Trois maires Les Républicains appellent à légaliser le cannabis
Par Hydromel, dans Justice, politique,

Salut tout le monde !!
Un petit article intéressant 
 
edit boogerman :merci de penser à mettre le lien vers l'article d origine
https://www.ledauphine.com/societe/2020/09/26/trois-maires-les-republicains-appellent-a-legaliser-le-cannabis
Trois maires Les Républicains appellent à légaliser le cannabis

A Vancouver, au Canada, la consommation récréative de cannabis est légale depuis 2018. Photo Don MacKinnon/AFP
    Les trois maires Les Républicains (LR) Gil Avérous (Châteauroux), Boris Ravignon (Charleville-Mézières) et Arnaud Robinet (Reims) appellent à légaliser la consommation de cannabis, dans une tribune publiée samedi sur le site du Journal du dimanche.
"Depuis des décennies, les gouvernements ont pour seule politique la prohibition du cannabis, tout en promettant de mettre les moyens pour abattre le trafic. Pourtant son business n’a jamais été aussi florissant. Alors, allons-nous continuer longtemps à nier l’évidence?", écrivent-ils dans cette tribune, avançant que 18 millions de Français ont déjà fumé du cannabis et 1,5 million de nos concitoyens sont des utilisateurs réguliers.
Avec cette proposition, ils entendent mettre un terme au trafic qui "ronge nos villes". "C’est possible pour le cannabis dont l’usage récréatif existe dans certains États (Pays-Bas, Uruguay, Californie, État de Washington, Colorado…) depuis parfois plusieurs décennies", ajoutent-ils.
Pas sûre que cette proposition fasse son chemin dans les couloirs de l’Élysée. Ou du moins pas tout de suite. Mi-septembre, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin (ex-LR) estimait "la loi de la République, c'est l'interdiction des drogues". "Je ne peux pas, en tant que ministre de l'Intérieur, en tant qu'homme politique dire à des parents qui se battent pour que leurs enfants sortent de l'addiction à la drogue, que l'on va légaliser cette merde. Et je dis bien 'cette merde'", s'était-il alors insurgé.
 
Je suis pas de droite mais je vais peut être envisager de voter LR au prochaine présidentielle 🤣
Si y a de plus en plus de personnes politiques qui ce montre favorable, on va peut être enfin voir le sujet être mit sur la table, croisons les doigts
 
++  
 
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Gérald Darmanin favorable à l’usage du cannabis... thérapeutique
Par mrpolo,
L’expérimentation du cannabis à usage médical, initialement prévue en ce mois de septembre, devrait finalement commencer au début 2021. Mardi soir, Gérald Darmanin a confié soutenir cette initiative dans une conversation informelle avec des députés de la majorité

Gérald Darmanin, le vendredi 11 septembre 2020 à Vélizy-Villacoublay.© Sipa Press
 
Le ministre de l’Intérieur médiatise largement les opérations de police menées contre les vendeurs et les usagers de cannabis. Son compte Twitter fait quotidiennement le point sur les chiffres de saisies et d’interpellations en la matière.
 
« La drogue, c’est de la merde. » Martelée par Gérald Darmanin, la formule est devenue le slogan de sa politique de lutte contre les stupéfiants. C’est clair, c’est net. Sauf que, comme pour les chasseurs, il y a le bon et le mauvais cannabis. Mardi soir, le ministre de l’Intérieur a reçu une dizaine de députés de la majorité pour un dîner informel. Passant d’un sujet à l’autre, la conversation s’est arrêtée sur celui du cannabis à usage thérapeutique. L’élu du Nord a alors confié qu’il n’était pas opposé à une telle idée. Il y est même « favorable », affirme un participant. Gêné, son entourage minimise, parlant d’une simple discussion entre le ministre et des députés.
 
Le sujet est pourtant d’importance. L’exécutif ne cesse de repousser le début de l’expérimentation d’un usage thérapeutique du cannabis. Elle aurait dû commencer en ce mois de septembre mais le décret n’est toujours pas paru. La gestion de l’épidémie de Covid-19 en a empêché la rédaction, explique la direction générale de la Santé. Le dispositif sera lancé au plus tard en janvier 2021, promettait cet été la DGS.
Le cannabis médical suppose que quatre ministères s’entendent : la Santé, l’Agriculture, la Justice et l’Intérieur
« Inertie ». La mission d’information menée à l’Assemblée nationale a épinglé cette « inertie de l’administration » dans son récent rapport. Le décret est en cours d’examen par le conseil d’Etat, annonce aujourd’hui le président de la mission d’information, le député (Libres !) Robin Reda, qui annonce un début d’expérimentation « début 2021 ». « Ça vient », promet son rapporteur, le député LREM de la Creuse, Jean-Baptiste Moreau, défenseur de longue date d’une production qu’il juge d’avenir pour son département. Sans décret, le processus est à l’arrêt. Aucun appel d’offres pour sélectionner des fournisseurs et des distributeurs ne peut être lancé.
 
Le cannabis médical suppose que quatre ministères s’entendent : la Santé, l’Agriculture, la Justice et l’Intérieur. D’autant que les membres de la mission d’information parlementaire attendent plus qu’une simple expérimentation. Ils réclament une modification du droit en urgence « par un dialogue interministériel volontariste et dynamique ». Selon eux, il faut autoriser la production, la fabrication, le transport, la détention de cannabis pour fournir des traitements à des patients souffrant de pathologies préalablement définies. Cela permettrait de créer une filière française de cannabis.
 
Un tel message de souveraineté sanitaire porte en ces temps de Covid-19, moins dans une séquence régalienne au cours de laquelle l’exécutif, ministre de l’Intérieur en tête, veut afficher sa fermeté contre toutes les drogues, cannabis en tête. Il faudra au gouvernement faire preuve de nuance le jour où il annoncera la légalisation du cannabis, renvoyant les Français à une note de bas de page : « Seulement pour ceux qui souffrent des pathologies suivantes...»
 
Source: lopinion.fr
 
 
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Cannabis : en finir avec 50 ans d’hypocrisie
Par mrpolo,
La libéralisation du cannabis mettrait un coup d’arrêt au trafic, pour peu que le marché légal soit compétitif car peu taxé et bien implanté grâce à la liberté de création de dispensaires.

 
 
Depuis la fin de l’été, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin est engagé dans une croisade contre le cannabis. Tout consommateur s’expose depuis le premier septembre au risque d’être sanctionné par une amende de 200 euros. Les trafiquants, quant à eux, vont « arrêter de dormir » a assuré Gérald Darmanin en déplacement au Val-de-Marne.
 
Cannabis et politique répressive
Cette vigueur retrouvée dans la lutte contre « cette merde » est paradoxale quand on sait que le 16 septembre, la représentation nationale se prononçait en faveur d’une autorisation du cannabis thérapeutique. Les députés allant même jusqu’à regretter « un retard fort déplorable » en la matière. Il va donc falloir que monsieur Darmanin se livre à un véritable numéro d’équilibriste pour continuer à défendre sa ligne dure tout en soutenant Olivier Véran qui sera probablement chargé de lancer la filière.
Si le ministre parle encore de lâcheté lorsque sont évoquées des solutions comme la dépénalisation ou la légalisation, il semble beaucoup plus juste de pointer du doigt l’échec cuisant de la politique répressive menée depuis cinquante ans. Les Français sont aujourd’hui les plus gros consommateurs d’Europe. Presque la moitié des citoyens français (45 % parmi les 18-75 ans) déclare avoir déjà consommé du cannabis .
  D’autant plus que le décalage entre la société et la sphère politique entraîne une surenchère des mesures répressives. Monsieur Darmanin n’a cessé de marteler que « lutter contre le trafic de stupéfiants c’est lutter contre le crime organisé et l’insécurité du quotidien ». En réalité, c’est l’alimenter. Des moyens considérables ont été alloués depuis cinquante ans à la guerre contre les drogues, pour un résultat inverse de celui escompté. Loin d’avoir été démantelés, les cartels de drogue s’en sont trouvés renforcés. Tous les rapports sur le sujet soulignent les effets pervers de l’approche répressive : explosion du revenu des cartels, hausse de l’attractivité du secteur, baisse de la qualité des produits et spécialisation vers la vente de produits plus concentrés comme la cocaïne ou la méthamphétamine.
 
La guerre sans fin contre les trafiquants
La guerre contre les trafiquants de drogue est une guerre sans fin. La prohibition est sans issue. Il n’est pas étonnant que le dernier rapport de l’Union européenne publié en 2019 dresse le constat d’une hausse de la consommation de cocaïne, d’héroïne et de MDMA.
À l’inverse, la libéralisation du cannabis mettrait un coup d’arrêt au trafic, pour peu que le marché légal soit compétitif car peu taxé et bien implanté grâce à la liberté de création de dispensaires. À l’hypothétique « si il n’y avait pas de consommateurs, il n’y aurait pas de trafic » de Gérald Darmanin, il semble bien plus réaliste d’opposer que « s’il existait un marché légal, le marché noir en serait grandement affaibli ». En légalisant la filière du cannabis qui existe déjà de facto, une offre concurrente avec des produits traçables et propres à la consommation verrait le jour. Il faut mettre fin à l’hypocrisie : l’État ne peut pas compter la filière du cannabis dans le calcul de son PIB et en même temps chercher à l’éradiquer.
 
Il nous faut pour cela sortir des passions inappropriées lorsque le sujet est évoqué dans le débat public. La drogue est en effet un concept plus difficile à définir qu’il n’y paraît. Pour rappel, le cannabis, considéré à ce jour comme un fléau, apparaît dans les études scientifiques comme étant deux fois moins addictif que l’alcool, à l’inverse, pourtant loin de souffrir de cet ostracisme. Il occupe même une place centrale dans la culture française et tout le monde s’accorde aujourd’hui pour y voir un élément indispensable du lien social.
 
Pourtant les chiffres ne s’y trompent pas, un Français sur quatre a un problème d’alcool alors que moins d’un fumeur de joints sur 10 a une consommation problématique. Qui imaginerait monsieur Darmanin ou tout autre politicien un tant soit peu sérieux demander à ce qu’on emprisonne viticulteurs et brasseurs, organiser des descentes chez les cavistes, ou mettre en place une amende pour les jeunes consommant un verre de vin dans un parc ?
 
Un crime sans victime
Une telle police des mœurs doit nous inviter à la réflexion. Les démocraties tolérant la poursuite systématique des auteurs d’un crime sans victime se font de plus en plus rares. Profitons-en pour rappeler que la consommation de cannabis est bien moins néfaste pour autrui que la consommation d’alcool que ce soit pour les cas de violence ou d’accident de la route. La liberté ne consiste-t-elle pas à avoir le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ?
  Monsieur Darmanin déplorait encore lors de sa visite dans le Val-de-Marne les effets d’une drogue « qui tue notre jeunesse », et cela malgré le fait que le cannabis soit 114 fois moins mortel que l’alcool comme le rapporte le Think Tank Génération libre. Sa préoccupation pour la santé de nos concitoyens les plus jeunes est certes louable, la consommation de cannabis pouvant nuire au développement du cortex cérébral des enfants et adolescents. Il est néanmoins étrange de constater que le ministre de l’Intérieur préfère le maintien d’un système où l’approvisionnement des consommateurs se fait par le biais de trafiquants sans foi ni loi, peu soucieux de l’âge de leurs clients. À l’inverse, la légalisation ferait des futurs employés des dispensaires les garants du contrôle d’identité des consommateurs comme c’est le cas aujourd’hui dans les bureaux de tabac. Enfin, l’absence d’un marché légal empêche l’État de remplir son rôle de tiers de confiance, notamment en ce qui concerne le contrôle du produit et les normes d’hygiène et de sécurité.
 
L’approche répressive a déjà été essayée et partout elle a échoué. Il est temps de le reconnaître et de changer de paradigme. Le gouvernement a l’occasion d’être pionnier en arrêtant d’allouer autant de moyens et d’effectifs des forces de l’ordre à cette prohibition anachronique. Les policiers et gendarmes pourraient alors se concentrer sur les vrais sujets qui mettent en péril notre pacte social comme les crimes violents et le terrorisme.
 
Par Martin Devaulx de Chambord.
Source: contrepoints.org
 
 
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Family Business saison 2 est arrivé sur Netflix avec Jonathan Cohen et Gérard Darmon !
Par Boogerman,
https://www.breakingnews.fr/family-business-saison-2-est-arrive-sur-netflix-avec-jonathan-cohen-et-gerard-darmon-multimedia-82706.html
Family Business saison 2 est arrivé sur Netflix avec Jonathan Cohen et Gérard Darmon !
  Même si les avis sur Family Business ne sont pas toujours favorables, la célèbre série française est disponible sur Netflix depuis ce vendredi 11 septembre.
Justin Bréant il y a environ 3 jours (17/09/2020)
Les amateurs de ce film seront ravis de retrouver leurs personnages favoris comme Gérard Darmon, Julia Piaton, Jonathan Cohen ou Liliane Rovère qui reviennent dans la saison 2 de Family Business sur Netflix.
Family Business revient sur Netflix avec sa deuxième saison
Family Business raconte l’histoire de Joseph, un jeune homme de 35 ans qui envisage de créer une entreprise à Paris. Fils de boucher, il est déterminé à réussir dans ses projets mais ne cesse d’essuyer plusieurs échecs, notamment dans son ambition à monter une start-up et dans la recherche des financements auprès de certains investisseurs. Après ces échecs, il continue de donner un coup de main à son père Gérard Hazan dans sa boucherie jusqu’à ce qu’il reprenne espoir après avoir appris que l’utilisation du cannabis devrait être autorisée. Il transformera plus tard, la boucherie en un magasin de vente de cannabis et cette affaire finira par impliquer tous les membres de la famille. Ce scénario qui résume la première saison va se poursuivre dans la seconde dont la sortie a eu lieu vendredi dernier.
Bien que Family Business ne soit pas classé parmi les meilleures séries françaises, elle se distingue progressivement dans la collection de Netflix. La série signe son grand retour avec des célèbres acteurs qui font leur entrée sur la plateforme de ce géant du streaming américain. Dans cette saison, les personnages jouent bien leur rôle et mettent tout en place pour sortir la famille des difficultés. La série revient avec beaucoup de surprises pour les amateurs du cinéma français car Family Business tourne autour de l’aventure, cannabis, secrets etc. Plusieurs téléspectateurs estimaient que la saison 1 était beaucoup plus courte. Toutefois, la deuxième saison de cette série, disponible depuis le vendredi le 11 septembre, présente un programme beaucoup plus amélioré.
Scénario et critiques des internautes sur la saison 2 de Family Business
Dans cette nouvelle saison, Joseph serait papa de triplé un an après toutes les difficultés que la famille aurait vécues dans la première saison. Il aurait monté une affaire qui fonctionne à merveille avec Jaurès, un dealer de la place. Tout à coup, un malentendu naitra suite à un défaut de livraison et Joseph se fera menacer. On lui demande de ne plus vendre du cannabis, faute de quoi la vie de ses enfants serait mise en danger. Cette situation bouleversante et contraignante poussera Joseph à convaincre sa famille de laisser tomber ce business, en leur faisant croire qu’une autre bande, très dangereuse souhaite prendre leur place sur le marché. Malheureusement pour ce dernier, son plan ne fonctionnera pas et les choses font plutôt se retourner contre lui. La plateforme de streaming Netflix propose désormais la nouvelle saison de Family Business, offrant la possibilité à tous les fans de cette série de se régaler en retrouvant leurs acteurs.
Depuis la sortie de Family Business sur Netflix, certains n’ont pas hésité à critiquer le scénario de la série. Le troisième épisode de cette nouvelle saison a fait tant parler. On voit une scène où le weed de Jaurès est testé par certains membres de la famille Hazan et cela tourne mal, comme on se serait attendu. Mais le taux de neurotoxine qu’on retrouve dans ce nouveau produit était beaucoup plus élevé et aurait amené ces derniers à se chier dessus et c’est cette scène qui aurait choqué certains téléspectateurs. D’autres estiment également que le fait pour Joseph, qui au départ était prêt à tout pour sauver la vie de ses trois enfants, qui semble se tempérer lui-même est une scène qui n’aurait pas de sens.
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Le cannabis thérapeutique obtient le droit d'être coté à la Bourse de Londres
Par Boogerman,
https://www.lesoir.be/325973/article/2020-09-18/le-cannabis-therapeutique-obtient-le-droit-detre-cote-la-bourse-de-londres
 
Le cannabis thérapeutique obtient le droit d'être coté à la Bourse de Londres
Les entreprises britanniques et étrangères spécialisées dans le cannabis thérapeutique ou les produits dérivés de l'huile de cannabis ont la possibilité d'être admises à la Bourse de Londres, a estimé vendredi le régulateur des marchés. mis à jour le 18/09/2020 à 15:46  par Belga
 
La FCA (Financial Conduct Authority) explique dans un communiqué avoir décidé de clarifier le cadre réglementaire après avoir été saisie par des entreprises liées au cannabis et souhaitant être cotées en Bourse au Royaume-Uni. Le cannabis thérapeutique a été légalisé dans le pays en 2018 mais il est parfois difficile de s'y retrouver dans les activités des nombreuses sociétés présentes dans le secteur, en particulier celles qui sont étrangères.
Pour l'heure, une poignée de PME dont seulement une partie de l'activité est liée au cannabis sont cotées au Royaume-Uni, mais aucune dont c'est le métier principal.
  Le régulateur rappelle notamment qu'une entreprise qui fournirait du cannabis au Royaume-Uni sans autorisation des pouvoirs publics commettrait un délit.
La situation la plus claire concerne les entreprises britanniques, qui proposent du cannabis thérapeutique ou de l'huile de cannabis, et ont obtenu une autorisation d'exercer. Celles-ci peuvent se faire coter sur le marché londonien sans problème.
Pour des entreprises similaires mais étrangères, la procédure est un peu différente. Elles pourront entrer en Bourse mais le régulateur s'assurera que la réglementation dans leur pays d'origine est compatible avec celle du Royaume-Uni, afin d'éviter notamment toute contravention à la loi britannique.
Enfin, le cannabis récréatif restant non autorisé au Royaume-Uni, les entreprises qui en proposent et sont basées dans des pays où il est légal ne pourront pas s'introduire à la Bourse de Londres.
Le FCA précise que l'ensemble de ses recommandations vont faire prochainement l'objet d'une consultation avec les professionnels du marché.
Le Royaume-Uni pourrait donc suivre la voie ouverte par l'Amérique du Nord, Canada et Etats-Unis, qui accueille déjà sur les marchés boursiers à Toronto et New York nombre de sociétés spécialisées dans le cannabis thérapeutique.
Le Canada abrite même en Bourse des producteurs de cannabis récréatif. Le pays est devenu le deuxième pays au monde à légaliser cette drogue douce le 17 octobre 2018, cinq ans après l'Uruguay.
Après une phase d'euphorie boursière en 2018 pour les sociétés liées à l'industrie du cannabis, le soufflé est vite retombé, en raison de projections trop optimistes, de problèmes de gestion, de ratés dans la commercialisation ou de la concurrence du cannabis illégal, qui reste par endroits moins cher.
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Kendall Jenner : elle fait des révélations, elle avoue publiquement qu’elle consomme du cannabis !
Par Boogerman,
https://www.breakingnews.fr/kendall-jenner-elle-fait-des-revelations-elle-avoue-publiquement-quelle-consomme-du-cannabis-actupeople-82708.html
 
Kendall Jenner : elle fait des révélations, elle avoue publiquement qu’elle consomme du cannabis !
  Les fans du mannequin Kendall Jenner ont été surpris d’apprendre qu’elle fume généralement du cannabis.
Justin Bréant il y a environ un jour (19/09/2020)
Invitée dans le Podcast Sibling Rivalry d’Olivier et Kate Hudson, Kendall Jenner n’a pas hésité à balancer qu’elle prend du cannabis. C’est une révélation à laquelle on ne s’attendait pas, du moins concernant la jeune mannequin, âgée de 24 ans seulement.
Kendall Jenner révèle sa consommation de la marijuana
Il faut dire que cette information était jusqu’ici inconnue de ses followers. La jolie top-model américain est très appréciée sur les réseaux sociaux car elle publie régulièrement des photos d’elle partageant quelques moments de son quotidien. Kendall Nicole Jenner est également très connue pour leur fratrie avec ses sœurs Kylie Jenner, Kim Kardashian et plusieurs autres. Les révélations du mannequin de 24 ans n’ont laissé personne indifférent d’autant plus que rien ne laissait entrevoir une telle pratique si on se réfère à ses multiples publications sur les réseaux sociaux. Les internautes étaient plutôt informés du penchant que sa sœur Kim Kardashian avait pour le cannabis sans THC (CBD) dont la consommation n’est autorisée que par prescription médicale. Kendall Jenner aurait dévoilé sa consommation du cannabis sans aucun détour. Contrairement aux effets secondaires que l’on connaît de cette drogue, la jeune femme a visiblement l’air très calme et posé contrairement à sa sœur.
Il faut néanmoins dire que Kendall Nicole Jenner ne s’est jamais autant confiée. Elle n’a pas l’habitude de parler de sa vie privée comme ce fut le cas lors de ces révélations étonnantes. Elle n’est pas passée par quatre chemins pour dévoiler sa consommation de la marijuana. Alors que personne ne s’y attendait, l’ancienne participante de E! affirme « Je suis une fumeuse de marijuana. Personne ne sait cette information, donc c’est la première fois que j’en parle vraiment ouvertement comme ça ». C’est la réponse à une question posée à Kim Kardashian où on lui demandait qui elle désignerait si on cherchait à savoir la personne qui fume du cannabis dans leur famille. C’est donc une pratique habituelle chez la jeune femme qui en parle sans aucun remord. Contrairement à ce que certains peuvent penser, la consommation de la marijuana est légale dans certains États ce qui ne rend pas forcément sa consommation de cette drogue, illégale. La sœur de la femme de Kanye West sait faire ses choix et les assume également d’autant plus qu’elle est une majeure. Ce n’est donc pas un tabou pour Kendall Jenner de révéler en public qu’elle consomme du cannabis.
Une pratique autorisée dans certains États du pays
Les États-Unis se veulent un pays émancipé où chaque citoyen serait libre de ses choix. Ce n’est pas la première fois qu’on apprend que des stars américaines consomment des stupéfiants. Il faut dire que certains États comme New York ou la Californie, auraient autorisés la consommation de la marijuana. Ce n’est donc pas une surprise d’apprendre que la sœur de Kylie Jenner en consomme de temps en temps. Il faut dire que le podcast ayant fait l’objet de ces révélations avait été filmé bien avant le coronavirus, en début d’année.
Des révélations comme celles de Kendall Jenner sont fréquentes au sein de l’incroyable famille Kardashian. En fin d’année 2018, l’épouse du rappeur Kanye West déclarait qu’elle avait consommé de l’ecstasy lors de sa sextape ainsi que lorsqu’elle devait se marier pour la première fois en 2000 avec Damon Thomas. La grande sœur de Kendall Jenner s’était néanmoins remise en cause disant qu’à chaque fois qu’elle avait consommé ces drogues fortes, elle aurait fait des choses scandaleuses comme ce fut le cas avec la sextape. Toutefois, tous ces événements n’auraient pas freiné la mère de Chicago West qui préfèrent s’adonner aux stupéfiants moins forts. Ce n’est donc plus un secret pour personne car Kendall Nicole Jenner aurait délibérément dévoilé sa consommation du cannabis.
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Coronavirus : des masques en chanvre bio compostables
Par Boogerman,
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/masques-sanitaires/coronavirus-des-masques-en-chanvre-bio-compostables_4107035.html
 
Coronavirus : des masques en chanvre bio compostables
Depuis que les gouvernements ont demandé à leurs citoyens de porter des masques pour enrayer l'épidémie de coronavirus, beaucoup polluent désormais les rues. Un Français a décidé de développer un masque biodégradable fabriqué en chanvre.  
    S. GirbalfranceinfoFrance Télévisions Mis à jour le 15/09/2020 | 18:39
publié le 15/09/2020 | 18:31
  Les masques polluent nos rues depuis des semaines. Mais également les océans. Le problème, c'est qu'ils mettent jusqu'à 450 ans pour se dégrader dans la nature. Alors, un entrepreneur français a trouvé une solution : le masque en chanvre. "Ce que j'aimerais, c'est que les gens regardent ce qu'ils achètent et ce qu'ils jettent. C'est qu'ils aient un comportement plutôt écoresponsable. Quand on met du chanvre dans le sol, trois mois, six mois après, il n'y a plus rien", révèle Frédéric Rouvre, président et fondateur de Géochanvre.
Le chanvre, un filtre efficace
Ce masque est donc le premier masque bio compostable en Europe. Les élastiques sont aussi recyclables, la doublure est en maïs, et les propriétés du chanvre garantissent un filtre efficace. "Les propriétés du chanvre existent depuis des milliers d'années. En faisant des toiles de chanvre, on peut faire des toiles de voilage pour la marine mais aussi des toiles de filtration", ajoute Frédéric Rouvre. Les clients de Géochanvre sont européens et canadiens, ils ont acheté 1,5 million de masques en chanvre depuis mars dernier. Aujourd'hui, dans le monde, environ 129 millions de masques faciaux à usage unique sont utilisés chaque mois.
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Au moins quinze personnes ont été arrêtées par la Garde civile dans le cadre d'une opération anti-drogue au Gipuzkoa.
Par Indi-Punky,
Au moins quinze personnes ont été arrêtées par la Garde civile dans le cadre d'une opération anti-drogue au Gipuzkoa.
Dans le cadre de celui-ci, des membres de l'institut ont effectué mercredi un déploiement dans le quartier Ibaeta de Donostia, où ils ont enregistré une entreprise.
 

 
Au moins quinze personnes ont été arrêtées par des agents de la Garde civile dans le cadre d'une opération anti-drogue menée par cette force de police à Gipuzkoa, selon des sources de l'enquête.

L'opération, toujours ouverte, a débuté hier à Donostia, où des agents de l'institut armé ont fouillé l'entrepôt d'une entreprise spécialisée dans la vente de graines de marijuana et de produits végétaux.

Ces sources ont précisé que l'opération est en cours en raison de la commission éventuelle de crimes contre la santé publique, l'organisation criminelle et le blanchiment d'argent.

Tout au long de la journée d'hier, les agents ont inspecté les locaux de la société susmentionnée, situés au numéro 83 de la rue Portuetxe dans le quartier Ibaeta, à Donostia, où un appareil de quatre SUV de la Garde civile et plusieurs véhicules camouflés s'est déplacé. .

L'opération de police, lancée par ordre du tribunal central d'instruction numéro 6 du tribunal national espagnol, a été menée principalement à Gipuzkoa, bien que certaines actions aient également été menées à Nafarroa.

L'action reste ouverte, le tribunal maintient donc le secret sommaire
 
 
Source: naiz.eus
 
Il semblerait que la société en question soit Dinafem.
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Amende délictuelle forfaitaire
Par coQ6Nel,
Salut,
Je viens de tomber sur cette news https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/verrieres-en-anjou-49480/maine-et-loire-les-gendarmes-testent-la-nouvelle-amende-delictuelle-forfaitaire-4a6a5f20-f84b-11ea-86be-f690571173ca
 
Ils ont le droit de pratiquer des tests salivaires sur toute personnes dans un lieu publique maintenant ?
Ça fait flipper un peu...
 
Maine-et-Loire. Les gendarmes testent la nouvelle amende délictuelle forfaitaire
Un important contrôle a eu lieu mercredi 16 septembre au soir sur six « spots » en Anjou.
Plusieurs points de contrôle se trouvaient sur la départementale 23, près de Saint-Sylvain-d’Anjou. | CO C’est la première conséquence visible (et assez spectaculaire) des nouvelles amendes délictuelles forfaitaires, que la loi a tout récemment mise en place à l’intention des consommateurs de stupéfiants. Les gendarmes de Maine-et-Loire ont opéré un important contrôle, mercredi 16 septembre 2020 au soir, sur plusieurs carrefours routiers de Verrières-en-Anjou et du Saumurois.
 
En tout, près de soixante-dix gendarmes étaient mobilisés pour ce contrôle très orienté « stup » mais qui était aussi voulu comme une démonstration de la vigilance des forces de gendarmerie. Il s’agissait d’un contrôle très large puisque les conducteurs de véhicules étaient contrôlés, mais aussi leurs passagers et même les cyclistes et les piétons de passage.
170 contrôles
Les personnes contrôlées ont subi un test salivaire. Aucun test sur les passagers et les piétons n’a été positif. Mais s’ils l’avaient été (le procédé est instantané et beaucoup plus rapide que les tests Covid…), les contrevenants auraient reçu une amende de 200 euros (qui peut être majorée à certaines conditions).
En revanche, trois automobilistes ont été surpris avec les traces d’une récente consommation de stupéfiant et en répondront devant le tribunal.
  L’amende délictuelle forfaitaire nous permet de verbaliser très rapidement les contrevenants, en passant par une application et sans perdre de temps », nous a expliqué le lieutenant-colonel Pous, commandant en second du Groupement départemental de la gendarmerie.
Au final, 170 contrôles ont été effectués entre 16 heures et 19 heures, dont 30 piétons et 140 véhicules. Les gendarmes ont également verbalisé deux défauts de ceinture et deux automobilistes qui téléphonaient en conduisant.
Les gendarmes d’Angers et de Saumur ont reçu le soutien de motards des pelotons motorisés d’Angers et de Saumur, du PSIG d’Angers et d’une équipe cynophile.
 
 
 
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