormones dans le corps.
 
Mais bon, cela on le savait déjà. La vérité serait plutôt non pas qu'elles dorment plus mais qu'elles dorment mieux. En effet, d'autres études démontrent que trop de sommeil serait... mauvais pour la santé (sic!). Comme le soulignent les psycho-pharmacologues le tout serait bien plutôt de respecter son horloge interne.
 
Cette publication du journal "Chemistry and Industry" se trouve elle-même enrichie (remise en cause?) par une autre de l'Université de Sheffield laquelle, analysant la vie sexuelle des scarabées nous dit que plus ces petites bêtes on des relations sexuelles et plus leur espérance de vie est courte (du fait d'un enzyme, une hormone s'attaquant au système immunitaire du coléoptère).
 
Les scarabées, les reptiles, les oiseaux, c'est bien, mais et les Hommes dans tout cela? Et bien une autre étude (eh oui!) menée, cette fois, à Aberdeen, en Ecosse, nous dévoile que plus le QI d'une personne est élevé et plus celle-ci aurait de chances de faire de vieux os. Recherche commencée en 1932, développée durant la deuxième Guerre Mondiale et publiée dans le Bristish Medical Journal.
 
Mais, et si c'était en Chine qu'il nous fallait chercher le secret de la longévité? Là, dans les montagnes du Sud-Ouest, un groupe de petites vallées semble offrir "la" réponse (une réponse?) avec ses paysans qui continuent à y travailler la terre jusqu'à 100 ans et qui dépassent plus que régulièrement les 110. La vallée du Longlaodun (puisqu'il faut l'appeler par son nom) : un petit paradis sur terre entouré de cascades et de paysages verdoyants.
D'après ses habitants, il n'y aurait pas d'autre secret que le travail physique quotidien, une vie simple, de l'air pur, une eau de source... et une variété de cannabis qu'il ne cessent de mâchonner à longueur de journée... Désolé pour les âmes sensibles.
Conclusions : mangez quand vous avez faim, occupez-vous les neurones le plus longtemps possible, écoutez votre organisme et son horloge interne, veillez à satisfaire vos besoins essentiels (y compris sommeil et relations sexuelles) sans vous laisser guider par la gourmandise ni les excès et puis, surtout, surtout, comme les paysans des vallées éternelles de la Chine méridionale, fuyez le stress comme la peste. Alors, longue vie à vous toutes et à vous tous et à dans 100 ans sur les pages de ce portail source de jouvence.
 
 
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