Ce que nous avons retenu...

Une liqueur à saveur de marijuana
Par Invité,

Une des plus grosses distilleries de république tchèque a annoncé la mise en marché d'une nouvelle liqueur à saveur de pot.
La compagnie assure que la boisson ne contient pas de tetrahydrocannabiol (THC). Elle titre quand même à 16% d'alcool par volume, selon Jiri Janak, directeur de production chez Drinks Union, à Prague.
 
 
Source: Le matinternetM. Janak s'est réjouit de ne pas avoir reçu de plainte de la part des organisations anti-drogues. « Nous produisons à partir de chanvre, mais notre produit ne contient pas de THC », a-t-il soutenu.
 
La boisson à base de vodka est vendue dans les supermarchés et certains restaurants. Une pinte de la boisson coûte environ 85 kurona, soit près de 5$ canadiens.
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Le chanvre, isolant très "propre" intéresse le bâtiment
Par Invité,
Déjà utilisé dans l'industrie papetière et les litières animales, le chanvre intéresse depuis quelques années les professionnels du bâtiment, séduits par ses propriétés isolantes et ses vertus écologiques.
 
 
 
 
Source: Immo du MidiLa culture du chanvre est autorisée en Europe, avec des contrôles stricts, à condition d'utiliser des variétés textiles contenant moins de 0,3 % de étrahydrocannabinol (THC), le principe stupéfiant de la plante. A Bar-sur-Aube, le premier producteur européen de chanvre, la Chanvrière de l'Aube, cultive 6.000 hectares et assure 75 % de la production française avec une philosophie : « valoriser toute la plante », comme l'explique Benoît Savourat, président de cette oopérative.
 
« La fibre de chanvre sert essentiellement à fabriquer des papiers fins et résistants, mais pendant longtemps la chènevotte (le bois de la plante, ndlr) était considérée comme un déchet », raconte-t-il. Aujourd'hui, la chènevotte est utilisée comme litière, notamment pour les chevaux, mais c'est la plante toute entière qui intéresse le bâtiment : sa fibre est ransformée en laine de chanvre et la chènevotte est mélangée à de la chaux pour former des bétons légers, deux solutions écologiques d'isolation.
 
Et tandis que la laine de chanvre peine encore à séduire le marché français, du fait de son coût (en Allemagne et en Autriche, les subventions gouvernementales lui ont permis de s'implanter avec succès), les bétons de chanvre suscitent plus d'intérêt et la France fait figure de précurseur dans ce domaine. A Châlons-en-Champagne, où s'est tenue une conférence sur la construction en chanvre, les architectes Christian Hackel et Emmanuelle Patte-Colardelle ont rénové une maison diocésaine du 19e siècle avec du chanvre.
 
« On recherchait un matériau qui permettait de réguler l'hydrothermie et de garder un confort d'isolation thermique », raconte Mme Patte-Colardelle. « On a testé le chanvre sur un chantier plus modeste, et on s'est rendu compte qu'il était très facile à utiliser, et qu'il apportait même une correction acoustique », explique-t-elle. Autre avantage non négligeable : ce produit, entièrement naturel, est recyclable et ne se dégrade pas dans le temps. Il répond ainsi parfaitement aux nouvelles exigences du bâtiment liées au label Haute Qualité Environnementale. L'utilisation de bétons à base de chanvre, bien qu'en progression constante, reste toutefois marginale en raison de son coût et du manque de connaissances concernant son utilisation. Toutefois, à long terme, c'est plus économique : « moins de chauffage à utiliser car l'isolation est meilleure et moins de maladies parce que l'air est moins sec », atteste Mme Patte-Colardelle. Il n'existe pas encore de charte détaillant les qualités et les propriétés du chanvre pour l'isolation, explique-t-elle, même si un texte est en cours de rédaction par les cultivateurs et transformateurs réunis dans l'association "Construire en Chanvre", en collaboration avec les ministères de l'Agriculture et de l'Environnement.
 
A Troyes, un premier pas a été franchi : l'Institut universitaire des métiers du patrimoine (IUMP) propose, depuis le début de l'année, des formations professionnelles sur l'utilisation du chanvre dans le bâtiment.
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[Bon Plan] Ventilateur à 39€ au lieu de 59€
Par Invité,
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La stratégie en matière de lutte internationale contre les stupéfiants
Par Invité,
Swaziland
Les activités liées aux drogues au Swaziland concernent principalement la production, le conditionnement et l'acheminement de la marijuana. Cette culture est consommée localement et également exportée vers l'Afrique du Sud. Elle est également exportée vers l'Europe et les États-Unis, mais en petites quantités qui ne peuvent pas avoir un impact important.
 
 
Source: La nouvelle republiqueLa proximité de l'Afrique du Sud, l'absence de lois efficaces contre les stupéfiants, les ressources limitées des forces de l'ordre et une infrastructure économique relativement développée font du Swaziland un pays attirant pour les trafiquants qui ciblent le marché relativement riche de l'Afrique du Sud. Le gouvernement du Royaume du Swaziland est conscient du problème des drogues sur son territoire et coopère avec les pays voisins pour en combattre le commerce. Le Swaziland est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants.
Tanzanie
La Tanzanie se trouve située sur les routes du trafic de l'Asie et du Moyen-Orient vers l'Afrique du Sud, l'Europe et les États-Unis. Les drogues telles que le haschisch, le Mandrax, la cocäne, l'héroäne et l'opium pénètrent dans le pays et en ressortent par ses frontières poreuses. De plus, la production intérieure de cannabis continue de se développer. En conséquence, la toxicomanie, en particulier la consommation de cannabis mais également de cocäne et d'héroäne, continue d'augmenter, notamment chez les jeunes des milieux aisés. Les crimes de violence associés au trafic des drogues ont eux aussi augmenté au cours de l'année. La Tanzanie a lancé en juin dernier, avec l'Ouganda, le Kenya et le Rwanda, une initiative régionale de lutte contre le trafic des stupéfiants. La corruption généralisée réduit les capacités des institutions dans ce domaine. La Tanzanie est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants, et en conjonction avec le PNUCID, cherche à en réaliser les objectifs.
Togo
Le Togo est aspiré dans le cyclone du trafic des drogues du Nigeria en raison de la proximité de ce pays et du fait qu'il connaît certains des problèmes de pauvreté et de corruption qui encouragent le trafic des drogues au Nigeria. En 2001, le gouvernement du Togo a procédé à de nombreuses arrestations liées au trafic de la drogue, notamment à l'aéroport international de Lomé. La plupart des arrestations concernent des ressortissants nigérians trafiquant la cocäne et l'héroäne. Le Togo est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants.
Zambie
La Zambie n'est pas un pays gros producteur ni exportateur de drogues et n'est pas non plus considérée comme un pays de transit majeur. La Commission antidrogue de la Zambie (DEC) est chargée de l'application de la législation nationale dans ce domaine. La DEC collabore de manière efficace avec les services de police de la Zambie (ZPS), ainsi qu'avec les forces de police des États-Unis et d'autres pays. Les statistiques de la DEC font état d'un taux de réussite d'environ 56 % dans les poursuites judiciaires des trafiquants de drogues mis en accusation en 2001. Les responsables des forces de l'ordre de la Zambie prennent au sérieux les efforts de lutte contre la drogue, mais le programme, comme la plupart des efforts de répression de la criminalité en Zambie, souffre d'un manque de ressources. La Zambie est partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants.
Zimbabwe
Le Zimbabwe n'est gros producteur, fournisseur ou exportateur ni de drogues ni de précurseurs. Le principal problème de drogue au Zimbabwe concerne le cannabis, importé en majorité (80 %) du Malawi, du Mozambique et de la Zambie, le reste étant cultivé dans le pays. Plus de 50 % de cette drogue sont réexportées vers le Botswana, l'Afrique du Sud et la Namibie. L'ecstasy a émergé l'année dernière en tant que deuxième drogue de prédilection au Zimbabwe. Bien que le Zimbabwe soit partie à la Convention des Nations unies de 1988 contre le trafic des stupéfiants et ait ratifié le protocole de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), le programme national intégré de prévention et de répression du trafic des drogues est essentiellement sans ressources financières et inactif. Le Zimbabwe n'a ni demandé ni reçu d'aide financée par les États-Unis ces deux dernières années.
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Saisie de cannabis à Lavaltrie
Par Invité,
Les policiers du poste de la MRC d'Autray ont effectué deux perquisitions dans les dernières semaines à l'intérieur de résidences situées à Lavaltrie et à Lanoraie.
 
Source: Journal l'artisanLe 15 juin, vers 9 h, les policiers se sont rendus dans un logement de la rue Donat Hénault, à Lavaltrie. À cet endroit, ils ont saisi 72 plants de cannabis, 83 boutures et l'équipement servant à la production. Une dame âgée de 46 ans a été arrêtée sur les lieux, puis remise en liberté pour une comparution ultérieure.
Quelques jours plus tard, soit le 23 juin, vers 17 h, ils ont démantelé une serre hydroponique dans un garage adjacent à une maison située sur le chemin Grande côte Ouest, à Lanoraie. À cet endroit, les policiers ont saisi 240 plants de cannabis, plus de 7 kg de marijuana et l'équipement nécessaire à la culture de cette substance. Un homme de 27 ans a été arrêté, puis libéré sur promesse de comparaître au Palais de justice de Joliette.
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Découverte d'une plantation qui alimantait un coffee shop a Bienne
Par Invité,
Une plantation de chanvre indoor a été découverte vendredi dernier chez un agriculteur de Praratoud, dans la Broye fribourgeoise. Le produit de l'exploitation alimentait un «coffee shop» à Bienne. Trois personnes ont été interpellées.L'agriculteur avait installé une plantation de chanvre indoor dans cinq locaux aménagés à l'intérieur de sa ferme. Il y avait trois locaux de production, un local de séchage et un de manutention. Les plantes étaient placées sous un système d'éclairage halogène, ventilées et humidifiées par circuit d'eau.
 
La police a séquestré 373 plantes de cannabis, 54 plantons ainsi que 8,2 kg de chanvre, dont plus d'un kilo de têtes prêtes à la consommation. Ce matériel a été détruit, a indiqué la police cantonale.
 
L'agriculteur a admis que la production contenait 600 plantes. Il a également avoué que le produit de l'exploitation servait à alimenter un «coffee shop» à Bienne.
 
Les agents de la police fribourgeoise se sont rendus mercredi soir dans le «coffee shop» en question, tenu par un Allemand de 33 ans et un Français de 27 ans. Ils ont également perquisitionné dans l'appartement que ces deux hommes louaient à Bienne.
 
Divers appareils pouvant servir à la culture indoor ont été séquestrés, ainsi qu'une somme de 25 000 francs et divers produits stupéfiants. Interpellés par la police bernoise, les deux hommes ont été transférés à Fribourg.
 
Les trois hommes sont passés aux aveux. Les deux tenanciers de l'échoppe biennoise ont admis avoir vendu le produit de cette culture illégale dans leur magasin. Ils ont également déclaré avoir conseillé l'agriculteur pour la culture de sa plantation. Tous trois ont été relaxés après avoir satisfait aux besoins de l'enquête.
 
Source: Swiss Info
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Le rapport 2004 de l'ONU sur le Cannabis
Par Invité,
C'est «la» drogue en vogue dans le monde. Avec plus de 146 millions d'usagers (sur un total de 185 millions toutes drogues confondues), une consommation en pleine explosion et 142 pays concernés par la production.
 
Côté production, justement, l'ONU estime, selon des sources américaines, que 32. 000 tonnes d'herbe auraient été récoltées dans le monde, dont un tiers aux Etats-Unis, premier producteur mondial et pourtant principal soutien de la «guerre à la drogue» dans le monde. Ces chiffres sont toutefois à prendre avec les plus grandes précautions, puisque, en 1999, l'ONU estimait la production mondiale entre 10 .000 et 300. 000 tonnes, proposant, avec de multiples réserves, le chiffre de 30.000 tonnes comme étant le moins fantaisiste. Le chiffre de 32 000 tonnes semble de plus négliger une production africaine (particulièrement sud-africaine) et européenne (particulièrement néerlandaise et suisse) croissantes. La production mondiale de haschich a, elle, été estimée à 7.400 tonnes par l'ONUDC, dont 3.000 pour le seul Maroc.
 
Au total, 5. 800 tonnes de cannabis ont été saisies dans le monde en 2002, (4. 700 d'herbe, 1 000 de haschich et 100 d'huile).
 
Source: Liberation
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"Faut-il mettre le cannabis en vente libre ?"
Par Invité,
"Faut-il mettre le cannabis en vente libre ?" est l'une des questions
posées par Ardisson sur F2 (demain lundi 28 à 20 h 50), à ses invités : O.
Besancenot, et d'autres.
 
normallement diffusion partielle des interview du 18/06
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Le pavot afghan noircit le tableau
Par Invité,
Avec 150 millions de consommateurs, le cannabis est « de loin » la drogue la plus répandue dans le monde, dit l'Onu. Ainsi la production aurait-elle atteint 32000 tonnes en 2002. Même si la tendance y est à la stabilisation, l'Amérique du Nord demeure le plus grand marché mondial pour le cannabis (55pc des saisies en 2002) devant l'Afrique (20pc) et l'Europe (16pc).Dans l'Union des Vingt-cinq, on dénombrerait plus de 21 millions de consommateurs de cannabis. Grande-Bretagne, Irlande, France, Espagne et République Tchèque sont les Etats européens où la consommation de cannabis est la plus élevée. En Belgique, le taux de consommateurs de cannabis en Communauté flamande (chez les 15-16 ans) est passé de 15 à 25pc entre 1994 et 2002. Un taux qui est de 29pc en Communauté française. L'Europe occidentale est, par ailleurs, la place forte du marché mondial de la résine de cannabis. Au hit-parade des pays producteurs, le Maroc caracole loin devant puisque 80pc de la résine (environ 7400 tonnes en 2002) en est originaire.
 
Source: lalibre.be
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Les joints de 2004 pas pires que ceux de 68
Par Invité,
Drogues. A l'occasion de la journée mondiale, un rapport fait le point sur la consommation en Europe.
 
Par Arnaud AUBRON
samedi 26 juin 2004
 
«Les scientifiques sont tous d'accord : le cannabis n'est pas une drogue inoffensive. D'autant que sa concentration en principe actif, aujourd'hui, est souvent dix fois ce qu'elle était dans le joint des soixante-huitards»,
déclarait en octobre le sénateur Plasait, auteur d'une proposition de loi sur les stupéfiants déposée la semaine dernière.Quant au tsar américain antidrogues, John Walters, il parle lui de «crack de marijuana» par
analogie au puissant dérivé de la cocäne. Récurrent, ce thème est devenu l'un des
principaux arguments des partisans de la prohibition du cannabis.
 
A l'occasion de la Journée mondiale contre les drogues (lire ci-dessous),
l'Office européen des drogues et toxicomanies (OEDT) publie, ce samedi, un rapport qui bat cette idée en brèche.
 
«Les affirmations, dans les médias populaires, selon lesquelles la concentration en THC (principe actif, ndlr) du cannabis aurait augmenté de 10 fois ou plus dans les dernières décennies ne sont pas confirmées par les données, limitées, disponibles en Europe ou aux Etats-Unis», balaient d'emblée les chercheurs.
 
Depuis plusieurs années, ce taux de THC
tournerait dans la plupart des pays «autour de 6 à 8 %». Deux exceptions :
les Etats-Unis,mais «avant les années 80, la concentration du cannabis (1 %) y était très faible comparée à l'Europe».
Et les Pays-Bas, «où en 2001-2002, elle a atteint 16 %».
Pourquoi les Pays-Bas ? Car, rapportait cet hiver l'économiste néerlandais Adrian Jansen, plus de 80 % de l'herbe fumée sur place y est produite. L'OEDT parle elle de «plus de 50 %». Et rappelle que «le cannabis issu de cultures intensives en intérieur a habituellement des taux de THC supérieurs aux produits importés».
De deux à trois fois.
Or, toujours selon le Pr Jansen, «un quart de ce qui est consommé en Europe y est produit».
Un phénomène né dans les années 90 et qui «ne peut se comprendre sans se référer au statut
illégal du cannabis»
, qui rend la culture intensive en intérieur plus
rentable et moins risquée que l'importation.
 
Situation identique aux Etats-Unis, dont l'ONU fait en 2002 le premier producteur, avec un tiers
des 32 000 tonnes d'herbe produites en 2002 dans le monde.
Ou au Canada, où le cannabis serait devenu la première manne agricole, rapportant, selon les
estimations, entre 4 et 7 milliards de dollars par an.
 
Or, ajoute l'OEDT, si une légère hausse de concentration a pu être observée
dans certains pays, «elle peut être quasi-exclusivement attribuée à l'augmentation de la consommation de cannabis domestique.» La boucle est bouclée : la prohibition a permis une explosion de la production dans les pays développés. Lesquels font du cannabis plus concentré en THC. Ce qui sert à justifier le régime de prohibition...
 
Et la santé dans tout cela ? Selon l'OEDT, aucune étude ne permet d'affirmer que les variétés d'herbe à forte teneur en THC sont plus nocives, une des explications étant que les amateurs semblent freiner sur les quantités quand la concentration monte.
De quoi rassurer le sénateur Plasait.
 
Source : liberation.fr
 
 
 
© Libération
 
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Six cents plants de chanvre «indoor» ont été saisis à Bex
Par Invité,
La police vaudoise a saisi mercredi à Bex 600 plants de chanvre d'une valeur marchande de 1,5 million. «La marchandise était cultivée dans un local de 75 m2. Elle devait être écoulée durant les festivals d'été», ont précisé vendredi les pandores.Les plants, éclairés par des lampes au sodium, devaient arriver à maturité dans une dizaine de jours. «Ils étaient plantés dans des paquets de tourbe installés sur des tables», a expliqué l'ats Jean-Christophe Sauterel, porte-parole de la police vaudoise.
 
La culture indoor permet d'obtenir un meilleur rendement qu'en plein air. «On estime qu'on peut retirer 400 g de marijuana par plant, en général avec un taux de THC élevé», ajoute M. Sauterel. Les 600 plants saisis auraient ainsi pu produire 240 kilos de marijuana, soit une valeur marchande de 1,5 million de francs.
 
La police a arrêté deux personnes: un Américain de 21 ans qui servait d'homme de main et vivait à l'intérieur du local dans des conditions précaires et un Bernois de 26 ans domicilié à Montreux. Ce dernier était l'un des deux organisateurs du trafic.
 
En 2003, il avait été condamné à trois mois de prison avec un sursis de deux ans pour avoir cultivé du chanvre. Il dirigeait ce trafic avec un troisième comparse, un Suisse, qui se trouve actuellement à l'étranger et n'a pas pu être interpellé.
 
Cette découverte n'a aucun lien avec l'affaire du chanvre au Val-de-Travers (NE), a indiqué la police. Les trafiquants ont expliqué qu'ils tablaient sur l'acceptation par les Chambres fédérales de la dépénalisation de la consommation de cannabis pour pouvoir vendre plus facilement le produit de leur culture illégale.
 
L'enquête a permis d'établir que ces trafiquants ont déjà écoulé plusieurs kilos de marijuana dans le canton, au prix de 6500 francs le kilo. Les plants saisis ont été détruits sur ordre du juge d'instruction de l'Est vaudois.
 
Source: Swiss Info
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Communiqué de presse du CIRC du 22 juin
Par Invité,
La Fédération des Collectifs d'information et de recherche cannabique (FCIRC) est atterré par la proposition de loi visant à réprimer systématiquement la consommation de chanvre récréatif (Cannabis Sativa L.), déposée par un groupe de la droite parlementaire dont le libellé est tout un programme : « le groupe interparlementaire de refus de la banalisation de la drogue ».Il est vrai qu'au cours de ces dernières années, au fil de rapports officiels et d'études scientifiques, on a assisté à une dédramatisation salutaire du cannabis. Mais pour tenter de faire oublier ces avancées, la droite a confié au courant le plus réactionnaire du Sénat, la rédaction d'un rapport publié en juin 2003 : « Drogue : l'autre cancer », un rapport que notre association a déjà dénoncé et commenté, un rapport qui accumule les contrevérités les plus extravagantes, les mensonges par omissions ou les citations tronquées. La volonté manifestée derrière ce nouveau mythe des dangers du chanvre est claire : punir d'une lourde amende toute infraction à l'usage, obliger les récidivistes à se soigner, mettre en place des tests systématiques sur le bord des routes comme dans le monde du travail...Des tests qui feront la fortune des laboratoires pharmaceutiques et participeront à l'exclusion sociale d'une partie de la population.
 
Pour remplacer une peine de prison qui n'est plus que très exceptionnellement prononcée contre des usagers, ces parlementaires inspirés par la philosophie de Nicolas Sarkozi et Michel Bouchet, patron de la Milad, ont fait preuve d'une imagination débordante : confiscations diverses, du permis de conduire au « scooter » (sic !) en passant par le chéquier ou par le téléphone portable... Des peines nouvelles, toutes porteuses d'exclusion sociale, marque évidente d'une totale absence d'humanisme et de pragmatisme. La Fédération des Circ s'étonne que le pilori ou le fouet sur la place publique ne figurent pas dans cet arsenal hallucinant préconisé par cette proposition de loi bête et méchante, à contre-courant des évolutions récentes observées dans les autres pays européens.
 
Notre association appelle donc toute personne sensée pour qui l'insertion sociale est la meilleure des préventions à réagir et à faire barrage à une telle proposition si loin des réalités et socialement dangereuse.
source : CIRC
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Neuf kilos de drogues douces saisis lors d'une opération anti-drogue
Par Invité,
Neuf kilos de drogues douces et 163 "spacecakes" ont été saisis par la police au cours d'une vaste opération menée samedi contre le commerce organisé et le tourisme de la drogue, dans les régions frontalières avec les Pays-Bas et la France.Samedi, de midi à minuit, 2.424 personnes, 2.347 véhicules et 12 trains ont été contrôlés. Dix-huit pc (432) des personnes contrôlées étaient en possession de stupéfiants, essentiellement des petites quantités de drogues douces. Un Français a toutefois été arrêté à un poste de contrôle dans la région anversoise alors qu'il avait 1,8 kilo marijuana sur lui. Un Congolais a été pris avec 1 kilo de cette drogue dans un train reliant Roosendaal et Anvers. Au total, la police a saisi 6,1 kilos de marijuana, 2 kilos de champignons hallucinogènes, 471 grammes de haschisch, 40 grammes d'héroäne, 14 pilules d'ecstasy, 70 joints, 1 gramme de cocäne, 56 semences de cannabis, 31 plants de cannabis et 163 "spacecakes".
 
Source: Canal Z
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Neuf jeunes arrêtés pour trafic de cannabis
Par Invité,
Les gendarmes de Gorron avaient eu la puce à l'oreille dès le mois d'octobre dernier. Une information leur était parvenue selon laquelle un jeune du secteur était mêlé à un trafic de drogue. Restait à vérifier l'information, puis à établir d'où provenait la marchandise et à qui elle était ensuite revendue. Un travail de fourmi confié aux enquêteurs de la brigade de recherche, soutenus par la compagnie de gendarmerie de Mayenne.Et la fourmilière a fini par éclater, ces derniers jours, avec l'interpellation pour trafic de cannabis de neuf Mayennais âgés de 20 à 25 ans. Deux « fournisseurs » ont été interpellés en fin de semaine dernière. Leurs deux « gros clients », domiciliés dans le canton de Gorron, ont connu le même sort quelques jours plus tard. Ils ont tous les quatre été incarcérés.
 
Puis cinq de leurs « clients », également « revendeurs » selon les enquêteurs, ont été arrêtés mercredi à leurs domiciles respectifs, à Mayenne et dans les environs. Placés en garde à vue, les cinq « consommateurs-revendeurs » ont été convoqués devant le juge d'instruction puis remis en liberté vendredi. Ils comparaîtront bientôt devant le tribunal correctionnel de Laval, aux côtés des quatre « têtes de réseau ».
 
Lors des perquisitions opérées aux domiciles des neufs jeunes, les gendarmes ont saisi « 1 100 € en argent liquide, 512 g d'herbe, 65 g de résine, cinq pieds de cannabis, ainsi que du matériel lié à la vente et à l'usage de cannabis ». D'après les enquêteurs, les deux revendeurs du pays de Gorron auraient également reconnu avoir vendu aux jeunes de Mayenne « 12 kg de cannabis en deux mois ». De quoi empocher près de « 27 000 € ».
 
Source: Ma Ville
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CIRC: 18 juin 18h à la Villette
Par Invité,
Nous voilà de retour de la journée organisée par le CIRC pour la légalisation du cannabis en france.
 
Nous étions quelques cannaweedeurs au rendez-vous, citons, zeltron, THCV, Flynn, Gen&tik et moi meme
 
La manifestation s'est faite assis sur la pelouse de la Vilette a rouler des gros splifs , à ma grande surprise, je n'ai vu aucun policier :-)Nous avons gouté en revue notamment la Rhino de THCV, une afghane avec un gout de haze de gen&tik, une skunk de THCV, ma tite papaya et ma B52, et apres qques splifs, j'etais completement retoruné :-D.
 
Ensuite on a testé la Rhino et la papaya au volcano, au vaporisateur, trop miam, un super gout de fraicheur, vraiment trop bon, surtout une grosse clacke, et tous les cannaweedeurs present ont put tester le volcano (merci zeltron).
 
Le circ avait un stand bien fournis avec :
 
Une vue global :

 
L'innevitable VOLCANO LE vaporisateur :

 
Ensuite une petite vu du coté des t-shirt :

 
Les livres traitant du cannabis, de sa culture :

 
Et des petites vue de la pelouse :

 

 
Voilà toutes les photos de personnes sont faites avec leur accord prealable, sa va de soit
 
Rendez-vous l'année prochaine avec une banderole cannaweed
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CIRC - Appel du 18 juin
Par Invité,
Le CIRC (Collectif d'Information et de Recherche Cannabique) organise ce 18 juin à 18heure un grand débat sur place publique en France.
 
Je vous rappele les lieux de raliements :
- A Paris, parc de La Villette,
- A Lyon, place Bellecour,
- A Nancy, place Carrière,
- A Rennes, place de la mairie de Rennes,
- A Tours, aux Halles, place Gaston Pailhou.
 
La prohibition est une guerre idéologique et cruelle menée contre les usagers et contre les peuples.
Brisons-la : légalisons !
 
site de l'Association CIRC
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Près de 2 tonnes de cannabis saisis en 5 mois
Par Invité,
Les services de la gendarmerie nationale ont procédé, lors des cinq premiers mois de l'année en cours, à la saisie de 1 922,6 kgs de résine de cannabis et de 27 680 comprimés de psychotropes. Durant la même période, 1 087 personnes impliquées dans des affaires de trafic de stupéfiants ont été arrêtées dans le cadre de 692 affaires traitées par la gendarmerie nationale. «La majorité des personnes arrêtées dans des affaires de stupéfiants sont âgées de moins de 30 ans». Concernant l'immigration clandestine, les services de la gendarmerie ont arrêté, lors de la même période, 2 115 personnes. Les effets néfastes de ce phénomène et ses conséquences sur la santé publique de par la propagation de maladies dangereuses tel le sida, dont les porteurs s'infiltrent illégalement dans le territoire national, inquiètent plus d'un. Durant cette période, 96 affaires de lutte contre le banditisme ont été traitées et 242 personnes arrêtées.
 
Source: La Nouvelle Rubrique
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Un trafic de drogue démantelé entre la Loire et la Haute-Loire
Par Invité,
C'est une importante affaire de drogue que viennent d'élucider conjointement les unités de gendarmerie de Saint-Didier-en-Velay dans la Haute-Loire, en collaboration avec le commissariat de Firminy dans la Loire, des militaires du peloton de sécurité et d'intervention de la gendarmerie, de la brigade des recherches d'Yssingeaux et l'appui du chien de la brigade cynophile.Dix huit mois d'enquête ont permis d'aboutir à l'interpellation, pour les uns en flagrant délit de transactions, pour les autres à leurs domiciles, de quatre personnes âgées de 21 à 43 ans, originaires de l'Ondaine dans la Loire et de la région de Saint Didier-en-Velay en Haute-Loire.
L'affaire avait commencé en janvier 2003, suite à l'interpellation dans la région de Saint-Didier-en-Velay de cambrioleurs auteurs de vol à la roulotte. Au cours de perquisitions, les enquêteurs avaient découvert aux domiciles des prévenus des barrettes de cannabis.
Ces premières interpellations devaient, au fil des semaines, permettre aux gendarmes de poursuivre leur enquête.
 
Jeudi, dans la journée, les forces de police ont ainsi pu procéder à l'arrestation de deux dealers, têtes de réseau dans la Loire, et deux revendeurs dans la région de Saint-Didier-en-Velay.
Mis en garde à vue, au terme de quarante-huit heures d'interrogatoire ils ont reconnu les faits. Ils étaient en possession de quatre pains de cannabis et d'une trentaine de barrettes et morceaux, le tout représentant une valeur marchande d'environ 30 000 euros.
L'enquête a également mis en évidence que les deux dealers, qui sévissent dans la région depuis de nombreux mois, ont écoulé, pour l'un, une quinzaine de kilos à l'année, pour l'autre une dizaine de kilos par semaine.
La drogue était écoulée essentiellement dans la région de La Séauve-sur-Semène, Saint-Didier-en-Velay, Saint-Just-Malmont et Saint-Ferréol-d'Auroure, avec l'aide des deux revendeurs. Une cinquantaine de consommateurs devrait prochainement être entendue par les enquêteurs. Outre le cannabis, les gendarmes et policiers ont également trouvé au domicile de l'un des prévenus cent grammes de cocäne d'une valeur à la revente de 10 000 euros. Mis en examen les auteurs des faits ont été présentés au parquet. Les deux dealers de l'Ondaine ont été écroués.
 
Source: Le Progres
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Il vendait la drogue sur Internet
Par Invité,
Un habitant de Lisses (Essonne) vient d'être condamné à deux ans de prison pour revente de stupéfiants. Un trafic aux méthodes
novatrices : le jeune homme se servait d'un site Web pour prendre ses commandes et informer
sa clientèle des arrivages divers.La brigade des stupéfiants de l'Essonne s'intéressait à Jérémy, 20 ans, depuis plusieurs mois : passionné d'informatique, il avait mis ses compétences au service de son hobby, le deal de cannabis. Les stups le repère sur des sites Internet en sommeil, voire des adresses Web fermées. En février, un nouveau venu fait son apparition sur la Toile. Le nom du site, dont le compteur fait état de 18 000 visiteurs, est sans ambiguäté : « deal91 » !
Livraison à domicile
 
Le 3 mai, Jérémy y évoque une transaction imminente. Quelques minutes plus tard, les policiers l'interpellent à son domicile avec 180 g de résine de cannabis. Dans la foulée,
ils appréhendent sa petite amie. Etudiante en droit, Maud travaille dans un cabinet d'avocats,
ceux-là mêmes qui l'ont défendu à l'audience. Lui s'occupe de la vente de hasch, elle gère le
deal d'ecstasy. Les policiers découvrent une vingtaine de pastilles dans son appartement du
VIe arrondissement de Paris. Maud a écopé d'un an de prison avec sursis.
En garde a vue, Jérémy se revendique comme un « commercial ». A ses yeux, il est davantage un « businessman » qu'un trafiquant. Bien qu'ayant arrêté le lycée en seconde, le jeune homme a le sens des affaires : il vend à des Parisiens ou des Versaillais peu enclins à se rendre dans une cité pour se fournir et prêts à payer leur drogue le double du prix du marché. Jérémy livre à domicile et assure une sorte de service après-vente. Dès qu'un nouvel arrivage est disponible, il tient ses clients au courant par mini-messages texto. En un an, son trafic porte sur 5 kg de résine de cannabis, les bénéfices dépassent les 10 000 . « C'est une grande première, du véritable e-commerce, assure un policier. Nous sommes confrontés à une nouvelle forme de trafic. »
 
Source : Circ Paris Presse
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3000 plants et boutures de cannabis ont été saisis au Centre-du-Québec
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La Sûreté du Québec (SQ) a saisi 3000 plants et boutures de cannabis depuis le début du mois de juin au Centre-du-Québec.
 
À Saint-Guillaume, dans la MRC de Drummondville, les policiers ont saisi 2500 plants dans une résidence de la route 122. Trois individus se trouvant sur les lieux ont été arrêtés.Puis à Saint-Pierre-Les-Becquets, 500 plants et boutures ont été saisis dans une résidence de la rue Masson. Quatre personnes se trouvant sur place ont été appréhendées.
 
La Sûreté du Québec de la Mauricie et du Centre-du-Québec demande par ailleurs l'aide de la population pour lutter contre la culture de cannabis sur le territoire. Elle promet de traiter les informations de façon confidentielle.
 
Source: Radio Cannada
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3 hommes ecroues pour trafic de stupéfiants
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Trois hommes âgés de 40, 40 et 45 ans ont été écroués en mai dernier pour un vaste trafic de stupéfiants, à la suite d'une longue enquête de la brigade criminelle de la police judiciaire de Strasbourg.L'enquête, menée sur commission rogatoire par la juge Michèle Lys-Schaal, a démarré en novembre 2003 par la surveillance d'un homme, de nationalité marocaine, soupçonné d'être à la tête de divers trafics dans l'agglomération strasbourgeoise.
Début mai, une perquisition menée par le bureau de police de Strasbourg-Neudorf, sur une simple affaire de vol, permet de mettre la main sur 5 kg de résine de cannabis, 7 700 cachets d'ecstasy et 135 g de cocäne, au domicile d'une femme proche du trafiquant présumé.
Ce dernier est finalement interpellé le 14 mai dernier, à l'un des domiciles qu'il occupe, rue de Châteaubriand, à Illkirch, après quelques jours de fuite à l'étranger. Au même endroit, la PJ découvre 3 kg de shit.
Quelques jours plus tard, une autre perquisition, menée dans l'une des caches du grossiste présumé, rue de Wattwiller, permet de saisir 10 kg de cannabis. Selon la PJ, le trafic global, qui aurait des ramifications en Italie, Espagne, Maroc et Pays-Bas, porterait sur plus d'une centaine de kilos de résine.
Des faux billets ont par ailleurs été saisis dans le cadre des perquisitions. Le trafiquant âgé de 40 ans, soupçonné d'être à la tête du réseau, a été écroué, ainsi que les deux locataires des appartements de la rue de Wattwiller et de la rue Châteaubriand.
 
Source: DNA
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Saisie de 44kg de cocäne et 200kg de cannabis à la frontière italienne
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Les douaniers de Menton ont saisi 44,5 kilos de cocäne et 200kg de résine de cannabis, lors de deux contrôles qui se sont déroulés au péage de La Turbie sur l'autoroute A8 près de la frontière franco-italienne, a annoncé la Direction générale des douanes.Samedi dernier vers six heures du matin, les douaniers ont contrôlé un cabriolet de luxe immatriculé en Espagne, avec une seule personne à bord. Après avoir demandé au conducteur de nationalité espagnole d'ouvrir et de fermer la capote en tissu, les douaniers ont découvert, dans la cavité prévue pour son rangement, trente paquets contenant de la cocäne. La drogue avait été placée dans des emballages enduits d'une sauce aigre-douce mélangée à du café afin de dissimuler l'odeur de la cocäne.
La valeur à la revente de la cocäne est estimée à plus de 1,7 million d'euros.
La même jour vers 14h, une autre équipe de la brigade de Menton procédait au contrôle d'un camping-car de location immatriculé en Italie et conduit par un ressortissant italien. Après un premier tour d'inspection, le chien anti-drogue Tagor est tombé en arrêt devant les coffres intérieurs du camping-car: les douaniers y ont découvert neuf sacs en toile contenant plusieurs paquets de résine de cannabis pour un poids total de 200kg, d'une valeur estimée à 400.000 euros.
Ces deux affaires portent à plus de 100kg de cocäne et à deux tonnes et demie de résine de cannabis les quantités saisies dans les Alpes-Maritimes depuis le 1er janvier.
 
Source: Nouvel Observateur
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Les récurrences, les non-dits du cannabis
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Les récurrences, expérience d'un fumeur de kana
 
C'est un probleme grave qui peut affecté n'importe quel fumeur de ganja ou de taga (=hashish).Je me permet d'écrire cet article car j'ai était victime d'une récurrence.
Une récurrence comme son nom l'indique est un remise en condition des effets du cannabis sans avoir fumer, 'est aussi ce que l'on appelle flashback. Ceci peut survenir jusqu'a trois mois aprés avoir fumer un joint.
Certain vont se dire en lisant cet article que c'est genial, on est defoncé sans avoir rien fumer, économique, non?
et bien je leur repondrai de par ma propre expérience que ce n'est pa une partie de plaisir, car les symptome de defonce resentits sont décuplés par rapport au symptome "normaux"; de plus le tout s'accompagne de crise d'angoisse( recroqueviller ds son lit a pleurer, la peur de la mort apparai tres rapidemen, le monde s'écroule autour de sois, on sent son coeur qui se met a accéléré, on prend peur, le coeur s'emballe, puis d'un coup on a l'impression ke tt son sang quite le corps, une sensation de vide envahie tout le corps on croit qu'on va mourrir et la tt se calme). Ensuite la crise d'angoisse passé on se sent tres fatigué, on a une énorme envie de pisser, et en générale on sendore komme un loire, et on pense ke les symptome sont partits.
Mais quenéni, le lendemain même en se levant a 13h, on se sent super fatigué, en fait encore complétement défoncé.
cela peut durer entre 1 semaine et 1mois, les crises d'angoisse peuvent survenir de temps a autres, et la sensation de défonce s'atténue peu a peu, jusqu'a ce kon l'oublie.
 
Cette expérience, n'est pas une mauvaise expérience, personnellemen elle ma fait réfléchir sur le fait de fumer des joints ki je dois bien l'avoué devenai une bien trop grande habitude, je dois même avoué ke cela faisait partie de la routine. je me suis rendu compte ke je ne vivais plu que pour ca alors ke se fumer un joint doit rester un plaisir.
j'espére que mon article sera lut, et qu'il fera reflechir bcp de gens sur l'utilisation du cannabis. Mais bon je sais en temps qu'ancien fumeur ke si on me racontai ça je ni croirai pas et je me dirais que de toute facon ca n'arrive qu'aux autres.
 
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Le cannabis occupe 96 000 familles marocaines
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Les revenus de la drogue ne favorisent pas le développement local.
 
300 000 tonnes de cannabis sont produites chaque année dans le monde, dont 47 000 proviennent du Maroc et principalement de Chefchaouen. Dans la région, selon un rapport de l'ONU, 96 000 familles vivent, ou plutôt survivent, des revenus de cette culture illicite mais tolérée. Le revenu global pour cette population est estimé à 214 millions de dollars.Le trafic du cannabis représente pour le Maroc un chiffre d'affaires de 13 milliards de dollars. Les producteurs du Nord n'en bénéficient qu'à hauteur de 2%. Ce qui est dérisoire par rapport à ce qu'en tirent les trafiquants (26%) et les intermédiaires (54%). Ces chiffres sont ceux de l'ONU. Ce qui ne les empêche pas d'être contestables, car c'est d'une économie souterraine et de réseaux volatiles qu'il s'agit. Malgré tout, la dimension économique et financière du trafic de drogue est devenue incontournable pour l'économiste et le spécialiste management. Ces derniers sont par ailleurs confrontés au dilemme de reconversion du petit agriculteur qui, selon Driss Moussaoui, professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine de Casablanca, voudrait bien changer de culture. Avec quoi? C'est là toute la question. S'y ajoute la charge financière énorme inhérente à tout projet de reconversion économique. Lors d'une conférence organisée par HEM, jeudi 27 mai à Casablanca, André Dumas, professeur de sciences économiques à l'Université de Montpellier 1, a estimé que la culture du cannabis rapporte 8 fois plus que celle de l'orge. Pourtant, les familles d'agriculteurs à Chaouen joignent difficilement les deux bouts. Une enquête publiée récemment par L'Economiste a montré que l'on s'intéresse à la région non pas pour ses potentialités touristiques mais principalement pour le haschich. Difficile donc pour ces familles qui disposent de petits lopins de terre d'abandonner cette culture. En outre, le troc de la cocäne contre le cannabis est monnaie courante, surtout parmi les jeunes de la région. “Contrairement à l'idée répandue selon laquelle les revenus générés par l'industrie de la drogue favoriseraient le développement économique, le rapport 2002 de l'Office international de contrôle des stupéfiants (OICS), montre que les pays producteurs enregistrent une baisse de leur croissanceâ€?, indique Dumas.
Au bout de ce boulevard géant du commerce de la drogue, se trouve le consommateur. Son argent permet, selon une évaluation de l'ONU, de cumuler un chiffre d'affaires de 500 milliards de dollars ou 10% du commerce mondial. Pire, la consommation de drogues dans le monde est en hausse soutenue. En France, les saisies de stupéfiants ont représenté cette année le double de celles de l'année dernière. La drogue se démocratise et la consommation dans les pays en développement augmente, tandis qu'elle se stabilise aux Etats-Unis dans l'UE.
Au Maroc, une étude épidémiologique effectuée en 1985 sur les étudiants externes de la Faculté de médecine de Casablanca a montré que 14% sont des consommateurs occasionnels et 4% avérés (journaliers).
 
Source: L'Economiste
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Vendée: premier test national sur la conduite sous l'emprise de la drogue
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Le premier test national sur la conduite sous l'emprise des stupéfiants a été mené en Vendée où près de 700 conducteurs ont été contrôlés dans la nuit de vendredi à samedi.Quelque 100 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour les besoins de cette opération, menée dans cinq points du département. Son originalité tient dans la présence, à chaque poste de contrôle, d'un médecin pour pratiquer sur place des tests de dépistage, selon le directeur de cabinet du préfet, Yves Schenfeigel. Les tests ont été pratiqués dans des camions de la médecine du travail.
 
"Sur 20 accidents dans le département (analysés en 2003, ndlr), deux avaient pour cause la consommation de cannabis, soit 10%", a indiqué dimanche M. Schenfeigel pour expliquer les raisons de cette opération, conforme aux directives récentes du ministre de l'Intérieur Dominique de Villepin.
 
Le ministre a récemment demandé aux préfets de veiller, "en concertation avec les procureurs de la République, à ce que des contrôles fréquents et ciblés soient pratiqués par les forces de l'ordre" en ce qui concerne l'abus d'alcool et la conduite sous l'empire de produits stupéfiants.
 
"On connaissait la conduite sous l'effet de l'alcool, mais on n'a rien sur cette cause-là (conduite sous l'emprise de la drogue, ndlr). Avec cette opération, les forces de l'ordre ont donné la preuve qu'elles sont aptes techniquement à effectuer les contrôles", a poursuivi le haut fonctionnaire en ajoutant que "l'opération est appelée à se renouveler".
 
Sur une trentaine de dépistages urinaires effectués lors de cette opération, 19 ont révélé la présence de stupéfiants. Ils ont été immédiatement suivis de prises de sang. "Si les résultats définitifs des analyses sont confirmés, ils donneront lieu à des procédures judiciaires". La conduite sous l'emprise de la drogue est passible de deux ans de prison et de 4.500 euros d'amende.
 
Toujours lors de cette opération, sur 33 tests d'alcoolémie effectués, 23 se sont révélés supérieurs à 0,80 g/l. "Nous sommes donc presque dans les mêmes proportions", constate M. Schenfeigel.
 
L'aggravation de la peine pour conduite sous l'emprise de stupéfiants a été votée le 23 janvier 2003. Le ministre de la Justice avait "dédié" cette proposition de loi à "Marilou", une petite fille morte le 1er janvier 2002, après qu'un homme sous l'emprise de drogue eut percuté la voiture où elle se trouvait avec ses parents.
 
Des membres de l'association Marilou étaient d'ailleurs présents en Vendée pour un "travail d'information et de sensibilisation".
 
"C'est une opération positive qui doit être multipliée parce qu'il n'y a pas de campagne contre la conduite sous l'emprise de la drogue, comme ça l'est pour l'alcool", a commenté Nadine Poinsot, porte-parole de l'association jointe par l'AFP.
 
"Les jeunes étaient surpris d'apprendre que le test de dépistage de drogue existait. Quelques-uns se sont montrés rebelles, mais d'autres étaient contents et ont même promis de ne plus prendre le volant sous l'effet de la drogue", a-t-elle ajouté.
 
Source : AFP.
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